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Soirée de cartes

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
Le sexe impatient de Christian, gonflé à l’extrême, s’agitait derrière le tissu tendu de son caleçon.Et ce pénis inutile et prisonnier, Nathalie avait une furieuse envie de le saisir, de le pétrir à deux mains. Elle imaginait la peau infiniment lisse entre ses doigts câlins et brûlants.Elle le voulait, palpitant et chaud, dans sa bouche.Elle le désirait dur et puissant dans son vagin.
Au moment où elle allait se décider à oser l’empoigner, Christian la saisit par la taille et la fit lever.Le string glissa sans à-coup, révélant un adorable triangle brun soyeux aux contours réguliers dans lequel Christian passa ses doigts avec un plaisir évident.Machinalement elle s’approcha du visage de l’homme et posa sa main dans ses cheveux.Elle détourna son regard et fixa intensément Magalie au moment où elle sentit avec extase une langue passer entre les lèvres déjà bien ouvertes de son sexe mouillé.Magalie se caressait langoureusement. Elle l’imagina se lever et venir l’embrasser, comme elle l’avait fait, un peu plus tôt, avec Julie.Elle flottait tranquillement aux frontières de la jouissance et de la félicité.
Christian, lui, se délectait du nectar, et du plaisir qu’il faisait naître sous sa langue, en savourait tous les parfums, les moindres frémissements, buvant au calice du plaisir la première vendange d’une proche cuvée charnelle et divine.
Tout en ronronnant, Nathalie se mit à onduler du bassin.
Il fallait intervenir.Julie, luttait contre les bouffées d’excitation qui la submergeaient en vagues exquises, mais son sens pratique reprit le dessus.Elle frappa trois fois dans ses mains ce qui eut pour effet immédiat de séparer les deux joueurs.— ?a devient vraiment torride ! Torride et intéressant ! Soupira, ravie, Magalie, reprenant ses esprits.— Torride, intéressant, oui, c’est vrai ... Mais tu oublies amusant, sexy, excitant et surtout délicieusement bon... précisa Nathalie en ajustant son tee-shirt avant de s’affaler mollement dans le fauteuil.
Les cartes tournèrent sur la table.Deux ou trois coups, sans conséquence.Une paire de rois.
Un brelan de sept.Personne ne voulait oser, apparemment.Ou bien, chacun ne voulait tenter que si cela pouvait le mener loin.Peut-être aussi que les esprits surchauffés n’étaient plus entièrement au jeu.
Christian posa ses cartes sur la table avec résignation.
— C’est bon pour moi !
L’expression l’amusa secrètement au moment où il la prononça. Elle dénonçait, certes, les mauvaises cartes qu’il recevait depuis deux tours, mais, paradoxe, résumait bien son état actuel.N’ayant plus à s’occuper du jeu, il aurait tout le loisir de regarder avec application les corps envoûtants des trois femmes magnifiques joliment dénudées. Son excitation était bien installée depuis déjà un bon moment et ses yeux ne savaient où se poser tant il voulait les poser partout : la cambrure parfaitement dessinée des hanches de Magalie, ses seins parfaits dont il avait encore le parfum raffiné et enivrant dans la bouche, ses fesses rondes et musclées sous la petite culotte de satin très échancrée ; la poitrine de rêve qu’il devinait sous le chemisier de Julie, son regard à l’arrogance mutine. Et le si joli minou de Nathalie, à la toison parfumée et au goût exquis ...
Il avait surpris à plusieurs reprises le regard des filles sur son boxer qui ne dissimulait rien de l’érection qui tendait le tissu. Qu’il soit furtif ou appuyé, amusé, curieux, coquin, gourmand ou envieux, chaque coup d’oeil qu’il surprenait alimentait un peu plus son excitation, son désir et donc ... son érection.
La voix énergique et amusée de Julie le tira brusquement de sa rêverie.
— C’est à toi de distribuer. Eh, tu rêves ? Je n’ose pas te demander à quoi tu penses !
Il reprit le cours du jeu à défaut de reprendre tous ses esprits, pour constater que tout le monde avait passé. Le jeu était posé devant lui. Il répondit en souriant :Ne te méprends pas, j’échafaudais un plan savant qui devrait me permettre de vous plumer
On sentait les joueurs survoltés, tous leurs sens exacerbés en éveil.Les étourderies et les erreurs d’inattention venaient par moments troubler le cours du jeu. Déclenchant systématiquement des éclats de rires moqueurs.Ces successions d’erreurs profitèrent à Nathalie qui se refit une jolie santé en remportant à trois reprises des enchères intéressantes. Christian, de son côté, avait assis sa ? fortune ?, se mettant à l’abri d’un coup fourré.Les joueurs s’observaient, s’épiaient, se dévisageaient, se détaillaient et se contemplaient discrètement.
Les sens toujours en éveil, Christian ne réagit pas immédiatement lorsque, après avoir demandé une carte sans grand espoir, il constata qu’il tenait un flush dans ses mains.Quinte flush royal.On ne peut pas faire mieux.Il était imbattable.C’était le moment de jouer serré, et intelligemment.Coup d’oeil à droite.Julie dissimulait mal sa satisfaction. Elle avait du jeu, c’était évident.Coup d’oeil à gauche.Magalie comptait ses allumettes avec un léger sourire. Plutôt bon signe.En face, il croisa le regard de Nathalie. Il nota l’infime tremblement de la main qui tenait les cartes. Il était clair qu’elle aussi était contente de son jeu.Ca promet... Pensa-t-il en s’efforçant de ne rien laisser paraître de son émoi.Prudent, il avait posé son jeu et s’était rejeté en arrière, en geste d’étirement et de détente. Faisant cela, il exhibait sans retenue la bosse qui saillait inlassablement de son caleçon. Nathalie, pensive, la couvrait du regard.Mais lui, soudain happé par son jeu, en oubliait son impudeur.Son impudeur, mais pas son plaisir. Il tenait dans ses mains la clé qui allait peut-être en ouvrir toutes les portes.
L’air de rien, Julie lança les enchères.Machinalement, Magalie suivit et relança de cinq.
— Fausse prudence... Se dit Christian.
Les femmes étaient splendides, certes, mais elles étaient piètres actrices. Ce qui l’arrangeait bien.Nathalie, avec une moue de dépit un peu trop appuyée, relança ? pour le fun ?.Christian, en posant ses allumettes, se mit à y croire vraiment.On était parti pour une drôle de surenchère.Les tas d’allumettes s’amenuisaient à mesure que le ? pot ? grossissait.Bientôt, Julie grattait le tapis, en panne sèche, désolée que personne n’ait suivi sa demande de voir.
— Christian, toi qui es riche, tu me prêteras bien des allumettes. Pour être franche, sache que j’ai un très bon jeu. Alors ?
Le style n’était pas très académique.
— J’espère simplement que le mien est meilleur ! ... Mais je ne pourrai te dépanner qu’une fois. Répondit Christian après une habile hésitation.
Il posa l’emprunt devant la brune ravie.Magalie abandonna en faisant la moue. Son bluff devenait apparemment suicidaire.
Julie sollicita Nathalie. Elle était la seule à pouvoir la dépanner une nouvelle fois. Nathalie accepta.Intérieurement, Christian se régalait de la situation. Une ombre passa sur son optimisme. Que se passerait-il si l’une d’elles avait la même chose que lui ?Non, c’était impossible. Le taux de probabilité interdisait cette éventualité.
Le tas, sur le tapis, était impressionnant.
Tout le monde se mit d’accord pour voir.
Julie, exhiba fièrement ses trois as et son joker.Devant l’air incrédule de Nathalie, qui posa son jeu d’un air déçu, elle s’excusa presque :
— Je l’avais dit que j’avais un super jeu !Instinctivement, les yeux se tournèrent vers Christian.Il posa tranquillement ses cartes en demandant sur un ton faussement naïf :
— J’ai ça, c’est mieux ?
Coup de tonnerre.Rires.
— Bon, je crois que j’ai des dettes ! Qui commence ?
Julie se leva et se dirigea instinctivement vers Christian sous le regard amusé de Nathalie, tout aussi concernée, mais patiente.
— Qu’as-tu à m’offrir ? Demanda Christian en lui prenant la main pour l’emmener vers le tapis où ils s’agenouillèrent face à face.— Tout ! Répondit-elle simplement, aguicheuse et docile.
Il plaqua ses mains sur ses reins et l’attira vers elle. Elle n’eût aucun mouvement de recul, et lui offrit avec un plaisir évident sa bouche avide. Le baiser dura un long moment, fougueux et passionné.Les sens exacerbés s’exprimaient sans aucune retenue.
Christian posa ses mains sur le chemisier. Cette poitrine qui le hantait depuis si longtemps était maintenant à sa portée. Mieux, elle lui était autorisée.Il dégrafa posément les boutons un à un, jusqu’au dernier. En écartant les pans libérés de la chemise, il ne put retenir un soupir d’émerveillement. Derrière un soutien-gorge noir et ivoire finement dentelé, assorti à son slip, Julie exhibait une poitrine admirablement dessinée, magnifiquement ensorcelante. Provocante, Julie caressa ses cheveux qu’elle ramena en un chignon désordonné au-dessus de sa tête. Les reins cambrés et les bras ainsi levés, elle livrait, impudique et impatiente, sa poitrine aux mains assoiffées de Christian.
Nathalie se leva en silence et vint s’agenouiller derrière Julie et lui souffla au creux de l’oreille :
— Je viens récupérer mon emprunt.— J’allais te le demander, ma chérie. Julie, lâcha ses cheveux et renversa la tête complètement en arrière.
Les deux femmes s’embrassèrent langoureusement. Christian voyait leurs langues se lécher et s’échanger mille douceurs. Il sentit les mains de Nathalie sur les siennes. Elle aussi cherchait le contact des reliefs admirables qui dansaient sous ses yeux.Il les lui abandonna.
Nathalie dégrafa le soutien-gorge qui glissa mollement en libérant deux seins irréels de perfection. Christian ne put s’empêcher de les détailler avec des yeux émerveillés.
— Regardez, vous avez vu comme ils sont beaux. Et en plus, ils sont doux... Comme tu as de la chance d’avoir des seins aussi beaux, ma chérie.
Nathalie était réellement admirative.Magalie se tourna vers elle.Les tiens aussi sont mignons.Elle lui souleva son tee-shirt et découvrit deux adorables petites boules de velours frémissantes aux tétons durcis.Leurs langues s’embrassèrent, leurs seins se touchèrent, se frôlèrent, se caressèrent, se frottèrent ...
Christian était hypnotisé.Il vint se placer derrière Julie.Ses mains, maintenant libres achevèrent d’ôter le chemisier qui descendit en un léger frou-frou le long des bras. Lorsque la mousseline vint mourir sur ses reins, Julie eût un léger mouvement du bassin. Un petit sursaut vers l’avant.Ce signe ne pouvait être qu’une invitation.Et, lorsque Julie sentit ses doigts s’aventurer sur son slip, elle abandonna en soupirant les lèvres de Nathalie pour les offrir à Christian en guise de consentement.Sa bouche était fraîche et gourmande. Elle haletait de plaisir.Elle lui demandait implicitement d’amplifier ses caresses.Ce qu’il fit avec bonheur et délectation.
Ses doigts quittèrent la fente ruisselante où ils s’étaient aventurés en repoussant le tulle léger de la petite culotte qui s’était ainsi immiscé entre les lèvres ouvertes de son sexe en feu.En se retirant, ils croisèrent ceux de Nathalie qui venaient s’y repaître.Julie, surexcitée, ne savait où donner de la bouche, de la langue, de la passion.Lorsque Christian sentit les seins au creux de ses mains, il dû lutter pour ne pas jouir.La libération était terriblement proche mais prématurée.Il caressa avec pur délice la peau infiniment douce de ses collines de plaisir au sommet desquels les tétons délicatement durcis étaient des étendards claquants, victorieux, au vent de la folie.
Un peu plus bas, les doigts de la main droite de Nathalie venaient de disparaître dans l’échancrure du slip noir et ivoire.Julie gémissait doucement, abandonnée à la déferlante de caresses. Par-dessus son épaule, les bouches de Nathalie et de Christian s’étaient retrouvées.
— Et voilà, plus de robe et plus de soutien-gorge ! Stop ! La partie continue... lança Magalie d’une voix mal assurée.
Julie ne put retenir un soupir de déception.
Christian revint sur le canapé. Rassuré et fier de n’avoir pas craqué, et déjà impatient de voir la suite des opérations. Il était tellement excité qu’il ne songeait même plus à se demander s’il allait être à la hauteur. Il se laissait porter par la douce folie charnelle qui s’était emparé de tout le monde. Le frisson intense du désir enveloppait son corps, pénétrait chaque pore de son épiderme, battait dans ses tempes, dans ses membres et dans son sexe endolori de trop attendre. Les filles le rendaient fou, il avait soif et faim de chacune d’elle.
Julie vint prendre place à ses côtés.Malgré sa frustration, elle semblait rayonner.Elle fixait l’homme intensément, des éclairs de désirs embrasant son regard.
La partie reprit.Pour tous les joueurs, la concentration devenait difficile.Deux tours de table entiers furent nécessaires pour tempérer les ardeurs.Quelques coups permirent ensuite à Nathalie de se constituer une petite cagnotte.La partie retombait dans un ronron utile et réparateur.Et puis Magalie lança les enchèresIl posa ses cartes.Son regard croisa celui de Nathalie qui l’observait, amusée, séduite et charmeuse.Il lui sourit.
Julie ne releva pas l’enchère.Nathalie avança cinq allumettes de mieux.Magalie l’imita, et, par petites mises répétées, le tas grossit peu à peu. Celui de Magalie diminua à la même cadence.Nathalie accepta de lui faire emprunt, et elles continuèrent à jeter des allumettes jusqu’à ce que Magalie s’inquiétât de connaître le jeu de son adversaire.
Nathalie exhiba un carré de dix.Magalie rangea sa suite en faisant la grimace.
Grimace qui fit place immédiatement à un petit air mutin.
— Je n’ai plus grand-chose à t’offrir ...— Juste le meilleur ! Lui répondit Nathalie, les yeux pétillants.
Le temps d’un sourire complice et d’un regard chargé de promesses et d’abandon que les deux femmes s’enlaçaient déjà, se goûtant du bout de la langue.
— Viens... murmura Nathalie en la prenant par la main.— Venez vous asseoir dans le canapé, qu’on vous voit mieux ! Proposa Julie— Assieds-toi à côté de Christian... lui demanda Nathalie d’une voix douce.
Magalie obéit docilement.Lorsque Nathalie vint s’agenouiller entre ses jambes ouvertes et qu’elle sentit ses mains sur ses cuisses, le déclic se fit immédiatement. Son corps entier était redevenu, dans l’instant, réceptif, impatient et demandeur. L’excitation, à nouveau entière et pleine, l’assaillit en millions de frissons affolants.Elle offrit avec ardeur sa bouche et sa langue à la jolie petite brune qui les sollicitait. Elle ronronna lorsque les mains de Nathalie capturèrent amoureusement sa poitrine insolemment bombée.
Christian, aux premières loges, était fasciné. Il suivait d’un regard envieux les mains qui descendaient vers les reins de la jolie blonde, la langue qui titillait ses tétons durcis en les faisant rebondir mollement et la bouche qui courrait en petits baisers mouillés sur les seins frissonnants de plaisir.Les doigts de Nathalie se glissèrent dans la petite culotte. Christian admirait l’expression de volupté qui se lisait sur le visage de Magalie. Ses reins cambrés invitaient à plus d’audace. Nathalie le comprit. Elle fit glisser le slip le long des cuisses. Un triangle de poils soyeux blonds dansa dans la lumière. Magalie, maintenant entièrement nue exhibait et offrait son corps parfait aux regards coquins et conquis et son sexe à la langue enflammée et affamée de Nathalie.
Christian était subjugué par tant de sensualité et de beauté.Et soudain, il ferma les yeux.La main de Julie venait de s’introduire dans son boxer. Ses doigts s’étaient déjà enroulés autour de son sexe gorgé de désir.
— Wow, les filles, si vous saviez ! Annonça Julie en entamant un adroit mais prudent va-et-vient sur le membre tendu à l’extrême.— Montre-le ... oh oui, je veux le voir. Supplia Magalie en tournant la tête.
Elle n’était plus qu’excitation. Le visage de Nathalie venait de disparaître entre ses cuisses nonchalamment ouvertes.Avec précaution, Julie délivra l’objet de son désir de sa prison de lycra.Comme un diable sortant de sa boite, le pénis se dressa en un mouvement de ressort. Elle lapa avec gourmandise les gouttes doucereusement fades du trop-plein de l’attente qui perlaient à l’extrémité du membre libéré.Pour Christian, chaque coup de langue sur le gland endolori occasionnait une décharge électrique qui se répandait dans ses reins, irradiant jusque dans ses fesses, puis dans ses cuisses avant de diffuser dans les jambes jusqu’aux orteils. A chaque fois un nouvel effort de retenue douloureux et divin lui était imposé, lui arrachant à chaque fois une nouvelle plainte jouissive retenue, une furieuse envie que cela dure des heures, un besoin impérieux que tout s’arrête...
Magalie le fixait intensément. De sa bouche entrouverte s’échappaient des soupirs de contentement.Elle contemplait avec envie la main de Julie coulissant le long du phallus qui luisait sous les coups de langue de la belle. Elle se pencha légèrement vers l’homme et ils échangèrent un long baiser langoureux. Baiser qui devint ardent, une vague de chaleur déferlait dans tout son être. La langue de Nathalie, de passages torrides entre ses lèvres trempées en savants effleurements sur son clitoris, lui arrachait des sursauts d’extase.Christian, tout à la souffrance de sa retenue, pétrissait langoureusement d’une main les seins que Julie, toute à sa douce fellation, lui offrait volontiers.Son autre main emprisonnait dans le creux de sa paume les sublimes collines de velours de Magalie et en taquinait les tétons érigés.
Lorsqu’elle sentit, aux contractions désordonnées du bassin, que le plaisir absolu se trouvait à la frontière de la douleur, Nathalie se retira doucement. Elle se releva et prit un moment pour admirer le corps lascif et superbe de celle qu’elle venait de faire jouir. Triomphante, les yeux pétillants et le souffle court, elle s’approcha et vint embrasser Magalie.Longuement. Amoureusement.Puis, répondant aux sollicitations silencieusement explicites, elle ôta son tee-shirt et offrit ses adorables petits seins aux mains et aux lèvres avides de Magalie et Christian.
Le pénis luisant et palpitant qui allait et venait dans la bouche de Julie l’attira.Elle s’approcha.
— Tu partages, ma chérie ?
En souriant, Julie lui tendit la verge droite et dure désirée. Nathalie la lécha avec délectation comme un cône glacé.
— Tes seins sont vraiment magnifiques, tu sais... susurra-elle entre deux coups de langues.
D’une main, Julie caressait toujours la base du pénis, et de l’autre, elle se masturbait délicatement. Les deux femmes s’embrassèrent et se partagèrent le sexe en érection.
Pour Christian, la lutte devenait surhumaine. Essoufflé, tenaillé entre la contraction extrême qu’il s’imposait et l’envie impérieuse de se laisser aller, il se débattait en discrètes et vaines contorsions du bassin.Julie le sentit bien.Ses mains relâchèrent lentement l’étreinte sur le membre luisant de salive et descendirent, toujours caressantes, vers les testicules qu’elle soupesa au creux de ses paumes.
— Les filles, je sens qu’il va jouir ...— C’est exactement ce dont j’ai envie ! Murmura Magalie à son amant en se relevant.
Elle s’allongea sur le dos sur toute la longueur de l’homme, les fesses sur son ventre, et elle descendit doucement, les cuisses légèrement écartées.Le phallus brandit, guidé par la main experte de Julie pénétra sans effort dans le sexe ouvert et détrempé de la blonde offerte et coulissa bientôt dans son vagin accueillant et demandeur.L’espace s’emplit de petits cris de bonheur et d’extase essoufflés.Les reins cambrés de Magalie invitaient Nathalie à d’autres caresses, plus intenses. Sa langue fit alors des navettes électrisantes entre les testicules gonflées et la vulve ruisselante et parfumée qui dévoilait le clitoris survolté.Démonstrative et comblée, Magalie exprimait le plaisir intense qui irradiait intégralement son corps. Et qui en redemandait.Encore.
Julie s’approcha.Elle observa le rictus de l’effort de l’homme à la limite extrême de la rupture libératrice et le visage rayonnant de la femme, qui, les yeux mi-clos, s’abandonnait voluptueusement à la déferlante de sensations sublimes.
Toute à sa jouissance, Magalie lui passa une main câline sur sa petite culotte.
— Enlève-la, ma chérie. Montre-nous la merveille que tu caches dessous ...
Julie s’exécuta et laissa avec plaisir Christian glisser sa main entre ses cuisses. Lorsqu’elle sentit son doigt s’aventurer dans la fente intime et ruisselante, elle ondula, ravie.Elle le regarda en souriant. Son regard était de braise, sa voix fut de velours :
— Libère-toi !
Ca n’aurait pu être qu’un gentil mot d’encouragement.Cela devint une autorisation.Un ordre.Un déclic.Un détonateur.
L’éjaculation fulgura.Le corps de l’homme se tétanisa, celui de la femme se contracta en soubresauts sublimes d’intensité, leur arrachant à tous deux un cri de victoire, d’extase et d’abandon.Un cri de délivrance.L’éjaculation dura longtemps, puissante et proportionnelle à l’attente qu’on lui avait imposée.Chaque jet était une décharge.Chaque décharge était une jouissance.Une divine douleur.L’orgasme profond, plein, fort et irréel s’empara du corps de Magalie.Le parcourut d’un ouragan de vibrations merveilleuses, du souffle de l’amour, du souffle de la mort, du souffle de la vie.
Rompus et rayonnants, après un long moment, les deux amants se séparèrent en douceur.Christian flottait sur un nuage.Vidé et euphorique.Nathalie lui souriait.Julie et Magalie se chuchotaient des mots doux en échangeant des petits baisers complices.A la vue de ces trois femmes superbes et lascives, son sexe était à nouveau redressé et dur.Il remarqua que ce moment, tout intense qu’il ait pu être, n’était que le coup d’envoi d’une folle nuit charnelle et sensuellement passionnée et passionnante.
Il était au pays de ses phantasmes.Et il s’y sentait bien. Tellement bien.
Quand il se réveilla, des heures plus tard, il faisait grand jour.Nathalie et Julie étaient parties.Magalie préparait le déjeuner. Une délicieuse odeur de café flottait dans l’air encore saturé des ébats de la nuit.
— Bien dormi ? Le sourire coquin de la jolie blonde en disait long.
Ils se remémorèrent avec bonne humeur les innombrables temps forts de cette nuit mémorable en prenant un petit déjeuner réparateur.Et puis, il prit congé de son hôtesse.Sur le pas de la porte, il osa une ultime question qui le tracassait.
— Tu m’as donné que du super jeu toute la soirée. Pourquoi ne pas avoir triché pour ton propre compte ?— Ah ! Tu avais remarqué ?
Elle sembla légèrement déçue
— Remarque, tu es très forte, très adroite ...— Je voulais que tu gagnes. C’est tout. Mais de toute façon, au strip-poker, quand on perd, on gagne quand même ... Non ?
Il l’embrassa une dernière fois et se dirigea vers l’ascenseur.
— Christian !
Il se retourna.
— Reviens quand tu veux. Je te promets pas d’autres parties de poker, mais si tu veux, on pourra se faire une partie d’échecs ... je connais quelques variantes ... à deux !
— Alors, à bientôt ! Répondit-il en souriant.— A très bientôt ! Précisa-t-elle en le regardant s’éloigner.
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