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Soirées libertines

Chapitre 1

Orgie / Partouze
J’ai quarante-cinq ans et ma patronne 28. Elle est blonde, menue, fragile comme une porcelaine. Moi, je suis une vraie brune, large de fesses et de poitrine. Pour seul point commun nous avons toutes les deux le même tempérament explosif qui a besoin de jouir plusieurs fois par jour. Respectivement insatisfaites par nos maris, on a profité des heures creuses du magasin pour se donner quelques plaisirs dans la cabine d’essayage. C’était bon mais on n’avait pas assez d’aise, on se sentait frustrées. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à nos époux qu’on allait taire de la gymnastique dans un club privé, on est allé taire l’amour dans un petit studio que ma patronne avait loué spécialement à cet effet.
Malgré sa jeunesse elle était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minet à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.
Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Un soir, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J’étais légèrement déçue mais je n’ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m’a présentée et très vite aussi j’ai eu la sensation de devenir une marchandise.
Devant les deux hommes, elle m’a déshabillée en taisant valoir mon corps généreux, ma grosse poitrine et mon postérieur rebondi. J’étais gênée surtout que le mari de ma patronne m’impressionnait beaucoup par sa classe et sa distinction. Heureusement, il n’a pas été long à se débrider, le monsieur. Après m’avoir bien observée sous toutes les coutures, il s’est approché de moi et m’a palpée en connaisseur.
Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s’est enfilé son gode dans le vagin. Elle avait’ un regard tellement lumineux qu’il me taisait presque peur.
Son mari m’a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et le trou du cul. Après avoir eu l’impression d’être un animal, j’ai eu l’impression d’être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l’ami, contrairement à ce que je m’attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, enlisant ses doigts dans ma fente et ’l’approfondissant.
Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris. L’ami a déclaré d’une voix de docteur
— Mon cher Paul, votre femme a raison... c’est une occasion rare ! Elle part au quart de tour et elle huile déjà.
C’est vrai que je mouillais et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard dur et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.
Elle a exigé que son mari s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à m’astiquer le minet. Et elle m’a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirais monter l’orgasme. Je peux paraître forte mais au fond je suis une faible nature.
J’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J’en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemichet et en demandant à leur ami de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.
J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer les queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux, a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.
J’aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n’était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n’avais qu’une envie m’éclater dans un orgasme sans fin. La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j’étais tombée sur des baiseurs infatigables qu’une bonne pipe remettait vite d’aplomb.
Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissant dans son rôle de voyeuse, n’intervenait que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J’ai alors compris que j’étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne était moins lesbienne que moi, ce qu’elle aimait c’était me voir enfiler par ses deux amants.
Je l’ai compris et je me suis dit tant mieux. A mon âge, il faut savoir en profiter.
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