Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 141 J'aime
  • 0 Commentaire
  • Corrigée par l'équipe

Soirée film

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Le repas avec ma famille s’était bien passé. Alors que le paysage défilait dans la nuit, je détournais les yeux de la route pour regarder Antoine, sur le siège passager. Il était endormi, et comme à son habitude, à craquer. La tête appuyée sur sa main, la main sur la vitre, les sourcils un peu froncés, et sa respiration qui faisait un peu de buée sur la vitre.

Je réalisai que je souriais. On pouvait dire que ma vie de couple allait bien. J’étais heureuse, aussi heureuse qu’on puisse l’être.
Je tournai dans notre rue, et me garai par chance juste en bas de notre immeuble. Je secouai légèrement Antoine par l’épaule pour le réveiller. Il cligna des yeux, mettant quelques secondes à comprendre où il était, puis me sourit.
Après avoir sorti les bagages et remonté les quatre étages sans ascenseur, réchauffé un bol de restes en guise de dîner et pris une douche sommaire, on s’affala tous les deux côte à côte dans le canapé. Un petit silence passa, la fatigue se faisait sentir. L’horloge sur le mur indiquait 2h05 du matin, nous avions traversé la moitié de la France depuis midi.
Je posai ma tête sur l’épaule d’Antoine, songeuse. Chaque muscle de mon corps était épuisé, mais je n’avais pas envie de dormir. Mon cerveau continuait à ressasser une idée fixe, depuis plusieurs heures déjà. Je me tournai pour regarder Antoine : lui aussi me fixait avec des yeux brillants.
— On mate quelque chose ? demanda-t-il innocemment.— Bien sûr. J’en peux plus d’attendre.
Je sortis mon ordinateur, et le calai sur la table basse devant nous. Je naviguai d’un site à l’autre pendant quelques minutes, puis cliquai sur une vidéo, qui se met en route pendant que nous nous installions confortablement au fond du canapé.
La vidéo s’ouvrit en gros plan sur deux culs : celui d’une femme et celui d’un homme. Les deux marchaient dans ce qui semblait être le jardin privé d’une villa. Elle exagérait magnifiquement une démarche sensuelle, accentuée par un short court en jean qui tombait à peine plus bas que ses fesses. Lui avançait de manière plus arrogante, mais son pantalon cigarette moulé détaillait chaque muscle de ses cuisses. La vidéo dézoomait, pour laisser voir leur dos entier. Ils se tenaient la main, sûrs de la présence de l’autre comme un couple de longue date.
La caméra tourna légèrement autour d’eux pour laisser voir leurs profils. Mon entrejambe s’éveilla soudain un peu plus : je connaissais les visages des acteurs très bien. À la pression de la main d’Antoine sur mon bras, je sus qu’il les avait reconnus également. C’était notre petite habitude à nous : si notre sexualité était très vanilla (pas d’échangisme, de pluriamour ou même de bisexualité très assumée), une chose nous excitait tous les deux au point de ne jamais s’en lasser : regarder des pornos ensemble. Mais pas n’importe lesquels, comme vous allez le voir.
Les deux acteurs arrivaient auprès d’un groupe d’une quinzaine d’autres personnes. Tous et toutes étaient habillés de manière décontractée, et répartis sur des transats en laissant nonchalamment traîner une jambe sur celle d’un autre, ou une main sur le dos nu d’une amie. Une femme blonde habillée d’un chemisier léger au point d’être transparent se leva pour saluer les deux nouveaux arrivants, et embrassa langoureusement les deux sur la bouche. Chacun des deux laissa traîner une main sur son flanc lorsque ce fut son tour. Puis elle les attrapa par la main, et déclara de la voix de quelqu’un qui prépare un mauvais tour depuis longtemps :
— Tout le monde est là, je crois qu’on peut commencer.
Alors le groupe s’anima comme une seule personne, et chacun attrapa son voisin ou sa voisine la plus proche et agrippa, embrassa la bouche qu’il trouvait, la peau de son cou, ses cheveux. Je serrai un peu plus fort la main d’Antoine à côté de moi, qui changea son poids de côté pour se rapprocher de moi. Il émanait de cette foule un désir infini, comme si chacun attendait depuis des jours de se fondre en quelqu’un d’autre, sans avoir eu l’occasion d’assouvir ses envies.

Des gémissements commençaient à émerger du groupe, la caméra se baladait d’une personne à l’autre. Un homme déjà torse nu avait dégrafé entièrement le chemisier de la femme blonde, et embrassait son torse en malaxant ses seins, alors que celle-ci soupirait d’aise. Un autre homme derrière le premier lui massait les fesses du premier, en déboutonnant lentement son jean. Dans un autre groupe, deux femmes déjà en culotte exploraient chacune le corps de l’autre en s’embrassant. Le couple de l’introduction était côté à côte, mais chacun occupé à une tâche différente : la femme descendait le long du torse d’un homme mince aux longs cils, en embrassant chaque centimètre de peau qui passait sous sa bouche, tandis que son amant était accaparé par un autre homme qui lui enlevait frénétiquement son pantalon cigarette, découvrant une musculature d’athlète et un caleçon léger. Celui-ci coulissa tout de suite après, alors que l’homme enlevait lui-même son t-shirt.
Je sentis la main d’Antoine discrètement ouvrir les boutons de mon pantalon, et je levais légèrement les fesses pour lui laisser la voie libre, sans jamais quitter l’écran des yeux. Je pouvais nommer chacun des acteurs pour connaître pratiquement toutes leurs vidéos : le couple d’entrée était composé de Robin Skin (la femme, les cheveux tirant sur le roux et une peau blanche comme la neige) et de Jamie Anderson (l’homme, blond aux yeux gris perçants). La femme blonde se nommait Emily Sky, et l’homme qui lui dévorait à présent les seins Alex Rise, et l’homme le branlait à son tour Nasir Smith, et ensuite...
La main d’Antoine s’introduit dans ma culotte, et commença à explorer mon humidité. À mon tour, je lui caressais l’entrejambe, mais je savais que nous étions tous deux pleinement concentrés sur l’écran devant nous.
Robin – la femme rousse du début – avait à présent tout à fait déshabillé son partenaire, et tenait son membre entre les mains, et le masturbait doucement. Ce faisant, elle-même pleinement habillée, elle le fixait dans les yeux, guettant ses réactions, en lui murmurant quelques mots, puis en alternant baisers et léchage sur sa bite. À ses côtés, Jamie – son homme, le blond – était également totalement nu, et se faisait sucer par l’homme qui semblait ne pas avoir mangé depuis plusieurs semaines. Il se laissa pleinement aller au plaisir, étendu sur le transat, et semblant tout d’un coup se rappeler que Robin était juste derrière lui, il tendit sa main pour commencer à lui malaxer le cul. Sentant son court short se tendre sur son entrejambe, celle-ci gémit légèrement, mais le son était étouffé par la bite dans sa bouche. Pendant ce temps, l’homme brun continuait à sucer Jamie en étalant tout son talent, et glissa un doigt mesquin entre ses fesses.
Je respirais tout d’un coup beaucoup plus fort : le membre de Jamie avait toujours eu le don de me mettre en appétit. Je levais de nouveau les fesses, cette fois enlevant moi-même mon pantalon et en le jetant loin du canapé. Du même geste, je retirai mon t-shirt, puis celui d’Antoine qui avait lui aussi enlevé son bas. Une fois libres, nous nous réinstallions sur le canapé, totalement nus, sentant qu’une chaleur supplémentaire avait envahi la pièce.
À l’écran, la vidéo se concentrait à présent sur Emily, la femme blonde qui semblait avoir organisé l’orgie. Elle était confortablement installée sur une des chaises longues, les jambes pliées et ouvertes, et d’une main, elle se caressait les seins tandis que de l’autre, elle pressait la tête de son partenaire plus fort contre sa chatte. Celui-ci lui léchait le clitoris d’une langue experte, et la pénétrait de deux doigts. Au milieu des cris et des gémissements ambiants, elle l’encourageait d’une voix tremblante de plaisir :
— Vas-y, continue, t’arrête pas, lèche-moi encore, oui, comme ça !
La caméra se détourna d’eux, et en pivotant, fit voir un vaste panorama des festivités. Le groupe, une quinzaine de personnes en tout, baisait dans tous les sens, toutes les positions, en testant toutes les combinaisons possibles : une femme aux cheveux courts blonds et à la poitrine minuscule chevauchait furieusement la bite d’un homme noir, elle avait les yeux fermés, les sourcils fronçés, la bouche ouverte, mais la voix coupée par le plaisir de le sentir en elle. Celui-ci la tenait de ses deux mains par la taille et accompagnait son mouvement, la soulevant plus haut et la rabattant sur son sexe plus fort et plus profondément encore. Tandis que se rapprochait visiblement un orgasme galopant, un autre homme aux cheveux longs et bruns, mince, les yeux légèrement maquillés, se rapprocha. Il fit signe en souriant à la caméra de se rapprocher, ce qu’elle fit en zoomant.
L’homme bouclé s’appelait Owen Orgenson, un splendide acteur anglais que je connaissais bien pour avoir passé de longues nuits de plaisir, accompagnée de mon vibro préféré, à le contempler des centaines d’hommes et de femmes. Il passa une jambe par-dessus la tête de l’homme qui baisait la blonde, et en prenant sa bite dans une main, la guida vers la bouche de l’autre. Surpris, celui-ci n’ouvrit pas moins la bouche pour accueillir la friandise et commença à le pomper tandis que la femme aux cheveux courts au-dessus de lui finissait en hurlant par atteindre l’orgasme :
— Oh oui oui oui oui oui je jouis je je jouiiiiis - cria-t-elle, avant de s’effondrer. Elle releva la tête après plusieurs longues secondes, récupérant d’une décharge de plaisir dévastatrice. Owen, l’homme bouclé, était à présent devant elle, le cul relevé dans un mouvement pour pénétrer la bouche de l’homme qui la baisait encore quelques secondes auparavant. Une idée lumineuse lui vint en tête, et elle en lui écartant doucement les fesses, elle commença à lui lécher le petit trou, alors même que le sexe de l’autre était encore en elle.
J’entendis Antoine gémir à côté de moi. Je lui avais pleinement empoigné la bite, et la faisais coulisser entre mes mains avec de plus en plus de force. Elle avait pris une dimension appétissante. Je le regardais dans les yeux :
— Tu veux que je te suce ?— Oui, suce-moi, j’en peux plus.— Tu es sûr que tu veux pas autre chose ?
Il me regarda interdit, tandis qu’à l’écran, la femme aux cheveux courts dévorait le cul d’Owen. Celui-ci, pris en sandwich entre une gourmande et un gourmand, semblait totalement paralysé par le plaisir.
— Je veux que tu me lèches le cul.
Satisfaite par sa réponse, je glissais du canapé pour mettre ma bouche à hauteur de son cul, tandis qu’il relevait les jambes sur le canapé pour me laisser le champ libre. Il attrapa l’ordinateur pour le poser à côté de lui, pour que nous puissions tous les deux continuer à regarder la vidéo en même temps que je lui donnais du plaisir.
M’approchant de son entrejambe, je lui saisis de nouveau la bite, en le masturbant lentement. Pointant ma petite langue, je commençai à lui lécher le gland, avant de descendre en promenant ma langue le long de sa bite, le sentant frissonner à ce contact. Arrivée à ses bourses, je les pris entièrement dans ma bouche en aspirant, faisant jouer les deux couilles dans ma bouche. Je savais qu’il adorait ça, et il gémit de plaisir.
— Vas-y, vas-y, vas-y, oh putain...
Arrivée au bout de ma descente, ma langue s’aventura encore un peu plus bas, jusqu’à atteindre son cul, que j’écartais d’une main pour y accéder. Je commençais à faire plusieurs tours de son trou, avant de le laper franchement. J’empoignais de nouveau sa bite que je branlais pour accompagner le mouvement de mes mains. Il criait presque à présent. Bon dieu comme j’aimais cet homme, comme j’aimais lui procurer tout ce plaisir, comme j’aimais comment il se donnait à moi.
Pendant ce temps, la caméra s’était de nouveau déplacée pour revenir à Robin et Jamie, les deux acteurs du début, toujours côte à côte, accaparés par deux hommes. Robin avait fini de sucer son partenaire, et s’était tourné pour faire face à Jamie, remontant le cul pour le présenter à l’homme. Celui-ci lui attrapa les hanches et plaça sa bite à l’entrée de sa chatte, et la pénétra lentement, centimètre par centimètre, tandis que celle-ci fermait les yeux pour savourer ce qu’il se passait. C’est le moment que choisit le partenaire de Jamie pour arrêter de s’occuper de son magnifique petit cul, et il l’enfourcha pour venir chevaucher sa bite. Jamie le laissa faire, et guida sa bite vers l’antre de son amant, tandis que celui-ci s’abaissait pour le prendre totalement. Après quelques mouvements hésitants, l’homme du dessus accéléra le rythme, et la chevauchée se transforma en baise torride, Jamie le sodomisant profondément tandis que sa propre bite tournoyait au gré des ses mouvements.
J’arrêtai de lécher le cul d’Antoine pour prendre sa bite en bouche, et commençai à le pomper avec force en glissant un doigt contre son trou. En le sentant pousser son cul vers le haut, enfonçant son membre plus profond dans ma bouche, je compris le message : je glissais mon doigt totalement dans son cul, avec un mouvement de crochet pour lui masser la prostate, tout en continuant à le sucer.
Jamie commença à embrasser Robin en même temps que son amant s’enculait sur sa bite, et que celle-ci se faisait prendre en levrette. J’adorais la liberté totale qui se dégageait de cette scène, cet échange de plaisir sans limites entre des hommes et des femmes, chacun ne visant qu’à jouir, faire jouir et faire jouir encore. Robin, la langue de Jamie encore dans sa bouche, s’exclama sur le coup du plaisir :
— Aaaaah plus fort, oui, oui, oui, continue, vas-y, encore, ooooooh prends-moi prends-moi prends-moi !
À ces mots, Antoine fit un mouvement en arrière, et en me prenant par les épaules, me remonta sur le canapé. M’installant à quatre pattes, face à l’ordinateur qui continuait à diffuser la vidéo, je compris : c’était mon tour. Il m’écarta le cul pour accéder à ma chatte, et plongea sa langue d’un coup dans mon antre. Je soupirais, tout en essayant de me concentrer sur ce qu’il se passait à l’écran : j’en avais tellement besoin, j’étais tellement excitée, j’avais besoin qu’il me lèche, qu’il me bouffe, qu’il me dévore, qu’il me baise, maintenant.
Le partenaire de Robin s’était penché en avant pour appuyer sur ses épaules, clouant son torse par terre tandis qu’il la baisait sauvagement.
— Oh, oh, oh, c’est bon, je vais jouir, oh putain ! criait-il en la prenant. Jamie, averti par ces mots, se pencha vers lui pour l’embrasser, et lui glissa à l’oreille une phrase à peine audible par-dessus les voix provenant de l’orgie généralisée :— Vas-y, jouis, jouis maintenant, tu peux finir sur moi, j’adore ça.
J’étouffais un gémissement en plongeant ma bouche dans un oreiller en entendant ces mots. Antoine continuait à explorer ma chatte de sa langue, en caressant mon petit trou de ses doigts.
— Antoine, vite, il faut que tu voies ça, prends-moi pour qu’on regarde ensemble.
Il s’exécuta, délaissant mon cul pour venir se positionner derrière moi, et me pénétra de son membre dur comme de la pierre.
Le partenaire de Robin, n’y tenant plus, sortit sa bite de la chatte détrempée qui l’accueillait, et en se masturbant, la rapprocha de la bouche de Jamie qui s’était penché en avant. Celui-ci le prit en bouche, et le pompa frénétiquement pour l’amener à l’orgasme. Au moment où l’homme allait exploser, Jamie le sortit de sa bouche et le branla rapidement en pointant le gland vers son visage. En hurlant son plaisir, l’homme jouit finalement, en déversant son sperme sur le visage de Jamie, celui-ci ouvrant grand la bouche pour en avaler une partie. Excitée, Robin se glissa de sous son partenaire pour venir embrasser Jamie à pleine bouche, léchant le sperme sur ses joues, puis les deux se mirent à nettoyer la bite encore tendue de leur partenaire.
Antoine m’avait empoigné les hanches et me baisait à présent avec toute la force qu’il avait. Je criais mon plaisir tout du long, submergée :
— Ouiiiiiiiii vas-y vas-y vas-y vas-y vas-y vas-y vas-y ooooooh baise-moi putain baise-moiiiiii !
J’adorais voir des faciales à l’écran, c’était un kink que j’avais longtemps eu du mal à avouer au long de ma vie sexuelle, alors que depuis l’adolescence, je cherchais continuellement la même chose sur les sites pornos : du sperme sur des visages, des visages d’homme et de femmes, de grandes quantités de sperme, de préférence partagées entre plusieurs personnes. Si beaucoup de choses avaient vite arrêté de m’exciter (comme voir des femmes traitées comme des chiennes par exemple, ou des insultes dégradantes avaient pour seul effet de me révolter), restait que j’adorais la vision de la jouissance d’un homme, et j’adorais voir des hommes comme des femmes profiter de ce sperme, qui semblait si chaud et si goûteux.
Quand j’avais rencontré Antoine, j’avais d’abord eu du mal à lui parler de mes fantasmes, jusqu’à ce que celui-ci me fasse doucement comprendre qu’il n’avait aucun jugement à mon égard, et que nous pouvions partager tous nos fantasmes. À partir de ce jour, notre sexualité avait été une suite d’expériences et d’explorations mutuelles.
Un mouvement à l’écran ramena mon attention sur la vidéo : l’amant de Jamie était aussi en train de jouir, répandant son sperme par saccades sur le torse de ce dernier tandis que sa tête partait en arrière :
— Ooooooooh comme c’est booooon oh putain j’adore !
Il glissa en dehors du transat, laissant à l’air libre la bite de Jamie, encore dure : celui-ci n’avait pas encore joui, et son membre pulsait encore d’une énergie sexuelle qui semblait décidément sans fin. Se relevant, il empoigna Robin, qui déjà lorgnait sur les petites flaques de sperme sur son torse. Il la plaça sous lui sur le transat, et la pénétra d’un coup en ramenant ses jambes sur des épaules : ainsi placée, il la pilonna fortement, tandis qu’elle agrippait les bords du transat pour se retenir. Emily, qui n’était pas apparue à la vidéo depuis plusieurs minutes (ou alors étais-je trop occupée à dévorer le cul de mon petit ami ?) apparut à côté d’eux, et je réalisais qu’elle avait les seins couverts de sperme.
Antoine m’empoigna par les épaules et me releva, de telle manière à ce que je sois quasiment debout, son sexe claquant contre mes fesses alors qu’il me retenait par derrière. Je penchais la tête en arrière pour m’approcher de son oreille.
— Tu aimes la vidéo ? lui dis-je, haletante.— J’adore. Ils m’excitent tellement, j’adore voir Jamie boire tout ce sperme, j’adore les voir jouir.— Moi aussi, j’adore, ooooh putain prends-moi plus fort, vas-y !
Presque arrivée au climax, je m’écartais d’Antoine pour le forcer à s’allonger sur le canapé. Je pris le contrôle, empoignant sa bite et la guidant en moi. Ses doigts glissèrent tout naturellement sur mes fesses pour atteindre pour petit trou, et me penchant en avant, je l’encourageais à me pénétrer le cul pendant que je coulissais sur sa bite.
Emily embrassait à présent alternativement Robin et Jamie, en caressant les seins de l’une, le cul de l’autre. Elle avait glissé une main entre ses jambes, et on devinait que dans son excitation, elle se doigtait sans aucun ménagement, impatiente d’atteindre l’orgasme qui la délivrerait. En rebondissant moi-même sur la bite de mon copain, je réalisais que mon esprit s’égarait : j’imaginais une autre femme avec nous, ou un autre homme, ou les deux, quelqu’un qui partagerait notre plaisir, qui ajouterait sa sexualité à la nôtre, en nous caressant, en nous baisant, en nous pénétrant, en nous aimant. Comme j’aimerais vivre cela, la sexualité libre, débarrassée des limites du couple et de l’hétérosexualité, juste le plaisir d’être avec d’autres êtres. Mon Dieu, cela m’excitait tellement, je rebondissais de plus en plus fort sur la bite d’Antoine, j’étais presque arrivée au point de non-retour.
À l’écran, Jamie rugissait de plus en plus fort, alors que la tête de Robin ballotait à droite et à gauche, prise dans ce qui semblait être un orgasme terrible. Emily l’encouragea de sa voix chantante :
— Vas-y, baise-la et jouis, jouis avec nous, je sais que tu le veux. Oooooooh -
Ses doigts vibrant sur son propre clitoris, elle atteint elle-même la joussaince alors que Jamie se retirait de la chatte de Robin et se répandait partout sur son ventre, sur ses seins, les jets les plus puissants atteignant même son visage et celui d’Emily qui embrassait Robin à pleine bouche.
Antoine me saisit le bras, haletant :
— Putain je vais jouir, Hannah, je vais jouir !
Décidée à profiter de mon amant jusqu’au bout, je sortis sa bite de ma chatte pour la prendre en bouche, et je la branlais fortement en la sentant grossir entre mes mains. Il explosa finalement, envoyant un jet généreux dans ma bouche, qui déborda rapidement. Des coulées de sperme s’échappèrent pour se répandre sur mon menton, et alors que je me redressais pour avaler le liquide dans ma bouche, coula sur mes seins. À l’écran, Emily léchait le sperme de Jamie sur le corps de Robin, puis embrassait celle-ci pour partager tous les arômes du liquide. Jamie se penchait aussi pour embrasser les deux femmes, se goûtant lui-même dans leurs bouches, goûtant le plaisir de jouir tous ensemble. La vidéo se terminait sur un grand dézoome, montrant tous les acteurs étendus çà et là, hommes et femmes couverts de sperme et de cyprine, certaines et certains encore embrochés sur une bite, embrassant une bouche au passage, murmurant des remerciements ou des mots doux.
Antoine se releva et s’installa entre mes jambes. Il savait que j’adorais ça, aussi : jouir en dernière, sous ses coups de langue, mon corps se détendant petit à petit. Il fit glisser sa langue sur mon clitoris, à gauche et à droite, en haut et en bas, dessinant de petits cercles qui m’électrisaient. Il glissa également deux doigts dans mon antre humide, ramenant ses doigts contre ma paroi supérieure. Il me fallut quelques secondes à peine pour exploser, excitée comme j’étais. La bouche encore couverte de mon jus, il s’allongea à côté de moi, glissant un oreiller sous nos têtes, et nous avons simplement fermé les yeux en fermant finalement l’ordinateur.
— Antoine ? murmurai-je un peu plus tard.— Oui ? répondit-il. Il était tout à fait réveillé.— Tu aimerais tester un jour ? Nous deux, avec d’autres gens ?
Il se releva pour me regarder. Il avait un grand sourire.
Diffuse en direct !
Regarder son live