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La soirée torride de Karine et Antoine (histoire à 4 mains) - 1ère partie

Chapitre 1

Le restaurant

Erotique
CHAPITRE 1 (Antoine)
Nous nous sommes donné rendez-vous dans un resto un peu chic avec une terrasse vue sur mer que je fréquente souvent. J’ai réservé une table un peu isolée, à l’écart, où nous pourrons nous jouer de nos envies de séduction sans risquer d’être trop observés.
Comme c’est l’été et qu’il fait chaud, j’ai enfilé un pantalon et une veste légère bleu marine et une chemise blanche en flanelle. Manches retroussées sur les avant-bras et quelques boutons négligemment ouverts sur mon torse glabre. Toutefois, comme j’adore le soleil, mon teint hâlé et mon bronzage sont mis en valeur par le contraste de ma chemise. Enfin... moi j’aime bien...
Nous devons nous retrouver sur le parking à 20h et, oh ! Miracle ! Tu es à l’heure ! Quand tu te gares, je me presse vers ta voiture pour t’ouvrir élégamment la portière. Et là, je reste bouche bée, le souffle coupé ! Moi qui nous voulais de la séduction, tu as réussi ton premier examen, mention « avion de chasse haut de gamme ». Les yeux exorbités par ta sexytude.
Ta tenue met délicieusement en valeur tes courbes et tu es vraiment très belle. Un chemisier crème largement échancré qui offre une vue plongeante sur tes seins magnifiques, à peine couverts par le décolleté de ton soutien-gorge en dentelle rouge. Juste un léger foulard Hermès aux couleurs vives posé négligemment sur tes épaules. Sans doute pour pouvoir voiler discrètement tes formes aux regards indiscrets et trop insistants sans doute. L’impudeur est notre jeu, mais uniquement entre nous.
Une petite jupe courte noire moulante, qui assise dans ta voiture laisse deviner le porte-jarretelles qui accroche tes bas résille noirs également, complètent ta tenue chaussée d’escarpins assortis à ton chemisier ! Une bombe ! Et pas à retardement vu l’effet de tension immédiate que tu me provoques ! ... Je te tends la main pour t’aider à t’extraire de ta voiture et, un joli jeu de jambes, peut-être pas si innocent que cela, me permet d’entrevoir furtivement que ta petite culotte est assortie à ton soutien-gorge. Mais, si tout se passe selon mes espérances, elle sera tôt ou tard mon trophée.
À peine debout, je t’attire contre moi et je te glisse à l’oreille :
— Merci de t’être faite si belle pour moi, tu es vraiment désirable Karine !
Nos lèvres s’effleurent délicatement dans un sourire complice, avant d’être plus langoureusement insistantes, voire brûlantes lorsque nous nous embrassons fougueusement, nos corps transpirant de désirs rivés l’un à l’autre.
Presque à regret de devoir interrompre cette étreinte brûlante, je te guide par la main jusqu’à notre table. Pas mal de regards masculins t’accompagnent dans cette traversée de la salle principale. Je ris intérieurement d’imaginer ces types avoir envie de prendre ma place, et de penser aux remarques acides de leurs compagnes qui vont les assassiner. Mais j’avoue que cela ne me déplaît pas que tu aies ce petit effet sur eux. Réaction de mâle un rien macho...
Arrivés à notre table, sur laquelle trône dans un seau à glace et la bouteille de champagne que j’ai commandée, je t’aide à prendre place et je m’assieds de quart à tes côtés. La table ronde me paraît un peu grande et risque de mettre trop de distance entre nous. Je veux pouvoir me pencher vers toi pour te toucher, t’embrasser et poser ma main sur ta cuisse. J’ai besoin de cette proximité physique avec toi.
Installés, nous vidons quelques coupes, devisant gaiement sur des sujets très légers où le sexe est rarement absent au deuxième degré. Nos rires s’emmêlent, nos regards se fondent, nos mains se frôlent, créant cette ambiance incontrôlable d’attirance intellectuelle et physique mutuelle. Le monde qui nous entoure s’efface dans une brume qui nous laisse seuls à seuls avec notre envie si palpable l’un de l’autre.
Avant que le repas nous soit servi, j’extrais de ma poche de veste un petit paquet soigneusement emballé que je pose devant toi. Tu me souris en me jetant un regard interrogatif. Et alors que tu allais le déballer, ma main se pose sur les tiennes pour t’interrompre.

Et avec un grand sourire mystérieusement coquin :
— tttt ! Pas ici Karine ! Va aux toilettes et tu comprendras !— Qu’as-tu encore imaginé sale gosse ?
Intriguée, tu te lèves malgré tout sans plus me poser de question et tu disparais dans un déhanchement totalement provocateur.
De retour à table, un sourire en te mordillant la lèvre inférieure, les joues rosies, tu m’embrasses avant de reprendre place. Ton regard se plante dans le mien et presque en riant tu me dis :
— Tu es quand même un sacré coquin Antoine ! Mais oeil pour oeil, dent pour dent...
Tu ouvres la boîte de laquelle tu extrais du bout des doigts une petite culotte rouge que tu laisses délibérément tomber au sol entre nous deux.
— Ramasse ! m’ordonnes-tu.
Alors que je suis penché au sol, tu tournes tes jambes vers moi que tu ouvres furtivement.
— Comme tu peux le constater, oui c’est bien la mienne ! me provoques-tu en me tirant la langue.
Je ramasse ton sous-vêtement que je glisse négligemment dans ma poche de veste. Un grand sourire en coin, je te rétorque :
— Oui ! J’ai vu ! J’ai mon trophée.
Et alors que le serveur nous apporte le début du repas, j’allume mon téléphone et je me connecte sur l’application dédiée pour mettre en route sur vibration lente l’œuf vibrant qui est maintenant en place. Ton repas va être brûlant et pas que dans l’assiette...

Chapitre 2 (Karine)
— Tu as gagné une bataille, mais tu n’as pas gagné la guerre mon cher Antoine !
Tout sourire, tu entames tes premières hostilités. J’ai beau m’y attendre, la sensation me surprend malgré moi. Je sursaute sur ma chaise dans un éclat de rire mixé avec une sensation très agréable.
— Mais c’est génial ce truc ! dis-je un peu trop fort. Toi aussi tu pars dans un fou rire devant ma désarmante spontanéité. Ce n’était pas le but initial de ta manœuvre lubrique. Mais toi comme moi savons très bien que derrière cette connexion rieuse se cache une symbiose parfaite entre nous, sur bien des plans.
Tu fais glisser malicieusement tes doigts sur l’écran de ton téléphone en me regardant dans les yeux, un petit sourire satisfait au bord des lèvres. Tu entames le second assaut. Je peine à retenir un gémissement qui connote ostensiblement le plaisir. Tu inclines la tête une nouvelle fois satisfait de ton effet.
Le serveur arrive alors pour prendre nos commandes et toi tu passes encore au mode supérieur. Je me tortille sur ma chaise, cela devient vraiment trop bon pour que je puisse me contenir. Cachée derrière mon menu, je te donne un coup de pied dont moi même je ne saisis pas vraiment le sens que je souhaite lui donner : je suis partagée entre le « arrête ça immédiatement et oui encore ».
Tu passes ta commande et moi, complètement livrée à tes manoeuvres je suis incapable de réfléchir à ce que je veux manger ! Enfin si ! J’ai une idée bien précise, mais qui ne figure pas sur ce fichu menu. Quand le serveur demande "et pour madame ce sera ? je te lance un regard noir et tu réponds « la même chose pour Madame et on reste au Champagne ».
Tu vas me payer ce que tu m’infliges au centuple Antoine !
Tu tournes l’écran de ton portable vers moi, tu fais glisser ton doigt vers le niveau 3. D’emblée je lâche un gémissement non contenu. On commence à nous regarder. Sur ton écran je vois que la divine torture monte crescendo jusqu’à 7 !!! Je te lance un regard aussi interloqué que chargé d’excitation.
— Tu vois, Blanche Neige, cette application était faite pour toi ! me lances-tu dans un sourire entendu.— Je te préviens si tu as pris la formule gastro, je vais jouir sans retenue dans le restaurant ! Je déteste me contenir tu le sais très bien !
Une nouvelle fois tu exploses de rire en disant que si tu avais su, c’est ce que tu aurais fait.
Je ne sais plus quoi faire pour dissimuler le plaisir que tu fais monter en moi à distance. J’ai beau me tortiller, croiser, décroiser mes jambes, le supplice est trop bon.
Le plat arrive enfin. Tu remplis de nouveau nos verres de champagne. J’essaie tant bien que mal de me concentrer sur mon assiette, mais rien n’y fait. Je mouille comme une jolie coquine.
— Alors tu aimes ? me demandes-tu plein de malice. Je te réponds du tac au tac que j’adore ça. Tu poursuis ta torture avec : L
— La sauce est divine, n’est-ce pas ?
C’est alors que traversée par une vague de plaisir intense, je te rétorque dans un soupir sensuel
— Pas autant que la mienne !
Tout en disant cela, je te saisis la main que je passe sous la table et que je glisse éhontément entre mes cuisses écartées. Tes doigts accueillent ma chaleur humide qui te surprend à ton tour.
Tu te mords la lèvre inférieure, je peux lire le désir dans tes yeux bleus. Tu te rapproches un peu plus de moi, ta chaise est maintenant collée à la mienne. Tu ne peux t’empêcher d’effleurer mon bouton rosé tout en me susurrant à l’oreille que tu as envie de moi.
De ton autre main, tu balaies ton écran de portable. Je suis au supplice. Tes doigts et le niveau 4 vont me faire crier.
-Si tu fais ça je te...
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je suis happée par une montée de volupté incontrôlable. J’ai juste le temps de retirer ta main de mon entrejambe avant de me mordre l’intérieur de la joue pour réfréner le retentissement de mon plaisir ! D’un air parfaitement lubrique et provocateur, tu te suces le bout des doigts en me disant que « c’est vrai, effectivement, la sauce est sublime ».

Chapitre 3 (Karine)
Je ne sais plus quoi faire, je m’agrippe à ma chaise, tu me vois commencer à onduler du bassin.
— C’est trop bon, te dis-je tout fort ! Et il ne s’agit en aucun cas du plat dont je n’ai même pas prêté attention au goût.
Je te regarde, je scrute tes yeux, ta bouche, tout ton visage trahit ton excitation. Ma main lâche la chaise pour se poser sur ton genou que j’agrippe pour tenter de contenir mon plaisir. Je rapproche ma bouche de la tienne pour t’embrasser.
Les tables alentour nous regardent, je m’en contrefiche. Au contraire, j’adore ça ! Attiser les convoitises ou choquer ! Ne jamais laisser indifférent, tu le sais très bien et c’est pourquoi tu n’essaies même pas de me convaincre d’être plus "discrète". Ma langue cherche délibérément la tienne dans un baiser ultra-sensuel et provocateur.
— Alors comme ça elle est sublime ? Et bien, vas-y ! Fais-moi goûter !
Je ne sais pas si c’est de te mettre au défi ou si c’est le caractère excitant de la situation et du lieu, mais tu saisis mon visage à pleine main et me roule une espèce de pelle qui fait réagir dans toute l’assemblée. Et parcourt tout mon corps de frissons.
Tu me toises et sans me quitter les yeux tu reviens placer ta main entre mes cuisses. Je fais de même et saisis la bosse qui pointe à ton entrejambe. Une lubrique satisfaction éclaire nos deux visages. Tu promènes tes doigts le long de ma fente inondée, je serre ma main plus fort à mon tour. Tu glisses un doigt à l’orée de ma vulve, ton pouce s’aventure autour de mon clito. Mon bassin s’avance sur tes doigts.
Tu enlèves ta main, poses ton coude triomphant sur la table et regardes victorieux tes doigts maculés de mon désir. Je saisis alors ta main, l’approche de mes lèvres et prends ton index dans ma bouche. Je te suce de manière très suggestive le doigt en te regardant bien dans les yeux. Tu es tiraillé entre la gêne et l’excitation la plus totale. La deuxième option prend le dessus dans ton pantalon !!!
— Ça laisse un goût plutôt épicé non ?
Tu me regardes avec un délicieux sourire pour me répondre que oui, c’est très épicé. Tu te saisis alors de ton portable qui trône entre nos deux couverts. Je te regarde avancer ta main vers ton écran.
— Si tu fais ça, je ne réponds plus de rien Antoine !
Tu fais glisser ton doigt vers le chiffre 5. Un gémissement ostensible s’extirpe de ma bouche ! Le couple à côté de nous nous dévisage !
Qu’à cela ne tienne ! Je déboucle ta ceinture, défais ta braguette et plonge ma main directement sous ton boxer. Tu bandes comme un fou ! Tes yeux me disent que tu en as envie, là ici au vu et au su de tous les clients du restaurant. Tu te demandais depuis un moment jusqu’où pouvait aller ma tendance exhibitionniste. Tu en as maintenant la réponse !
Je commence à te caresser le sexe doucement, tandis que les vibrations de l’oeuf me mènent irrépressiblement de plus en plus près de l’orgasme que je sens poindre en moi.
Le serveur arrive pour ramasser nos assiettes. Nous ne prêtons même pas attention à sa venue, trop absorbés que nous sommes par nos jeux lubriques.Il nous demande si nous prendrons un dessert. D’emblée je lui réponds sur un ton malgré moi à peine aimable que « sûrement pas ».
Tu enchaînes en demandant l’addition. « Je crois que là nous sommes d’accord sur un point » te dis-je appuyant davantage le va-et-vient de ma main sur ton sexe bandé. Je remonte délicatement mes doigts sur la couronne de ton gland, tu te tends encore davantage.
Quant à moi, je chaloupe ostensiblement sur ma chaise, mes reins entament une chorégraphie des plus sensuelles. Quand le serveur revient avec la note, tu t’empresses de lui jeter ce qu’il faut de billets pour régler en lui précisant de garder la monnaie.
Nos yeux parlent pour nous, pour nos corps qui brûlent de désir l’un pour l’autre. Sans réfléchir, je me lève et tu m’emboîtes le pas, le zip de ton pantalon à peine remonté convenablement sur ton entrejambe qui laisse s’exprimer sans équivoque ton érection. Je me retourne, t’attrape par la main et te tire contre moi en te passant la main aux fesses devant tout le monde.
Un « dépêche-toi j’ai envie de toi ! » sort de ma bouche sans aucune discrétion à l’égard des clients du restaurant. Nous traversons le corridor qui mène à la réception comme deux gamins pris en "flagrant désir", sans se soucier de ceux que nous croisons ni de l’image que nous pouvons bien donner.
(À suivre)
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