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La soirée dégénère

Chapitre 2

première avec un black

Erotique
Une fois encore, nous avions organisé une soirée, toujours au même endroit, ce motel discret à la sortie de la ville où nous avions nos habitudes, où logeaient parfois les agents de passage.Et comme toujours, conjoints ou conjointes n’étaient pas invités.
La grande salle nous était réservée où un buffet froid nous attendait, accompagné de boissons, alcoolisées ou non.Pierre tenait son rôle de DJ et d’éclairagiste, comme à son habitude.La soirée promettait d’être festive, et comme toujours, notre groupe de filles, Isabelle, Josy, Aurore, Marie Jo et moi étions très excitées.
Un verre à la main, nous discutions en riant trop fort, allant de temps à autre picorer au buffet, houspillant ces messieurs qui discutaient bagnoles ou rugby.
— Vous n’en avez pas marre de parler de votre équipe jaune et noire ? Vous aurez le temps au bureau, on est là pour faire la fête !— Pffff, fit Aurore en s’éloignant, ils ne savent que parler de ça.— Oh, le grand Fred a de la conversation quand même, dit Josy en éclatant de rire.— Tu peux parler, rétorqua Aurore en souriant. Si je me souviens bien... Julien...... et Francis, hein, fit-elle en me regardant.— Oh Francis, fis-je......— Pourtant..... commença Josy...— Oui, dragueur, charmeur........— Et ? demanda-t-elle.— Si tu veux tout savoir, petit coït vite fait mal fait, et hop, je retourne voir les copains. Si vous aimez être frustrées, je vous le recommande.— Nous voilà prévenues, fit Marie Jo. Sa cote vient de dégringoler à zéro !
Les lumières se sont éteintes, Pierre venait de lancer ses musiques préférées, des slows des années soixante.Mes copines furent vite rejointes par des cavaliers en entraînées vers le centre de la salle, transformée pour l’occasion en piste de danse.J’ai regardé autour de moi, personne de bien intéressant.Je me suis dirigée vers le buffet encore faiblement éclairé.Sam, un grand black était là, un verre à la main, regardant le spectacle.
Sam, c’était le petit nouveau, un mois à peine qu’il avait rejoint notre équipe.
— Tu as l’air de t’ennuyer, tu ne danses pas ?— Oh moi, tu sais, ce n’est pas vraiment mon genre de musique, j’aime plutôt ce qui bouge.— On doit pouvoir arranger ça, viens !
On s’est dirigé vers Pierre, notre fidèle DJ plein de ressources, et ils ont discuté un moment.Très vite, la musique sirupeuse a fait place à des rythmes très endiablés, genre lambada, salsa, enfin vous voyez quoi !
Sam m’a tendu la main :
— Viens !— Mais, je ne sais pas danser ça, moi.— Si, tu vas voir, c’est facile !
Je l’ai suivi et très vite, je me suis retrouvée dans un tourbillon.C’était un bon danseur et je semblais être une poupée de chiffons entre ses mains.Il me faisait tournoyer, m’attirait vers lui, me repoussait ou bien se collait dans mon dos pour un collé serré torride.Dans ces moments-là, je ne pouvais ignorer qu’il était un homme, d’autant que ses mains posées sur mon ventre remontaient assez souvent vers mes seins pour de subtiles caresses.C’était grisant et terriblement excitant, mes tétons pointaient déjà et ma petite fente était tout humide, d’autant plus que je n’étais que légèrement vêtue : une petite jupe, un chemisier et des bas autofixants.
Après une longue série de danses au rythme effréné, je me suis affalée contre lui.
— Si on continue, je crois que je vais tomber dans les pommes, dis-je en souriant.— Viens, on va prendre l’air.
Il m’a prise par la main et m’a entraînée vers la sortie.
Nous avons fait quelques pas dans l’obscurité, il m’a serrée contre lui et je me suis abandonnée entre ses bras, à ses mains qui caressaient mes hanches, mon dos, à ce sexe que je sentais contre mon ventre.
— Je loge là bas, viens, tu pourras te reposer.
Je l’ai suivie sans résister.
Arrivés devant sa chambre, il a ouvert la porte, s’est reculé pour me laisser passer.Des voix parvenaient jusqu’à nous, je suis entrée, il m’a suivie, refermant la porte derrière lui.La lumière était éteinte, il a posé ses mains sur mes hanches, j’ai levé la tête, il s’est approché doucement, je sentais son haleine sur ma bouche.Il a posé ses lèvres sur les miennes avec douceur...... et ce fut notre premier baiser.Ses mains couraient sur mes reins, me plaquaient contre lui, je sentais son sexe sur mon ventre, attisant mes envies...Je me suis abandonnée entre ses bras, les mains sur sa nuque, les jambes flageolantes, reculant pour ne pas tomber, heurtant un mur, l’interrupteur, faisant jaillir la lumière.Il s’est reculé, m’a souri, dévoilant ses dents blanches, il était magnifique !
Il a dégrafé mon chemisier avec douceur, ses yeux plantés dans les miens....... je l’ai laissé faire...... il a repoussé le tissu, dévoilant ma poitrine libre de toute entrave, empaumant mes seins, titillant mes tétons déjà durs... avant de les sucer, les mordiller...La tête rejetée en arrière, les yeux clos, je haletais de plaisir.
Puis ses mains douces et chaudes ont glissé sur mes hanches, cherchant la fermeture de jupe.J’ai poussé mon ventre contre le sien, lui facilitant la tâche et ma jupe a glissé sur mes chevilles.Sa main s’est posée sur mon mont de Vénus, et quand il a caressé lentement mes lèvres intimes, titillant mon bouton d’amour, j’ai cherché sa bouche pour étouffer un gémissement de bonheur.Pendue à son cou, le ventre offert à ses délicieuses caresses, j’ai joui, ivre de désir.J’ai posé ma tête contre son torse, reprenant mon souffle..... ses mains couraient sur mon dos, mes reins, mes fesses, puis il a repoussé mon chemisier que j’ai abandonné sans résistance, me laissant presque nue, juste vêtue de mes bas. Il a dégrafé sa ceinture tandis que je défaisais nerveusement sa chemise, découvrant son torse musclé recouvert d’une toison brune. Il a retiré sa chemise et je me suis agenouillée devant lui pour l’aider à retirer son jean.
J’ai tiré son boxer vers le bas, faisant jaillir son sexe orgueilleusement dressé, tremblant de désir.Il était magnifique, long, épais, marbré de veines que je devinai gorgées de sève, laissant apparaître une chair rose...Je l’ai saisi, approché de ma bouche, gobé comme une affamée.Mes lèvres glissaient sur la peau tendre, ma langue le caressait...... lui, à petits coups de reins, me baisait littéralement la bouche.J’ai réalisé combien il était gros et long, bien plus gros et bien plus long que celui que j’avais l’habitude de sucer, quand il a posé ses mains sur ma tête, me forçant à le garder tout au fond de ma gorge, jusqu’à ce que, la respiration coupée, je m’étouffe.
Il s’est retiré, me laissant reprendre ma respiration, avant de m’aider à me relever pour nous diriger vers le lit où je me suis effondrée.
Il s’est couché sur moi, pesant de tout son poids, prenant ma bouche pour un baiser nerveux.Son sexe sur mon ventre décuplait mes envies.
— Prends-moi, fais-moi jouir, dis-je dans un souffle.
Il s’est reculé avant de se mettre à caresser ma petite fente avec son sexe.Tremblante de désir, gémissant comme une chatte en chaleur, je tendais mon ventre vers le sien, les cuisses ouvertes, impatiente de le sentir enfin me prendre.
— T’as envie, dis donc !— Ouii, prends-moi, baise-moi, fais-moi jouir, suppliais-je.
Il a continué son petit jeu un moment, m’arrachant des petits cris, me faisant trembler, haleter......
Puis il m’a prise.Le souffle coupé, je le sentais m’écarteler, envahir mon ventre comme jamais aucun amant ne l’avait fait, c’était boooonn, et j’ai joui en gémissant de bonheur.Il s’est arrêté, me laissant reprendre mon souffle, avant de recommencer à aller et venir lentement, comme pour me faire goûter le plaisir de le sentir dans mon ventre.Il a continué, m’amenant aux portes du bonheur, s’arrêtant un moment, avant de reprendre son petit jeu.J’ai crié, j’ai gémi, mon ventre se tendait vers lui en spasmes de désir.Lui, en mâle dominant, continuait de me faire jouir, caressant mes seins, mes hanches, se penchant parfois pour sucer mes tétons durcis ou poser des baisers dans mon cou, prenant ma bouche, mordillant mes lèvres, avant de me reprendre en douceur......... c’était divinement bon.Puis il s’est laissé tomber sur le lit à mon côté, son sexe toujours fiché en moi.
Nous sommes restés un long moment silencieux, attendant que nos cœurs se calment, se caressant mutuellement.Il pesait de tout son poids sur ma cuisse.
— Tu me fais mal, dis-je en le repoussant doucement.
Il s’est reculé, j’ai libéré ma jambe.
— Tu as aimé ? demanda-t-il.— Oui,....... mais tu n’as pas joui !— Attends un peu, fit-il.
Je me suis blottie contre lui, la tête sur sa poitrine, respirant avec délice son odeur musquée, tandis qu’il me caressait avec douceur.
— Tu veux boire quelque chose ?— Non, merci fis-je.
Il s’est levé, dirigé vers le mini-bar où il a pris une bouteille qu’il a sirotée lentement.
Lovée sur le lit, je le regardais.Des cuisses pleines, des fesses rebondies, un ventre plat, un torse puissant, et son sexe toujours dressé..... un vrai mâle dans toute sa splendeur.
Puis il est revenu vers moi, a posé un baiser sur mes fesses, avant de me prendre par la taille, me forçant à m’agenouiller sur le lit, les cuisses ouvertes, offertes, comme une femelle attendant sa saillie.Il s’est placé derrière moi, recommençant son petit jeu, caressant ma fente avec son sexe, la forçant doucement avant de se retirer et de recommencer, titillant mon clito......Mon cœur s’affolait, mon souffle se faisait court, mon ventre agité de spasmes se tendait vers son ventre..... délicieuse attente qui me faisait jouir en gémissant.
— Viens, prends-moi, demandais-je entre deux souffles.
Il a continué son petit jeu encore un moment, mes gémissements se faisaient plus longs, plus rauques.......
Enfin, il m’a prise par les hanches, m’attirant vers lui.
— Oooh, oui, ouiiii, continuuuuuue !
Il s’enfonçait lentement dans mon ventre, forçant mes chairs qui cédaient sans douleur, c’était boooonnnn !!J’ai senti sa toison qui griffait tendrement mes fesses...... il était tout en moi, me maintenant fermement contre lui.
Ohhhhh, cette sensation de se sentir prise comme ça, jusqu’au fond de mon ventre..... c’était boooooon !!!!
Il s’est penché sur mon dos, empaumant mes seins, les pétrissant, les caressant, titillant mes tétons turgescents, me faisant gémir plus fort...... j’aimais ça......Puis il a posé ses mains sur mes hanches, me repoussant, m’attirant vers lui en un lent va-et-vient...Ahh, c’était bon de s’ouvrir, sentir son gros sexe fouiller mon ventre, m’écarteler, caresser mon bouton d’amour..... je tremblais, haletais, gémissais, poussais mes fesses vers lui, jouissais comme jamais.
— Tu aimes ça, hein !— Oui, continue, continuue, viens dans moi, suppliais-je.— Tu aimes ça hein, te faire baiser comme une petite chienne !— Oui j’aime ça, viens dans moi, vieeenns !
Il a serré plus fort mes hanches et s’est mis à me pistonner violemment, son ventre claquait contre mes fesses à chaque coup de reins, me projetant en avant.Enfin, il s’est calé contre mes fesses, me maintenant avec force contre son ventre.
— C’est ça que tu veux, hein, demanda-t-il avant de se vider en moi.— Oui Ouiiiii !!!!!
Sa semence envahissait mon ventre en longs jets, faisant éclater des étoiles de chaque parcelle de mon être, et j’ai joui une nouvelle fois, griffant les draps, les mordant pour étouffer mes gémissements de bonheur.Nous sommes restés un long moment immobiles, reprenant notre souffle, avant qu’il ne se laisse tomber sur le lit.Il était toujours en moi, perdait peu à peu de sa vigueur, mais il continuait malgré tout à combler ma petite grotte.Je goûtais la sensation exquise de me sentir pleine de lui, tandis qu’il caressait mon ventre avec douceur, mes seins gonflés à m’en faire mal, posant des baisers dans mon cou.
J’étais épuisée, en sueur, la gorge sèche d’avoir tant gémi, feulé comme une chatte en chaleur, mais les sens apaisés par la chaleur de sa semence qui irradiait tout au fond de mon ventre.J’ai fermé les yeux et me suis endormie rapidement.
Le claquement d’une porte m’a réveillée brutalement.J’ai ouvert les yeux, il revenait vers moi.
— Aurore te cherchait, fit-il.— Tu lui as dit quoi ?— Oh rien, elle t’a vu sur le lit..... elle te fait dire qu’elle rentrait.
Il s’est allongé sur le lit, face à moi.
— Quelle heure est-il ?— Presque deux heures.— Il faut que j’y aille, mon mari doit m’attendre.— Tu es mariée ? demanda-t-il.— Oui, fis-je avec une petite moue.— C’est dommage, j’ai adoré te regarder dormir, et ces petits cernes là, sous tes yeux, te vont à ravir, te rendent plus désirable. Et j’adore ta peau douce, ton ventre, tes seins...... je t’aurais bien gardée près de moi !
Il s’est approché et nous avons échangé un long baiser, fougueux, presque bestial.Sur ma cuisse, je sentais son sexe déjà dur, comme une invite.....Je l’ai repoussé doucement.
— Non, il faut vraiment que j’y aille.
Je me suis levée, cherchant mes vêtements éparpillés sur le sol.J’ai passé ma jupe qu’il a refermée dans mon dos, faisant glisser ses mains chaudes sur mes hanches, remontant sur mes seins, puis enfilé mon chemisier.Nous sommes restés un moment immobiles, silencieux.
— Bon, j’y vais !
Il m’a raccompagné jusqu’à la porte ou il m’a serré dans ses bras, et nous avons échangé un baiser passionné qui m’a fait vibrer, gémir.......Je l’ai repoussé, suis sortie.
— A demain, fit-il.
J’ai regagné ma voiture, j’ai conduit doucement, j’étais dans un état second.Je sentais sur mes cuisses notre liqueur d’amour.Pourvu que je ne tache pas le siège, pensais-je bêtement.Je me suis garée dans la rue, entrée et refermé la porte doucement.
Dans la chambre, une veilleuse éclairait doucement la pièce, Jean dormait déjà.Je me suis déshabillée en silence, glissée entre les draps, plaquée contre son dos et j’ai posé un baiser sur son épaule.Il a bougé.
— T’es rentrée ?— Oui, à l’instant.— C’était bien ? demanda-t-il.— Comme d’habitude, tu sais. Dors maintenant, il est tard.
Il n’a pas tardé à se rendormir, moi, je suis restée un long moment éveillée, revivant ce plaisir indicible que m’avait procuré ce sexe énorme fouillant mon ventre, et ce n’est qu’aux premières lueurs de l’aube que je me suis endormie.
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