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Le soir où ma soeur m'a réservé une surprise

Chapitre 1

Hétéro
Le mariage d’Hélène et de Marc a été manifestement une réussite et j’ai été très heureuse pour ma sœur, surtout avec tous les ennuis qu’elle a eus à la maison avec papa et maman. Nos parents étaient furieux quand elle leur a appris avec qui elle se mariait. Et comme j’étais l’aînée, ils ne cessaient de me citer en exemple d’harmonie conjugale et de bonheur parfait. (bien que ma vie soit en réalité faite d’ennui et de frustrations).
Ils se sont plaints qu’il avait les cheveux longs, qu’il était écrivain, qu’il serait incapable de lui assurer le mode de vie auquel elle était habituée, c’est-à-dire une villa de banlieue sans doute confortable, mais terne au possible. Et voilà qu’Hélène vit dans un appartement fabuleux, avec des murs blancs, des moquettes blanches, des poufs noirs et un éclairage baroque, presque magique...
Papa a usé de tous les arguments habituels et ceux-ci ont eu l’effet habituel ! Ma sœur et Marc ont trouvé cet appartement paradisiaque et se sont mariés tranquillement à la mairie.Georges et moi fûmes le premier couple qu’ils invitèrent à dîner. Et quel dîner ! Je ne savais même pas qu’Hélène pouvait faire la cuisine.
— Ce repas était merveilleux, m’écriai-je au dessert, en dégustant le dernier de mes biscuits au cognac.— C’est Marc qui a fait la cuisine, répondit ma sœur avec un air de fierté. C’est l’homme le plus merveilleux du monde, il fait tout tellement bien !
Elle avait une sorte d’adoration dans les yeux qui me fit presque rougir.Je regardai Marc de l’autre côté de la table. Il enfonçait une langue agile et rose dans la crème chantilly, faisant monter la mousse dans sa bouche. Le tableau était tellement érotique que je vidai les dernières gouttes de mon vin blanc glacé d’une seule traite, tentant de dissimuler les émotions confuses qui montaient en moi.Il était vraiment beau. Ses longs cheveux encadraient un fin visage de statue et ses yeux sombres semblaient contenir toutes les émotions humaines : passion, tristesse, bonheur, compassion, douleur. Il portait une sorte de djellaba en coton qui ne cachait pas grand-chose de son corps nu. Quand il marchait, le tissu léger lui collait aux membres.Je jetai un regard vers Georges. Il avait l’air raide dans son costume bleu marine et sa chemise lavande.Hélène me chuchota à l’oreille :
— Marc travaille dur. Il lui arrive encore d’écrire jusqu’à deux ou trois heures du matin. Mais ça n’a aucune importance, il raffole toujours du sexe.
Il me réveille et c’est formidable. Je suis tout endormie et chaude et prête.
— Tais-toi, répliquai-je brusquement, tu me donnes des envies.
Marc s’approcha et se coucha sur le ventre en face de nous.
— Puis-je connaître l’objet de vos commérages ? demanda-t-il.

Nous ne pouvions pas le lui dire. Nous nous mîmes à glousser comme deux écolières poussées en graine. Il nous tendit une boîte dorée de bonbons qui se trouvait sur la table basse.
— Je ne pourrais rien manger de plus honnêtement, protestai-je.— Vas-y, insista Hélène, ce sont des bonbons très spéciaux, faits à la main, pleins de miel, de noisettes et d’autres ingrédients inattendus.
En articulant le mot, elle baissa le ton et chuchota :
— Ils sont aphrodisiaques.
Hélène et moi nous écroulâmes de rire. Georges nous rejoignit près de la boîte à bonbons. Il sourit d’un air pas sûr de lui, ne sachant pas ce qui nous amusait tant.Hélène et moi sucions les bonbons, ils étaient délicieusement érotiques. Environ une demi-heure plus tard, une sensation agréable de chaleur et de désir commença à monter en moi en partant des jambes, comme des ondes à la surface d’un étang.
Marc m’observait de près. Ses yeux sombres pénétraient jusqu’au fond de moi et sa bouche appelait la mienne. Avant de vraiment savoir ce que je faisais, je rampai vers lui, comme une pénitente rendant hommage à quelque divinité offensée.
Il tendit les bras vers moi. Je me souviens vaguement d’Hélène et jetai un coup d’œil vers elle. Elle sourit et hocha la tête. La situation me rappelait le temps où nous étions gamines, quand nous partagions tous nos jouets.
Je tombai dans les bras de Marc. Son corps était dur et viril sous le fin coton. Il me serra contre lui ; il était protecteur, rassurant.Je pensai : » Pauvre Hélène. Elle n’a pas la meilleure part dans cette affaire. Georges va rester assis là, comme un mannequin, moitié embarrassé, moitié pompeux ». Je regardai à nouveau de leur côté et... ne pus en croire mes yeux.
Hélène était couchée sur le dos, sa jupe remontée jusqu’au-dessus des seins. Georges était couché près d’elle. Il était nu. Sa verge avait l’air plus grosse que je ne l’avais jamais vue.Il se pencha pour l’embrasser entre les cuisses, une chose qu’il ne m’avait pas faite depuis notre lune de miel. Ses mains remontèrent pour saisir les seins fermes d’Hélène et en caresser les mamelons, les frottant, les pinçant, dessinant de tendres cercles autour des pointes dressées. Hélène secouait la tête de droite à gauche, la bouche ouverte. Je les contemplai, incapable de détacher mes yeux de cette scène fantastique : mon mari menant une autre femme au sommet de l’extase.
Hélène arrivait à l’orgasme. Je sentais la même jouissance m’envahir, et, quand elle cria de jouir, j’en fis autant.Marc me prit la tête entre ses mains douces et me retourna vers lui.
— Souris, me dit-il. Sois heureuse. Le sexe est quelque chose de joyeux.
Il avait raison. J’étais heureuse, délicieusement heureuse et j’adressai un sourire à ses yeux extraordinaires.
— Enlève tes vêtements, m’ordonna-t-il d’une voix calme.
Je ne ressentis aucune gêne à me débarrasser de chaque pièce. Il s’était reculé et suivait avec attention tous mes mouvements.
— J’adore les seins aux bouts saillants, me dit-il. Tu as les plus beaux tétons que j’aie jamais vus.— Ils sont embarrassants, dis-je avec un soupir, en croisant les bras sur ma poitrine. Ils sont toujours dressés.— Merveilleux, chez une fille sexy, ils le sont toujours.
Je me demandai pourquoi Georges ne l’avait jamais remarqué.Marc tira sa tunique par-dessus sa tête. Je fus surprise de voir qu’il ne bandait pas. Il se mit sur les genoux et m’attira vers lui.
— Ouvre tes jambes me dit-il, je vais t’embrasser à fond.
J’eus un petit frisson de délice et me mis debout devant lui, les jambes bien écartées. Il leva la tête. Ses longs cheveux chatouillèrent la peau de l’intérieur de mes cuisses. Ses doigts écartèrent mes lèvres extérieures et brusquement, sa langue fut là, me lapant avec douceur.
Ma tête se renversa en arrière pendant que je jouissais de cette sensation merveilleuse. Je n’avais jamais rien ressenti de tel.Sa langue pénétra plus avant, s’enroula autour de mon clitoris. C’en était trop. Mon cœur battait quelque part dans ma tête et je me sentis soulevée, vague après vague, par un orgasme qui semblait ne jamais devoir prendre fin.
Finalement, je fus à la crête de la plus grosse lame et son volume était tel que je fus heureuse de retomber dans le creux.Je n’avais jamais éprouvé une telle satisfaction. C’était presque magique. Des spots multicolores brillaient sur nos corps en sueur et rehaussaient la magnificence primitive et animale de la scène.Mes jambes faiblirent et je me laissai choir à côté de Marc. Je jetai un coup d’œil vers Hélène et Georges. Leurs corps étaient mêlés comme deux cordes nouées, ils ondulaient et roulaient sur les coussins moelleux.
Ce n’était pas mon Georges. Ce ne pouvait pas être lui. L’homme qui se tournait de l’autre côté en disant qu’il avait eu une rude journée au bureau quand j’esquissais une invitation amoureuse ?Marc se coucha sur le dos. Je l’embrassai goulûment sur la bouche, poussant avec force ma langue entre ses dents. Je goûtais ma propre salive, je sentais la frénésie sexuelle me dévorer.Il bandait maintenant. Sa verge émergeait des poils comme un chêne de la mousse. Je me courbai pour l’embrasser, le couvrant de longs baisers humides, enveloppant la fière tête de caresses sans fin.Ma main glissait avec facilité tout le long du superbe organe tandis que je léchais tendrement ses testicules durs et fermes. Je les prenais avec douceur dans mon autre main, les caressant comme des fruits.
Il m’attrapa par les épaules et m’étendit sur le dos. Cette fois, il n’eut pas besoin de me demander d’écarter les jambes. Je les ouvris largement, poussant mes genoux vers l’extérieur.Marc s’assit sur les talons devant moi.
— Je t’en prie, balbutiai-je. Viens, entre en moi. J’ai besoin d’être remplie, il y a un vide en moi qui t’attend...
Je distinguais à peine, dans le lointain, Hélène et Georges relaxés et heureux, dans les bras l’un de l’autre. Je pouvais entendre la douce respiration de leur désir comblé.Marc plongea en moi, le vide fut rempli. Ma tête roulait sur elle-même. Je sentis tout de suite l’orgasme monter en moi, lentement et délicieusement comme une chaude brise d’été.J’arquai le dos, le poids de Marc n’était rien, c’était un fardeau naturel et agréable. Il grogna de plaisir en pénétrant mon corps offert. La jouissance me faisait crier. Je me soulevai encore plus vers lui, me pressant contre sa puissance.Le va-et-vient rythmé de son corps dans le mien était comme celui d’un piston géant. La poussée se fit de plus en plus rapide jusqu’à ce qu’enfin, épuisés, nous nous écroulions sur le tapis de coussins.Il me sourit :
— Est-ce que le sexe est quelque chose de joyeux ?— Oui, le sexe est quelque chose de joyeux, répondis-je dans un souffle.— Nous recommencerons ?— Encore et encore et encore...
Plus tard, beaucoup plus tard, lorsque mon mari et moi revînmes en voiture à notre banale maison de banlieue, le souvenir de la soirée avait pris un aspect irréel, comme un rêve.
— Un dîner agréable, dit Georges. J’aime bien ce vieux Marc. Un peu bizarre, mais un chouette gars tout de même.
Il se gratta le nez en dépassant une autre voiture. C’était un tic qui m’énervait toujours. Son flegme était parfait.N’avait-il pas vraiment remarqué que le dîner, en plus d’être agréable, avait aussi été un peu inhabituel ?
— J’espère qu’ils nous inviteront de nouveau, Hélène fait drôlement bien l’amour, continua-t-il, elle pourrait te donner quelques tuyaux. Tu devrais parler avec elle de temps en temps.
J’aurais pu l’étrangler !
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