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Soirée spectacle en amoureux

Chapitre 1

Erotique
Ce soir, c’est une petite sortie en amoureux. Au programme : le spectacle de Gad Elmaleh au Zénith. Je demande à ma femme, pour l’occasion, de mettre une robe avec des collants ouverts ; j’aime la sentir accessible.
Après nous être faits beaux, nous prenons la route. Pendant la petite heure qui nous sépare de la salle de spectacle, je laisse mes mains très souvent sur ses cuisses. Je remonte doucement pour toucher sa peau. De temps en temps je caresse son abricot. Elle me laisse faire et se laisse trousser. Nous sommes en plein mois de novembre et il fait déjà nuit. Au loin sur l’autoroute je distingue un poids lourd. Notre monospace est un vrai aquarium, vitré de toute part. Il me vient alors une idée.Je dis à ma femme :
— Ferme les yeux et écarte un peu les cuisses. Ne t’inquiète pas, je ne rentre rien de bizarre...
Elle sait comme je suis imaginatif, mais là elle ne me voit pas venir. Joueuse, elle s’exécute. Elle bascule son bassin pour me laisser accès à son trésor, pubis assez fourni et lèvres soigneusement épilées : j’adore ! Elle s’abandonne à mes caresses. Je sens sa chatte qui commence à s’humidifier. J’allume la lumière de l’habitacle. Le camion est à 300 m environ. Je lui fais des appels de phares à répétition puis je laisse ma vitesse se réduire sans freiner pour ne pas alerter ma femme qui, je suis sûr, va me râler dessus !
J’arrive à hauteur de la cabine. Je lui demande d’écarter encore un peu plus les cuisses ; je sens son souffle qui s’accélère. Je lui pince le clitoris et tire dessus. Je tire sur ses grandes lèvres pour rendre l’intérieur de son sexe visible. Je commence à bander sérieusement. Quand tout à coup le chauffeur du camion klaxonne, même moi je sursaute ! Je ne vous dis pas bond que ma douce fait.
— Mais qu’est-ce que tu fais ? me dit-elle en resserrant les cuisses et en descendant sa robe à la vitesse de la lumière. Éteins ça tout de suite !
J’accélère de nouveau et distance le véhicule du voyeur opportuniste. À son tour il me fait des appels de phares et met son clignotant lorsque nous passons à côté d’un panneau nous indiquant une aire de repos à deux kilomètres.
— Tu vois, ma chérie, tu lui as plu. Il semble nous inviter à le rejoindre sur l’aire de repos qui approche.— Alors là, sûrement pas ! T’es malade ou quoi ? Je te préviens : tu ne t’arrêtes pas !— Mais non, ne t’inquiète pas. De toute façon on n’a pas le temps.— Ah, parce que si on avait le temps tu te serais arrêté ?— Pas sans ton accord...— Ça ne va pas ou quoi ? Et s’il nous connaissait ?— Il y a peu de chances : il est immatriculé dans l’Est.— Ce n’est pas une raison...— Le prends pas mal, j’aime t’exhiber. Je te trouve belle et j’aime que tu excites d’autres hommes, surtout si je suis là.— Eh bien moi, je n’aime pas !

Au péage suivant le l’embrasse dans le cou, sans rien dire d’autre pour m’assurer qu’il n’y pas de rancune.
Nous arrivons sur le parking de la salle de spectacle. Je profite du trajet entre les allées pour glisser ma main sous sa robe et lui pincer la fesse à même la peau. Ce que j’aime avec les collants ouverts, c’est que cela fait bien plus cochonne que les bas avec des porte-jarretelles, à mes yeux en tout cas. Et je sais que ma femme est une cochonne, qui s’ignore ou se contient par principe.
Nous arrivons dans la salle ; nos places sont dos au mur. Quand on dit que les riches sont devant et les pauvres derrière, a priori ce soir tout le monde est fortuné ! Mais nous serons tranquilles. Une fois la lumière baissée, j’essaie quelques approches mais je me fais rembarrer. L’heure est au spectacle ; nous passons un bon moment.
Une fois le spectacle terminé, nous prenons doucement la direction de la sortie.Une fois dans la voiture, je sors mon sexe par la braguette de mon pantalon et lui prends la main pour la poser dessus.
— Arrête, il y a plein de monde tout autour !— Oui, mais regarde : avec ce crachin, ils ne regardent que leurs pieds et ils sont enfouis dans leur capuche ou sous leur parapluie.
Elle n’ajoute rien et laisse sa main sur mon sexe qui commence à durcir. Elle le caresse à peine, de peur que chaque mouvement n’attire le regard des badauds.Une fois sortis du parking, je lui propose :
— Ça te dit d’aller faire un tour dans un sex-shop ?— Quoi ?— Aller dans un sex-shop tous les deux ; il y en a un dans le quartier de l’hôtel de ville qui possède une entrée dans une petite rue derrière. C’est discret...— Et si on tombe sur des gens que l’on connaît ?— C’est que ce sont des cochons comme nous !— Je te suis...— Alors on y va !— J’ai confiance en toi, je te suis.— On regardera si on ne trouve pas des jouets ou des huiles de massage. Et puis il y a des cabines en sous-sol.— Comment ça ?— Tu peux choisir un film porno et aller le regarder dans une cabine en bas. Ce sont des cabines qui peuvent fermer.— Encore heureux !— Certains regardent leur film la porte ouverte, et il y a même des petites trappes que chacun peut verrouiller ou non de son côté. Elles permettent de voir ce qui se passe à côté, de toucher, ou même plus.— Tu as l’air de connaître...— Bien sûr ; j’ai fait un repérage, je ne t’emmène pas n’importe où. Après je ne connais pas l’affluence le soir. J’espère qu’il n’y a pas trop de tordus.
Nous continuons à nous faufiler dans les bouchons, sa main toujours sur ma queue, cette fois complètement bandée. Plus un mot dans la voiture. Je donnerais cher pour savoir à quoi ma douce pense en ce moment.
Nous arrivons en centre-ville. Elle range délicatement ma bite dans son fourreau et m’invite à refermer ma braguette : ce serait dommage de se faire arrêter pour exhibitionnisme. Nous allons passer devant la devanture le temps de trouver une place et nous y serons. Je passe la main sous la robe de ma femme qui me laisse atteindre son sexe sans rechigner.
— Mais tu es trempée ! Tu ne vois pas comment tu mouilles ?— Bah, c’est normal, non ?— Cochonne !
Pour seule réponse elle me regarde avec un petit sourire et des étincelles dans les yeux.Nous passons devant le sex-shop au moment où la grille se ferme et les lumières de la vitrine s’éteignent. TROP TARD ! Nous voilà, ma femme avec la chatte trempée et moi avec une gaule d’enfer à la porte... Nous décidons donc de prendre la route du retour.
Nous ne disons trop rien dans la voiture. Dès que nous sommes sur l’autoroute je dégrafe mon pantalon, le baisse avec mon caleçon et sors ma queue archi-tendue.
— J’en peux plus ! Suce-moi, ma chérie...
Comme seule réponse elle passe son bras par-dessus la ceinture, se penche et me gobe la bite. Sa bouche est chaude et très active.Je l’encourage :
— Oh oui, vas-y ! C’est bon, suce-moi bien, cochonne ! Suce comme une actrice de porno... Ah oui, t’arrête pas.
Je sens la sauce monter ; j’ai bien envie de tout lui mettre dans la bouche sans la prévenir mais elle a horreur de ça, alors par respect je m’y refuse. Le péage approche ; nous allons sortir de l’autoroute. Je la préviens : elle arrête et nous nous réajustons.Nous traversons la ville, puis il nous reste 10 minutes de route. Je n’ai qu’une envie : la prendre.
— Tu es vraiment une très bonne suceuse de queues, ma chérie.— De la tienne ! J’aime quand tu prends du plaisir comme ça.— Tu mouilles ?— Regarde toi-même...
Je glisse ma main sous sa robe, elle est trempée ; sa chatte est ouverte, brûlante. Je remets mes mains sur le volant, mais la route va me paraître longue...
Après quelques kilomètres nous longeons une salle des fêtes un peu reculée de la route, mais je distingue bien qu’il n’y a personne. Je mets un coup de volant et j’emprunte le chemin qui va au parking.
— Oups-là ! Tu fais quoi ?— Je me gare.— Préviens : j’ai cru que nous allions avoir un accident ! Pourquoi ? — Tu ne vas pas tarder à le savoir...
Arrivés sur le parking, je serre le frein à main, déverrouille ma ceinture et sors de la voiture comme un diable sort de sa boîte. Je fais le tour de la voiture, j’ouvre la portière de ma femme, mais pas pour cause de galanterie : comme elle a, elle aussi, retiré sa ceinture de sécurité, je la saisis par le bras et la fais sortir de la voiture assez brusquement. Je la tire jusqu’à l’avant. Elle me fait face. Je sens qu’elle veut m’embrasser, alors je la tourne et l’oblige à se plaquer contre le capot. Je retrousse sa robe et lui mets une grosse claque sur la fesse.Elle se redresse :
— Doucement !— Tais-toi !
Je lui appuie sur les épaules pour qu’elle reste plaquée contre la tôle. Je sors ma queue. Je plie un peu mes genoux, et dès que je sens l’entrée de sa chatte je pousse un grand coup jusqu’à la garde. Si je bande à mort, elle est trempée, ma cochonne !Je la pilonne comme un forcené.Le fait d’être dans la campagne sans personne autour, elle s’abandonne à mes coups de boutoir et gueule littéralement :
— Oh oui, vas-y !— Tu l’aimes, ma queue ?— Oui, elle est bonne ! J’aime quand elle est dure comme ça !— Cochonne ! Tu aimes les grosses fessées sur ton petit cul de cochonne ?— Oui, vas-y, oui !
Je suis au bord de la jouissance. Je m’arrête net pour ressortir.
— Non, encore...— Je t’ai dit de te taire !
Je défais le haut de sa robe et son soutien-gorge pour mettre ses gros seins à l’air et les faire balloter sous mes coups de pine. Je m’accroupis et en profite pour lui manger la croupe. Je me redresse quand on aperçoit des phares sur la route.
— Tu n’as pas éteint les phares : on peut nous voir !— Ne t’inquiète pas. Si une voiture tourne, on a largement le temps de se rhabiller...
Je la saisis par les cheveux, lui plante ma queue de nouveau entière dans son sexe bouillant et reprends mon martelage. Mon ventre claque sur son cul. Je respire fort dans son cou. L’embrasse. Je sens son plaisir monter. Je suis au bord de l’explosion mais je me raidis pour jouir en même temps qu’elle.
D’un coup elle gémit fort ; je lui saisis un sein fermement pour être au bord de la douleur. Je la pilonne encore et je jouis moi aussi. Je sens que je déverse une grosse quantité de foutre dans son ventre. Nous restons soudés par nos sexes quelques instants. Après quelques caresses, la température nous rappelle que nous sommes en plein mois de novembre. Je sors du sexe de mon amante ; il est béant et laisse s’échapper une grosse dose de sperme qui tombe par terre bruyamment. Je réajuste sa robe mais laisse ses seins libres dessous.
Nous rentrons paisiblement. Une fois à la maison et couchés, je m’endors en étalant le foutre qui sort de son sexe béant dans les poils de son pubis...
J’espère pouvoir l’emmener au sex-shop une autre fois.
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