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En soirée...

Chapitre 1

Gay
Bonjour, je me présente, je m’appelle Maxime, j’ai 17ans et je vis encore chez mes parents. Je suis petit et mince, plutôt mignon avec de jolies fesses féminines. Je n’ai jamais été attiré par les hommes, je suis exclusivement hétéro, cependant il m’est arrivé de regarder les bosses aux entrejambes de garçons de mon age.
  L’histoire que je vais vous raconter commence un samedi soir, qui semble normal mais qui va être très spécial.  Comme beaucoup de jeunes de mon âge je vais faire la fête ce soir et je me suis préparé méticuleusement, sans oublier le moindre détail, rasage intégral, parfum et tout ce qui va avec pour séduire les fille autant dans le lit qu’en dehors, car nous avons décidé que nous finirons tous la soirée accompagnés.  La soirée ou je vais est dans une boite un peu spéciale, ou il y a des gens de tout âges, une majorité de jeunes évidemment mais aussi des trentenaires et même parfois des retraités fêtards !
  Je suis avec deux amis et nous y arrivons vers minuit, on gare la voiture puis nous entrons dans la discothèque. Il y a beaucoup de monde, la musique est forte et l’alcool coule à flots, telle est la première impression, qui est d’ailleurs la bonne. On ne se fait pas prier et filons droit au bar pour commander des boissons alcoolisées. Un Vodka-Redbull pour moi, je veux être touché ce soir, me bourrer la gueule ! De toute façon je ne conduit pas je suis trop jeune. Alors autant en profiter !
  Je finis mon premier verre et en commande un autre, que je bois aussi vite que le premier. N’en ayant pas assez, je commande cinq shooters que je m’enfile un par un cul sec ! Un type sur ma droite me regarde avec un sourire en coin. Il est rondelet mais semble costaud, il dois avoir plus de soixante ans car sa barbe et ses cheveux sont entièrement blancs. Je lui rend son sourire puis m’en vais danser avec mes amis.
  Au bout de quelques minutes je sent que l’alcool fait effet, mes sensations sont atténués, je me sent plus léger et j’ai du mal à me concentrer. Je repère une fille, très belle blonde avec un corps de rêve, le genre de filles qu’on voit dans les magasines de beauté. Je décide d’aller danser avec elle. Je remarque qu’elle est très éméchée à sa manière de bouger, elle n’a aucun équilibre et bouscule beaucoup de monde autour d’elle. Je profite de ce prétexte pour l’accoster et l’imite pour la faire rire. Ca marche et elle s’approche pour danser avec moi. Elle danse sensuellement en se collant a mon corps bien qu’elle me bouscule souvent à cause de son manque d’équilibre. Je me dis que ce soir j’ai vite fait de trouver ma cible et l’invite à boire un verre de plus.
  On va s’asseoir au bar et on se crie dans les oreilles pour communiquer. L’alcool la fait beaucoup parler et je fais semblant de l’écouter et de m’intéresser à ce qu’elle dis bien qu’en réalité je suis de plus en plus touché par les verres que j’ai bu. Mes capacités de concentrations sont de plus en plus réduites, je commande un verre de plus. Je porte de moins en moins d’attention à ma blonde et je regarde autour de moi. Le vieil homme est encore là et me regarde intensément. Je l’ignore et propose a la fille d’aller fumer dehors, ce qu’elle accepte avec un grand sourire.
  Nous sortons donc de la boite et allons nous asseoir sur un banc dans l’obscurité. Je sors mes cigarettes et je la voit chercher quelque chose dans ses poches. Quelques secondes après voilà qu’elle me tend un pochon de weed. Je ne sais pas d’ou elle sort ça mais j’accepte et je me met à rouler le joint. On fume et l’euphorie nous prend, on rigole pour un rien et accumulé aux effets de l’alcool je suis vraiment éclaté ! Nous retournons dans la boite, désormais aussi défoncés que bourrés et nous filons sur la piste de danse. Je ne pense plus, je ne réagis plus quand les gens me bousculent, je suis dans un autre monde, même la blonde ne m’intéresse plus, tout ce que je veux c’est danser jusqu’au bout de la nuit.
  Tiraillé par l’envie de reprendre un verre je me rend encore une fois au bar, et je me commande encore un autre verre. Le serveur me sert et réclame l’argent. Je commence à fouiller dans mes poches, chose peu aisée lorsqu’on est dans mon état mais voila que quelqu’un paye le serveur à ma place. Je regarde qui c’est, et c’est encore cet homme à la barbe blanche qui me souris.
  Dans mon état actuel, je n’ai plus de réflexion, je suis euphorique et mes moments de lucidité sont inexistants, en résumé je ne me contrôle plus et c’est tout juste si je m’en souviendrais demain. Je lui rend donc un sourire éclatant et je me met à rire avec lui sans aucune raison. Je bois mon verre et il m’en commande un autre, la discussion est difficile car il doit sans cesse se répéter soir parce-que je n’entend pas, soit parce-que je ne comprend pas. Il me propose donc de finir mon verre dehors, et se dirige vers la sortie, je le suis sans comprendre tel un chien derrière son maître. Une fois dehors on parle plus tranquillement et il se répète moins, il ne parle que de moi, me demande ou j’habite, si je vis chez mes parents, si j’ai une petite copine, si je suis hétéro, si ceci si cela... La discussion dérive lentement vers le sexe, il me pose désormais des questions très intimes, du genre la taille de mon engin, ou encore comment j’aime baiser.
  Je répond sans réfléchir, mon état ne me le permet pas, ainsi il a toutes les informations qu’il veut et il va même jusqu’à me faire avouer que desfois je regarde l’entrejambe de mecs. L’alcool commençant un peu à s’estomper, je reprend mes esprits et je veux retourner dedans. Nous retournons donc à l’entrée mais le videur refuse de nous laisser entrer car l’heure de fermeture approche. Le vieil homme propose de me racompagner mais je refuse expliquant que je ne pouvais rentrer chez moi à cette heure ci et dans cet état. Il me demande donc si je sais ou dormir et je lui répond honnêtement que non, je n’en ai aucune idée. C’est ainsi qu’il me propose de venir chez lui, il me dis qu’il habite à deux pas. Nous commençons donc à marcher.
  Je remarque en effet qu’il n’habite pas loin, on à tout au plus marché cinq minutes et nous voilà devant chez lui, il ouvre la porte et m’invite à entrer. Il entre à ma suite et me dépasse pour me guider vers son salon ou il me fait m’asseoir.   Il s"éclipse quelques instants puis je le vois revenir avec une bouteille d’alcool. il me sert encore un verre et reprend la discussion.
  Il me demande Pourquoi les hommes ne m’intéressent pas, pourquoi je me refuse à essayer de nouvelles choses et tout. Ce genre de questions qui m’aurait alarmé si j’avais été dans mon état normal, mais là je suis dans un état secondaire et je suis prêt à tout, tellement tout que lorsqu’il m’à proposé d’essayer, au moins une fois, je n’ai pas osé répondre et il a du prendre ça pour un oui car il s’est approché et s’est mis à m’embrasser. me léchant les lèvres et en me caressant par dessus mes habits.
  Ne réalisant pas ce qu’il m’arrive, et succombant à la douce sensation de ses lèvres sur les miennes et de ses mains désormais sur ma peau, mon t-shirt ayant volé au travers de la pièce, je me laisse faire et m’offre même un peu plus à lui en m’allongeant sur le canapé, lui permettant ainsi de défaire mon jean et de me le retirer après mes chaussures et chaussettes.
  Je suis donc désormais nu, et lui aussi se déshabille, il se penche sur moi et m’embrasse. Je peux sentir sur mon ventre le poids d’un membre sans doute hors du commun. N’ayant toujours pas conscience de la situation et l’excitation aidant, je descend mes mains à son entrejambe et tâte le steak. Il est en effet très imposant, si imposant que je ne peux en faire le tour avec ma main et dois bien faire mon avant bras en longueur. Je remarque aussi qu’il est rasé de près et c’est très agréable au toucher.
  L’homme me passe au dessus, emmenant son sexe à ma bouche que j’ouvre pour qu’il rentre. Je commence par lécher le tour du gland puis j’entame les mouvements de va-et-viens le long de ce membre qui gonfle encore plus dans ma bouche. Je m’applique comme si ma vie en dépendais et lui masse les couilles avec ma main en même temps. Je l’entend souffler et je le sent donner de légers coups de bassin pour me faire aller plus loin le long de sa hampe. Sa verge touchant ma glotte je commence à avoir des haut-le-coeur et stoppe tout. Comprenant mon problème, il s’éclipse et réapparaît quelques instants après avec une sorte d’inhalateur. Il me fait inhaler son produit puis me remet la pine en bouche et recommence les mouvements. Cette fois-ci je ne ressent pas les haut le coeur, je sent la verge passer la glotte et pénétrer dans ma gorge, me faisant un peu mal mais sans plus. Maintenant j’ai les boules qui viennent taper sur mon menton au rythme de ses allers-retours. Il va de plus en plis vite et de plus en plus fort, il sort souvent de ma bouche pour me laisser respirer, j’ai de la bave partout j’ai les yeux qui pleurent mais j’en redemande à chaque fois qu’il sort, je laisse la bouche ouverte et je tire la langue pour l’inviter à revenir me pénétrer la gorge.
  Là, il est à fond, il viole littéralement ma gorge, ne sortant presque plus pour me laisser respirer, je sens sa queue plus dure que jamais et je devine l’éjaculation imminente. En effet quelques secondes après, il enfonce sa bite tout au fond de ma gorge, je sens son engin se contracter plusieurs fois et un liquide chaud viens couler au fond de ma gorge. Il ressort sa bite, et d’autres jets de spermes viennent éclabousser mon visage. Je ferme les yeux et garde la bouche ouverte pour en avaler un maximum. Une fois toute la semence sortie, j’entreprend de nettoyer la verge du sperme restant, me délectant ainsi des dernières gouttes de ce délicieux nectar.
  Cependant, selon mon homme, mon initiation ne fait que commencer, avec sa main droite il m’essuie le visage et de son autre main il me fait mettre à quatre pattes, bite en bouche pour le revigorer pendant qu’il m’étale le foutre sur l’anus en faisant de petits mouvements circulaires. Petit à petit, je sens les muscles de mon cul se détendre, mon baiseur parviens à faire entrer un doigt et fait de lents mouvements pour que mon anus se relâche.   Je le vois attraper du gel et je sent un truc froid sur ma rondelle. Il l’étale et re-rentre son doigt plus facilement, tellement facilement que j’en sent même un deuxième me pénétrer.
  Le vieux remet un peu de gel puis fait passer un troisième et un quatrième doigt, ces quatre doigts qui bougent en moi provoquent chez moi un plaisir inédit, je n’ai jamais ressentis une chose telle ! Je comprends enfin l’expression "monter au septième ciel" . Il se retire, m’attrape par le menton et m’embrasse, je dois avoir l’air d’une chienne comme ça : nu, à quatre pattes sur le canapé en train d’embrasser un mec qui branle une queue énorme ! Mais bizarrement ça ne fait que m’exciter plus, je me laisse encore faire quand il m’allonge sur le dos, maintenant mes jambes en hauteur et présentant son sexe à mon anus.
  Je sent son gland à l’entrée de mon orifice qui s’appuie, le passage s’ouvre a lui petit à petit, ma rosette s’écarte pour laisser passer cet invité imprévu mais tant désiré ! Le gland passe et la hampe glisse jusqu’à que je sente ses boules contre mes fesses, m’indiquant que mon trou a entièrement avalé son membre.Je me sent rempli, il entame doucement les va-et-viens et c’est comme si un immense serpent me visite, je sent sa bite coulisser de plus en plus vite dans mes intestins, il augmente la cadence un peu plus chaque seconde mais sans que je sente jamais quelconque douleur, juste du plaisir, un plaisir intense qui me rapproche de la jouissance un peu plus a chaque mouvement.
  Je finis par jouir, il ne m’a même pas touché que je gicle de longs jets de sperme sur mon torse et mon ventre, je vois des flashs blancs et je m’abandonne complètement au plaisir qu’il me donne. Les contractions de mon cul doivent lui faire effet, car quelques instants après ma jouissance, je sent qu’il jouit de nouveau, cette fois ci dans mes entrailles, tapissant mes intestins de foutre, me défonçant plus que de raison, obnubilé à ce moment par son plaisir et uniquement le sien.
  Une fois la jouissance passée, il se retire, je sent sa longue bite ramollie sortir, le gland passe et du sperme coule, salissant son beau canapé en cuir. Il l’ignore, se lève et viens me présenter sa verge toute juste sortie de mon anus pour que je la suce, ce que je fait, je la ravale et l’astique jusqu’à qu’il n’y ai plus la moindre trace de foutre ou autres substances.
  Maintenant, je n’aspire plus qu’a une chose : dormir, je veux dormir. Je ferme donc les yeux et sombre quasi-instantanément dans un profond sommeil...
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