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Soirée piscine

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Suite de «Soirée piscine 1» 
Vendredi soir, c’est piscine. Après la séance de la semaine dernière, je crains (ou je souhaite) le pire. Mon mari m’informe par texto qu’il est en retard et qu’il me rejoint sur place. Je suis donc contrainte de mettre un maillot un peu moins provocateur que vendredi dernier. J’opte pour un bikini string pas trop sage quand même.
Quand j’arrive sur le bassin, le maître-nageur semble déçu de ma tenue. Je vais le saluer et lui explique le retard de mon mari et que nous ferons volontiers la fermeture avec lui. Il me dit qu’il y a sa collègue Sylvie dans le bureau des maitres-nageurs et qu’elle souhaite faire ma connaissance. Je dois le suivre. Trois minutes avec lui et je mouille déjà. Je repense à ma séance d’équitation.
·       Je dois rester au bord du bassin car il ne doit pas rester sans surveillance, désolé, mais nous nous verrons plus tard.·       C’est qui cette Sylvie ?·       C’est ma collègue, on se relaie. Je lui ai raconté ce qu’il s’est passé la semaine dernière et elle a regretté son absence. Je crois qu’elle a envie de s’occuper un peu de vous.
La dite Sylvie est vêtue d’un slip de bain en grande partie caché par un grand tee-shirt. Elle me regarde de haut en bas avec un sourire vicieux.
·       Alors comme çà c’est toi la salope qui se baigne presque à poil et qui allume les baigneurs dans les douches.·       Heu, c’est eux qui m’ont suivie.·       Ta ta ta, et mon collègue Jeanneau, il vous a violée peut-être. Il m’a confié que vous êtes une bonne suceuse. Ca vous excite de vous exhiber et de vous faire baiser ?·       Euh, oui, c’est ma faiblesse, je dois bien l’avouer.·       J’ai demandé à Jeanneau de repérer les deux hommes qui vous ont accompagnée aux douches et de les conduire ici. Je vais leur montrer qui commande ici et comment on doit se comporter dans une piscine publique. Vous allez recevoir une bonne fessée devant eux et ils devront faire le ménage des douches tout nus.
Bien sur, le simple fait d’avoir entendu le mot «fessée» me met dans tous mes états. Je sens mon jus qui coule de mon abricot et je me dandine en serrant les jambes. Sylvie s’assoie au bord du gros fauteuil de skaï et écarte le fond de son maillot. Elle écarte grand les cuisses.
·       En attendant, montre-moi de quoi tu es capable. J’aime bien dominer les femmes cochonnes qui n’ont pas froid aux yeux. Tu n’as pas besoin de parler, tes tétons te trahissent. Approche que je joue avec !
J’approche d’elle, elle me saisit par les mamelons et me les torture un peu. Çà fait mal mais j’adore çà. En me tirant par les bouts, elle amène ma bouche à hauteur de son sexe.
·       Si tu me fais jouir, je serai peut-être indulgente avec toi tout à l’heure.
·       Je ne veux pas d’indulgence, même si je vous fais jouir.
Et je commence à lécher son fruit mur. Elle est déjà dégoulinante. Elle donne son rythme en tirant par mes tétons. Elle a un gros clitoris que j’aspire entre mes lèvres. Je glisse une main entre mes cuisses pour me soulager un peu, puis de l’autre main je lui enfile deux doigts d’un seul coup. Il n’en fallait pas plus pour la faire crier son plaisir. Je reçois une giclée de cyprine en plein visage. C’est aussi une femme fontaine.
·       Toi, tu ne jouis pas, interdit ! tu te gardes pour les hommes, je veux te voir te faire sauter comme une catin. Moi, les hommes me font jouir mais il n’y a que les femmes qui me font gicler comme çà.·       Je vous prêterai mon mari.·       Avec grand plaisir.
J’ai encore les seins à l’air quand le petit groupe entre dans le bureau. Il y a mon mari, enfin arrivé et un inconnu. Le tout sous la conduite de Jeanneau.
·       Je vous présente Jimmy, l’homme du ménage. Notre belle impudique lui donnera une gratification buccale en fin de service. En attendant, petite séance de natation à poil puisqu’il n’y a plus personne. Quand aux deux fuyards des douches, ils ne sont pas venus. Allez, à l’eau !
Nous sommes cinq dans le bassin à faire des longueurs. A chaque croisement, je sens des mains sur moi. A chaque arrêt en bout de bassin, je suis tripotée, branlée, excitée, … Sylvie n’est pas en reste et mon mari en fait les frais. Elle le suce sous l’eau en apnée. Après une bonne demi-heure, Jeanneau invite tout le monde à sortir du bain et nous rejoignons le local des MNS.C’est un coup monté, je me retrouve à plat ventre sur la table, les pieds au sol, les jambes écartées. J’ai la naïveté de croie que je vais me faire baiser, il n’en est rien. Mon mari me tient les bras devant, Jeanneau et Jimmy me maintiennent les jambes ouvertes et Sylvie commence à me fesser sévèrement. Quand mes fesses me brulent, elle passe ses doigts dans ma fente et comme c’est trempé, elle continue. Elle fait comme le jeu télévisuel :
·       Stop ou encore ?·       Oui, Encore !
Etre exhibée dans cette situation humiliante m’excite au plus haut point. Si elle continue, je vais jouir. Summum du sadisme, elle s’arrête et me laisse sur ma faim. Je n’en peux plus, alors je passe les mains sous mon bassin et je me branle devant eux.Je vois Jeanneau s’installer sur le banc, souvenir, souvenir. Rien ni personne ne peut me retenir, j’enfourche ma monture et d’un seul coup de bassin je me la mets bien au fond. Commence ainsi une cavalcade délirante, je me baise sur le membre tendu comme une folle. C’est du délire. C’est Jimmy qui s’occupe de mes tétons.
Sylvie a pris ma place sur la table et mon mari lui fait gouter la levrette. A l’entendre, elle a l’air d’apprécier. Elle crie son plaisir puis elle vient sucer mon homme. Quand à moi, mon orgasme ne finit pas. Je suis prise par les hanches et tirée en arrière. Je me retrouve à quatre pattes sur le banc avec le sexe de Jeanneau devant la bouche. Il sent bon mon jus. Je le suce comme je peux car Jimmy m’enfile bestialement d’un grand coup de reins. Jeanneau se lâche dans ma bouche et Jimmy sur mes fesses. Je jouis encore. Sylvie s’approche de moi et m’enlace pour un long baiser plein de foutre.
·       Tiens, je te donne le jus de ton mari.·       Merci, comment trouves-tu le goût de Jeanneau ?·       Oh, je le connais déjà. L’hiver, quand il n’y a personne, il faut bien qu’on s’occupe.
Depuis, nous continuons la piscine tous les vendredi soir. J’y suis maintenant célèbre. Je porte mon maillot transparent avec aisance et avec le personnel de la piscine, je suis sure et certaine de passer une bonne soirée.Il y a aussi des habitués qui attendent la fin des bains pour assister ou participer à ma douche. La plupart ne sont que voyeurs mais parfois un ou deux sont invités dans le bureau des MNS. Parfois c’est une autre femme. C’est curieux de constater que, quand il y a une salope, les autres ont envie de l’imiter. Les maillots de bains de cette piscine sont de plus en plus sexy.
J’ai enfin trouvé la motivation pour faire régulièrement du sport.
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