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Soirée hard...

Chapitre 1

Divers
Mon chéri, Pierre Antoine venait encore de se rendre à Londres... pour ses affaires, et ma gentille copine en profita une nouvelle fois pour tenter de me mettre le cancer dans la tête.
— Franchement, ça fait combien de week-ends qu’il te plante ?
Je haussai les épaules.
— Ce que tu peux être naïve ma Suzie ! Tu crois vraiment qu’ils bossent à la City le week-end ? Réfléchis un peu !
Ça y est, j’ai le cancer dans la tête ! Et non, je ne suis pas naïve... et oui, ils bossent à la City le week-end... enfin je crois. Je dis tout ça à Hélène et elle soupira.
— T’as un numéro ?
Je lui filai celui du portable de Pierre Antoine.
— Bécasse, tu sauras jamais d’où il te répond si t’appelles sur son portable. T’as pas le numéro de la boîte ?
Je ne pus lui donner que le nom, mais elle ne fut pas longue à dénicher une filaire. Elle appela. J’admirai au passage son aisance avec l’anglais, car je décrochai assez vite.
— Bon, fit-elle après avoir raccroché. Ils travaillent bien le week-end, mais ton Pierre Antoine est inconnu au bataillon.— Quoi ! hurlai-je.— Pas de Pierre Antoine au boulot le week-end, poursuivit-elle, non sans un malin plaisir, me sembla-t-il.
Je tempêtai :
— L’enfoiré de fils de pute !
— C’est assez bien résumé.
Puis je fondis en larmes. Hélène se fendit de quelques minutes de compassion puis lança.
— Tu vas pas rester là, comme une conne. Passe une robe, je t’emmène.— Où ?— Tu verras bien.
Une demi-heure plus tard, elle stoppait sa mini devant le perron d’une superbe villa. Je voulus obtenir quelques explications, mais un grand blond fondit sur elle.
— He ! Mais n’est-ce pas la sublime Clara que voilà ?— Salut Yvan. Y a du monde ?— Ça commence. Et quelle est cette belle personne ?— Mon amie Irina.— Irina ? Oui, j’ai connu une comtesse Irina autrefois.— C’est pas elle.
Elle dut l’écarter pour nous ouvrir le passage.
— Clara... Irina, tu m’expliques, questionnai-je ?— Pas nécessaire qu’ils connaissent nos vrais prénoms.
Le perron gravi, nous débouchâmes dans une immense salle autour de laquelle étaient disposées de larges tables qui regorgeaient de mets et de boissons. Nous laissâmes nos sacs au vestiaire puis je ne quittai pas « Clara » d’une semelle. Je fus surpris de sa popularité.
— Tu sais, me confia-t-elle, ici je ne suis pas la Hélène que tu connais. Je suis Clara et je fais des choses... qu’Hélène ne ferait pas.
Que voulait-elle dire ? Je pris la coupe qu’elle me tendit. Nous étions dos à la salle et je ne vis pas arriver l’homme qui se glissa entre nous.
— Alors les filles, cochonnes ou coincées ?
Clara rétorqua aussitôt.
— A votre avis.
Elle avait à peine achevé sa phrase que je lâchai ma coupe en sentant une main glisser sous ma robe. J’aurais dû lui filer un marron, à ce type, mais je ne sais pas pourquoi je ne bougeai pas et le laissai me peloter les fesses à travers la soie de ma culotte. Il sourit.
— Alors je dirai, à ma gauche - C’était Hélène- plutôt cochonne et à droite, ça me paraît un peu coincé.
Il tourna la tête vers moi.
— Il va falloir y remédier ma jolie.
Puis il s’éloigna.
— C’était qui ce type ?— Un queutard. — Pardon ?
Hélène soupira.
— Ma chérie on est tous là pour ça.— Hein tu m’as emmenée à une partouze ?— Quoi ? Ça peut pas te faire de mal. Attends avant de critiquer. Et puis tu ferais bien d’enlever ta culotte avant que ça fasse le tour des convives.
J’aurais dû me sauver, c’est sûr ! Mais je ne pus me soustraire à... la curiosité, et sans plus réfléchir, je retirai ma culotte. Je cherchai encore où la planquer lorsqu’un homme approcha.
— Alors il paraît qu’on a une petite coincée ce soir, dit-il en me dévisageant.
Hélène attrapa ma culotte et la colla sous le nez du type.
— Alors ça sent pas le foutre ça ?
Puis elle releva ma robe.
— Et ça, c’est pas un beau cul de salope ? Allez, casse-toi !
Je restai bouche bée avant d’oser :
— Mais qu’est-ce qui t’a pris ?— Je les connais ces types. Ils sont à l’affût des novices et ils ne t’auraient pas lâchée. Au moins maintenant, ils sont fixés.— T’es quand même gonflée de dire que je suis une salope. — Quoi ? On est toutes à la même enseigne ici. Allez viens, je vais te faire visiter.
Hélène m’entraîna dans les nombreuses pièces, puis soudain, elle me donna un coup de coude.
— Viens on va suivre la petite brune. Je te parie qu’elle va tailler des pipes à la chaîne. C’est son truc.
Nous la suivîmes jusqu’à la véranda où dix types, à poil, bite à la main, l’attendaient. Je murmurai :
— Elle va tous les sucer ?— Tous ! Et elle va pas en perdre une goutte. Je l’ai même entendue jouir une fois.— En suçant des bites ?— Ben oui, moi non plus je savais pas que c’était possible. Allez viens, j’ai encore envie d’une coupe.
Nous nous plaquâmes contre le comptoir et Hélène portait la coupe à ses lèvres lorsqu’elle sursauta.
— José !— Oui, c’est moi ma belle.
Je tournai la tête vers l’homme plaqué contre son dos. Il se frottait impudiquement.
— Tu veux me prendre ici ? fit Hélène.— Pourquoi pas ?
Je vis Hélène écarter les jambes et José donner un puissant coup de reins pour la pénétrer. Il la baisa doucement et j’entendis bientôt mon amie gémir. A un moment, elle tourna la tête vers moi et murmura :
— Touche-lui les couilles, tu verras, elles sont énormes.
J’hésitai, mais la situation avait déjà libéré un flot de cyprine le long de mes cuisses. J’approchai la main et lui palpai généreusement les bourses qui étaient effectivement assez volumineuses. Lorsque je l’entendis rugir, j’intensifiai mon pétrissage puis je repris une attitude digne. Il se rajusta puis me sourit.
— Merci. Vous êtes très douée.
Je rougis. Hélène tarda un peu à reprendre ses esprits.
— Ça avait l’air bon, lui dis-je ?— Oui, c’est un bon début. Ça te tente pas ?
Je ne sus que répondre. Hélène sourit.
— Il faut déjà montrer que tu es disponible.
Sur ces mots, elle attrapa une petite pince à linge de couleur dans une corbeille puis elle releva ma robe, et la maintint avec la pince, dévoilant l’intégralité de mes fesses. C’est en tournant la tête vers l’assistance que je m’aperçus que de nombreuses femmes étaient dans la même... tenue. Et moi qui me demandais tout à l’heure à quoi pouvaient bien servir ces pinces à linge ! Moins de cinq minutes plus tard, je sentis quelque chose de chaud et de dur contre mes cuisses. Hélène rectifia ma position et aussitôt la chose envahit ma chatte et je me laissai baiser avec délice. Je me mordis le doigt pour ne pas crier. Puis je connus l’un de mes plus beaux orgasmes. C’est vrai qu’il n’y en a pas eu beaucoup ces temps-ci. Je ne vis pas l’homme qui m’avait ramonée, et cela ajouta encore à mon excitation. J’allais sûrement le croiser durant toute la soirée... Sans savoir ! Soudain, Hélène éclata de rire.
— Pardon, j’aurais dû te prévenir. Quand une fille se tient à cet endroit, c’est qu’elle a envie de se faire sauter. C’est une sorte de code.— Salope ! lui répondis-je avec un sourire. Et il y en a beaucoup des codes ?— Un certain nombre.
Je me décollai du comptoir avant de subir un second assaut puis je murmurai à l’oreille d’Hélène.
— Qu’est-ce qu’il y a derrière cette porte ?
Elle ne put me répondre, car une connaissance féminine venait de l’attraper par le bras.
— Salut Clara.— Salut.
Les deux filles commencèrent à papoter puis soudain, je sentis une main se promener sur mes fesses. C’était l’amie en question.
— Fille ou garçon ? demanda-t-elle.— Je crois qu’elle préfère les bites, répondit Hélène.
Cela n’empêcha pas l’amie de chercher un passage entre mes cuisses. Je me raidis.
— Dommage.
Elle n’insista pas et s’éloigna.
— T’as jamais essayé avec une fille ? me demanda Hélène.— Non.— Tu devrais.— Et toi ?— Ça m’arrive de temps à autre.
J’arrêtai Hélène qui s’apprêtait à retourner au bar.
— On va là-bas ?
Je lui désignai la porte.
— OK.
Nous nous retrouvâmes dans une sorte de sas avec des casiers à vêtements. Hélène fit passer sa robe par-dessus la tête et je l’imitai.
— Qu’est-ce que tu fous avec ce soutien-gorge ?— Heu... je.— Allez hop, dans la corbeille !
Je libérai mes nichons puis je me pris à contempler Hélène. Elle avait gardé sa taille de jeune fille et ses petits seins d’adolescente - je le compris plus tard - plaisaient beaucoup. Les miens, très volumineux, ne laissaient pas indifférents non plus. Enfin, il me semblait qu’ils pouvaient plaire aux hommes... car seul mon chéri en profitait depuis plus de vingt ans. Alors j’étais presque... impatiente de savoir ! Curieusement, je n’éprouvai aucune honte à me retrouver entièrement nue dans ce... vestiaire. Jusqu’à ce qu’Hélène écartât le rideau. Je virai écarlate en voyant tous ces corps nus. Femmes et hommes. Je n’avais jamais vu autant de bites au mètre carré ! Et, curieusement aucun « ventru »... aucun « moche »... aucun « vieux ». Et bien sûr, ayant laissé ma pudeur au vestiaire, je passai de longues minutes à détailler les queues... qui pendaient ou se dressaient fièrement.
J’en vis de toutes les formes et de toutes les tailles... et même une ou deux qui devaient gêner leur propriétaire lorsqu’il marchait ! Après quoi je m’intéressai aux nichons des filles et plus d’une me fila des complexes. Pour me consoler, je me dis qu’ils étaient bourrés de silicone, sans pour autant m’en convaincre vraiment. Dans ma contemplation, je m’étais un peu éloignée d’Hélène. Je la vis à une dizaine de mètres de moi, occupée à masturber doucement un bellâtre très grand et très blond qui était pourvu d’un appendice ridiculement petit en regard de sa taille.
— Ah te voilà ! fit Hélène.
Et elle abandonna l’homme en me glissant à l’oreille :
— Je sais pas pourquoi, mais j’aime tripoter les petites bites. Allez, suis-moi.
Elle fit glisser une cloison japonaise et nous nous retrouvâmes dans une pièce baignée par une lumière rouge tamisée. Quatre hommes étaient allongés à plat ventre sur des tables.
— Viens ! fit Hélène, y a deux places de libres.
Je mis quelques secondes à comprendre, car je n’avais pas vu que sous deux des tables se trouvait... une fille.
— Fais comme moi, murmura Hélène.
Puis elle se glissa sous une table et je l’imitai sans trop comprendre... jusqu’à ce que je vis la bite de l’homme allongé émerger du trou.
— Tu peux lui mettre une capote si tu veux, me précisa Hélène.
Sa précision se perdit dans les brumes de mon excitation, car je ne pouvais détacher les yeux de la queue qui commençait à gonfler et bientôt dépassa du trou d’une belle longueur. Je commençai par glisser la main pour palper ses couilles - c’est quelque chose qui m’excite incroyablement - puis j’entrepris, en décalottant le gland de développer tout le potentiel de cette belle queue. Elle était très épaisse, mais cela ne me rebuta pas et je la pris en bouche, sentant mon excitation croître rapidement en entendant les gémissements de l’homme qu’Hélène suçait. Je me piquai au jeu et cherchai, moi aussi, les grognements de ma victime. Ils ne tardèrent pas et je reçus bientôt un flot de sperme sur le visage. Hélène - qui avait terminé - éclata de rire.
— Pour éviter ça, faut avaler ma vieille ou lui mettre une capote.
Je m’essuyai le visage avec les lingettes à disposition et sortis de la pièce sans avoir vu le visage de l’homme.
— C’est quand même bizarre de pas savoir qui on suce, fis-je.— Et alors, ça changerait quoi ? Moi je trouve ça excitant. Et puis lui non plus ne sait pas qui le suce.
Elle avait raison. Nous nous arrêtâmes à une table pour avaler un grand verre de jus d’orange. C’est alors que je sentis deux mains se refermer sur mes seins. Je ne marquai aucune désapprobation et penchai la tête en arrière. Une abondante chevelure me caressa la joue. Une fille ! Je ne pus néanmoins me soustraire à ses caresses. La façon dont elle me pelotait était délicieuse. Sûr que si elle m’attrape les tétons, je vais crier... et je criai ! De délice. Elle me tripota au moins dix minutes et lorsque j’ouvris les yeux, je vis une autre fille sucer les tétons d’Hélène qui se mit à frissonner. Puis soudain, toutes deux disparurent et j’aperçus la croupe épanouie de ma peloteuse. Je soupirai et murmurai à Hélène.
— Merci.— De quoi ?— De m’avoir entraînée jusqu’ici.
La perverse appuya sur le point sensible.
— Ton chéri te manque pas ?— Oh non !— Ben toi, tu m’épates, me répondit Hélène.
Je l’attrapai par le bras.
— Dis, Hélène, motus sur tout ce qui se passe ici, promis ?— Il n’y a pas d’Hélène ici.
Je souris.
— Tu veux faire un truc encore plus excitant ? me demanda mon amie.— C’est possible ?— Suis-moi.
Nous montâmes à l’étage et Hélène poussa une grande porte vitrée. Une immense cloison de laquelle dépassaient des extrémités de table barrait la pièce. Au-dessus des tables étaient percées de larges ouvertures circulaires dont les bords, qui me semblèrent articulés, se trouvaient recouverts de mousse.
— Qu’est-ce que c’est ?— Un truc sympa. Tu te positionnes et tu te glisses dans le trou en laissant dépasser tes fesses.— Et ?— Et tu attends.
Il me fallut quelques secondes pour comprendre, mais j’imitai Hélène lorsqu’elle se positionna. Le plateau de la table était conçu de telle sorte que je me trouvai à quatre pattes, calée dans la mousse. Hélène tourna la tête vers moi.
— T’étonne pas, y a de grandes chances que tu te fasses enculer. J’espère que tu aimes ça ?— Ben... Heu... en fait, je ne sais pas trop, on le fait quasiment jamais.— T’es étroite alors. Espérons que t’auras pas un trop gros gourdin d’entrée de jeu.
Je frissonnai.
— Tu veux être prise par combien de mecs ?— Hein ?— Tu veux te faire sauter plusieurs fois ?— Heu, je sais pas, c’est quoi cette question ?— Moi je vais partir pour quatre.
Je la vis pianoter sur un clavier disposé au bout de la table, et un système, automatiquement lui enserra la taille.
— C’est quoi ce truc ?— C’est pour m’immobiliser. Je serai libérée lorsque le quatrième aura fini. Si tu tapes rien sur le clavier, tu peux rester que pour une fois, mais ça serait dommage.— Pourquoi ?— Tu t’es déjà fait baiser à la chaîne ?— Ben non !— Alors, essaie au moins une fois et tu auras ta réponse.
J’hésitai puis j’avançai la main vers le clavier. J’hésitai encore. Deux fois ! Oui c’est bien deux fois. J’avais réfléchi à haute voix.
— Deux fois c’est pas à la chaîne, déclara Hélène.— Mince, je fais quoi alors ?— Ce que tu veux.
Puis elle pouffa.
— T’es pas cap de relever un défi.— Si, fis-je, vexée.— Non t’es pas cap !— Si ! m’entêtai-je. — Alors, appuie sur le 5 et je fais pareil.
Piquée au vif, je pressai la touche sans plus réfléchir et aussitôt le cercle se referma autour de ma taille.
— Je peux plus bouger, grognai-je.— C’est le but. T’es bloquée pour cinq coups de bite. C’est plutôt excitant, non ?— Et on fait quoi, maintenant ?— On attend ces messieurs. — Et s’ils savent pas qu’on est là.— Oh, ils le savent déjà.— Hein ?— Tu te souviens des écrans ?— Oui.— Ben ils nous ont vues nous installer. Et ils savent combien on en veut.
J’entendis soudain du bruit et je frissonnai. Hélène me murmura.
— C’est deux filles qui vont occuper les places restantes.
Elle tourna la tête vers la fille à sa droite puis revint vers moi en murmurant :
— Oups ! C’est une gourmande, elle est partie pour huit. Et... je crois que c’est parti pour moi. Un conseil ma vieille, détends-toi et profite.
Je sentis bientôt des mains se poser sur ma croupe. Des mains qui écartèrent mes fesses. Aïe ! C’est parti pour une sodo. Mais non, je sentis sa langue titiller mon anus et je ne pus m’empêcher de murmurer à Hélène :
— Il me lèche l’anus.— Et... et alors ? fit-elle entre deux gémissements.
Au début, je trouvai ça un peu « crade », mais la sensation exquise me fit rapidement réviser ma position. Mon excitation monta graduellement au rythme des cris mal contenus d’Hélène. Elle prenait son pied la cochonne. Et moi, qui n’en était pas moins une, j’étais impatiente de me sentir investie par une belle bite bien dure. Je fus exaucée... dans mon trou le plus intime et je criai.
— Qu... quoi ? ânonna Hélène. — Il me l’a mise dans le cul, ça fait mal !
Je me surpris de mon vocabulaire grossier.
— Détends-toi bien, ça va...
Hélène ne put achever. Je l’entendis jouir dans de petits cris aigus puis, quelques secondes plus tard, je compris, à sa respiration qu’elle était repartie pour un tour de manège. Quant à moi, la douleur s’estompa rapidement et je me concentrai sur la bite qui glissait dans mon étroit fourreau. L’homme savait s’en servir et je m’étonnai de ressentir autant de plaisir en étant prise dans les fesses. Peut-être pourrai-je jouir ainsi ? Pas cette fois, car j’entendis l’homme rugir avant que je ne sente sa queue se retirer. Je fus aussitôt investie - dans la chatte cette fois - par une bite dont je tentai d’évaluer le volume. Je la pensai finalement de petite taille, car elle ne me sembla pas frotter contre les parois de mon vagin. Erreur ! J’étais sans doute trop mouillée, car lorsque l’homme se déchaîna... mon plaisir en fit autant ! Il me défonça et je hurlai.
— Ça va ? s’inquiéta Hélène.— Ou... Oui, il me défonce.— Où ?— La chatte.— Moi j’ai la rondelle en feu. Mais c’est bon. T’en es à combien ?— Deux.— Moi au...
Sa réponse se perdit dans un puissant orgasme. Et moi je reçus un dernier coup de boutoir qui me fit décoller au septième ciel. Point d’interlude. Une autre bite se présenta devant l’orifice de mon petit trou, et son propriétaire cru bon de préciser :
— Je vais t’enculer salope !
Etrangement, son verbiage me fit frissonner... d’excitation. Mon homme ne m’avait jamais parlé aussi crûment pendant l’amour... et ça m’électrisait... tant et si bien que je murmurai :
— Oh oui, défonce-moi.— Quoi ? me questionna Hélène.— J’en ai encore un dans les fesses et...— Je dus marquer une pause pour manifester mon plaisir - Tu... tu arrives à jouir comme ça ?— Bien sûr, pas toi ?
Je ne répondis pas et me concentrai sur les réflexions de mon étalon.
— Tu aimes te faire prendre dans le cul, hein ma salope ?
Devais-je répondre ? Non bien sûr. Pourtant je le fis... malgré moi.
— Oui ! criai-je, fais-moi jouir.
Je devenais folle. Je perdais toute retenue et je secouai la tête.
— Ben dis donc, qu’est-ce qu’il te met, fit Hélène.
Je ne répondis pas, mais j’ouvris grand la bouche pour lancer :
— Oh putain que c’est bon.
Puis j’explosai dans un orgasme surpuissant. Je le sentis se retirer. Vite, vite un autre, je voulais encore être prise dans la chatte ou dans le cul. Peut m’importait, mais je voulais sentir une bite en moi. Une belle queue bien raide qui me laboure ! J’en voulais encore et encore. Et j’en eus pour mon plaisir si bien que je fus un peu déçue lorsque le mécanisme me libéra. Je descendis de la table puis je titubai. Hélène dut me rattraper.
— Viens t’asseoir un instant.
Elle me caressa tendrement le visage.
— Alors, c’était comment ?
Je n’eus pas besoin de répondre. Elle vit mon contentement sur mon visage. Avant de quitter la pièce, je déclarai :
— Pourquoi tu m’as pas amenée plus tôt ?
Elle éclata de rire.
— Toi alors ! Et au fait, t’as joui dans les fesses.
Je hochai la tête en guise d’affirmation.
— Ben tu vois tu seras pas venue pour rien.
Je lui souris.
— Tu veux faire un tour au stand SM, me demanda-t-elle ?— Juste pour voir alors.— Oui, c’est ça !— Quoi ?— Jusqu’à présent, t’as voulu tout voir et t’as tout fait ! C’est pas la peine de chercher à jouer les saintes-nitouches. T’es une salope comme moi.
Je souris. Elle avait raison. Ce soir, j’étais possédée par le diable !
— Allez on monte au grenier, fit Hélène.
Nous arrivâmes dans un immense espace occupé par divers appareils dont j’ignorai la fonction. Sur la droite, un homme bâillonné était tiré... par le sexe. Un lien était fixé autour de sa bite et de ses couilles et la fille, qui tenait l’extrémité, le tirait. S’il n’allait pas assez vite, les liens se resserraient autour de ses organes.
— Ça doit faire mal, glissai-je à Hélène.— C’est un peu le but.
Je remarquai un peu plus loin une cravache qui s’abattait sur les fesses d’un autre homme.
— Elle, c’est maîtresse Catarina. Elle a une petite notoriété dans le milieu SM. Elle fait les filles et les garçons. Tu veux essayer.— Heu... Non ! — Bon, on continue alors.
Au fond de la pièce, un homme cagoulé giflait les seins volumineux d’une jeune blonde.
— T’as vu ses mamelles ? T’es battue ma vieille, fit Hélène.
Effectivement, la fille avait des nichons énormes et la jalousie m’incita à les trouver flasques. En fait, la raison retrouvée, je dus admettre qu’elle avait des obus magnifiques. Je m’arrêtai pour regarder. L’homme pinça les tétons et la fille se plia en deux, puis il saisit des pinces métalliques et les fixa aux mamelons. Elles étaient reliées à des chaînettes qui supportaient des poids. Il saisit la fille par les cheveux puis la força à se courber. Il prit une sorte de matraque et lui inséra dans la chatte.
— C’est un bâton vibrant, me précisa Hélène. Mais elle ne doit pas jouir... Sinon !— Sinon quoi ?— Tu verras, parce que c’est impossible de pas jouir avec ce truc.
Moins de cinq minutes plus tard, j’entendis la fille exploser dans un orgasme. L’homme l’attrapa aussitôt par la tignasse puis il baissa son pantalon et glissa sa queue dans sa bouche. Il lui bloqua la tête et la baisa sauvagement.
— C’est la punition, me renseigna Hélène.— Eh ben...
Elle me regarda dans les yeux.
— T’as déjà été baisée dans la bouche, comme ça ?— Non jamais et toi ?— Ça m’arrive.— Avec lui ?— Parfois. C’est une sensation assez curieuse, tu devrais essayer. — Je sais pas. — Si tu hésites, c’est bon signe. Attends !
Elle se dirigea vers l’homme cagoulé puis quelques minutes plus tard, je le vis approcher. Je frissonnai. Il ne me laissa pas cogiter et m’attrapa le bras.
— Viens !
Je dus trottiner pour le suivre et je lançai un regard d’inquiétude à Hélène qui nous suivit. L’homme me lia les poignets à des chaînes qui pendaient d’une poutre puis il me glissa les chevilles dans des sabots qu’il verrouilla. Il me claqua les fesses, glissa la main entre mes cuisses et me tritura la chatte sans ménagement avant de venir s’emparer de mes mamelles et de leurs tétons qu’il pinça fortement. Je me trouvai un peu déstabilisée en trouvant cela...
Agréable ! Mince alors ! Il plaça des pinces reliées à des poids et je trouvai la sensation... curieuse... curieuse et exquise... même si je grimaçai lorsqu’il tira sur les chaînettes. Après les avoir longuement malaxées, il abandonna mes mamelles et s’accroupit pour fixer un dispositif similaire... à ma chatte. Sensation étrange ! Je sursautai lorsqu’il plaqua ce qui me sembla être une sorte de ventouse... sur mon clitoris, puis il actionna une petite pompe et je jouis en moins d’une minute. La sanction fut immédiate et je reçus un coup de cravache sur les fesses.
— Qui t’a autorisé à jouir salope ?
Je commis l’erreur de vouloir répondre.
— Je heu...
Et un nouveau coup de cravache s’abattit avant que l’homme ne se retourne vers Hélène.
— Fouette-la ! Elle a besoin d’être disciplinée.
Je vis, effarée, mon amie se saisir d’un fouet aux lanières de cuir.
— Plus fort, ordonna l’homme.
Hélène n’osait pas alors il retira son ceinturon pour cingler la croupe de mon amie.
— J’ai dit plus fort ! Je veux qu’elle ait le cul rouge.
Hélène frappa plus fort et je sentis la morsure du fouet, ce qui me procura une sensation vraiment étrange lorsque la douleur se confondit avec le plaisir... d’être punie ! Je ne me reconnaissais plus. Sûr, j’avais pété les plombs ce soir ! Au bout d’un moment; il stoppa Hélène puis empoigna mes cheveux.
— Tu as compris sale chienne ?
Je ne répondis pas, mais c’était vrai. Je me sentais chienne ce soir. J’aurais dû répondre.
— Quand je pose une question, je veux que tu répondes.
Hélène s’approcha pour me murmurer.
— Demande-lui pardon.— Pardon, lançai-je.— Pardon qui ? hurla l’homme avant de me claquer violemment les fesses.
Hélène murmura encore :
— Maître.
Et je répétai :
— Pardon maître.— Heureusement pour toi que tu as une amie, fit-il.
Je le vis saisir le bâton qu’il avait utilisé avec la fille tout à l’heure. Il le glissa dans ma chatte et je sentis aussitôt les vibrations. Il me tira les cheveux.
— Si tu jouis, je te punis !
Je tentai de résister, mais il faisait varier la profondeur de la pénétration ainsi que les vibrations. Je tentai encore de résister... mais lorsqu’il pressa la poire reliée à la ventouse de mon clitoris, j’explosai.
— Libère-la, lança l’homme à l’intention d’Hélène. Je vais lui apprendre ce qu’il en coûte de me désobéir.
Libérée, il me fit tomber sur le sol, puis il me traîna par les cheveux jusqu’à une planche où il me positionna à angle droit avant de me lier les poignets. Mes mamelles avaient trouvé place dans des trous. Il fixa des électrodes sur mes tétons puis tourna un potentiomètre. Les décharges n’étaient pas vraiment douloureuses, mais désagréables et je serrai les dents à chaque impulsion.
— Je vais t’apprendre à obéir petite pute, lança-t-il avant de se positionner derrière moi... et là j’eus l’impression qu’on m’explosait l’anus. Il venait de me pénétrer sans ménagement et me défonçait le cul. Je ne ressentais aucun plaisir. Soudain, il me libéra, me jeta au sol et planta sa queue dans ma bouche. Il me bloqua la tête et finit de me baiser sauvagement. Je reçus son sperme au fond de ma gorge puis il se retira et retourna tourmenter la fille. Hélène se pencha sur moi.— Ça va ?
Je parvins à lui sourire. Elle m’entraîna dans un coin de la pièce où elle me servit une tasse de thé. Assise dans le fauteuil en rotin, je repris peu à peu mes esprits.
— C’était un peu violent, fis-je. Mais ça ne m’a pas déplu, même si je n’ai rien ressenti d’agréable quand il m’a baisée. Et tu sais quoi ?— Non.— J’ai aimé qu’il soit seul à prendre du plaisir.— Vraiment ?— Oui, vraiment.
Hélène me claqua la cuisse.
— Alors là t’as vraiment l’âme d’une soumise.— Tu crois ?— Oui. Moi aussi d’ailleurs, parfois, mais on va peut être en rester là pour ce soir avec le SM.— OK.
Hélène me regarda intensément.
— J’ai envie d’une fille.— Hein ?— Pas toi bécasse. Quoique... Non sérieux, j’ai envie de lécher une belle chatte. Viens.
Elle m’entraîna dans l’aile droite de la propriété puis soudain me désigna une porte.
— Là c’est le coin des mecs. Tu veux voir ?— Ben...
Elle poussa la porte. Au centre, deux hommes étaient en train de s’enfiler tandis que sur la droite, un très beau spécimen suçait son partenaire.
— Excitant, non ? fit Hélène.— Bof, c’est pas trop mon truc.
Elle poussa une autre porte.
— Là c’est les filles. J’espère que celle que je cherche s’y trouve.
Elle devança mes questions.
— Elle a une chatte incroyablement douce avec un gros clito délicieux. Ah la voilà. Tu peux m’attendre ici sur le sofa. T’es pas obligée de consommer.— OK !
Je vis Hélène s’approcher de sa proie. Celle-ci ne fit aucune difficulté pour recevoir la bouche gourmande entre ses cuisses. Je ne perdis pas une miette du spectacle. Hélène prenait son temps et elle faisait décoller sa partenaire. Je n’ai pas vu arriver la fille. Blonde, au moins un mètre quatre-vingt, une taille de guêpe et des nichons époustouflants. Elle s’assit.
— T’es nouvelle ?— Heu... oui.— Pas trop impressionnée ?— Non, c’est plutôt sympa.
La Barbie sourit puis elle attaqua.
— T’as de superbes nichons.— Les tiens sont pas mal non plus.— Je les trouve un peu mous. Touche-les et dis-moi ce que tu en penses.
Je n’avais pas trop envie, mais je n’osai pas me défiler et palpai les généreux globes. J’étais certaine qu’ils étaient siliconés. Je ne pus me retenir :
— Silicone ?— Oui, je sais, j’aurais pas dû, mais quand on est mannequin, il faut tout garder en état. Les tiens en revanche, c’est du naturel.
Elle les saisit à pleines mains.
— Ah oui, félicitations et t’as des tétons énormes.
Avant que je ne pus réagir, elle les téta goulûment et la sensation déclencha une salve de désir. Je fermai les yeux et basculai la tête contre le dossier. Elle me régala longuement puis murmura :
— T’as aussi une jolie chatte. T’as déjà été léchée par une fille ?
J’avais envie de lui répondre que même avec un mec, c’était extrêmement rare, mais elle avait déjà plongé, alors, sans vraiment en avoir conscience, j’écartai les cuisses... à fond, et je laissai mon clitoris rouler sous la langue du mannequin. C’était la première fois qu’on me léchait aussi bien et j’en vins à me demander si les filles ne le faisaient pas mieux que les mecs. Je me laissai aller à un premier orgasme, puis la fille partit à la recherche de mon point G qu’elle trouva en quelques secondes. Je ne sais pas ce qu’elle fit exactement, mais je repartis pour un tour. Grandiose ! Chapeau l’artiste ! Après de longues minutes, elle se releva et comme je ne voulais pas être en reste, je demandai :
— Tu veux que...— Te bile pas. Ce que j’aime c’est lécher. Et la tienne est délicieuse.— OK.
Deux minutes plus tard, Hélène me rejoignit.
— Tu t’es pas embêtée ?
Je lui racontai.
— Toi alors, t’es une véritable chienne.— Tu peux parler !
Nous éclatâmes de rire. Puis soudain, je lançai une question idiote.
— Et avec moi, t’as déjà eu envie ?
Elle soupira.
— Oui, bien sûr. Mais je ne veux pas compromettre notre amitié.
Je ne jugeai pas utile d’épiloguer et lançai :
— Y a encore des choses à découvrir ?— Je crois qu’on a fait le tour. Ce qui reste c’est dégueu.— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Au fond du parc, y a un enclos pour les filles qui aiment la zoophilie.
Bécasse, je lançai :
— C’est quoi, ça ?— Des filles avec des animaux.— Mais c’est dégueulasse !— Ouais. Mais il en faut pour tous les goûts. Allez, viens on a bien mérité une coupe de champagne. Nous en bûmes deux, puis Hélène me confia.— Je ferai bien encore un petit truc avant de partir.— Quoi ?— Ben... J’ai encore envie de sucer des bites.— Toi alors ! — Tu te sens prête pour un nouveau défi ?— Quel défi ?— Je parie que t’es pas cap de sucer dix mecs à la suite.
Je montai sur mes grands chevaux.
— Bien sûr que je suis cap !
Moi et ma grande gueule !
— Bon, viens, fit Hélène.
Elle m’attira dans la salle principale, s’empara d’un micro puis me tira devant la caméra.
— Mon amie et moi recherchons vingt candidats, deux fois dix, pour des pipes à la chaîne. Nous serons dans la véranda.
Dix minutes plus tard, nous étions assises sur de moelleux coussins. Une fille s’approcha de nous. Hélène me confia qu’elle assurait l’arbitrage pour valider notre prestation.
— Vous êtes prêtes ? Je vous rappelle que vous devez avaler le sperme.
Avaler ? Dix fois ? Là ça faisait un peu beaucoup ! Mais j’allais passer pour une conne en me défilant maintenant. Moi et ma putain de grande gueule !
— Prêtes ? répéta la fille. Top c’est parti.
Je me jetai sur la première queue, longue et fine. Je la masturbai un peu et fus rappelée à l’ordre.
— Branler ça compte pas. Mettez les mains dans le dos les filles.
Bon, ben maintenant, j’avais plus que ma bouche. Alors je pompai. Heureusement, c’était un rapide et je passai à la seconde bite trente secondes plus tard. Une belle queue dure comme la pierre. Un régal. J’aurais voulu prendre mon temps, mais pas possible, alors je pompai vigoureusement. A la septième, je faillis jeter l’éponge. Je n’arrivai plus à avaler tout ce sperme. Mais je me ressaisis et ne refermai même plus la bouche entre deux bites. Je laissai même le neuvième candidat me baiser vaillamment... dans la bouche, bien sûr. Ça me reposa un peu puis je sprintai sur la dernière queue rikiki, mais je ne pus achever dans les temps alors qu’Hélène avait déjà terminé.
— Pas de validation pour votre prestation les filles, déclara l’arbitre.— Même pas pour Hel... Heu... Clara ?— Non, c’est un travail d’équipe. Désolée.
J’étais dépitée.
— Qu’est-ce qu’on s’en fout, lança Hélène. T’as aimé ?— Je crois que oui.— Alors le reste, on s’en fout, non ?— T’as raison.— On y va ?— OK.
Nous récupérâmes nos affaires au vestiaire. Hélène enfila sa robe tandis que j’hésitai.
— Qu’est-ce qu’il y a ? s’inquiéta mon amie.— J’ai envie de rester à poil.
Elle haussa les épaules et je la suivis sur le parking, tenant ma robe dans la main. Une fois dans la voiture, je retins Hélène qui s’apprêtait à enclencher la première.
— Attends !— Quoi ?— Je me penchai vers elle et l’embrassai. Elle en profita pour me caresser les seins puis murmura :— Tu dors à la maison ?
Je ne jugeai pas utile de répondre.
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