Ce soir, ma soumise, nous allons faire de la cuisine. Comme d’habitude, tu es nue avec pour seul habit des escarpins rouge de 20cm. Tu as du mal à marcher et ta démarche te fait bien rouler du cul. Je te donne ton mini tablier rouge en dentelle de soubrette avec pour inscription « I’m a f*** Whore ». Tu l’enfiles prestement. Tu es bandante à souhait ! Je te place debout face à la table de la cuisine, les deux mains sur le plan de travail. Ainsi positionné, tu cambres bien ton cul. Tu tournes la tête vers moi pour me sourire. « Bouges pas salope ! ». Ça s’annonce rude ! Tu te replaces sans broncher. Je prends alors un paquet de farine que j’étale sur la table. Je m’en mets sur les mains et je commence à te donner une bonne série de claques sur tes fesses fermes et charnues ! Ça claque fort et à chaque coup un nuage de farine s’élève en une volute blanche sensuelle ! Au bout d’un moment, tes fesses ne sont plus qu’un mélange de traces rouges des coups que tu as reçus et blanches de la farine. Tu as mal ! Tu dandines ton cul ! Mais je claque toujours plus fort ! Tu commences à avoir des larmes qui coulent ! Elles laissent des traces dans la farine, de petites perles blanches symboles de ta douloureuse soumission !Je prends alors une carotte et je te la fourre dans la bouche ! « Suces ça, salope ! Ça m’évitera d’entendre tes sanglots de pétasse ! » Tu commences à sucer la carotte comme si c’était une bite ! Je la pousse au fond de ta gorge ! Tu étouffes et manques de vomir ! Je recommence ! Je prends un malin plaisir à te défoncer la gorge avec ce légume ! De longues coulées de bave s’écoulent le long de ton menton et souillent la farine sur la table. Enfin, je le sors de ta bouche et le présente à l’entrée ton trou du cul. « Maintenant on va te remplir le cul ma salope ! » A ces mots, j’enfonce la carotte dans ton fondement ! Tu grimaces devant la grosseur et la rigidité de l’objet ! Je te branle le cul avec force grâce à ce substitue de pénis ! Le plaisir monte. Te faire défoncer le cul en étant humiliée de la sorte te plait tant ! L’odeur de cul, de farine et le fait d’être sale t’excitent !Moi aussi je veux prendre mon pied ! Je te prends la main et la pose sur ma queue qui est déjà bien dure. Tu comprends et tu commences à me branle ! Ton cul est en feu ! La carotte te ramone bien les entrailles ! Tu gémis, tu serres les cuisses face à ce plaisir qui te gagne. Juste avant l’orgasme, je retire la carotte ! Tu râles car tu voulais jouir. Je te donne une grosse claque ! « Ta gueule ! C’est moi qui décide quand tu jouiras ! » Résignée tu baisses la tête ! Je prends alors une bombe de crème chantilly que je te fourre dans le cul. Je presse longuement sur la goupille ! Ton cul se remplit de crème fraîche ! La texture et la fraîcheur du produit se répandant dans tes tripes te font monter rapidement en excitation. Je retire la bombe, et je mets ma main derrière trou. « Pousse maintenant petite pute » Tu t’exécutes ! La crème sort de ton cul en un étron blanchâtre. Je le recueille et te le présente sous le nez... « Bouffes cette merde blanche pétasse ! » Dégoûtée, tu donnes quelques coups de langue et moi je te l’écrase sur le visage ! Tu restes bouche bée ! Tu ne t’y attendais pas et tu en as partout ! Je te saisis alors par les hanches et je te pénètre sans ménagement ! Je commence à te limer le cul avec force tout en te traitant de salope, de sac a sperme et de grosse pute ! À chaque coup de reins de la crème jaillit de tous les côtés ! Ça déborde ! Sous mes assauts, tu t’affales sur la table pleine de farine ! Je te baise de plus belle ! Tu finis par jouir en criant ! Quel pied tu as pris. Finalement je me retire de ton cul, d’où s’échappe un liquide blanchâtre qui coule sur tes escarpins souillés ! Je te maintiens le visage écrasé contre la table et je passe sur le côté. Je me branle alors son ton visage pour finir par jouir sur le ta gueule de traînée ! Mon sperme n’arrête pas de couler ! Tu en as partout. Sur la bouche, les joues, les cheveux et dans les yeux ! Tu es pleine de sperme et de farine. Le visage blanc et souillé. Je te relâche enfin ! « Vas te laver petite souillon ! Et tu me nettoieras tout ça ma salope ! » Heureuse, tu me réponds : « bien maître, merci !
