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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Soirée estivale

Chapitre 1

Hétéro
Que faire un soir par cette chaleur...aller prendre un verre sur une terrasse. C’est ce que nous avons fait avec mon amie vendredi dernier. Nous nous sommes rendus en ville dans le secteur piétonnier. Françoise avait mis une robe mi-longue marron avec un décolleté non négligeable fait dans un tissu léger. En contre-jour on pouvait même apercevoir la culotte qu’elle portait. Nous nous sommes installés au milieu des gens qui comme nous venaient prendre une boisson afin de se rafraîchir. Quelques tables autour de nous étaient libres. A peine étions nous assis, qu’un homme vint en faire de même à deux tables de la nôtre. Françoise me fit remarquer qu’il nous suivait depuis que nous avions garés la voiture. J’observais cet inconnu, dans notre âge, une chemise type Haïtienne très ouverte sur un torse velu, pantalon blanc, cheveux poivre et sel, la chaîne en or autour du cou, bref la panoplie du dragueur de bas étage. Il faisait face à Françoise et la regardait comme une gourmandise. Elle n’osait trop l’observer de peur qu’il ne prenne cela pour une invite, cependant son regard croisait souvent le sien. Elle me rapportait discrètement les mouvements qu’il faisait sur sa chaise, il semblait se caresser en se frottant les cuisses l’une sur l’autre. Françoise, par contre, gênée par les regards insistants de ce type évitait de trop croiser où décroiser ses jambes, elle ne souhaitait pas l’exciter d’avantage, ce qui n’empêchait pas notre voyeur de lui adresser ses plus beaux sourires. Son manège alimentait notre conversation ainsi que celle des autres personnes qui déambulaient en centre ville et dont nous nous privions pas de commenter leurs façons d’être. Tout cela dura une bonne heure durant laquelle il n’arrêtait pas de dévisager mon amie, je pense même qu’il ne regarda aucune des autres femmes qui passaient devant lui. Nous avions pris deux panachés chacun et Françoise ressenti le besoin d’aller aux toilettes. Elle me dit : surveille notre individu, qu’il ne me suive pas, ce à quoi je lui répondis : tu ne me semble pas trop indifférente à sa façon qu’il a de te regarder, je pense même qu’il te trouble un peu. Au début il te dégoûtait, mais depuis une heure qu’il ne regarde que toi tu en es flattée...c’est bon ne fantasme pas qu’elle me répondit. Elle se leva et se dirigea tout naturellement vers les toilettes de l’établissement, j’évitai de regarder notre voisin afin de ne pas le paralyser sur sa chaise, au fond de moi une pensée malsaine envahissait mon esprit, je me mettais à penser qu’il allait la suivre et si c’était le cas que devais je faire. Effectivement, je vis son ombre se levait et se diriger vers l’intérieur du café, je décidai de ne pas bouger, il y avait une minute que Françoise s’était absentée, elle devait être dans les toilettes et je savais qu’il allait à sa rencontre. Qu’allait-il se passer? A partir de cet instant les minutes furent un vrai supplice mais d’une grande excitation à la fois, une érection prenait forme dans mon pantalon, j’imaginais tout et rien, je souhaitais que personne ne se rende aux toilettes pour ne pas avorter la tentative de cet inconnu face à mon amie sans défense où voir même ne souhaitant pas se défendre de ce qu’il pourrait lui faire.Huit minutes, très exactement, se sont écoulées entre le moment où elle se leva et celui où elle reprit sa place à mes cotés. Je l’ai regardé et nous nous sommes compris, sur son visage se lisait la peur qu’elle avait que je lui demande une explication qu’elle ne voulait pas donner et la sensation d’un bien-être qui venait de s’interrompre. Nous avons recommandé deux panachés sans même se concerter, un long silence s’empara de nous, je savais qu’il était trop tôt pour en parler. La table de l’homme resta inoccupée, il était parti. Après un temps indéfini, je lui demandais : ça va ? Pour toute réponse elle ouvrit légèrement ses cuisses, je pus voir que sa culotte avait disparu. Nous avons quitté le café et avons rejoint la voiture. A peine installé, j’ai posé mes lèvres sur les siennes et nous nous sommes embrassés comme de jeunes amants, ma main se glissa sous sa robe, elle s’ouvrit complètement, mes doigts vinrent aux contact de ses chairs intimes et me confirmèrent que ma douce avait reçu toute la semence de cet homme au plus profond de son corps, sa chatte me semblait béante. Elle demanda pardon. Nous sommes rentrés rapidement, je l’ai conduit directement dans notre lit, une colère intérieure me poussait à la prendre comme cet homme tout habillé et je lui demandais de me raconter ce qui c’était passé dans les moindres détails.Au moment où elle sortit des toilettes elle se retrouva nez à nez avec l’individu. Il la repoussa dans le W-C puis referma la porte derrière eux, ils n’échangèrent aucun mots, d’elle même, elle posa son sac sur le sol, les mains de l’homme se posèrent sur ses épaules, il se saisit des brettelles du bustier et les fit glisser le long de ses bras, l’immobilisant tout en découvrant sa poitrine nue sous le fin tissu, ses seins jaillirent aux yeux de celui-ci, ses tétons s’étaient dressés instantanément durs et insolents, il la retourna contre le mur, la fit plier sur le réservoir du W-C. Il se délecta de la position de mon amour, retroussa la robe sur les hanches, la contempla un court instant, puis lui baissa sa culotte à mi-cuisse. Elle aurait pu se défendre mais le voulait-elle ? Elle se plia aux ordres de son violeur, ouvrant ses cuisses et fléchissant ses genoux comme il lui demandait, afin qu’il puisse la prendre dans les meilleures conditions. Elle entendit le zip du pantalon, il ne portait pas de slip car le sexe de l’homme se dressa rapidement entre ses fesses. Elle était ainsi offerte la croupe en arrière, les seins pendants au dessus de la cuvette. Attendant l’assaut, elle sentit les doigts de l’homme qui fouillaient son intimité, elle s’abandonnait au bon vouloir de celui-ci puis le pieu de son bourreau remplaça ses doigts et il se projeta au plus profonds de son intimité, elle le sentit cogner le fond de sa matrice et tout en se pinçant les lèvres elle jouit intérieurement de cette situation, me sachant à proximité pas tout à fait consentant mais cocufier. Il resta immobile en elle, attendant que se soit elle qui commence à onduler des reins, il la voulait soumise et résigner. Il n’avait pas tort, c’est elle qui se déhancha sur ce membre qui la transperçait Les seuls mots qu’elle entendit de son baiseur furent les insultes qu’il lui porta aux oreilles à chaque fois qu’il la pénétrait, la traitant de pute et de chienne ce qui décuplait d’avantage ses sensations. Il ne fut pas long à venir. La jouissance de Françoise fut brève et violente lorsqu’elle sentit les jets puissants et volumineux de son bourreau exploser au fond de son vagin. Il resta planter dans ses chairs, comme si son intention était de la féconder. Françoise était toujours accoudé sur le réservoir du W-C, les fesses en arrière, offerte. Le sperme de son violeur tomba en partie dans la cuvette lorsque son membre quitta l’écrin humide de ma douce. Elle garda la position obscène dans laquelle elle était, il s’accroupit, lui écarta les lobes fessiers et contempla l’oeillet anal. Nous n’avons plus le temps sinon je t’aurai sodomisé, je suis sûre que ça t’aurai plu? Elle ne répondit pas à sa demande. Es-tu libre la semaine prochaine? N’ayant aucune réponse de mon amie il mis son index sur sa rosette et la pénétra brutalement. Elle ne put retenir un cri qu’il étouffa en mettant une main sur sa bouche d’autant que le W-C à coté venait d’être occupé. Il fit glisser son doigt dans le fourreau anal, elle toujours plier sur la cuvette, il la maintenait de part et d’autre, puis glissa un second doigt, son orifice la brûlait, voyant avec qu’elle facilitait il la dominait il retira ses doigts et se plaça dans son dos. Son sexe avait repris une forme olympienne. Il plaça son gland sur l’oeillet ouvert de ma belle et l’investit délicatement. Une fois au fond de ce puit il ressortit entièrement et contempla l’image de ce cul dilaté qu’il réinvestit aussitôt. Elle sentait ses couilles qui frappaient sa chatte chaque fois que son membre se fichait au fond de son intestin, son clitoris était encore tout excité et chaque pression dessus lui envoyer des décharges électriques jusqu’au cerveau. L’excitation était d’autant plus grande que le (où la) pensionnaire d’à coté empêchait toute manifestation bruyante, mais elle savait que le temps leur était compté et que j’allais m’impatienter, elle pensa même un court instant que ce soit moi qui fut derrière le mince muret. Elle lui dit à mi-voix de faire plus vite, qu’elle ferait en sorte qu’ils puissent se revoir, il accéléra les va et viens et dans un râle contenu se vida une seconde fois dans les entrailles de mon amour. Elle reçu sa semence avec autant de plaisir que quelques minutes plutôt. Son sexe perdit de sa verve et glissa hors de ses intestins, elle en ressentit un grand vide. Il lui retira sa culotte et la mis dans sa poche. Elle attendit que son amant météorite ai quitté les toilettes et vint me rejoindre en terrasse. Imaginant ce qu’elle venait de subir, voyant les scènes qu’elle me décrivait, je m’abandonnais dans son ventre souillé du sperme de cet inconnu. Le lendemain, je lui demandais si elle était sérieuse en disant qu’elle le reverrait, elle me sourit et me dit : il m’attends lundi après-midi, un peu plus de temps et dans un lit ne serait pas pour me déplaire... j’ai aimé la façon bestiale dont il m’a possédé.
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