Mes histoires d’antan nourrissent mes fantasmes d’aujourd’hui.A l’époque, on ne parlait pas de SIDA.Chaque fois qu’à la plage, je vois une demoiselle bien foutue dorant au soleil, le souvenir de cette soirée bikini s’invite.J’avais alors une vingtaine d’année, nous étions entre amis étudiants partis en club une semaine dans le sud de la France, notre année universitaire avalisée, nous étions quatre mecs et cinq nanas.Nous étions bien, les soucis d’étude derrière, les parents nous avaient laissé une certaine aisance financière, nous flânions comme des rois.Ce mercredi soir, une soirée bikini musique année 80 était au programme sur la plage.Le paysage féminin était appétissant, nous avions entre nous pris l’habitude de coter chacune qui passait sous notre regard.Sous un soleil de plomb, 35°, allongés sur nos transats nous attendions cette soirée qui promettait d’être exceptionnelle.Qu’allait-on mettre ? Les filles étaient hésitantes, Nous les mecs avions de concert opté pour la facilité,une chemise fleurie avec un maillot moulant.C’est vers 23 heures, un souper buffet nous ayant repus, que nous sommes arrivés.C’était super, un monde fou, des beautés à vous couper le souffle, des tenues appelant au viol.Une musique d’enfer, tout le cocktail pour s’éclater. Nous avons rencontré des connaissances, nous étions un bon groupe d’une vingtaine.Nous buvions plus que permis, nous étions dans l’ambiance, on dansait.Pris dans l’ambiance, nous dansions de très près. Ma partenaire, longs cheveux bruns, une poitrine comme j’aime, un bikini très minimaliste, les bras accrochés à mon cou, la tête appuyée sur mon torse, se laissait guider au rythme de la musique.Ce contact étroit ne me laissait pas de glace, je commençais à être à l’étroit dans mon slip de bain.Ma partenaire, collée, ne pouvait ignorer mon état.Les slows se succédant les uns après les autres, ne faisant qu’un, écrasés l’un contre l’autre, je pointais verticalement sur son ventre nu, je sentais les pointes de ses seins sur mon torse imberbe.On se frottait, on s’excitait mutuellement, c’était jouissif..Nous n’étions pas les seuls dans cet état, à en voir mon voisin dont la verge tendait littéralement son slip de bain, verge d’ailleurs que la main de sa cavalière flattait de façon assez peu discrète.Puis intervention du DJ, changement de cap, on est invité à se retourner et à danser, la partenaire de dos.Sublime, mes attributs écrasés par ma cavalière qui joue du derrière, mais mains s’accrochant à ses petits seins.Elle aime, elle sent mon envie d’elle, elle doit mouiller, j’en suis certain.Je ne vais pas tenir longtemps à ce petit jeu.Je lui propose une ballade le long de l’eau.Nous voilà bras dessus, bras dessous, on s’arrête, on s’embrasse, elle glisse une main à la découverte de ma tige gonflée comme jamais.Chemin faisant, plusieurs couples font l’amour sans se soucier de notre passage, nous sommes en appétit.Plus loin, nous nous laissons tomber sur le sable, on s’embrasse passionnément, on se dit tout notre amour mutuel, une main dans son slip me confirme ses envies, elle est trempée, je masse tendrement tout son abricot, je titille son bouton que je sens proéminent sorti de sa gaine, elle se donne, moi sur elle, écrasant ses beaux seins, je frotte son clitoris avec ma tige dure comme de l’acier, j’attends qu’elle me prenne en main pour me guider en elle.Elle explose, elle m’invite, elle me veut en elle bien au fond, en une fois, tant c’est mouillé, je bute sur son col, je suis déchaîné, je lime, je lime, je veux tout lui donner de moi, je sens que ça monte, ça arrive, je n’en peux plus, j’éjacule au plus profond d’elle, elle en a un nouvel orgasme, je reste en elle toujours gros,elle me dit aimer être pleine d’une tige vigoureuse
