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Un soir au bureau

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
La nuit précoce de ce soir d’hiver a poussé chacun vers la sortie dés la fin de l’après-midi. La majorité des commerciaux ont quitté leur poste aussi tôt que les secrétaires. Vers 18h, il ne reste que Gaétan, le directeur de l’agence, Philippine préoccupée par un travail en retard et Johanna la femme de ménage. Gaétan a passé la cinquantaine, rond et de taille moyenne, il s’essaie à une certaine élégance décontractée. Ce soir, la veste de son costume gris est posée sur une chaise. Il est affairé sur son ordinateur et a remonté jusqu’au coude les manches de sa chemise ocre. Lorsque Philippine entre dans son bureau, il n’en est nullement surpris. Elle se plaint, sans grande conviction, de la fainéantise légendaire de l’un de ses collègues qui lui provoque un surcroît de travail.
La conversation dévie rapidement sur des sujets plus personnels et plus frivoles. Insensiblement les confidences s’enchaînent et le ton devient plus léger. Familièrement, Philippine s’assoit sur le large radiateur, le corps penché en avant, les avants bras posés sur les cuisses ouvertes. Gaétan commence, pour la première fois à détailler son anatomie, tout en poursuivant la conversation. La finesse du grain de peau, le rose diaphane du visage et des mains retiennent tout d’abord son attention. Il est frappé par le nez aquilin au dessin délicat, les joues rondes et colorées, la courbe élégante du menton. Il n’avait jamais porté attention à cette dynamique et naïve petite femme de 35 ans au physique plutôt quelconque. Les seins petits et fermes, le bassin un peu large, les cuisses triangulées et le léger embonpoint du ventre intéressent son regard. Dans le même temps, le babil de son interlocutrice devient de plus en plus incertain et empreint d’une véritable gêne.
Lorsqu’il croise son regard, celui-ci dégage une émotion sensuelle et se voile progressivement. Ses joues se sont empourprées. Une de ses mains caresse délicatement l’intérieur de sa cuisse et remonte insensiblement vers l’entrejambe Elle cesse brutalement de parler. A cet instant, la minuscule et maigrichonne stature de Johanna traverse la pièce pour vider les poubelles. Ses grands yeux noirs accrochent d’un regard interrogateur, vaguement gêné, celui des deux protagonistes. Puis elle disparaît sans bruit en laissant la porte entrouverte.
Plus le temps passe et plus Philippine semble hésiter sur la conduite à tenir. Après quelques secondes d’un silence pesant, elle se redresse brutalement et fiche son regard souriant dans celui de Gaétan. Sa main droite dégrafe la ceinture de son pantalon qu’elle porte à même la peau et en baisse la fermeture éclair. Elle le fait glisser lentement, tout en dégageant ses pieds de ses mocassins. Très vite Philippine se retrouve à demi nue, la main posée sur la courte toison châtain de son sexe. Gaétan remarque aussi ses attendrissants petits pieds à peine voilés par des socquettes transparentes. Les fesses rondes et bien dessinées se sont reposées sur le radiateur. Elle commence alors à déboutonner le bas de son fin gilet de laine bleue comme savent le faire les professionnelles du strip-tease. Gaétan ressent la progression de l’ouvrage comme une torture jusqu’à ce qu’apparaisse la poitrine dénudée. Sa fermeté et son élégante forme de poires semble la dispenser de tout soutien artificiel.
Philippine reste là, assise le dos appuyé à la fenêtre, en gilet largement ouvert et socquettes, attirante et belle dans la lumière d’un halogène. Ses deux mains caressent maintenant l’intérieur de ses cuisses avec plus de détermination. Celles-ci ne cessent de s’éloigner comme mues par une force irrésistible. Leur écartèlement progressif dévoile successivement grandes puis petites lèvres, laisse deviner le clitoris qui ne tarde pas à être stimulé par un doigt humide.
Gaétan fasciné par la scène est soudain surpris de sentir deux fines mains caressantes se poser sur ses épaules et descendre le long de son torse. Johanna, entrée sans bruit, se tient debout dans son dos appuyée sur le dossier de son fauteuil. Elle commence dans cette position à déboutonner avec minutie la chemise colorée de Gaétan. Lorsque ses bras ne sont plus assez longs, elle fait pivoter le fauteuil et s’agenouille. Elle le débarrasse prestement de son pantalon, jusqu’à pouvoir dégager son sexe de l’étroit caleçon qui le protège. Il sent la chaleur lui monter aux joues et son rythme cardiaque s’accélérer encore. La jeune femme lui prend les mains avec douceur et les pose délicatement autour de son pénis. Il commence à se caresser sans grande conviction toujours aussi fasciné par ce qu’il voit.
Lorsque Johanna, toujours placée face à lui commence à dégager son corps de fausse maigre de la blouse bleue, du caleçon et du body noirs qui l’enveloppent, Gaétan est au paroxysme de l’étonnement et de l’émotion. Rapidement elle escamote la culotte et le soutien gorge de coton immaculé. Il ne lui reste alors sur le corps que de fines lunettes d’acier et deux bagues de métal blanc. Les deux comparses sont étonnés de lui découvrir des hanches bien marquées et une poitrine ronde dont le relief transcende la maigreur de son buste. Elle semble, elle aussi particulièrement émue.
Lorsque Gaétan se lève et finit de dénuder le haut de son corps, Johanna l’accompagne jusqu’au canapé et commence un massage dans la plus pure tradition Thaï. Face à eux, Philippine s’est enfermée dans sa bulle à la recherche de son plaisir. Elle s’assure simplement de l’intérêt que lui portent les deux autres de temps en temps. Ce faisant elle atteint un orgasme de faible intensité; Après quelques instants de détente elle commence à mieux maîtriser sa respiration. Elle se lève dans un mouvement élégant et traverse la pièce. Elle vient s’étendre pantelante sur la table basse située devant le canapé, jambes écartées et pieds au sol.
Johanna alterne alors les attentions entre ses partenaires utilisant tantôt l’effleurement manuel, tantôt le massage corps à corps. Allongés côte à côte, les deux protagonistes étonnés ne se quittent pas du regard. Petit à petit, ses attouchements se font plus intrusifs et le sexe de Philippine est envahi par les longs doigts de sa compagne. Lorsqu’elle est au bord du plaisir, Johanna l’aide a s’enficher à califourchon sur le pénis érigé de Gaétan et continue ses agaceries sur les deux corps jusqu’à un puissant orgasme partagé. Les amants épuisés restent ainsi calfeutrés dans la mollesse du canapé serrés l’un contre l’autre. Pour sa part, Johanna est maintenant assise dans le fauteuil, les pieds sur le bureau, et caresse avec application ses différentes zones érogènes: sexe, anus, tétons, lèvres... Son petit corps se tord pathétique dans l’immense fauteuil.
Lorsqu’ils ont un peu récupéré, les deux amants s’emparent de lui et commencent une composition effrénée à quatre mains. Dix fois la légère jeune femme est retournée, pétrie, écartelée, et mille fois caressée et embrassée. Celle qui était quelques minutes auparavant une quasi inconnue vient de conquérir une place au plus profond de l’intimité de ses interlocuteurs. Partenaire à part entière, ils recherchent à lui donner un plaisir au moins équivalent au leur. Transportée sur la table basse, son anatomie est visitée recoin par recoin. Au moindre frémissement, la caresse se fait plus intrusive, la bouche remplace la main, la partition est jouée à deux pour en renforcer les effets. Lorsqu’elle se soulève de la table à quatre pattes, Philippine se glisse sous elle tête bêche. A l’invite, sa tête plonge rapidement entre les cuisses béantes. Sa croupe dressée et ouverte est pénétrée en levrette par Gaétan. Elle atteint un orgasme violent accompagné des râles ténus de ses complices.
Passé ce temps d’intense intimité, aucun des trois acteurs ne regarde désormais ses collègues de la même façon. La peau mate de Johanna, son bassin fait pour porter les enfants et sa poitrine ronde apparaissent aux yeux des deux autres, malgré le voile de sa blouse de travail. Sa sensualité est perçue en toute circonstance. Philippine a conquis le statut d’une jeune femme libérée malgré sa solitude. Elle a souvent l’impression, lorsqu’elle croise le regard de son directeur, qu’il perçoit les charmes de son anatomie à travers ses vêtements. Gaétan a, plus que jamais, besoin de convaincre pour être obéi tant l’image du « jouisseur » habite encore la mémoire de ses deux interlocutrices. Ceci est encore aujourd’hui sensible dans leurs rapports professionnels. Toutefois cette scène, qui n’eût jamais de suite, reste un secret entre ses acteurs.
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