Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 58 J'aime
  • 7 Commentaires

La Solitaire

Chapitre 1

Chapitre 1

Divers
Moi, la solitaire.

Cet après-midi, je ne saurais dire pourquoi, mais j’ai très envie de sexe. Je suis actuellement en sous-vêtements, un ensemble soutien-gorge assorti d’un string rose en dentelle. Malheureusement, mon copain n’est pas à la maison, et mon amant n’est pas disponible cet après-midi. Oui, j’ai un amant, mais c’est purement occasionnel. En tout cas pour le côté sexuel, car nous entretenons aussi une forte amitié, mais vous expliquer prendrait trop de temps. Je suis une femme infidèle, mais avec très peu de personnes. À vrai dire, en règle générale il n’y a que cet amant. Infidèle, mais j’ai besoin de faire confiance. Je ne saurais faire confiance à n’importe qui. Que ça soit lors de ma vie intime, ou ma vie sexuelle, d’ailleurs.
Quoi qu’il en soit, il me faut oublier ma solitude d’aujourd’hui. Je dois m’y résoudre. Il faut que je passe à autre chose. J’ai enfilé un pantalon de survêtement gris ainsi qu’une veste du même genre, de la même couleur. Je vais aller faire un tour, ça va me faire du bien. Je ne m’habille pas comme ça d’habitude. Je suis bien plus féminine que ça, bien que je ne me maquille que peu. J’en ai pas tant besoin, sans vouloir avoir l’air arrogant. Mais puisque je vais juste sortir, je peux me permettre de me laisser aller. Je ne me suis même pas coiffée, ni attaché les cheveux. Après avoir enfilé des baskets je suis sortie.
En sortant de la maison, je me dis « Et si je courais un peu ? » Une fois dehors, je mets mes écouteurs pour écouter de la musique et je me mets à trotter un peu puis à courir frénétiquement, sans savoir où je vais. Je cours ainsi, musique à fond dans les oreilles, encore et encore pendant une vingtaine de minutes, à tel point que je termine dans un bois, sans même m’en rendre compte. Heureusement, je connais ce bois, d’ailleurs. J’aurais pu me perdre facilement, je n’étais absolument pas concentrée.
Commençant à être essoufflée, je m’arrête au pied d’un arbre assez imposant histoire de reprendre mon souffle. Sans arrêter ma musique, je retire mes écouteurs de mes oreilles, laissant la musique continuer. Lorsque j’ai repris mon souffle, je me rends compte que mon petit footing n’a pas servi à grand-chose. Effectivement, musique sur les oreilles, en courant, j’avais l’esprit vide. Mais appuyée sur cet arbre, je suis forcée d’admettre que mes ardeurs ne sont toujours pas calmées.
Après avoir pris quelques courts instants pour réfléchir à une solution, je me suis rends à l’évidence : je suis loin de chez moi, seule, sans aucun amant avec qui rassasier mon appétit, et personne aux alentours... Je regarde à droite, à gauche, et même derrière moi. Je me cambre un peu, pose mon bras droit sur le tronc et ma tête sur mon bras, et je plonge ma main droite entre mes cuisses, sous mon pantalon, par-dessus mon string. Mon Dieu, c’est encore pire que je le croyais : je le sens déjà humide, et c’est très chaud.
Après avoir retiré ma main, j’ouvre la zipette de ma veste, la retire et la pose délicatement sur le sol au pied de l’arbre. Je fais de même avec le débardeur que je porte sous ma veste. J’hésite quelque peu, mais je libère aussi ma poitrine. Sentir cette légère brise sur mon corps, je dois avouer que cela fait durcir mes tétons. C’est une belle sensation. Je me retourne pour être dos à cet arbre. Je me penche pour défaire mes lacets et retirer mes baskets. Ainsi, je peux laisser glisser mon pantalon le long de mes jambes. Plus qu’une seule étape. Je me retrouve complètement nue dans un bois. Bon, bien sûr, il pourrait n’y avoir personne, ou le risque est très faible. Je me suis déjà fait prendre dans des endroits insolites, originaux, mais c’est bien la première fois que je me retrouve seule pour me masturber dans un bois.
Je commence à passer mes mains sur mes épaules, puis je les laisse descendues sur mes seins. C’est agréable de me caresser ainsi la poitrine et sentir mes tétons légèrement durs. C’est aussi inconfortable qu’excitant aussi d’être appuyée ainsi contre un arbre, mais je continue et laisse mes mains vagabonder le long de mes côtes, de mes reins, de mes hanches... Lorsqu’elles arrivent à mon bassin, je décide de me diriger lentement et sensuellement vers mon entrejambe. J’effleure ma légère toison apparente. Oui, j’aime m’épiler en ticket de métro, c’est mon petit caprice personnel.
Remontant ma main gauche vers mes seins, je glisse délicatement mon autre main plus bas, vers mon clitoris. C’est fou, j’ai si chaud, et ma respiration devient haletante ! Cette situation est si excitante... Et il faut avouer que, même si je ne suis pas habituée à me masturber, c’est presque mieux que certaines relations sexuelles avec mon partenaire. Mon clitoris réagit si bien sous l’effet de mon index... J’en oublie presque la musique dans mes oreilles, et pourtant ça ajoute un petit quelque chose à la situation. C’est de la musique douce, à un volume relativement bas pour pouvoir entendre les bruits de la nature, du vent. Toutes ces choses qui, pour la première fois, ont une importance. Mes jambes commencent doucement à flageoler alors je m’assieds contre mon arbre. Les jambes bien ouvertes, repliées, voici une position qui semble idéale.
Comme je suis suffisamment humide – pour ne pas dire bien mouillée – je passe ma main sur ma chatte, entre mes lèvres. J’introduis un premier doigt dans ma chatte ; c’est très accueillant. Je suis chaude et mouillée. Mon doigt glisse si facilement en moi... C’est si doux, si bon, si agréable... Assise confortablement, je commence quelques va-et-vient entre mes cuisses. Seule au milieu de nulle part, j’ai la liberté de me laisser aller pleinement. Alors je laisse s’échapper de petits gémissements, au rythme de ma respiration saccadée. C’est un mouvement lent, régulier. J’ai même du mal à reprendre mon souffle, tant je prends du plaisir à mon geste.
Il est temps de passer aux choses sérieuses ! J’accompagne mon index de mon majeur et je serre mon sein entre les doigts de ma seconde main. C’est très intense, cette sensation, tellement bonne... Les va-et-vient se font plus rapides, plus intenses. Autant j’enfonce entièrement mes doigts, autant je les retire totalement, puis je fais des mouvements brusques. Sortant mes doigts lentement, je les enfonce d’un seul geste brusque. D’ailleurs, en faisant ce geste-là, je me mets à fermer les yeux, et là c’est encore mieux. Mes idées se mettent alors à fuser : les mouvements que je fais me rappellent tant de souvenirs de coups de reins que je prends avec mon copain, ou même avec mon amant. Ça ne vaut pas ce qu’ils ont entre les jambes en matière de taille, mais le travail solitaire reste quand même un moment qui va, je le pense, devenir une sorte de rituel.
Je reprends ensuite un mouvement plus régulier et relativement rapide. Les idées fusent alors que mon autre main s’empresse de presser, de pincer mon téton. Le souvenir d’une levrette endiablée, le souvenir d’une sodomie... D’ailleurs, et si je... Je m’allonge un peu plus pour pouvoir accéder à mon petit trou. J’hésite : même si j’apprécie de me faire sodomiser, même si je me suis déjà (même si très rarement jusqu’à aujourd’hui) masturbée, jamais je n’ai touché seule à cet endroit. Est-ce que je vais oser ? Je vais déjà laisser mes doigts s’occuper de ma chatte, et le rythme de la musique s’imprégner sur mes envies et sur mes caresses. Je descends ma seconde main lentement en direction de mon clitoris.
J’aime me doigter ; j’aime la pénétration, mais mon clitoris a envie que je m’occupe de lui. Quelle délicieuse sensation que de le heurter de son doigt et de le frotter frénétiquement de sa main gauche... Mon souffle est rapide. Je suis – comme on peut le dire – trempée, cette fois. L’index de mon autre main passe entre mes lèvres, et je le dirige lentement vers mon orifice. Puis je continue. Je suis à présent à l’extrémité de ma raie. Lorsque je passe mon doigt contre mon anus, je me mets à trembler, à frissonner. Je ne sais pas si j’aime ou si je n’apprécie pas cette sensation de sentir mon doigt si proche de mon anus. C’est nouveau pour moi. Il est temps d’oser. Si j’aime prendre un sexe à cet endroit, ce n’est pas un doigt qui va m’effrayer ! Alors je me lance.
Mon index passe lentement sa première phalange. C’est plutôt agréable. Ça aussi, je devrais le refaire encore. Je me sens à l’aise avec cette nouvelle pratique, alors je fais pénétrer encore plus mon doigt, lentement, jusqu’à l’enfoncer entièrement dans ce petit trou. C’est très excitant de faire ça seule ; vous devriez avoir la curiosité d’essayer. Et comme je suis plutôt trempée et que mon anus semble facilement se dilater, je décide d’enfoncer mon majeur avec. Et, Dieu, que c’est encore meilleur ! Du coup, je délaisse mon clitoris pour remettre deux doigts directement dans ma chatte. Pouvoir se doigter les deux orifices est vraiment saisissant. J’avoue que j’aimerais avoir une troisième main pour me caresser les seins, ou en tout cas qu’un inconnu soit de passage pour s’en occuper. Mais ce que je vis est vraiment unique ! Je ne peux pas m’empêcher de crier. Si un homme fait une promenade, comme par hasard aujourd’hui ici, nul doute que celui-ci sera attiré par mes cris d’un plaisir évident. Se savoir nue ici et se procurer un tel plaisir, c’est tellement grisant...
Quand je regarde mon téléphone pour changer de musique, je m’aperçois qu’il est déjà 16h30 : ça fait une heure que je prends du plaisir seule. Je vais alors me donner le plaisir ultime, même si j’ai déjà atteint quelques micro-orgasmes, et refaire le chemin inverse. J’espère avoir assez de temps pour une petite douche. Je retire ma main de mes fesses et concentre mes deux mains sur ma chatte. Une sur mon clito, deux doigts appuyés dessus, l’autre main entre mes lèvres, mes doigts prêts à pénétrer ma fente, et je me doigte avec fougue. Je sentais mon orgasme approcher à grand pas.
Le vent sur mon corps nu, sur mes tétons ; les sons de la nature, des feuilles qui volent, des branches d’arbres, tout y est pour m’offrir un orgasme... explosif. Je sais que deux doigts vont me suffire. Mes jambes n’arrêtent pas de trembler ; mon bassin bouge dans tous les sens. Chaque seconde qui se passe me rapproche du paroxysme du plaisir que je m’offre. Il ne me faut, je crois, qu’une minute de va-et-vient intenses pour que celui-ci arrive. Et croyez-moi, heureusement que je suis dehors et au beau milieu des bois ! Lorsque je jouis d’une façon puissante et hautement expressive, où mon corps entier vibre et tremble de tout son long, je peux sentir une grande vague de chaleur s’emparer de moi.
Je pourrais m’endormir ici. Nue. Cela serait une expérience excitante, ça aussi, mais il faut que je me rhabille et que je rentre à la maison. Mon copain devrait rentrer dans l’heure. J’aimerais bien prendre une douche avant qu’il soit là. Mais avant de me relever, je prends le luxe de me prendre en photo, nue au pied de mon arbre. Il est devenu « mon » arbre.
Après cela je me relève et saisis mes fringues. J’enfile mon string, mon pantalon. Quand je m’apprête à récupérer mon soutien-gorge et mon débardeur, je me dis « Et si je laissais un souvenir ici ? Que quelqu’un sache qu’une femme est passée par ici ? Cela doit être excitant d’imaginer ce que cette personne pourrait penser... » Alors je renfile ma veste que je zippe, puis je dépose mon débardeur avec mon soutien-gorge à côté de l’arbre. Qu’un homme tombe dessus, c’est une chose ; mais il faut que ce soit un homme curieux. Mes tétons pointent encore sous ma veste ; c’est un mélange dû à l’excitation et à la fraîcheur qui commence à tomber. Je pense déjà à la douche qui m’attend ; j’en serais presque à nouveau excitée.
Il est temps de se remettre en route, et au pas de course !
Diffuse en direct !
Regarder son live