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Soirée barbecue

Chapitre 1

Hétéro
Soirée barbecue
22 Août. La direction du centre de vacances dans lequel je suis embauché comme cuisinier nous offre une demi-journée de détente. Il nous propose une randonnée en forêt à la découverte de la faune et de la flore ou navigation sur le lac en pédalo. 
Mais il y aussi une activité plus dynamique. Faire le parcours sportif avec escalade d’une paroi de trois mètres, ramper sous des rondins de bois alignés sur le sol, marcher sur un pont en corde suspendu. Pour finir, une descente en tyrolienne. 
Nous voilà donc tous en route. Il y a dans le groupe le personnel de salle, de chambres et de cuisine. Et particulièrement une jeune femme d’environ trente ans. Le teint mat, les cheveux mi-longs noirs, un visage fin toujours souriant et un corps à ravir. Elle s’appelle Naïma. 
Nous avons tout de suite sympathisé tant sur le plan professionnel que personnel. Mais jusqu’à maintenant, nous gardons nos distances et avons une relation amicale, même si parfois nous discutons de sujets plus personnels, plus intimes. Je croise de temps en temps son regard lors de nos repas en salle commune, nous sommes parfois proches. J’ai envie de la toucher, de l’embrasser.
Une fois sur place je décide de faire le parcours sportif, d’autres personnes se joignent à moi. Je souhaite intérieurement que Naïma se décide de venir avec nous. Ce qu’elle fait à mon grand soulagement. Ce jour-là elle porte un pantalon cycliste court noir et un débardeur qui lui arrive au-dessus du nombril. 
Je peux encore une fois admirer son corps. Ses fesses rebondies laissent apparaître la raie des fesses profonde où disparaît son pantalon. Et le reste est tout aussi charmant. Des seins ronds, gros avec les tétons qui pointent sous le tissu, je reste sans voix.
— Bon... on y va, lance une femme du groupe.
Avant de partir on nous donne les recommandations de sécurité. Puis nous commençons le parcours. Je reste à l’arrière du groupe, non pas que je sois un retardataire, mais surtout pour mater le cul des filles et celui de Naïma. Quand elle marche je vois ses fesses qui bougent en cadence, qui se frottent l’une contre l’autre. Mon regard est comme soudé à son postérieur.
— Sympa... me dit Xavier en souriant et en hochant la tête vers Naïma.— Oui... vraiment très sympa... dis-je.
Nous continuons le parcours pour arriver devant la paroi. Là encore je ne peux détacher mon regard de ses fesses, surtout lorsqu’elle écarte les jambes pour prendre appui et se hisser jusqu’en haut. 
Tout le long du parcours je fais en sorte d’être proche d’elle, mais sans jamais venir à son contact. Ce n’est que lorsque nous arrivons à la dernière activité que je peux être à ses côtés. Il faut être deux. Nous décidons de le faire ensemble. 
Nous sommes attachés au câble et nous glissons ensemble. Je suis derrière elle. Nous sommes collés. Dans cette position je sens ses fesses qui appuient sur mon sexe. Sans pouvoir me retenir je commence à bander. Je recule un peu pour éviter le contact sur son postérieur. Mais la position n’est pas vraiment stable. Nos corps sont toujours en contact. 
Je ne sais pas si c’est moi ou l’effet de la descente mais j’ai l’impression qu’elle colle de façon plus prononcée ses fesses et plus particulièrement la raie contre moi. Une fois en bas, je suis vraiment tendu et dur dans mon pantalon. Je ne sais pas comment je peux cacher cela. En plus le baudrier que je porte accentue encore plus mon érection. 
Je descends vite de la tyrolienne pour me diriger vers le local et enlever le baudrier. Naïma entre quelques secondes après moi.
— C’est vraiment sympa comme truc...! dit-elle en souriant.— Oui... euh... vraiment sympa ! dis-je.
Elle enlève son baudrier et s’assoit face à moi. Elle me regarde de façon sérieuse.
— Mais ce qui l’est encore plus... c’est le contact entre mes fesses... ajoute-t-elle en souriant et pointe un doigt sur mon entrecuisse.
Je suis rouge de honte et un peu affolé.
— Ne crains rien... dit-elle en venant s’assoir à côté de moi, ça me fait plaisir de savoir que je te plais... ajoute-t-elle en posant une main sur ma cuisse. Elle remonte vers mon sexe. Toi aussi tu me plais... alors il n’y a pas de mal.
Elle pose sa main sur mon sexe qui se tend. Elle le masse.
— Mais... heu... pas ici... dis-je doucement quelqu’un peut entrer.— Tu as raison...répond-elle mais je veux juste... voir... car avec ce que je sens dans ma main... tu dois être bien monté... dit-elle en posant ses lèvres sur les miennes.
Ses doigts s’activent sur les boutons qu’elle retire un à un. Je n’arrive pas à bouger, sauf mes mains qui se posent sur sa poitrine. Elle tire enfin sur mon caleçon et libère mon sexe tendu, dur, à moitié décalotté.
— Huummm... fait-elle en passant sa langue sur les lèvres, belle bête.
Ses doigts se referment autour de mon sexe, ce contact est comme électrique. Ma bite tressaute d’excitation. Elle tire sur la peau pour décalotter le gland. Mes doigts passent sous son débardeur pour caresser ses seins, tirer sur les pointes. Elle crache dans sa main et commence à me caresser le gland en faisant tourner ses doigts autour. Je respire fort, je pousse des gémissements tellement c’est bon.
— Tu aimes...! me dit-elle dans l’oreille, alors laisse-toi aller... laisse-toi faire... ajoute-t-elle en se mettant à genoux entre mes cuisses.— Non... pas ici... dis-je en essayant de me lever.
Peine perdue. Ses lèvres se referment sur mon gland, sa langue tourne autour. Ses joues se creusent pour aspirer mon sexe qu’elle enfonce au fond de sa gorge. Sa main caresse mes couilles pleines pendant que l’autre monte et descend sur ma bite. Sa langue passe sur le gland, descend sur la hampe. Elle lèche mes couilles, les gobe, puis remonte du bout de la langue vers le gland. Nos regards ne se quittent pas. Dans un dernier mouvement de sa langue sur le frein j’explose. Je lâche mon sperme qui s’écrase sur sa joue puis coule sur ses doigts qu’elle lèche avec gourmandise.
— Tu vois qu’il ne faut pas avoir peur... personne n’est venu... dit-elle simplement. La prochaine fois j’espère que c’est toi qui me donneras du plaisir, ajoute-t-elle en se relevant.
Je referme mon pantalon rapidement et sors avec elle de la pièce. Les autres attendent sur des chaises ou des bancs. Certains sourient en nous voyant sortir. Nous rentrons au centre.
Le soir même, certains décident d’aller faire un barbecue après le service. Il y a moins de personnes que cet après-midi. Je retrouve Xavier, Claire, Laurence, Philippe, d’autres personnes et Naïma. Á la place de sa tenue de service elle porte un jean avec un tee-shirt qui comprime sa poitrine.
Des morceaux de viandes cuisent déjà sur le barbecue. Xavier s’en occupe. Il fait assez sombre, le lampadaire est à environs vingt mètres. Je suis assis à la table recouverte de boissons, biscuits apéro. 
La soirée s’annonce sympa et agréable. Á côté de moi sur le banc il y a Claire, qui discute avec Laurence de leurs prochaine vacances. Philippe remplit des verres pour qui en veut. Je suis assis dos à la table. 
Naïma s’approche de moi, tend le bras pour prendre un verre sur la table. Dans son mouvement je vois sa poitrine s’approcher de mon visage et même s’écraser contre ma joue quelques secondes puis elle se recule. Elle me sourit largement. Je suis peu troublé par cela mais en même temps heureux. Elle s’assoit sur mes genoux, ou plutôt sur un genou pour que ma cuisse vienne entre les siennes. 
De temps en temps elle bouge sur le côté, en avant en arrière tout en discutant et riant. Elle se lève pour à nouveau prends un verre. Elle se rassoit pour être maintenant de profil. Elle passe un bras derrière mes épaules.
— Alors comment ça va...dit-elle, ça te plaît comme soirée... ? — Oui… sympa et toi ? — Moi aussi... mais... elle lève les yeux au ciel, il me faut autre chose... ajoute-t-elle en souriant. Tu te souviens de notre conversation dans le local cet après-midi...?
Elle change son verre de main, prend la mienne et la pose sur sa cuisse. Elle effleure doucement ma main du bout des doigts qu’elle remonte vers son sexe. Mes doigts sont au contact des boutons de son pantalon et je constate qu’ils sont défaits. Je la regarde dans la pénombre avec surprise. Il n’y a personne autour de la table. Nous sommes seuls, les autres sont autour du barbecue.
— Maintenant c’est à toi de me donner du plaisir.
Je glisse ma main entre ses cuisses qu’elle écarte légèrement. Mes doigts touchent les poils de son sexe, elle ne porte pas de slip.
— C’est plus rapide comme ça... dit-elle en m’embrassant.
Je descends encore sur son sexe. Mes doigts effleurent le clitoris. Elle pousse un petit gémissement.
— Continue... dit-elle en soufflant, ne t’arrête pas.
Je sens son sexe humide, chaud sous mes doigts. J’introduis un doigt, puis un second dans son intimité. Elle m’attrape par les cheveux et colle sa bouche sur la mienne pour étouffer un cri. Je remue mes doigts dans son sexe d’avant en arrière. Je les tourne, les rentre, sa respiration s’accélère. 
Elle bouge son bassin, cambre les reins. Sa main prend un sein qu’elle écrase entre ses doigts. Son corps tremble, elle suffoque presque lorsqu’elle resserre ses jambes sur ma main la tenant ainsi prisonnière dans son sexe qui se contracte. Elle jouit sur ma main. Il lui faut quelques secondes pour reprendre une respiration normale.
— C’est trop bon... me dit-elle enfin. Mais ce n’est pas fini... ajoute-t-elle en m’embrassant.
Elle tourne la tête vers le groupe près du barbecue, elle se lève et m’entraîne un peu plus loin à l’écart. Elle s’assoit sur un banc en pierre. Elle déboutonne mon pantalon. Je me retrouve en trois secondes avec le pantalon et le caleçon sur les chevilles. Elle baisse à son tour le sien. J’en profite pour lui caresser les seins, les tétons sont durs, tendus. Elle se met à genoux sur le banc dos à moi.
— Vas-y... dit-elle, baise-moi.
J’avance ma bite tendue au gland décalotté près de son sexe. Je le promène d’abord sur les lèvres sans la pénétrer. Je pousse un peu sur le clitoris. Je rentre doucement le gland puis le ressors aussitôt. Je fais cela plusieurs fois. Je sens qu’elle pousse ses fesses vers moi pour que je m’enfonce en elle mais je recule en même temps.
— Alleezzz... implore-t-elle, ne me fait pas languir, je veux ta bite maintenant.
Sur ces paroles, je l’attrape par les hanches et m’enfonce d’un seul coup en elle. Elle lâche un cri de surprise mais aussi de plaisir. Mes couilles frappent son clitoris. Puis je ressors et m’enfonce violement. Je continue à la bourrer pendant plusieurs minutes. Je sens ses doigts qui caressent mes couilles. 
J’accélère la cadence et le rythme de mes coups de reins. Je souffle plus fort à mon tour. Lorsque je baisse les yeux, je vois mon sexe couvert de sa liqueur intime mais aussi son anus qui frétille. Je suce mon pouce et le pose sur cet orifice plissé. Elle ne dit rien lorsque mon doigt investit son cul.
— Ooohh... oouuuiiiii... vas-y par là aussi, lâche-t-elle en tournant la tête.
Je sors ma bite de son sexe et pose le gland sur son anus. C’est elle qui m’introduit en elle en reculant le bassin. Une fois en elle, je commence des allers-retours de plus en plus rapides. Les muscles de son cul se resserrent sur mon sexe. Elle pince la pointe de ses seins entre ses doigts. Nous restons dans cette position plusieurs minutes. 
Dans un dernier coup de rein je m’enfonce violement en elle pour exploser dans son cul. Elle ne tarde pas de son côté à jouir en retenant son cri. Je m’écroule sur le banc. Je mets plusieurs minutes avant de pouvoir à nouveau bouger. Lorsque j’ouvre les yeux, Naïma est assise à côté de moi, habillée.
— Bon... on bouge... dit-elle en se levant, les autres vont se demander ce qu’on fait.
Elle s’éloigne dans la direction du groupe. Quand je rejoins les autres, personne ne fait allusion à notre absence. Naïma discute avec eux naturellement. Je remarque quand même un petit sourire sur les lèvres de Laurence lorsque je me joins à eux. Laurence et Naïma logent dans le même studio.
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