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Soirée de lecture, soirée de luxure !

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
C’est certainement l’un de mes plus fidèles lecteurs et notre correspondance épistolaire ici a commencé le 14 mai 2021. Dans son premier message, il me citait l’une de ses amies, une maîtresse occasionnelle, « qui lui avait raconté comment elle avait, lors d’un week-end sur la côte, eu le grand-père, le père et le fils de la même famille. Pas ensemble bien sûr, mais cela l’avait immensément excitée ». Il terminait son message en imaginant, voire espérant, que cette anecdote puisse m’inspirer. J’ai exaucé son vœu en écrivant les quatre chapitres de l’histoire « De père en fils ».
Nous échangeons régulièrement ici par messages ; il m’avoue saillir ses amies en pensant fort à moi. Je lui confesse combien notre correspondance m’excite et qu’il est régulièrement dans mes pensées lorsque je me fais honorer par mon mari ou l’un des mes amants.
Dans son message du 5 mars dernier, il m’écrit « Je lis les commentaires que vos lecteurs laissent sur ce site et me demande combien de litres de foutre vous avez fait verser à la lecture de vos récits. Vu l’importance de votre audience, ce doit être conséquent ! Certains auteurs animent des séances de lecture publique, où ils lisent leurs œuvres à haute voix. Je vous imaginerais assez bien faire de même … ».

Je ne connais de lui que son pseudo, M de Seingalt, mais je sais que cela fait très longtemps qu’il fantasme sur moi. Il me dit aimer mon écriture, comme beaucoup d’autres. Il rêve de me posséder, comme beaucoup d’autres. Je n’ai jamais franchi le pas, ni avec lui, ni avec aucun autre lecteur d’Xstory. J’ai toujours répondu aux nombreuses propositions et sollicitations en tous genres que j’étais sur ce site pour écrire des histoires et non pas pour faire des rencontres.
Mais sa proposition de séance de lecture publique m’intéresse, c’est si inédit, si excitant, si cérébral, si insensé que j’en ai la chair de poule et qu’une légère moiteur naît entre mes cuisses. Je tente de me raisonner
-    Mais non Hélène, tu ne le connais pas ! Sois prudente !
-    Il doit faire le coup à toutes les auteures du site ! C’est un obsédé !
-    C’est un mytho ! Des comme lui, il y en a plein les sites de rencontre !
Mais d’un autre côté, ses messages ont toujours été si courtois, ses propos si galants et son écriture si raffinée. Son pseudo et son avatar ne sont pas vulgaires comme tant d’autres ; ils sont plutôt mystérieux. Je devine derrière une âme de Casanova, un admirateur des femmes et un libertin respectueux de ses partenaires. Bien loin d’un Don Juan narcissique, imbus de sa personne et méprisant ses conquêtes.
Malgré toutes les raisons que j’ai de rester fidèle à mes principes de prudence, je lui adresse tout de même un court message « Très cher Casanova, je vous accorde ma soirée du samedi 18 mars de 20h00 à minuit. Je vous laisse le choix du lieu, des invités et bien-sûr du cérémonial pour cette soirée de lecture publique. J’attends vos instructions. A très bientôt ». Quelle folle je suis ! A peine ai-je envoyé le message que je le regrette déjà. Alea jacta est !

Il doit être 19h30 en ce samedi 18 mars lorsque je suis à la fenêtre de mon appartement, surveillant la rue qui passe au pied de mon immeuble. Un véhicule de la société G7taxis s’arrête et allume ses feux de détresse. Ce doit être mon carrosse qui est avancé, comme convenu avec M. Je peux encore rester dans ma tour d’ivoire, stopper cette folie car je n’ai communiqué aucune coordonnée téléphonique et le numéro de l’immeuble que j’ai donné est celui du bâtiment d’en face. Mais j’ai encore cette moiteur entre les jambes qui m’incite à ne pas renoncer.
C’est décidé, j’enfile mon manteau et descends les deux étages, je sors dans la rue et me dirige vers le taxi. Alors que j’approche, un homme en sort et fait quelques pas vers moi.

-    Madame Hélène ? m’interroge-t-il.
A peine ais-je confirmé qu’il ouvre la portière arrière droite et la referme une fois que je suis assise. Il reprend place derrière le volant et nous voici partis pour je ne sais où ; le paradis j’espère !
Je reconnais la place de l’Etoile, le parc Monceau puis la place de Clichy. A gauche le Moulin Rouge, nous remontons pendant une centaine de mètres le boulevard de Clichy puis le véhicule s’immobilise.
Le chauffeur se retourne vers moi en me tendant un loup noir.
-    Madame, on m’a dit que vous deviez porter ce masque, me dit-il.
Puis il prend son téléphone et je l’entends dire
-    Voilà monsieur, nous sommes arrivés.
Je n’ai pas le temps de me poser de questions, il est trop tard ! Un homme en costume cravate, un masque vénitien sur le visage m’ouvre la portière.
-    Bonsoir Hélène, je suis M de Seingalt ! me dit-il. Je suis ravi d’enfin vous rencontrer.
Je sors de la voiture, masquée et le manteau bien refermé.
-    Bonsoir chevalier. Le plaisir est partagé.
Il me demande de le suivre et nous pénétrons dans l’un des sexe shop du boulevard. Un colosse noir en contrôle l’accès et me salue respectueusement.
-    Oui, c’est une soirée privée, m’annonce mon accompagnateur. C’est un ami qui gère l’établissement et il a bien voulu que j’y organise ce petit événement littéraire, poursuit-il.

Nous sommes au rez-de-chaussée et je suis guidée dans un dédale de rayons et portants où trônent sextoys, gadgets divers, livres et bandes-dessinées, tenues érotiques, cuissardes et autres chaussures aux talons vertigineux. Dans un coin de la pièce, une tenture rouge dissimule le petit escalier qui mène à l’étage supérieur. Nous montons et accédons dans une pièce plongée dans la pénombre. Un petit spot éclaire simplement un large pouf de cuir installé juste sous le halot lumineux. Je devine des silhouettes installées dans les canapés et fauteuils repartis le long des murs tout autour du pouf central.
M me demande de garder mon manteau et de m’asseoir sur le bord du pouf. Le siège est heureusement bien ferme et je peux adopter une posture très digne, le buste bien redressé et les jambes croisées.
-    Messieurs, chers amis, je vous présente Hélène, une illustre auteure du site Xstory. Elle a bien voulu nous accorder cette soirée de lecture, veuillez l’applaudir pour la remercier, annonce M.
Une salve d’applaudissement lui répond. Je me demande ce que me réserve la suite de la soirée.
Il fait un peu chaud dans la pièce et je retirerai bien mon manteau, mais si M m’a demandé de le garder pour l’instant, j’imagine qu’il a ses raisons.
-    Hélène, voici l’une de vos histoires ; il s’agit de « La bourgeoise et le marabout » me dit M et il me tend une bonne vingtaine de pages.
J’y jette un œil ; le coquin a extrait des passages – les plus érotiques très certainement – des quatre-vingts chapitres de mon histoire. La soirée va être longue, mais ne lui ai-je pas accordé quatre heures !
-    Hélène, nous vous écoutons, annonce M. Messieurs, je vous invite à vous mettre à l’aise, annonce-t-il ensuite.
Je devine dans l’obscurité, plus que je ne vois, quelques mouvements rapides. Des braguettes s’ouvrent, des pantalons tombent, des caleçons suivent ; je comprends que lecture va rimer avec luxure.

Tenant les feuilles d’une main et me redressant sur le bord du pouf, j’entame ma lecture.
« Je m’appelle Hélène, j’ai 56 ans, parisienne BCBG, physique agréable et mariée à François qui a une excellente situation. Nous habitons dans le 16ème arrondissement de Paris, nos deux enfants ont fini leurs études et sont maintenant casés. Tout allait donc pour le mieux jusqu’à ce qu’un jour me mari me dise qu’il avait noté une baisse d’appétit sexuel chez moi. Il faut dire qu’avec le temps, nos ébats amoureux se faisaient plus rares et je reconnais que cela ne me manquait pas spécialement. Toutefois, ne souhaitant pas que mon mari se trouve une maîtresse pour apaiser ses envies, je me suis dit qu’il fallait que je fasse quelque chose. »
Puis je relate comment j’ai rencontré monsieur Coulibadou - grand marabout africain selon son prospectus - qui m’a donné un flacon de sirop à prendre tous les soirs ; médicament qui s’est révélé par la suite être son sperme.
Alors que j’en suis à décrire ma seconde consultation chez le marabout, M m’interrompt.
-    Ne trouvez-vous pas qu’il fait chaud Hélène ? me demande-t-il. Je suis sûr que nos amis vous autorisent à retirer votre manteau.
Je me lève et il m’aide galamment à ôter mon vêtement. Je me rassoie et poursuis ma lecture.
« Sa main prend mon bras et il m’invite à me mettre debout puis à le suivre. Je reconnais la table d’auscultation en m’allongeant sur le dos. Il soulève délicatement ma nuque et glisse un coussin dessous. Puis, le voilà qui pose ses mains sur mes chevilles et m’oblige doucement à entrouvrir les jambes. Le fin tissu de mon string m’écarte presque l’intimité et j’imagine le spectacle impudique que je lui offre. Mais le bandeau m’évite de trop y penser et je me laisse aller. Soudain, d’une main, le marabout écarte mon string et sa bouche se colle sur mon sexe. Tandis que ses deux mains me caressent le ventre et remontent jusqu’à mes seins, sa langue se faufile dans ma chatte et commence un doux mouvement de va-et-vient. »

Tout en écoutant ma voix suave et sensuelle lire le texte, je sais que les yeux de mes auditeurs sont fixés sur mes jambes. Il faut dire que j’ai mis la tenue préconisée par M ; des talons aiguilles et une longue robe noire avec un profond décolleté et une longue fente sur le côté droit. Les jambes croisées comme je suis, la robe fendue permet de voir mon bas droit jusqu’à la jarretière et je sais que tous aspirent à en voir bien davantage.
Parfois, un rapide coup de projecteur balaye rapidement le pourtour de la pièce et me montre la dizaine d’hommes présents pour écouter ma lecture. Quelques-uns se branlent, d’autres se contentent de se titiller le gland ou malaxer les bourses pour entretenir leur excitation. Ils doivent se dire qu’il vaut mieux ne pas jouir trop tôt ; qui sait ce que l’organisateur de cette soirée de lecture à prévu. Si j’étais une auteure reconnue et s’il s’agissait d’une œuvre littéraire majeure, un tel événement serait inévitablement suivi d’une séance de dédicaces. Ce soir, j’imagine que ce n’est pas l’encre qui va couler !

M se rapproche à nouveau de moi et m’aide à retirer ma robe. Il me demande ensuite de m’allonger et glisse un coussin sous ma tête de manière à ce que je puisse continuer ma lecture dans une position relativement confortable. C’est alors que je remarque le grand miroir fixé au plafond et je me vois dans une pause des plus provocantes ; avec mes talons aiguilles et simplement revêtue d’un large porte-jarretelles rouge qui retient les bas noirs qui gainent mes jambes.
Par faiblesse envers M, ou peut-être par défi envers moi-même, j’ai accepté de suivre à la lettre les consignes qu’il m’a fixées. Elles étaient particulièrement précises, ni soutien-gorge ni culotte ! L’auteure dans son plus simple appareil !

J’en suis maintenant à lire comment le traitement donné par mon marabout a boosté ma libido pour le plus grand plaisir de mon mari. Ce dernier en a profité à de nombreuses occasions comme le soir où nous sommes allés au cinéma Le Mac-Mahon près de l’Etoile regarder un vieux film érotique japonais, sortie racontée dans l’extrait que je lis.
« Alors que l’écran nous renvoie l’image de Madame Yoshino s’offrant à son jeune amant, François, assis à ma gauche, pose une main sur mon genou et commence à remonter vers le haut de mes cuisses. …Alors que je ferme les yeux pour bien profiter des ultimes instants avant le bouquet final, une main se glisse entre mes jambes, écarte la dentelle de mon string et un doigt se glisse doucement en moi. J’écarte un peu plus les jambes pour être plus accessible et aussitôt la caresse se fait plus appuyée. Je suis soudain surprise de constater que j’ai une main qui appuie sur ma tête, une qui me caresse la nuque, une autre entre les cuisses et une quatrième qui vient d’accéder à la pointe de mes seins. Il m’est toutefois impossible de relever la tête pour voir à qui appartiennent les deux mains en trop car la main sur la nuque veille à me maintenir à l’ouvrage. Qu’importe, la situation est excitante et je suis certaine que François s’est aperçu de la présence de ce complice ; peut-être même l’a-t-il invité à se joindre à lui… »
Sans que j’interrompe ma lecture, M annonce d’une voix grave à l’auditoire
-    Si certains veulent témoigner à Hélène combien ils apprécient son écriture, qu’ils ne se gênent pas. La séance de dédicaces peut commencer, mais dans le calme et le respect.
Aussitôt, deux silhouettes se lèvent et se rapprochent du pouf.

Toujours allongée sur lit et lisant ma prose, je replie légèrement mes jambes et les écarte ; un peu comme une grenouille exposée sur une table d’examen pendant un cours de SVT. Les deux hommes se mettent à genoux et rapprochent leur visage. Ils se masturbent tout en me reniflant comme deux clébards le feraient avec une chienne. J’espère qu’ils apprécient les fragrances du parfum Opium dont je me suis généreusement paré après un long bain moussant. Peut-être préfèrent-ils l’arôme de ma chatte déjà toute moite d’excitation et d’envies.
Mais les voici qui se redressent ; imperturbable, je poursuis la lecture d’un autre extrait de mes aventures avec le marabout. « … Je ferme les yeux et je me mets à penser à Monsieur Coulibadou et à son assistant Ahmed. Alors que j’imagine leurs deux sexes plantés en moi, François se colle encore plus fort contre moi et jouit en me traitant de bourgeoise débauchée et de petite salope. Est-ce lui qui me pousse dans cette voie ou bien est-ce moi qui ai délibérément choisi de m’y engager ?... ».
Soudain, sans crier garde, mes deux branleurs d’auditeurs lâchent de puissants jets de sperme. Leur foutre arrose mon ventre, mes seins et mon visage ; signant en quelque sorte le début de la soirée de luxure.

Au fur et à mesure, les pages lues et souillées jonchent le sol autour de moi. Selon un cérémonial quasi religieux, M coordonne les déplacements autour du pouf où j’officie comme le ferait un prêtre à son autel. Placée comme je suis, je ne distingue pas les visages des participants, seulement leurs cuisses, leurs couilles et leur bites pointées vers moi.
Je lis maintenant comment mon mari m’a sortie au bois de Boulogne un soir pour assouvir ses pulsions. « … D’une main, il leur fait signe et deux hommes s’approchent. Ils se posent à leur tour sur le capot de la voiture, sortent leur sexe et enfilent la capote que leur tend François.  Me voici de nouveau le buste courbé vers l’avant et la bouche à l’œuvre. Je vais d’un sexe à l’autre pour ne pas faire de jaloux et pour ne pas faire retomber leur attention. Ce sont deux belles queues comme je les aime, pas spécialement épaisses mais assez longues pour les contenir en bouche et sentir presque le gland cogné au fond de mon palais … »
A lire ces lignes écrites il y a déjà de nombreux mois, ces moments de débauche me reviennent en mémoire et j’aimerais prendre en bouche ces queues bien raides là au-dessus de moi. M a dû deviner mes envies car il vient s’asseoir sur le bord du pouf et prend les feuilles dans ses mains.
-    Messieurs, je vais assurer la suite de la lecture pour qu’Hélène puisse souffler un peu, annonce-t-il avec une pointe d’ironie dans la voix.

Je décide de ne pas changer de position et reste donc allongée près de M. Cependant, tendant les bras vers le haut je commence à malaxer les bourses de ces messieurs et à branler leurs queues. La tête en arrière, j’ouvre grand la bouche et ma langue fait quelques mouvements obscènes dignes d’une actrice de film porno.
L’un des hommes reçoit le message 5 sur 5 et s’accroupit, les genoux posés sur le pouf, de manière à pouvoir se branler dans ma bouche.
M semble insensible à ce qui se passe près de lui et continue sa lecture en prenant une voix plus douce, voire féminine. « Pendant les deux heures qui suivent, dans la salle de cinéma puis sur le lit dans le salon le plus grand, je m’offre à ces inconnus comme si j’étais l’héroïne d’un film X intitulé « Partouze au sex-shop ». Les hommes vont se succéder et je ne compte plus les glands que je tête, les queues qui me baisent et les bites qui m’enculent. Je savoure le plaisir que l’on peut éprouver dans de tels instants de débauche et de luxure. Je ne suis qu’une femelle assoiffée de jouissance, qu’une salope qui en redemande encore et encore. Si mon marabout me voyait, nul doute qu’il serait fier de moi. Si François mon mari était là, je suis certaine qu’il ferait quelques photos de mes nombreuses saillies, prenant plaisir à faire des gros plans de mes divers orifices visités par ces inconnus. Certains hommes se contentent de se masturber en me regardant puis, au dernier moment, se rapprochent de moi et répandent leur sperme sur mon dos ou mes fesses. »
Alanguie sur mon pouf les yeux fermés, je revis la scène que relate M tout en me laissant caresser par ces mains inconnues. On me flatte l’intérieur des cuisses, on me pince les tétons, on me doigte la chatte, je mouille. Soudain celui qui se branle dans ma bouche éjacule violemment, j’en avale la moitié, le reste coule à la commissure de mes lèvres et dégouline sur mon cou.

Je savais que cette séance de lecture publique organisée par M serait inédite, excitante, cérébrale, insensée mais j’étais loin de la réalité. Je suis à la fois l’auteure et l’héroïne, j’écris l’histoire et je la vis en même temps, c’est une véritable immersion dans la débauche, le stupre et la luxure.
Un homme est maintenant à genoux devant moi et me dévore la chatte. D’autres se branlent d’une main et me caressent de l’autre. J’ai une nouvelle queue en bouche et un gland circoncis me frôle le visage. J’ouvre encore plus grand la bouche et le second gland s’y fraye une place tout contre le premier. Par moments, comme des étoiles filantes dans le ciel, des jets de foutre fusent à droite ou à gauche. J’étale bien le foutre sur mon corps, il parait que c’est bon pour la peau.
Une main agile a réussi à se glisser sous mes fesses et un doigt humide m’excite l’œillet. Je me détends et le doigt progresse un peu plus loin dans l’étroit boyau. La langue de celui qui me dévore se fait plus agile ; est-ce lui ou un autre auditeur qui m’excite le bourgeon en même temps. Deux nouvelles giclées de foutre se déversent dans ma bouche ; je déglutis et je bave, une vraie chienne en chaleur !

M se relève, jette par terre la feuille qu’il vient de lire et me redonne le reste pour que je reprenne ma lecture. Il n’y a plus beaucoup de pages à lire, je comprends aussitôt qu’il a envie lui aussi de prendre part à la fête. Je reste allongée mais M tire un peu sur mes jambes pour me mettre les fesses au ras du pouf. Il n’y a plus que trois ou quatre queues qui s’agitent frénétiquement au-dessus de mon corps. Les mains sont donc plus nombreuses à me tripoter ; elles sont toutes gluantes et me donnent un peu l’impression d’être au milieu d’extra-terrestres lubriques et gélatineux.
Cela doit bien faire plus de trois heures que la séance de lecture publique a commencé, je n’ai plus que trois feuilles en main. Celle que je lis relate comment mon mari François et mon marabout monsieur Coulibadou m’ont entraînée un soir dans un foyer pour travailleurs étrangers. J’en ai un souvenir ému ; il faut dire que j’y ai fait la pute toute la nuit pour ces africains qui ont tous laissé leur femme au pays pour aller gagner un peu d’argent dans les entreprises de travaux publics de la région parisienne. « Pendant l’heure qui va suivre, je vais satisfaire tous les inconnus qui vont se présenter. Ce ne sont que des blacks et je fais une cure de belles queues bien grosses et bien dure. Certains me dévorent la chatte, d’autres me caressent longuement le corps, quelques-uns privilégient une position en 69. Quand ils sont bien excités, ils choisissent la pose qui leur convient et je leur offre ma chatte ou mon petit cul en fonction de leurs envies. Comme il y a longtemps qu’ils n’ont pas pris leur pied, ils jouissent assez rapidement mais j’y trouve cependant du plaisir. Deux ou trois, qui doivent certainement se branler tous les soirs, ont été plus endurants que les autres. Ils m’ont bien baisée puis m’ont enculée avec passion. En levrette, bien tenue aux hanches, je suis leur jouet sexuel pour quelques minutes et ils en profitent. Quel bonheur de soulager tous ces mâles ! »

M, accroupi devant le pouf, me saisit les jambes et les lève bien haut pour les poser sur ses épaules. Bien placé dans le compas de mes gambettes ainsi grandes ouvertes, il m’attrape les hanches et s’empale en moi. Le bougre, il est bien gros et bien dur ! Mais excitée et mouillée comme je suis, il n’a bien sûr aucun mal à me labourer profondément.
De nouveaux jets de foutre fusent, sur mon visage, dans mes cheveux ; je dois ressembler à une éponge imbibée de sperme ! La pièce sent le sexe, le foutre, mon parfum de bourgeoise et la sueur de ces mâles ; qui oserait prétendre que le plaisir n’a pas d’odeur !
M me besogne en cadence, deux hommes se sont penchés sur mon buste et me mordille les seins. Je n’ai plus la force de lire ; je jette à terre les deux feuilles qui me restent en main. On en profite pour me remettre une queue en bouche. Tiens, il doit y en avoir un qui a retrouvé la forme !
J’aime n’être qu’une poupée sex-toy dont on peut user comme on veut. Je ne pense à rien, je fais le vide dans ma tête pour mieux me concentrer sur tout ce que ressent mon corps. Mes entrailles vibrent à l’unisson avec ce marteau-piqueur qui me travaille en profondeur. Ma poitrine se durcit et mes tétons se dressent sous ces langues râpeuses qui lèchent mes seins et ces dents qui me mordillent comme de jeunes chiots. Dans ma bouche, j’aime la douce texture de ce gland qui s’agite au rythme de la main branlant cette queue bien épaisse.
Soudain M explose en moi, se répand dans mes entrailles et s’immobilise pour bien se vider. Nul doute que chez lui, lisant mes histoires bien calé dans son fauteuil devant sa cheminée, il a bien souvent rêvé de cet instant en se branlant vigoureusement. Oui, comme il me l’a écrit, j’ai dû en faire couler des litres de foutre. Alors qu’il profite bien de moi en cet instant comme je profite là de lui.

Il doit être minuit trente lorsque le taxi me redépose chez moi. Je n’ai pas remis ma robe ; j’ai simplement enfilé mon manteau. Je n’ai pas la force de prendre une douche avant de me mettre au lit, je suis trop groggy, épuisée par cette soirée. Je jette mes talons aiguille dans un coin, je retire ma lingerie et me glisse nue sous la couette. Des traces de sperme séché se sont formé sur mon corps et mon visage, mais aussi dans mes cheveux ; jolies dédicaces de mes chers auditeurs.

Demain, une fois remise de mes émotions, je n’aurai aucun mal à rédiger et publier une nouvelle histoire sur Xstory. Juste avant de m’endormir, j’en trouve le titre : « Soirée de lecture, soirée de luxure »  …
FIN
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