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Soirée au club

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Vendredi 18 septembre 2020. En pleine période de Covid, je ne perds pas espoir. Je viens de passer la première semaine de mes congés sur la côte méditerranéenne, à Agde plus précisément. Voulant découvrir le village naturiste de mes propres yeux, finalement, je n’ai rien vu, pour conséquence, le Coronavirus avait fait tout fermer. Etant rentré chez moi à Toulouse, sachant qu’il y a des clubs libertins ouverts, je vais faire un tour dans la matinée pour réserver une entrée pour la soirée. Je vous passe ma journée, qui n’est pas le but de ce récit et j’arrive donc sur cette soirée. Je suis parti du principe que je me donnais deux chances, une par club, une par soir. Si je ne faisais rien ce soir, j’irais demain dans l’autre club.
Une fois garé, je remonte la rue qui emmène aux Bains de Saint Aubin, un des clubs de la ville rose. Je me désinfecte les mains, masque sur le visage, sans capote dans les poches, car par superstition, je n’en prends pas comme ça, j’ai une chance de pouvoir m’amuser. Je sonne et j’attends. La personne du soir m’ouvre et je rentre, précisant que j’ai réservé plus tôt. Je prends la clé et me dirige vers les vestiaires, je me déshabille et je file à la douche pour me rafraîchir. Je ne décide pas d’aller directement au jacuzzi, mais plutôt, d’aller boire un verre. Je prends un verre d’une fameuse liqueur de whisky mélangée à du café que je déguste tout à fait normalement, sans précipitation. Il y a un peu de monde, je n’y prête pas attention. Une fois mon verre bu, je me dirige dans un premier temps dans les couloirs assombris pour faire un petit tour et voir ce qu’il pourrait se passer dans les différentes pièces.
Ne s’y passant finalement rien, je me dirige donc vers le bain, l’intérêt principal de ce club.
Je pose ma serviette, mon masque, que j’avais toujours sur moi et mon peignoir sur une porte-manteau et je descends les 4 marches puis j’enjambe le rebord et je traverse le carré pour m’asseoir dans l’angle opposé.
Je regarde les gens qui sont dans l’eau, il y a deux couples, un à ma droite, un devant moi. Deux hommes seuls sont assis en face de moi. Personne n’est installé dans le petit bassin à côté. Je désire profiter du bain, me détendre dans les bulles, me laisser aller dans l’obscurité, illuminé juste par les petites ampoules du plafond. Je laisse passer un petit quart d’heure. J’observe les couples, un troisième vient d’arriver, un des hommes est parti.
Je commence à m’intéresser aux deux couples, je regarde celui en face de moi, l’homme est assis face à tout le monde, sa femme lui fait face, ils s’embrassent. Ils me semblent jeunes, entre la trentaine et la quarantaine. Je les observe attentivement, la femme correspond à mes critères, qui ne sont pas trop restrictifs. Je ne vois rien de son physique, mais je devine qu’elle me plaît. Cela dit, je ne suis pas tellement enchanté à l’idée d’aller vers eux, comme ils sont jeunes, je me dis qu’ils ne seront peut-être pas intéressés pour s’amuser à plusieurs. Je me tourne donc et je découvre plus attentivement le couple à ma droite.
Leur position est identique à l’autre couple. Ils sont plus âgés, cela se voit, ils doivent avoisiner la cinquantaine. Je n’en ai cure... j’aime m’amuser avec des personnes de tout âge, tant que la femme correspond à mes goûts. Je regarde donc la femme et le peu que je vois m’attire.
A ce moment, ils décident de passer un cran au-dessus. Le mari sort de l’eau et s’assoit sur le rebord, dos appuyé sur le mur. Sa femme se rapproche et entame une fellation, sans se soucier du monde qui l’entoure. Etant proche, je ne perds rien de ce début de ballet.
Je vois très vite que la femme a posé sa main droite sur le rebord, je prends la décision de m’avancer lentement vers eux avec pour objectif de rentrer en contact avec eux. Je reste à observer cette fellation et enfin, je pose ma main sur la main de la dame dans l’attente de sa réaction qui scellera la suite de mon approche.
Sa réaction positive, n’ayant pas retiré sa main, ni ne s’étant interrompue dans sa gourmandise, je lui caresse l’avant-bras, scrutant toujours un geste de son mari ou de sa part. Toujours pas de réaction. A partir de cet instant, je n’ai plus de doute, je comprends que j’ai leur approbation et donc, je me rapproche nettement jusqu’à lui caresser la nuque et je lui dépose des baisers sur la partie émergée de son corps. Je suis comme souvent, déjà en érection, ce qui m’arrive tellement l’excitation est forte.
Un autre homme a vu que la dame acceptait le rapprochement, nous voilà deux derrières elle a commencé à la caresser franchement. Je ne veux pas paraître pour un mort de faim, alors je ne me jette pas sur ses parties les plus intimes. Je lui dépose des baisers sur le bras droit, je lui embrasse la main et je lui caresse le ventre, la nuque, je descends le long de la colonne vertébrale pour arriver à la naissance de la vallée entre ses fesses, mais je ne m’y aventure pas. Je ne prête pas attention aux caresses du second homme. Elle, continue de faire plaisir à son mari. Je dirige mes baisers vers son cou, son visage ses cheveux. Je lui embrasse plusieurs fois son visage me rapprochant de sa bouche. Je regarde la queue de son mari sans aucune forme de dégoût. Mes caresses se font plus intimes. Je lui caresse le ventre en alternant avec ses seins et je descends vers sa chatte.
Je prends sa main droite dans ma main et je lui imprime un geste de descente sous l’eau, je bande, je veux qu’elle sente par elle-même tout le désir que je ressens.
Quelle sensation de sentir sur soit une autre main ! Une main de femme ! A ce moment, il n’y a plus aucune retenue, je cherche à la caresser partout, je l’embrasse partout et je me laisse branler. J’ose alors l’interrompre de sa petite affaire pour aller l’embrasser. Je n’y vais pas directement cependant, je me rapproche de sa bouche et je lui fais comprendre que ce sont ses lèvres que je vise. Elle s’arrête et me tourne la tête, je dépose mes lèvres pour un premier baiser. Voyant que la dame s’intéresse plus particulièrement à moi qu’à lui, le deuxième homme comprend finalement qu’il n’aura aucune chance, il se retire donc. Intérieurement, c’est pour moi une victoire. J’ai tout le plaisir de continuer à l’embrasser. Cependant, je suis attiré par autre chose... Depuis quelques minutes, je l’ai regardée sucer son mari et j’ai été attiré par lui, par sa bite. Lorsqu’elle reprend sa pipe, je lui chuchote dans son oreille :

— On le fait à deux ?
Elle se pare à l’instant d’un sourire et me répond :
— Allez, c’est parti !
Son mari lui demande qu’elle lui répète ce que je lui ai demandé, elle lui dit :
— Laisse-toi faire et regarde.
Je dirige ma bouche vers la jointure de la bouche de sa femme et de sa queue et j’embrasse sa tige. Je dépose plusieurs fois ma langue quand sa femme sort la bite et me la tend. Elle ne l’a jamais lâchée de toute la durée de ce petit plaisir. J’ai donc englobé ce champignon entre mes lèvres. Quel plaisir mental de réaliser ce plaisir ! Je n’en suis pas friand, mais de temps en temps, j’aime avoir la bite du mari dans ma bouche.
Nous l’avons sucé à deux. Elle tenait la bite et se la passait de sa bouche à la mienne ou dans nos bouches en même temps. Ce petit moment chaleureux a duré jusqu’au moment où le mari m’a invité à m’asseoir à ses côtés. Je n’ai pas hésité et je me suis retrouvé à me laisser gober par la dame. Second plaisir, très doux, chaud. Sa pipe était lente, sensuelle, très bien exercée. Parfois, je ne ressens pas tout, mais là, j’ai bien ressenti le long de ma verge tout son talent.
Quelques minutes après, je suis revenu dans l’eau pour me recentrer sur elle, en la remerciant évidemment pour sa pipe. Nous avons un instant joué à chercher nos bouches. Nous voulions et désirions nous embrasser à pleine bouche, mais nous nous évitions, nos bouches déviant au dernier moment sur son nez, mon menton, sa joue, mon front puis, après un regard intense, nous soudions nos lèvres. Plusieurs secondes après, je lui ai proposé de lui retourner l’ascenseur. Elle est partie se blottir dos à son homme, dans ses bras et j’ai essayé de lui faire plaisir avec ma bouche, hélas, dans l’eau, ce n’était pas évident et facile. Dans un petit fou rire, j’ai abandonné en proposant d’aller au sec.
D’un commun accord, nous voilà donc partis à la recherche d’un lit, trouvé au fond du club. Dans la pièce, il faisait chaud, très chaud, trop chaud ! Malgré tout, nous avons essayé de reprendre nos câlins. Mais il était impossible de se concentrer. Nous avons alors mis en route la clim (que nous n’avions pas remarquée à notre entrée), mais ça ne soufflait pas assez vers la banquette donc nous sommes passés sur le matelas au sol. Là, avec de l’air frais, nos pensées étaient aérées et j’ai pu alors commencer un cunni d’enfer ! Il a duré pas loin de dix minutes. J’ai pris un plaisir de dingue à promener ma langue sur sa chatte. J’ai pris un plaisir fou à lui faire mouiller de plaisir son petit minou. J’ai pris un plaisir immense d’être l’heureux élu du soir. Son mari à genoux à hauteur de sa bouche lui avait donné sa queue. Elle prenait un plaisir double.
Une fois qu’elle avait bien profité de ma langue, un peu fatigué pour ma part de la position, j’ai soufflé et c’est elle qui a proposé de changer les rôles. Couché sur le dos, je me suis alors laissé faire.
Pour être honnête, je bande parfois sans contrôler, mais je ne bande pas sur commande et parfois, même les talents les meilleurs du monde en matière de fellation ne pourraient me redonner vie... Cependant, ce soir-là, sous sa bouche, je me suis satisfait de pouvoir me réveiller. Quelle satisfaction de grossir dans sa bouche ! De plus, je voyais son mari la prendre en levrette, ce qui fait que j’avais sur ma bite, les mouvements de son corps et ses gémissements en plus de la voir se faire prendre, tout était réuni pour une jouissance divine. Il m’a fallu demander par courtoisie, gentillesse et respect si je pouvais me libérer dans cette bouche, hélas, je n’ai pas eu leur approbation.
Inconsciemment, cela a dû être un déclic, car malgré tous ses efforts, je n’ai pas réussi à jouir. L’excitation retombait... Je ne saurais l’expliquer, mais j’ai dû (et je m’excuse de ce genre de pratique) penser à une autre situation excitante hors de cette soirée pour arriver à jouir. Sauf que de me concentrer sur ça, me forcer même je dirais, plus le contexte, le moment présent et la fatigue du moment, j’ai alors succombé à un fou rire incontrôlé et malvenu. Inutile de vous dire que cela sonna la fin de la partie, plutôt de la première mi-temps.
Nous avons tous compris que la chaleur, la fatigue et les moments déjà vécus nous avaient épuisés, nous avons pris une pause. Assis au petit salon, nous avons discuté, fait connaissance. Nous avons passé 25 minutes environ à souffler puis nous avons décidé de revenir au jacuzzi. Je suis resté boire un verre d’eau et eux sont retournés au bain.
Lorsque je suis revenu dans l’eau, il y avait tellement de monde que je n’ai pu m’approcher de mon couple que j’ai mis plusieurs secondes à localiser. Je me suis alors posé sur un bord et j’ai observé tout le monde. Encore une fois, la dame tournait le dos à tout le monde et j’ai vu alors un homme s’approcher d’elle sans qu’elle le repousse. Je me suis mis à penser :
— Merde, tu vas te faire prendre la place, ta soirée est finie.
Je me suis vu alors comme un conquérant. Je me suis frayé un chemin jusqu’à elle et au moment où je l’ai rejointe, nous avons échangé un grand sourire. J’ai recommencé à la caresser partout, le désir de mon côté était revenu. Son homme voyant qu’elle était entre deux hommes s’est échappé, intéressé par d’autres couples. Nous l’avons alors caressée de partout à quatre mains. Puis, elle et moi avons pris une position facilitant une possible pénétration. J’en avais une furieuse envie, mais je ne pouvais le faire sans capote, bien que ce soit un de mes meilleurs plaisirs.
Je lui ai demandé :
— Tu la veux ma queue ?
Elle m’a répondu :
— Oui je la veux ta queue.
Je me suis alors dirigé vers mon peignoir pour récupérer le préservatif et je lui ai indiqué de se mettre sur un rebord du bassin. De retour dans l’eau, elle s’est positionnée de dos, mais je lui ai fait comprendre que je voulais la prendre de face, que je voulais la voir. Donc elle s’est installée assise, les cuisses grandes ouvertes, je me suis habillé debout, face à elle et je me suis agenouillé pour qu’elle me guide en elle. Cela n’a pas duré, car elle avait mal au dos, je l’ai alors prise dans mes bras et l’ai retournée, toujours emboîtée. Je me suis assis allongé et c’est elle qui m’a chevauché.
Le peu de temps que ça a duré, je me suis régalé, elle aussi, hélas, les capotes des clubs ne me réussissent pas et dans un mouvement, elle s’est enlevée et je me suis retrouvé incapable de poursuivre. Je lui ai alors exprimé mon souhait de poursuivre au sec. Elle est sortie et moi je suis allé chercher une autre capote.
Nous sommes descendus au sous-sol, au coin couple que je découvrais pour la première fois. Dans ce silence apaisant, elle s’est installée sur un matelas, je me suis assis face à elle et je l’ai embrassée. La lumière tamisée faisait ressortir ses courbes ses atouts, son visage, elle était sexy, belle, désirable. Je bandais et c’est elle qui m’a décalotté. J’ai enfilé le préservatif et j’ai exprimé mon souhait de la baiser en missionnaire.
J’ai facilement présenté ma queue à l’entrée de son con qui m’a accueilli sans difficulté. La petite baise a duré plusieurs minutes quand, comme toute la soirée pour ma part quasiment, placée sous le signe de la malchance, j’ai de nouveau perdu ma capote. Je ne vous cache pas que j’étais frustré, déçu, agacé, je tentais d’en rire avec elle, mais je sentais que c’était une prestation plus que médiocre. Je n’avais plus de capotes et je ne pouvais en récupérer ailleurs, je me suis alors branlé un court instant pour jouir sur ses seins, son ventre et sa chatte, dans une apothéose mitigée.
Après avoir repris notre souffle, nous sommes remontés et nous avons fini notre soirée, après avoir pris, moi leur numéro, dans le bain pour moi, sans plus rien faire ni sans retrouver ma première capote et pour eux en rentrant chez eux. Voilà chers lecteurs. Je me livre ici complètement. J’éprouve des difficultés parfois à faire l’amour, à bander, à trouver la jouissance, mais je ne suis qu’un homme, pas une machine. Une chose est sûre, c’est que j’aurais toujours mes capotes personnelles en club et que je prendrais toujours plus de plaisir à faire plaisir. Merci
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