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Solange, jeune fille à éduquer

Chapitre 2

Une séparation puis un retour qui promet

SM / Fétichisme
Je m’appelle Solange et je viens de fêter mes vingt ans. Je me suis promise de réaliser au cours de cette année quelques fantasmes sexuels qui me trottent dans la tête. Le premier étant de faire l’amour avec un homme mature, d’au moins cinquante ans. Mon choix s’est finalement porté sur mon voisin, M. Franck. Mais alors que j’étais montée chez lui en imaginant, que du haut de mes vingt ans, j’allais mener les ébats, j’ai eu tout faux et, au contraire, c’est lui qui m’a initiée aux plaisirs de la fessée.
Trois jours se sont écoulés depuis ma rencontre avec M. Franck. Depuis, je n’arrête pas de me masturber en repensant à cette première expérience. Et à chaque fois, je jouis comme une folle, multipliant les orgasmes.
Bien sûr, j’aurais apprécié que mon voisin me relance, mais aucune nouvelle. Je ne l’ai même pas vu sortir son labrador. Pourtant je surveille les allées et venues dans l’espoir de les apercevoir. Et dès que j’entends le moindre bruit pouvant évoquer leur passage, je regarde par l’œilleton de ma porte si ce sont eux. Pour l’instant, j’ai fait chou blanc mais je n’abandonne pas si facilement. Tiens… là c’est sûr, ce sont eux, j’ai entendu un aboiement.
Parfait, je ne me suis pas trompée, ils sortent pour une promenade. Comme celle-ci dure généralement une demi-heure, j’ai le temps de me préparer. Je choisis un short en jean qui moule bien mon joli fessier et un petit haut sans rien dessous ainsi que des tennis. Puis je m’installe devant ma fenêtre donnant sur la rue pour surveiller leur retour. Justement les voilà qui rentrent. Je sors afin de tomber sur eux dans l’entrée de l’immeuble.
— Monsieur Franck… très heureuse de vous voir.
J’ai à peine dit ces mots qu’Orion, son labrador, tire violemment sur sa laisse pour venir me faire des léchouilles.
— Mais oui Orion, je suis aussi très contente de te voir. Viens que je te fasse des gratouilles. Oh oui, t’aimes ça…— Bonjour Solange. C’est vrai qu’il t’adore, j’en serais presque jaloux. Et toi, comment vas-tu depuis notre rencontre ? Une rencontre qui j’espère t’a laissé de bons souvenirs ?— Très bons. Et puis, vous m’aviez promis de m’initier à d’autres jeux et… j’attends ceux-ci avec impatience.— Ah ah, toujours aussi directe, mais il te faudra patienter un peu car je dois m’absenter pendant trois semaines. Mais à mon retour, ne t’inquiète pas, je ne t’oublierai pas. Malheureusement, je dois te laisser, nous devons rentrer avec Orion. A bientôt Solange.— Ah… d’accord… bon, ben, au revoir et à dans trois semaines.
Je ne le montre pas mais je suis désappointée et, même plus, en colère. Cela fait trois jours que j’attendais de le revoir et il m’a parlé juste quelques minutes avec des propos d’une grande banalité. A peine a-t-il fait allusion à notre rencontre qui, pourtant, ne m’a pas semblé si classique ; une fessée et une sodomie, merde ce n’est pas rien ! Et puis, il a cinquante-six ans et moi vingt, ce ne sont pas tous les mecs de son âge qui peuvent se vanter de s’être tapés une petite jeune. C’est bien mal me connaître s’il croit qu’il n’a besoin que de claquer les doigts pour que j’accours en le suppliant de me fesser. Alors, même si j’ai très envie de recommencer, il peut se brosser s’il continue à me traiter de la sorte. Tout en ruminant toute seule contre ces vieux qui se croient irrésistibles, je rentre chez moi et m’affale sur le canapé.
Deux jours plus tard, en partant pour la fac, je découvre sur mon paillasson un paquet avec ces simples mots « Pour Solange ». Très intriguée, je rentre afin d’ouvrir le paquet. Et là, je n’en reviens pas de ce que je découvre. Dans un emballage de soie, sont enveloppés trois objets dont l’usage est sans équivoque. Il s’agit de trois plugs en métal agrémentés d’un strass de couleur. Une seule personne peut m’avoir fait un tel cadeau et une petite carte, jointe à l’intérieur, me le confirme.
Très chère Solange, Comme je vous l’ai dit, je suis malheureusement dans l’obligation de m’absenter trois semaines.En attendant de se revoir, permettez-moi de vous offrir ces trois bijoux anaux. Un présent que, j’espère, vous accepterez afin de poursuivre, comme je vous l’ai promis, votre éducation. Si tel est le cas, vous me feriez un immense plaisir de les porter pendant la journée.

Comme vous le remarquerez, ils sont de taille et de grosseur différentes. Je n’ai pas besoin de vous préciser par lequel débuter. Je souhaite qu’ils vous procurent beaucoup de plaisir. Sûr ce, je prends congés de vous et vous dis à très bientôt.ThierryIl me faut quelques instants pour réaliser ce que je viens de lire et, surtout, admettre ce que cela sous-entend. Je détaille alors les trois plugs d’un peu plus près et je constate que le strass sur le dernier est en forme de cœur, sans doute une récompense si j’arrive à le porter. J’en prends ensuite un en main et je suis surprise par son poids, je les pensais plus légers mais ils m’ont l’air en acier. Je n’ai cependant pas le temps de m’attarder, étant déjà en retard pour la fac. Aussi, je pose le paquet et quitte mon studio.
Toute la matinée, j’essaye de me concentrer sur mes cours mais j’ai bien du mal. En permanence, je repense au cadeau de M. Franck. Je suis heureuse qu’il n’ait pas oublié sa promesse et je fantasme sur notre prochaine rencontre. Mais hors de question de le décevoir et je me jure d’essayer le premier plug dès ce soir.
Je déjeune avec cinq camarades de cours. Comme souvent, les mecs font des allusions grivoises et je souris mais plus pour faire comme mes amies car je les trouve tous bien futiles. Que penseraient-ils s’ils savaient ce que j’ai fait et surtout avec un homme de trente-six ans plus âgé que moi.
L’après-midi, j’ai toujours autant de mal à rester concentrée car j’ai hâte de rentrer. D’ailleurs, avec toutes ces pensées lubriques, je sens mon entrejambe devenir humide. Très discrètement, je glisse une main au niveau de mon intimité et j’essaye de me calmer en voulant me caresser à travers mon jean. Mais peine perdue, rien n’y fait, je mouille de plus en plus et impossible de me toucher plus ouvertement, mes camarades s’en apercevraient, même s’ils sont plutôt éloignés.
Enfin les cours se terminent. A peine arrivée chez moi, je prends mon paquet pour sortir le plus petit des plugs. Son strass est incolore et pourrait ressembler à un diamant. Je me demande quelles sensations il peut procurer, n’en ayant jamais porté. J’ai très envie d’essayer mais j’hésite, je ne peux pas céder si facilement.
Je n’arrête pas de repenser à ma rencontre avec M. Franck, à ma première fessée où se sont succédé surprise, brûlure et plaisir. Moi qui croyais avoir un caractère fort et imposer mes volontés à mon voisin, c’est finalement lui qui m’a dominée. J’ai même accepté avec empressement d’être sodomisée. Toutes ces pensées, toutes ces images qui traversent mon esprit me donnent envie de me faire jouir. Heureusement, je ne suis plus à la fac et rien ne m’en empêche.
Je me déshabille et m’allonge sur mon canapé-lit. Mon sexe est déjà mouillé et une de mes mains descend à son contact. Je caresse mes lèvres intimes avant que mes doigts s’insinuent entrent celles-ci. Mais très vite, je décide de changer de technique car je connais chez moi la meilleure méthode pour m’amener à la jouissance. Je prends mon oreiller réservé à mes jeux solitaires et le place sur la tranche, avant de m’installer à genoux sur lui, bien calé entre mes cuisses. Il est temps de débuter mes va-et-vient. Je varie les positions, gardant parfois le dos bien droit, parfois m’allongeant avec ma poitrine au contact du canapé. Le frottement sur mon clitoris me déclenche des vagues de plaisir ; je continue ainsi pendant plusieurs minutes avant que la jouissance me gagne. Je m’affale alors, épuisée après le puissant orgasme que je viens de vivre.
Alors que je récupère, mes yeux tombent sur les plugs. Cette fois-ci, plus rien ne me retient. Je récupère mon tube de lubrifiant pour m’enduire la rondelle et l’entrée de mon canal anal puis je prends le plus petit des trois jouets anaux, sur lequel je mets également un peu de gel. La facilité avec laquelle je l’introduis me surprend. Je me lève pour faire quelques pas afin de savoir si le porter est gênant ; pas du tout, et bien au contraire, je ressens une sensation des plus agréables. Aussi je décide que j’essaierai de le garder une bonne partie de la journée demain.
Cela fait maintenant trois semaines que je mets le plus souvent possible un joli jouet anal. Comme demandé par M. Franck, j’ai augmenté progressivement en taille et grosseur sans la moindre difficulté. Même si je ne l’utilise pas tous les jours, j’adore, quand je suis assise sur un banc de l’amphi, bouger légèrement mes fesses afin de bien ressentir sa présence. D’ailleurs, à plusieurs reprises, j’ai tellement été excitée que j’ai dû me faire jouir toute seule dans les toilettes.
Aujourd’hui, je n’ai pas cours, c’est parfait, je vais en profiter pour faire un peu de rangement et sortir faire les boutiques avec une copine. Je n’ai toujours pas entendu mon voisin ou son chien passer dans l’escalier, pourtant je suis à l’écoute du moindre bruit évoquant leur présence. Je glande dans mon studio quand je remarque une enveloppe au niveau de ma porte d’entrée… quelqu’un a dû la glisser. Mon cœur s’accélère et je prie pour que cela soit M. Franck, mais qui cela pourrait-il être d’autre ?
Chère SolangeMe voilà de retour. J’espère que ces trois semaines se sont bien passées pour vous.Mes cadeaux vous ont-ils plu ? Et surtout les avez-vous essayés ? Sans prétention excessive, je dirais que oui…Si c’est le cas, alors je vous propose de venir me rejoindre aux alentours de 20 h dans la tenue que je vous ai réservée. Celle-ci est dans le paquet qui se trouve devant votre porte. Mais en dehors de cette tenue, et des chaussures qui vont avec, vous n’aurez aucun autre vêtement. Bien sûr, vous n’oublierez pas de porter votre bijou anal en forme de cœur.A ce soir.Thierry.
J’ouvre la porte et je trouve le paquet. Je l’ouvre immédiatement, pressée de découvrir la tenue que je dois porter. Je n’en reviens pas… il s’agit d’une guêpière accompagnée d’un string et de bas ainsi que d’une paire de chaussures à talon. Quoi qu’il en soit, je ne résiste pas à un essayage. Il s’agit d’un corset noir en maille effet cuir, se fermant dans le dos par un système d’agrafes. Quant aux bonnets, ils sont pourvus d’armatures qui maintiennent ma poitrine dénudée. Je vais dans la salle-de-bain me contempler. Je trouve que ce corset porte-jarretelles qui laisse nues, en dehors de la ficelle du string, mes fesses rebondies est du plus bel effet. Et quand je chausse mes escarpins noirs à haut talon, je me dis qu’il doit être très difficile pour un homme de résister devant une telle tenue si sexy. Je réalise soudainement que ces affaires me vont parfaitement, comment M. Franck a-t-il fait pour ne pas se tromper ?
Je suis si excitée à l’idée de la soirée que j’annule ma sortie entre filles, tant pis cela sera pour une prochaine fois. Par contre, impossible de résister à une petite séance de masturbation sur mon oreiller préféré. La journée passe très vite et voilà arrivé le moment de me préparer. Je n’oublie pas mon plug puis j’enfile ma tenue. Encore une fois je me contemple, je me trouve magnifique.
Par contre, je réalise soudainement que mon voisin me demande de ne rien porter d’autre alors qu’il habite au 3e. Je vais donc devoir prendre les escaliers dans cette tenue, pour le moins provocante. Je prie pour ne rencontrer personne, cela serait trop la honte et je n’oserais plus sortir ensuite de chez moi. Mais même si j’ai cette crainte, le désir que j’ai d’obéir à ses demandes l’emporte largement. J’entrebâille ma porte afin de vérifier que le hall est désert et je sors. Je monte les escaliers, mon cœur bat à cent à l’heure, pourvu qu’aucun habitant de l’immeuble ne sorte et me croise.
Enfin me voilà arrivée. Je sonne… personne n’ouvre et je n’entends pas non plus aboyer Orion. Ce n’est pas possible, M. Franck ne peut pas ne pas être là ! Impossible pour moi de rester plus longtemps à moitié nue sur le palier. Je resonne une fois, puis une deuxième quand, enfin, la porte s’ouvre. Je suis soulagée.
— Bonjour Solange, heureux de te revoir.— Moi aussi monsieur Franck, mais je présume que je peux dire Thierry maintenant. J’attendais ton retour avec impatience.— Mettons tout de suite les choses au point, pour toi je suis Monsieur et tu me vouvoies ! Il n’y a pas de discussion possible. C’est clair ?— Oui… Monsieur.— Parfait, entre maintenant, je t’ai déjà fait suffisamment attendre devant la porte, mais il faut que tu comprennes que celui qui décide ici, c’est moi. Toi, tu obéis. Avance que je t’admire dans ta tenue.
Je pénètre dans l’appartement un peu gênée. Il faut dire qu’être juchée sur de hauts talons, la poitrine et les fesses nues et le reste du corps couvert d’un simple corset fait plus penser à une escorte qu’à une étudiante. Mais très vite ma gêne s’estompe au profit de l’excitation à m’exhiber ainsi devant un presque inconnu. Et pourquoi me mentir, j’aime la façon dont celui-ci me traite, le fait de n’avoir qu’un choix, celui de lui obéir.
— Tu es magnifique dans cette tenue, je suis très heureux de ne pas m’être trompé de taille. Tourne-toi un peu que je puisse mieux te contempler.— Comme cela, Monsieur ?— Oui, c’est très bien. Maintenant, mets-toi là au milieu de la pièce, jambes droites écartées et penche-toi en touchant le sol de tes mains.
Je m’exécute sans rien dire. La main de monsieur Franck écarte la ficelle de mon string ; il s’empare de l’extrémité de mon plug pour le sortir de mon anus et aussitôt le remplacer par un doigt. Je ne me révolte pas contre cette intrusion qui pourtant devrait me faire réagir car je suis décidée à tout accepter de la part de cet homme. Son doigt entre en entier, bientôt rejoint par un deuxième puis mon voisin débute des mouvements alternant entrées et sorties. La position, presque humiliante, et l’agréable sensation ressentie au niveau de mon antre anal, fouillé sans retenue, m’excitent très vite et je sens que je mouille.
— Ouiii, continuez Monsieur…— Silence Solange, pour l’instant je ne t’ai pas autorisée à parler ou même à gémir. Mais je tiens quand même à te féliciter, tu as bien suivi mes instructions, ton petit œillet est bien dilaté et les parois de ton petit cul sont prêtes à être visitées. D’ailleurs, tu n’y es certainement pas opposée, car je m’aperçois que tu as préparé le terrain, j’ai encore un peu de lubrifiant sur mes doigts. En attendant, je remets ton bijou d’où il vient, manifestement il y est parfaitement à sa place.
Quel changement depuis un mois ! Moi qui habituellement n’accepte pas qu’une autre personne me dicte ma conduite, jamais je n’aurais imaginé être ainsi soumise aux ordres d’un homme et, en plus, être demandeuse.
— Maintenant, enlève ton string.— Oui Monsieur, tout de suite…— C’est bien, écarte un peu les jambes et laisse-moi faire, je veux vérifier quelque chose… C’est bien ce que je pensais, ta chatte est déjà toute trempée. Je suis sûr que tu seras une bonne soumise. Allez, tourne-toi, mains sur le canapé, cul bien levé vers l’arrière.
Je m’exécute me demandant ce que me réserve mon voisin quand une violente claque s’abat sur une de mes fesses. Mais rien à voir avec ma première fessée, là il ne s’est pas retenu et je ressens immédiatement une brûlure. Mais je n’ai pas le temps de penser qu’une deuxième, tout aussi violente, s’abat sur mon autre fesse. Et monsieur Franck continue, alternant une fesse puis l’autre avant soudainement de s’arrêter. Je suis soulagée car les brûlures devenaient vraiment fortes mais aussi déçue que tout se stoppe si vite.
— Tu as un très beau cul, Solange, bien rebondi comme je les aime, mais beaucoup trop blanc. Il faudrait un peu le faire bronzer. En attendant, le rouge lui va très bien. Et patiente un peu, je vais te faire découvrir une autre manière de lui redonner des couleurs. Allez redresse-toi maintenant et attends-moi, je reviens.
M. Franck s’absente pour aller dans sa chambre. Son absence ne dure pas longtemps et il revient avec une boîte qu’il pose sur son bureau avant d’en sortir un objet et de revenir vers moi.
— On arrête de jouer et on va passer aux choses plus sérieuses. Tu n’y vois pas d’inconvénient ?— Euh non, Monsieur, mais vous entendez quoi par là…— Avant tout, je ne veux plus t’entendre, sauf si je te pose une question. Je serai le seul à parler, toi contente toi d’obéir. Pour répondre à ton interrogation, disons qu’il y a trois semaines, tu m’as demandé de te dresser, alors je vais débuter ta formation. Mais n’aies pas peur, j’irai progressivement.
M. Franck me montre alors ce qu’il a pris dans la boîte, il s’agit d’un martinet…
(A suivre)
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