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Soirée entre amis

Chapitre 1

Une proposition intéressante

Avec plusieurs hommes
Mia –Jérémy et moi sommes presque prêts lorsque Marie et Kenny, nos voisins, frappent à la porte. J’abandonne mes légumes et mon couteau en céramique pour rejoindre mon homme parti leur ouvrir. Je suis tout sourire, j’ai hâte de passer ces quelques heures avec eux. Cela fait plusieurs fois qu’on s’organise ce genre d’apéro dînatoire, et nous sommes de plus en plus proches : pas de temps morts, discussions futiles, sérieuses, drôles ou limite intimes, je sens que nous pouvons dorénavant les considérer comme des amis.
Kenny –Décidément, quelle femme magnifique cette Mia ! Elle a cette manière si particulière de s’habiller sexy sans s’en rendre compte, sans en faire trop. Ce soir ne déroge pas à la règle : le tissu de son haut est très fin, et son soutien-gorge n’est pas rembourré, laissant s’épanouir ses seins. Je crois qu’on devine très légèrement ses mamelons et ses tétons en transparence, mais c’est très discret. Sa jupe est courte et dégage généreusement ses cuisses lorsqu’elle s’assoit. Mmm qu’elle est désirable !
Marie –
Je profite que Mia n’a pas terminé ses préparatifs pour l’accompagner dans le coin cuisine. Nos hommes parlent sport dans le salon, c’est l’occasion d’un moment entre filles.« Alors cette grossesse ? Comment ça se passe ? Pas trop dur ? », me demande Mia.Je m’attendais à la question, tout le monde me la pose, à l’approche du cinquième mois, et je sais que Mia est angoissée à l’idée de voir son propre corps se déformer, quand elle devra elle aussi porter un enfant.
— Tout se passe bien ! J’ai de la chance ! — Génial ! Et… — Oui ? — Au niveau… sexuel ? — Ah…
J’hésite, pour la forme, mais en réalité j’espérais cette question, et je suis prête.
— Eh bien, ce n’est pas idéal. — Ah bon ? Je croyais que les femmes enceintes avaient… très envie. — C’est le cas, mais je me sens… comme gênée physiquement, tu vois ? Avec Kenny, on avait une sexualité débridée, mais là, je sens que je ne suis pas en pleine possession de mes moyens, qu’il y a plein de choses qu’on ne peut pas faire… C’est même pire que ça : je crois que je suis un peu inhibée…
Je sens Mia un peu gênée, mais compatissante, alors je poursuis.

— En fait, on ne fait plus l’amour. — Ah mince ! Mais… comment le vit Kenny ? Enfin, comment vous, le vivez-vous ? — On a beaucoup discuté, et je lui ai proposé, comment dire, de vivre ces quelques mois… un peu plus librement. — Euh… qu’est-ce que tu veux dire ? A quel point ? — Eh bien on est d’accord, il ne doit pas en profiter pour me quitter, trouver une autre femme, bien évidemment, mais s’il doit craquer, s’il est trop en manque, pourquoi pas ? Je préfère qu’il se soulage, qu’il me raconte, j’en serais très excitée et pourrais m’en inspirer pour me faire plaisir toute seule, tu vois ? Plutôt qu’il cherche une maîtresse sérieusement… — euh ok…

Mia –Il me faut quelques minutes pour digérer l’information. J’en finis enfin avec ces légumes que je dois découper en bâtonnets. Nos hommes ne semblent pas s’offusquer de notre absence, malgré les bières qui manquent. Alors que je lève à nouveau les yeux vers Marie, elle reprend.
— En fait, j’ai pensé à quelque chose… Je crois que je serais tout de même plus rassurée si Kenny le faisait avec quelqu’un que je connais, en qui j’ai confiance, qu’il ne pourrait pas voir fréquemment sans que je sois au courant…
Je n’arrive pas à y croire. Ferait-elle allusion à moi ?
— Je ne vais pas te demander de coucher avec Kenny pour le soulager, mais… si Jérémy et toi étiez ouverts à un plan à trois, par exemple…
J’en reste bouche bée. Le rouge me monte aux joues, en même temps que je sens un feu incroyable s’emparer de mon ventre. Marie ne peut pas le savoir, mais c’est un de mes fantasmes, simplement il est resté lettre morte jusqu’à présent, Jérémy ne semblant pas très ouvert à la chose.
— Je suis presque sûr que Kenny te trouve très désirable. Rassure-toi, je ne lui ai pas parlé de l’idée, mais je sais qu’il serait partant. Si tu l’étais aussi, on pourrait se charger chacun de notre côté de convaincre notre homme, qu’est-ce que tu en dis ?

Jérémy –J’observe les filles depuis le début de la soirée et je les trouve... étranges… Je ne sais pas dire si elles semblent plus proches qu’à l’accoutumée, plus complices, ou au contraire gênées, comme si la discussion de tout à l’heure avait tout changé. La différence est infime, mais j’ai l’impression que l’insouciance habituelle n’est pas là. La soirée reste tout de même agréable, mais peut-être pas autant que les fois précédentes.Enfin, nous laissons nos invités rejoindre l’appartement voisin, et à l’heure de ranger un peu avant d’aller se coucher, je peux entamer la conversation et résoudre cette énigme qui me turlupine depuis deux heures.
— Ca va Mia ?
« Oui pourquoi ?
— Je ne sais pas, je t’ai trouvée… plus réservée que d’habitude. — Tu es observateur mon chéri ! — Il y a bien quelque chose alors ? — Oui…

Mia –Je n’en reviens pas. Une heure de négociation a suffi à convaincre Jérémy. Le convaincre qu’il ne devait pas se sentir menacé, que ce serait pour une seule fois, que ce serait l’occasion d’assouvir un fantasme, de découvrir des choses, qu’on ne se mettrait pas de pression, qu’on pourrait arrêter quand lui ou moi se sentirait mal à l’aise.Nous en avons profité pour faire l’amour passionnément. Il m’a sodomisée sauvagement, me faisant crier jusqu’à l’orgasme. Une de nos meilleures baises !Maintenant, nous reprenons tranquillement notre souffle, tout en imaginant comment ce plan à trois pourrait bien se dérouler, et en échangeant ce qui nous paraît autorisé ou pas, ce que chacun est prêt à accepter. Il est bien tard lorsque nous nous endormons enfin, la tête pleine de rêves.
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Mia – C’est le jour J. Je suis fébrile depuis ce matin, très excitée et en même temps pétrifiée. La séance d’habillage est un calvaire : que mettre ? Est-ce que cette tenue n’est pas trop osée ? Celle-ci fait pute, c’est évident ! Celle-là… on dirait une nonne… Je me décide finalement pour une robe bustier, courte, et un soutif sans bretelles. A la fois coquine et sage, si c’est possible.
Kenny –Je suis le seul à être détendu, manifestement. Depuis que je suis entré, je sens Mia et Jérémy hésitants. Comme deux puceaux avant leur première fois. Nous avons pourtant été très clairs, chacun d’entre nous peut tout stopper quand bon lui semble. Il n’y a donc rien à craindre, tout va bien se passer.Nous échangeons quelques banalités autour de coupes de champagne, laissant s’installer progressivement la soirée. Je crois qu’ils n’ont que le plan à trois en tête, bloquant toute spontanéité, alors que l’idéal aurait été de faire monter l’envie petit à petit. Tant pis pour le hasard, je profite d’une escapade de Mia à la cuisine pour m’approcher et la guider un peu.Elle prend les devants en m’interrogeant.
« Kenny, comment je fais pour rester naturelle ? Je ne sais pas quoi faire, je flippe, là ! », me murmure-t-elle immédiatement.
— C’est pas évident, je te l’accorde. Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer. Ce que je te propose, c’est de retourner dans le salon, et de commencer tout simplement à embrasser Jérémy. Faites comme si je n’étais pas là, et je me joindrai à vous… — Ok…

Jérémy –Je n’en peux plus d’attendre, de me demander si je vais être à la hauteur. Comment ne pas me comparer à Kenny, si ouvert, si expérimenté, enfin en apparence ? Est-ce qu’il va faire jouir Mia plus que moi ? Va-t-elle me quitter ?Ils ont échangé quelques mots, et enfin elle revient. Kenny semble rester en retrait et… Mia m’enlace tendrement puis m’embrasse à pleine bouche. Quel soulagement, ça commence !
Kenny –C’est l’évidence même, la température vient de monter de plusieurs degrés en quelques secondes. Waouh quelle sensualité ! Rien que voir la langue de Mia généreusement sortie, s’enrouler fiévreusement autour de celle de Jérémy, je sens le désir m’envahir violemment.
Le corps de Mia ondule, tandis qu’elle se coule contre son homme, entourant son visage et son cou de ses bras. Il plaque ses mains sur les fesses de sa chérie, l’écrasant contre lui.Enfin le signal que j’attendais se produit : Mia laisse échapper un gémissement étouffé. Ils sont suffisamment lancés pour que je puisse participer. Je m’approche lentement et me colle presque au dos de Mia. Elle peut sûrement sentir ma chaleur, sans toutefois se sentir agressée ou prise en sandwich. Mon souffle doit être perceptible sur son cou, ses oreilles…Je pose mes mains sur ses hanches, et lentement, très lentement, je remonte sur ses flancs. Je perçois ses frissons, mélange d’excitation et de peur. Mes mains parviennent à la hauteur de sa poitrine, et je me permets un premier geste d’amant, je presse ces seins si souvent désirés. Mia et Jérémy s’écartent légèrement l’un de l’autre.Mes doigts se referment sur le haut de sa robe bustier, et délicatement je tire vers le bas. J’embarque le soutien-gorge dans le mouvement, et soudain sa poitrine jaillit, libre de toute entrave.J’encourage Jérémy d’un regard, et il plonge manger les seins de Mia. Sa bouche englobe un large mamelon, puis sa langue en fait le tour, dressant instantanément le téton. Elle soupire de plaisir, ravie du déroulement : tout le monde est impliqué.
Mia –
La timidité de Jérémy semble s’être évanouie. Je suis terriblement excitée, et sous l’assaut de mon homme, mes tétons sont extrêmement durs et presque douloureux. Pour autant, pour rien au monde je ne voudrais qu’il arrête ce qu’il vient de commencer.Mes seules interrogations concernent Kenny : comment me trouve-t-il ? Est-ce qu’il a envie de moi ? Est-ce que je peux l’embrasser sans choquer Jérémy ?Je n’ai pas le temps de m’interroger plus longtemps. Kenny me débarrasse de ma robe, puis de mes sous-vêtements, et me voilà complètement nue devant mon voisin. Sans attendre, il pose ses lèvres et sa langue sur mon cou, et une chaleur indescriptible s’empare de moi. Ce n’est plus possible, je les veux, tous les deux, maintenant !
Jérémy –Les seins de Mia sont merveilleux et j’adore les voir réagir à mes caresses mais je suis quand même un peu bloqué. J’ai peur de ne pas y arriver. Heureusement, elle vient à mon secours. Tout se passe très vite : en un instant, elle embrasse Kenny, et sans me laisser le temps de ressentir une pointe de jalousie, m’arrache ma chemise, puis mon pantalon, mon boxer, et enfourne ma queue dans sa bouche.Je la connais, elle suce divinement bien, mais là elle va avoir du travail : je suis particulièrement mou. Je psychote trop, la confiance en moi me fait défaut. Elle met toute son ardeur à la tâche, gobant facilement mon sexe entier, caressant mes boules, me jetant des regards amoureux…
Mia, je t’aime ! Enfin, je redeviens un peu digne de toi, ma verge se montre à la hauteur de l’événement ! A moi, à nous de te donner du plaisir. Je vois d’ailleurs que Kenny ne m’a pas attendu : d’une main il te caresse, le dos, les seins, et de l’autre il te doigte énergiquement.
Kenny – Rhaaa quel pied ! Le vagin de Mia enserre les trois doigts que j’y ai introduits… A force de la limer, elle mouille abondamment et ma main est progressivement enduite de sa merveilleuse cyprine gluante… mon pouce repose sur son anus, que je sens se soulever, s’ouvrir, se refermer, témoin palpitant de son plaisir montant… Mon autre main malaxe ses seins, pince ses tétons… Elle gémit, râle, la bouche remplie du sexe enfin dur de Jérémy.Tout se passe bien, aucun signe de demande de tout arrêter, je commence à comprendre qu’on va pouvoir s’en donner à cœur joie.
Mia –Un premier orgasme me secoue. L’œuvre de Kenny. Il est doué. C’est prometteur. Mes deux amants sont là pour me donner du plaisir, mais je me sens investie de la mission de les faire jouir aussi, alors avant que Jérémy ne vienne dans ma bouche, je l’allonge sur le canapé et m’empale sur son chibre dressé.
Lentement, sensuellement, je me mets à onduler, le buste bien droit. Je ferme les yeux, me penche légèrement en arrière et saisis mes seins dans mes paumes, les compresse, les frotte l’un contre l’autre. Je sens le sexe de mon chéri se durcir au maximum, excité par la vue.Je rouvre les yeux et me penche sur Jérémy. Nous nous embrassons fougueusement, amoureusement. Il me sourit, rassuré.Kenny s’est déplacé, il est maintenant juste à mes côtés. Il a profité de nos ébats pour se déshabiller. Je relève le buste. Son sexe est juste à hauteur de mon visage. Naturellement ma main se pose sur sa cuisse puis remonte. On sait tous les deux quelle est sa destination.Je jette un coup d’œil à Jérémy. D’un léger hochement de tête il me donne son assentiment, et je comprends que pour la première fois je vais sucer un autre sexe que celui de mon copain du moment. Et quel sexe ! Je suis ravie de constater que Kenny est bien monté. Il me fait très envie. Je l’enfourne.Etonnant de découvrir un nouveau goût de sexe juste après avoir sucé Jérémy, mais très intéressant ! Je sens les veines du membre de Kenny sous ma langue, je le sens qui palpite dans ma bouche, c’est bon ! Je n’arrive pas à le prendre entièrement, mais je le suce goulument, et il a l’air d’apprécier. De la main je le branle doucement. Mon fantasme commence à se réaliser, je suis prise par deux trous !
Kenny -
Ah mais qu’est-ce qu’elle m’excite ! Elle, que je désire depuis si longtemps, en train de me sucer avidement... Quel bonheur ! Je frémis de désir, je ne pense plus qu’à une chose...Je s’approche de mon visage, l’interromps un instant et l’embrasse enfin. Elle me rend son baiser, comme si j’étais son homme. Je lui murmure à l’oreille.
— Mia... Tu aurais envie d’une double ?— ... Je ne sais pas...— Ça veut dire peut être ?
Elle ne répond que d’un demi-sourire.
— Voilà ce que je te propose : continue à faire l’amour à ton homme, je te prépare, et tu m’arrêtes si tu ne le sens pas. D’accord ?
Elle m’embrasse langoureusement pour seule réponse, l’œil brillant.Je me replace derrière elle, et d’une pression sur son dos, je l’encourage à se pencher sur Jérémy. Leurs langues fusionnent.La vue dont je dispose est splendide : le sexe de Jérémy entre et sort régulièrement du vagin de Mia. Ses lèvres généreuses en épousent la forme. Son petit trou m’est offert, exclusivement.Je pose la main sur le base de son dos et commence à caresser toute la zone, l’irradiant de sensations. Je vois Mia onduler en réponse. Lentement, je recentre mon action, m’approchant du sanctuaire tabou. Du pouce, j’en fais le tour. Progressivement, le muscle se détend, et semble animé d’une vie propre. Peut-être est-ce le cas, peut-être m’appelle-t-il de tous ses vœux, ou plus simplement est-ce l’action de pénétration de Jérémy associée à mes caresses, quoi qu’il en soit l’anus palpite, s’ouvrant et se refermant dans un cri muet. J’en profite pour introduire une phalange de mon pouce, lubrifié de ma salive, et j’entends Mia soupirer d’aise.Ses sphincters se resserrent délicieusement autour de l’intrus, puis se relâchent, et je pousse. Le râle qui me répond, et le cambrement du dos de Mia, me donnent un demi-orgasme. Mes rêves vont se réaliser, j’en suis sûr.

Mia -Son pouce se retire, mais avant que j’aie pu montrer ma désapprobation, sa langue le remplace avantageusement. Un maelström de décharges électriques remontent mon dos par vagues et je gémis. Je me mords les lèvres pour me retenir de lui crier de m’enfoncer sa bite entre les fesses.Enfin, je le sens qui pousse. Jérémy s’est immobilisé. Oh mon dieu !!! La sensation est extraordinaire. Un peu douloureuse au début, mes chairs se déformant de façon inhabituelle, mais ils sont très doux tous les deux. Le pubis de Kenny entre finalement en contact avec mes fesses, me voilà remplie comme jamais.Je frémis, je transpire, je tremble, je frissonne, mes neurones saturent complètement ! Mes deux amants semblent attendre un signal, à l’écoute de leur maîtresse. Je finis par onduler tout doucement, découvrant la liberté de manœuvre dont je dispose. Puis je me soulève de quelques centimètres, lévite un instant, avant de m’empaler à nouveau sur leurs chibres durs. Long frisson. Je réitère l’expérience. Frisson tout aussi long. Progressivement, j’augmente l’amplitude de mon mouvement. Je suis de plus en plus détendue. Les sensations sont juste monstrueuses.
Jérémy -Quand Mia m’a murmuré à l’oreille que Kenny allait la prendre en double, je me suis immobilisé, un peu anxieux. Et puis il l’a pénétrée. Intéressant ! Même sans bouger, je sens sa queue palpiter contre la mienne, à travers la paroi qui les sépare. Mia se lime lentement sur nous, les yeux fermées, la bouche grande ouverte. Putain qu’est-ce qu’elle est belle ! On lui donne du plaisir, elle nous donne du plaisir, c’est tellement bon !
Ses va-et-vient sont maintenant plus amples, peut-être une dizaine de centimètres, nous arrachant à chaque fois gémissements ou râles. Instinctivement nous commençons à l’accompagner, frappant ses fesses et son pubis de nos hanches. La raison s’envole. Je ne suis plus qu’un sexe géant la pilonnant, avide de jouir. Deux minutes à ce rythme et elle hurle à chaque pénétration. Soudain elle se met à trembler comme une folle. Son vagin se contracte en cadence, et je sens bien qu’il en est de même de son anus. Elle jouit comme une damnée, jouit, jouit, et s’effondre, à la limite de l’évanouissement.Je me relève, et avec Kenny, nous nous approchons de Mia. Elle est recroquevillée en position fœtale, le souffle coupée. Nous la caressons doucement, un peu inquiets. Elle nous rassure d’un "mmmmmm" interminable. Elle a le sourire aux lèvres.
Mia -Un "Putain !" m’échappe. Les tremblements qui me secouent s’évanouissent lentement. Jamais je n’ai vécu un tel orgasme. Je ne suis pas déçue du voyage ! Mes deux hommes me laissent récupérer. Je me rends compte que je ne suis pas sûre qu’ils aient joui, je pense même que c’est le contraire, et c’est complètement inacceptable !Péniblement je me relève, m’assois sur le bord du canapé, et tout en leur souriant, je saisis leur deux sexes ramollis dans mes mains. Rapidement ils reprennent de la vigueur, et j’entame la première double fellation de ma vie. C’est dur de les faire monter tous les deux ! Mais pas question d’échouer. J’alterne, entre sucer et branler. Ils me regardent amoureusement, concentrés. Ils kiffent !Soudainement je rentre le plus possible du sexe de Kenny dans ma bouche et ma gorge puis me retire et le branle énergiquement. Il monte instantanément et jouis sur mes seins, vers lesquels j’ai dirigé son jet. Il est aux anges, et moi aussi.
Je ne laisse pas redescendre Jérémy et le suce avec passion, avec amplitude et fréquence. Je le sens mettre ses mains dans mes cheveux et m’accompagner. Vas-y mon chéri, jouis putain !Je ne sais pas ce qui me prend. Peut-être ai-je besoin de reprendre un peu mon souffle, mais je me retire un instant. Au pire moment. Jérémy jouit en longs jets puissants, libérant toute l’excitation et l’appréhension de la journée. Il me prend complètement par surprise, lui-même ne s’y attendait pas : un jet m’atteint sur la joue, à la limite de l’œil, un autre à la commissure des lèvres, un dernier sur le menton !Cela ne m’est jamais arrivé, ne m’a jamais tenté. Je ne vois pas l’intérêt. Disons plutôt que je ne voyais pas l’intérêt ! Là, couverte de sperme, visage et poitrine, je me sens pleine, accomplie, satisfaite, épanouie d’avoir vécue ce moment avec mes deux amants.Instinctivement, du bout des doigts, je ramasse une coulée et la porte à mes lèvres, les regardant tous les deux. Puis j’avale. C’est bien moi qui viens de faire cela ?Une soirée décidément mémorable !
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