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Soirée à 4

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Je prends vos mains libres vous fait changer avec celles sur moi et fait poser les libres sur les fesses l’une de l’autre. J’approche ma tête des vôtres, et vous chuchote : Pénètre ma poupée, et elle fera la même chose sur toi. Tu serres plus fort mon entre-jambe d’excitation, et mets ta main dans la même position qu’elle, prête à calquer tous ses mouvements. Ce qu’elle commence à faire immédiatement. Elle commence par des caresses douces, mais franches, décidé. Et se retrouve très vite dans la région de ton anus qu’elle se met à explorer, puis te pénétrer. Elle en veut ! Tu fais pareil qu’elle, et la prend d’un coup ! Elle est toujours excité, car de suite elle gémit, j’en profite pour l’embrasser à pleine bouche et répond à mon baiser car là elle n’est que désir et plaisir. Je l’embrasse, elle te prend de plus en plus les fesses. Elle fait pénétrer un second doigt, et tu fais de même. Je l’empêche de gémir via mon baiser. Puis la jugeant trop près de jouir, je lui dis que son homme est seul et s’ennuie et que si elle veut profiter de toi, elle va devoir le finir une première fois, pour avoir du temps pour moi, et toi. Elle me regarde, enlève ses doigts à regret, et me demande ce qu’elle doit faire. Elle n’a pas lâché mon sexe, et continue de me branler, et toi tu joues avec son sein lui montrant que tu l’attends. Commence par le sucer, puis empale-toi sur lui, tourné vers nous. Je la maintiens contre moi et lui dis tout doucement pour que seul toi, elle et moi le sachions :Empale toi analement, fais le jouir avec ton cul, dis-lui qu’il est en train de t’enculer, dis-lui si tu aimes, si tu en veux plus, demande lui si il aime, lâche toi !Elle me regarde, ne sachant apparemment pas comment le faire, ou n’osant pas. Tu la prends dans tes bras et l’embrasses. Elle n’a pas envie de sortir de tes bras, ça fait bien longtemps qu’elle et son mari ne savent plus comment se faire plaisir. N’ose plus parler. Tu me regardes, avec une muette supplication dans les yeux. Je sais ce que tu aimerais que je dise, plusieurs fois je te l’ai refusé déjà. Mais ce n’était pas dans ces conditions. Regardez-moi que je vous dis à toutes les deux. Elle lève son regard vers moi, et je te dis : aide là, mais sachez toutes les deux que vous devrez vous rattraper ET me remercier. Je souhaite les diriger. Je t’entends dire ça, et te répond, ce n’était pas suffisant que tu les aides ? Tu seras très très remercié me promets-tu, de toutes les deux. S’il te plait. Je réfléchis quelques secondes, tu penses que je ne vais pas accepter, mais j’ai compris ton raisonnement, ils ne sauront pas le faire si on ne leur dit pas quoi faire, comment et qu’on les encourage pas. Je la regarde alors, et lui demande de me servir un verre. Je te regarde et accepte ta demande. Mais je dis qu’elle commencera par me tailler une pipe quelques minutes pendant qu’il te caresse. Tu me jettes un regard de défi. Elle me suce, vous devez vous rattraper sur moi, et beaucoup me remercier. La nuit va être longue, tu le sens, mais qu’on te force à obéir et subir te plait. Elle a entendu nos propos. Elle sait ce qu’elle va devoir faire, mais elle est excité par tes actions, et par le fait qu’elle ne va pas être seule avec son mari. Et avec la prévenance que j’ai pour elle depuis le début, elle n’a aucune peur envers moi, bien au contraire. Elle a elle-même des raisons de me remercier. Alors elle vient se blottir contre moi, puis se laisse glisser jusqu’à devant mon sexe. L’embrasse, le prend en bouche et commence de lent mouvement en allant de plus en plus loin, le prenant de plus en plus en bouche. Je te fais un signe, te montrant l’homme, seul. Tu te rapproches de lui, te colle contre lui et lui dit : A part me pénétrer avec ta queue, tu peux me faire tout ce que tu veux !
Le mari tressaille, il en a envi. La femme l’entend aussi, je le ressens, elle a marqué une pause, mais s’est repris et continue de plus belle. Les mains de l’homme parcours ton corps, avec un peu de maladresse, et d’envie, d’impatience. Il manque d’habitude de donner du plaisir à une femme te dis-tu. Alors qu’elle ne demande que ça en pensant à sa femme. Tu sais quoi faire. Tu te mets face à lui à califourchon sur ses cuisses. Tu luis demandes d’en faire plus, de plus te caresser, pendant que tu le branles, de profiter de toi, de pas faire attention à toi. Il serre tes seins, trop fort. Il pince tes fesses sans retenue, pareil pour la claque que tu viens de recevoir. Tu lui prends les mains, les posent sur tes seins, et à l’oreille tu lui dis :Les gestes ne sont pas mauvais, mais le manque de douceur tue tout quand ce n’est pas fait au bon moment. Il se raidit. Sa femme n’a jamais osé lui dire.Tu lui fais refaire les même gestes, mais en dosant la force, lui disant quand avoir plus de force quand il hésite, et quand ne pas en avoir, juste la caresse. Bien mieux tu lui dis, puis tu l’embrasses. Ta femme arrive, sont tes derniers mots du moment envers lui, car tu sens ma main sur toi te signalant de t’enlever. Tu me regardes je te montre le bandeau de la femme. Tu hésites, le prend mais le pose de côté. Après te dis-tu. Tu fais s’assoir la femme à côté du mari, mais à genoux sur le canapé, et toi en face, même position. Tu dis à la femme, on fait les mêmes choses. Avec un sourire et un clin d’œil complice. Tu as remarqué qu’elle savait y faire mais pas avec son mari. Alors tu commences par l’embrasser elle, tendrement. Puis te mets contre le mari. Vous posez une main sur une cuisse du mari, et la caressez toutes les deux, en même temps, et remontez doucement vers son sexe. Vous jouez à le frôler plusieurs fois pour faire encore monter la pression. Puis tu t’abaisses vers son sexe, le prend en bouche, fais deux trois mouvements et te retire pour que sa femme fasse pareil. En te regardant elle le fait. Quand elle va s’enlever, tu maintiens sa tête pour qu’elle continue, et tu la rejoins, en embrassant et prenant en bouche ses testicules, en les suçant. L’une après l’autre, et en embrassant parfois son sexe lorsque sa femme est en haut de son lent mouvement de fellation. Parfois tu l’embrasses, elle et le mari sent que vos lèvres se rejoignent se touchent, se caressent puis recommencent à lui donner du plaisir. Tu vous fais arrêter, et les fait s’embrasser. Tu prends une main de la femme, et lui fait branler son homme. Tu prends une main de l’homme et le fait caresser sa femme. Tu fais attention à ce que les gestes de l’homme soit doux quand il le faut, et plus ferme au bon moment, pendant que tu continues de lui tailler une pipe pendant qu’elle le branle. Tu sais que c’est plus excitant pour un mec de se taper deux nanas, tu joues là-dessus justement, tu veux que leur monter du plaisir soit fulgurant, pour avoir le plus de temps possible avec la femme. Aussi, recommences-tu à caresser et pénétrer la femme pendant que tu suces le mari, et tu t’assures qu’ils sachent tout les deux que tu en suces un, pénètre la femme, et les encourage à le faire avec passion. Tu sens le mari qui s’excite par ses gestes, la femme qui a du plaisir car elle accélère le mouvement. Bien tu te dis. Puis tu sens mon doigt. Par surprise je suis venu derrière toi. D’un coup, il pénètre, tu te retiens de crier. Puis tu sens un jouet... L’Œuf... Je le mets en toi. Et le lance à fond, directement, sans prévenir. Tu cries et a un soubresaut. Tu étais en train faire rentrer un second doigt dans le vagin de la femme, tu te retrouves au plus profond d’elle lorsque tu as eu ce soubresaut. Elle crie de plaisir. Serre plus fort le sexe de son homme qui croit que c’est ses caresses la cause de ce plaisir. J’arrête l’œuf, et te remet la tête pour que tu continues de sucer. Je vous laisse continuer comme ça, mettant l’Œuf en route de temps en temps, à force variable. La femme commence à être bien partie. De plus, tu as arrêté de la pénétrer vaginalement pour l’analement, afin de la préparer à ce que j’ai demandé. Tu sais que l’homme ne sera pas un problème, c’est qu’un homme... Alors les fais s’arrêter, tu prends les mains de l’homme, et le fait vous caresser toute les deux.Il commence par la poitrine, descend très vite sur votre sexe, le caressant, pinçant vos clitoris, un doigt prêt à rentrer en vous. Tu es, parmi vous trois la seule sans bandeau, tu juges leur état. C’est assez, on va le finir. Tu préviens à haute voix que vous allez changer de position. Et l’homme qu’il va avoir plus de plaisir et jouir. Il ne sait pas comment, avec qui mais ça va arriver. Tu le fais se redresser, lui mets les mains dans le dos, lui écarte les cuisses. Tu viens à côté de la femme, la caresse, lui prends le visage entre les mains, l’embrasse, et la mets à lui tailler une pipe, toute seule. Tu caresses la femme, et joue avec son anus, après tout le mari est bien bâti et tu n’as pas envie qu’elle ait mal, afin de mieux profiter d’elle après. Alors pendant qu’elle suce, tu lui remets deux doigts. Pendant que tu lui prends les fesses, la femme bouge à ton rythme, et le suce de la même façon, au rythme où tu la prends. Tu t’apprêtes à leur faire remarquer, à leur dire, à ce que le mari parle pendant qu’il se fait sucer. A fond, l’œuf, encore une fois. Tu gémis de plaisir, et l’encule plus fort, du coup elle prend son homme d’un coup en bouche et ne bouge pas, car tu es toujours au plus loin en elle. Puis vous recommencez à bouger. Tu as mon doigt sur tes lèvres pour que tu ne parles pas. Tu me regardes avec un air suppliant, mais je te tends les boules de Geisha que tu connais si bien. Ce ne sont pas les tiennes, mais le même modèle. Tu les as conseillés à la femme la semaine dernière. Je te montre la femme et te chuchote dans le vagin, et ne mets pas en route, attend qu’ils soient bien partit tous les deux. Doucement tu retires tes doigts, lui caresse le sexe, la vulve, rentre délicatement un doigt, puis place la première boule. Elle est surprise, elle sait qu’on vient de lui mettre quelque chose, mais s’en est pas servi. Tu mets la seconde. Elle sait ce que c’est maintenant mais n’a pas fait attention à tout quand elle les a achetés en ligne. Elle n’a pas fait attention que c’est vibrant... Et que tu t’en serviras au moment opportun. Tu les juges prêt. Tu la relèves, l’embrasse, et lui dit, finit le, et nous, c’est lui qui va nous finir en me montrant. Tu la relèves, la fait s’asseoir sur son mari, ses genoux sous elle. Tu déplaces la ficelle pour qu’elle te soit facile d’accès, sans qu’elle s’en aperçoive, ainsi que l’interrupteur. Tu prends en main le sexe de l’homme, place la femme. Il est devant son anus, plus que prêt à prendre tout ce qu’on mettra devant sa bite. Tu me regardes pour voir si ça peut commencer, je te fais signe que non. Dis-lui ce que tu vas faire. C’est ce que je dis à la femme. Elle me regarde, se redresse un peu en s’aidant de ses mains comme appuis, et lui dit : je vais m’enculer sur toi. Prend moi, prend moi fort. Le mari est excité en entendant ça, il va pour la prendre mais tu l’arrêtes : Elle va s’empaler sur toi, laisse la faire, laisse la se placer, tu verras après.Alors doucement, la femme descend, faisant pénétrer le sexe dans son anus. Elle fait quelques mouvements, se replace à sa convenance. Elle est jambe écarté devant toi, tu as son sexe à quelques centimètres devant ta bouche, vous vous regardez, puis elle commence à vraiment bouger pour se donner du plaisir. Alors tu commences à la lécher. Doucement, tu suis son rythme. Tu l’entends qu’elle commence à prendre plaisir, tu sais pourtant que c’est fatiguant comme position et qu’il faudra que l’homme l’aide. Mais pour l’instant elle bouge seule, et arrive parfaitement à se donner du plaisir. Tu continues à la lécher, puis tu sens que je t’attire en arrière, à regret tu me suis, tu aimerais tellement t’occuper d’elle... Ma main va sur tes seins, ils sont pleins d’envies, pointent autant qu’ils peuvent, je prends un malin plaisir à jouer avec. Ça t’excite d’autant plus. Surtout que tu sais que je fais exprès.
La suite bientôt ...
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