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Soirée piscine

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je ne comprends pas pourquoi mon mari qui aime que je sois sexy en bikini m’a acheté un maillot une pièce blanc tout à fait ordinaire pour nos séances hebdomadaires de piscine. Moi j’aime bien les petits deux pièces qui attirent les regards. Quand je nage la brasse, je sais que quelques hommes me suivent la tête sous l’eau avec leurs lunettes. Je les appelle les « lunetteurs ». Alors j’écarte bien les jambes, le plus possible et en bout de bassin je m’adosse au muret et je les vois venir. Parfois je passe ma main entre mes cuisses ou sur mes seins pour les exciter un peu plus. On ne peut pas voir que je mouille mais mes tétons sont un indice. J’aime quand ils pointent à m’en faire mal et qu’ils deviennent gros comme une phalange. Quand je repars dans le bassin, je cherche à voir les déformations des maillots masculins. Il y en a qui devront attendre un certain temps avant de sortir de l’eau.
Bref, ce maillot blanc … bof ! Mais comme mon mari insiste, je le mets dans le sac. A la piscine, il y a le coté hommes et le coté femmes et un vestiaire commun qui doit servir aux écoles. Afin de rester ensemble, nous utilisons ce vestiaire inutilisé aux heures du soir. Donc, on se change, on dépose nos affaires dans un casier et bonnet sur la tête, lunettes au front et serviette sur l’épaule, nous nous dirigeons vers les douches obligatoires pour accéder au bassin.Je ne vois pas tout de suite pourquoi deux hommes qui passent devant moi restent figés. C’est après la douche que je passe devant un grand miroir et que je me vois. Le maillot mouillé collé à ma peau est devenu complètement transparent. Je suis comme nue, on voit tout. Je me cache avec la serviette roulée au dessus des seins.
·        Alors il n’est pas bien ce maillot ?·        Salaud, tu me paieras çà.·        Si tu veux tout savoir, je ne l’ai pas trouvé au rayon des maillots de bain mais au rayon danse. Les tissus sont plus fins et sans doublure.
Arrivée au bord du bassin, je lui colle ma serviette dans les bras et je plonge tout de suite avant de déclencher une émeute. Les lunetteurs ne tardent pas à remarquer la singularité de mon maillot, je suis suivie de près. Je suis excitée comme une puce de savoir qu’en nageant derrière moi ils voient toute mon intimité. Quand j’arrive au bout du bassin, je fais une pause dos au bord. Je les vois venir en face de moi, un à un. Alors je fais des mouvements de jambes pour bien m’exhiber. Mes tétons sont énormes et trahissent mon plaisir. Quand un lunetteur approche en face, je me touche les seins et passe ma main sur mon sexe. A me montrer comme çà, je me sens vraiment salope. J’ai envie de me faire baiser comme telle.
Mon mari s’arrête de nager à coté de moi. Je ne résiste pas, je me déplace face à lui et me colle contre lui. Je me frotte contre la bosse de son maillot. Lui aussi il bande. Il me tient par les fesses et accentue le mouvement. Les voyeurs se sont eux aussi arrêtés de nager et trois d’entre eux font cercle autour de nous. Ils font des apnées pour mieux voir. J’imagine leurs pensées lubriques en regardant cette femme impudique qui se frotte contre le sexe d’un homme devant tout le monde. J’imagine qu’ils s’approchent en me touchent les seins, les fesses, le sexe … Ces pensées déclenchent mon orgasme. Ils doivent bien voir les secousses et les tremblements qui m’agitent.
·        Je vois que ton nouveau maillot te fait de l’effet.·        Ma vengeance sera terrible, en sortant je vais dans les douches coté hommes.·        Chiche !·        Et je leur demanderai de me savonner.·        Et … ?·        S’ils nous suivent au vestiaire, je les sucerai comme une catin.
Finalement quand je décide de sortir du bassin, un quart d’heure avant la fermeture, mes admirateurs ne sont plus que deux. Je me dirige vers les douches avec les deux et mon mari. Je tends le flacon de gel douche au plus proche.
·        S’il vous plait, vous voulez bien me savonner le dos ?·        Avec grand plaisir chère Madame.
Et je baisse mon maillot jusqu’à la taille. Ces mains me savonne le dos ou plutôt me masse de plus en plus bas puis sur les cotés, je lève légèrement les bras et il me caresse le coté des seins. Devant mon absence de réaction, il me prend les seins à pleine main et … les fesses. Oh ! Il y a quatre mains. Je suis en train de me faire savonner par deux inconnus. Je sens mon maillot descendre encore, il tombe à mes pieds. Je ne sais plus où j’en suis, les mains me caressent partout, les seins, les fesses, le sexe. On essaie de pincer mes tétons mais le savon les rend glissants. Je suis obligée de les rincer pour qu’ils arrivent à leur fin. Deux doigts me branlent et quand enfin mes tétons sont étirés, tordus, j’ai un orgasme fabuleux. J’entends un cri de femme qui résonne dans les douches, oups, c’est moi. Mes jambes me lâchent, je glisse à genoux et quand j’ouvre les yeux j’ai deux verges tendues devant le visage. Je les prends aussitôt en mains, réflexe, et j’ouvre mes lèvres pour accueillir mon mari. Me savoir ainsi, agenouillée dans les douches d’une piscine, en train de branler deux hommes et de sucer le troisième, relance mon envie de me faire baiser mais on entend des pas, des bruits de claquettes sur le carrelage.
·        Messieurs dames s’il vous plait, on se dépêche, je dois fermer.
Et quand le maitre-nageur est en vue, Il découvre une femme nue, à genoux devant un maillot (remonté en urgence) honteusement  déformé par son contenu. On entend la cavalcade des deux fuyards, ce qui laisse penser que nous n’étions pas que deux. Son sourire goguenard en dit long. Il ne me quitte pas des yeux.
·        Avec ou sans maillot, çà ne change pas grand-chose. J’ai bien vu votre petit manège dans le bassin. Vous êtes une sacrée coquine.·        (mon mari) Oh, vous pouvez dire une sacré salope, n’ayez pas peur des mots.
Je me relève, je le regarde, il est plutôt beau gosse et son maillot semble bien rempli. Je n’ose pas crier qu’il faut que l’on me baise d’urgence, je tente une diversion. Je passe une main caressante sur le devant du maillot de mon mari et me pince un téton de l’autre. Je vois le slip de bain du maitre-nageur gonfler. Je fait aller mon regard de lui à mon téton libre, une invitation … et çà marche, il s’approche et vient m’attraper par les bouts. Il me les tord durement, comme j’aime. 
·        Attendez, je vais vérifier que tout le monde est parti et donner un tour de clé à l’entrée.·        Revenez vite !
En attendant, nous reprenons nos affaires dans le casier et regagnons le vestiaire. J’ai une pensée pour les deux dégonflés qui se sont sauvés. Je pousse mon mari sur une chaise et je me mets à quatre pattes devant, le cul tourné vers la porte. Je le suce comme une affamée. Dans mon esprit, quand il va me voir comme çà, il va venir derrière moi et m’enfiler directement en levrette. Je mouille comme une folle.J’ai tout faux, quand il entre, il est nu et va s’allonger un banc. Le mat est dressé à la verticale.
·        Après une séance de natation, vous ferez bien un peu d’équitation.
Le message est clair, je me lève et vient enjamber le banc pour chevaucher la bête. Je suis tellement excitée que, malgré sa bonne taille, tout rentre d’un coup avec un bruit de clapotis qui doit vraiment me faire passer pour une chienne en chaleur. Je lui demande de se retenir et de ne pas jouir en moi. Il me donne son rythme en me tirent par les tétons. Mon mari vient se faire sucer sur le coté. Je commence à jouir. Je couine, je crie.
·        Oui, Oui, baisez-moi encore, plus fort !
Je suis à peine sortie de l’orgasme qu’il me bloque sur lui. J’ai compris. Je quitte ma monture qui se relève. Je prends sa place sur le banc, assise. J’ai un sexe dans chaque main et ma bouche va de l’un à l’autre. Je les lâche pour triturer mes tétons. Ils se branlent devant mon visage. Je sais que je vais me faire souiller de leur sperme. Je glisse mes doigts entre mes cuisses et me penche un peu en arrière pour qu’ils voient bien que je fais comme eux.J’ai encore un orgasme quand je reçois leurs jets de foutre en plein visage. J’en ai partout, jusque dans les cheveux, çà coule sur mes seins. Retour à la douche et encore deux hommes qui me savonnent.Nous sommes repartis avec des cartes d’abonnement permanent et la promesse de visiter le local des maitres-nageurs la prochaine fois. Il parait que, parfois on y corrige les dévergondées. Que c’est bon d’être une salope.Vive la natation
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