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La Solitaire

Chapitre 2

Elle, La solitaire

Divers
Il y a de ça une semaine environ, cette femme avec qui je couche occasionnellement m’a envoyé un message assez particulier. Elle m’a raconté qu’elle a eu une folle envie de cul, mais comme moi ou son copain n’étions pas là, elle a dû se satisfaire seule. Jusque-là, rien de particulier. Jusqu’au moment où elle m’a raconté qu’elle s’est satisfaite dans un bois, à quelques kilomètres de chez elle. Mais là où c’est intéressant, c’est qu’elle a été assez évasive. Elle ne m’a pas vraiment dit ce qu’elle a fait, ce qui s’est passé. J’étais jaloux, je voulais en savoir plus. Je voulais tout savoir. Mais elle s’est amusée de la situation. Alors, il est temps pour moi de m’amuser à mon tour...

Message envoyé : « Tu te souviens là où tu t’es fait plaisir la semaine dernière ? Tu vas y retourner pour 14H. Mais quand tu seras à l’entrée du bois, tu t’arrêteras à m’enverras un SMS. »

Je me suis habillé en conséquence. Un jean classique, un petit tee-shirt ainsi qu’un pull gris à capuche. S’il faut aller dans un bois, il vaut mieux ne pas s’habiller trop « propre ».
En amont, j’y suis allé pour connaître les lieux, et trouver de bonnes idées, afin de pouvoir m’amuser avec elle. J’ai prévu quelques affaires, au cas où. Un sac plastique, de la corde, une paire de jumelles et des préservatifs. Soyons prévoyants. En me promenant, j’ai vu pas mal d’endroits intéressants. Il faut être prudent, il ne s’agit pas d’être vus par d’autres personnes. Là, je vois un endroit plutôt bien. Aux abords d’un sentier, au milieu de deux arbres qui convergent au niveau du tronc.

J’y vais y déposer mon sachet. Elle n’aura qu’à y mettre ses fringues dedans. C’est un endroit discret. Je continue de marcher, je fais environ un kilomètre, peut-être deux, et j’y vois un arbre. Celui-ci est seul. Il est grand, large. Je n’y connais pas grand-chose en matière d’arbre, mais ça doit être un chêne. Ça pourrait être un bon endroit. Il est reculé, et je pourrai trouver un point de vue relativement proche pour la regarder, mais suffisamment loin pour qu’elle ne me voie pas. J’attends patiemment, installé sur une branche d’un arbre quelque peu en hauteur. Il est 14H, je reçois enfin son message. Je commençais à m’impatienter
Message reçu : « Il est 14H. Je suis à l’entrée du bois, où est-ce que je vais ? »Message envoyé : Avance, suis le sentier. Tu trouveras deux arbres qui convergent. Au pied de ces arbres, tu trouveras un sachet en plastique. Dedans, tu y mettras tous tes vêtements, lingerie comprise, tu garderas uniquement ton téléphone et tu continueras sur le sentier, sur environ deux kilomètres. Ensuite, tu trouveras un arbre imposant. Grand, et large. La suite, tu devrais la connaître. Laisse libre cours à ton imagination.Message reçu : Très bien, je serai là d’ici 15 minutes. Tu seras où ?
J’ai délibérément ignoré ce message-là. La laissant venir à moi. Même si elle ne serait pas véritablement devant moi. Quand elle est arrivée devant ce grand arbre, je lui signifie simplement que je la vois. Que je compte bien la regarder, profiter du spectacle dont elle m’a privé une semaine plus tôt, et sans intervenir. C’est fou ce qu’elle est belle, toute nue. Je la vois, inconfortable, dans l’inconnu. Si elle était à cet endroit il y a une semaine, elle y était seule. Cette fois-ci, elle a un spectateur, et elle en est consciente. Et même si elle sait qui est son admirateur secret, je vois dans sa façon de s’avancer son hésitation, son manque de confiance en elle. Elle avance donc, prudemment, vers son chêne. Elle fait de longs pas, lents. Soulevant bien ses jambes à chaque fois, me laissant une vue imprenable sur sa chatte qui garde toujours cette même épilation qui la caractérise. Elle arrive enfin à son arbre. J’espère que je l’ai bien choisi. Elle s’adosse à celui-ci.
Ses mains se posent au-dessus de ses seins. Elle effleure à peine son corps, et timidement, elle se dirige vers sa poitrine. C’est fou ce qu’elle est belle quand elle est comme ça. Je sens déjà une érection naissante au travers de mon boxer, rien qu’à la regarder toute nue. Elle caresse ses seins, ses seins si fermes, ne négligeant pas ses tétons. Ses mains vont ensuite en dessous de ses seins, le long de son ventre. Puis, vers son entrejambe. Elle y passe ses doigts, écartant ses lèvres.
Message envoyé : « Retourne-toi. Je veux voir tes jolies fesses une minute avant de te laisser continuer. »
Elle se retourne, comme je le lui ai demandé. Elle passe ses cheveux bruns sur son épaule droite, et fait quelques pas en arrière. Je ne comprends pas, jusqu’à ce que je la vois se pencher en avant, cambrant son joli cul et poser ses mains sur l’arbre. Elle ouvre délicieusement ses jambes, et bouge son bassin. C’est diabolique. Elle appelle déjà ma queue, en faisant quelques mouvements d’avant en arrière, et sur le côté. Dans cette position, elle a sur le dessus du fessier ces deux petits creux, qu’on aime tant chez une femme. J’aurais pu m’y consacrer, si elle n’avait pas un tel geste avec son bassin. Elle continue quelques secondes, et juste après s’être donnée elle-même une fessée, elle se remet dans sa position initiale. Il est difficile de savoir chez cette femme, quelle partie du corps est la plus belle. C’est plus à l’aise que cette fois-ci, elle caresse généreusement la poitrine, pressant ses seins, se dandinant encore.
Presque trop lentement, elle se décide enfin à descendre ses grandes mains fines le long de son ventre, arrivant à ses abdos que son excitation trace légèrement. Tout aussi doucement, ses mains arrivent à sa toison intime, plutôt fournie. Je la regarde passer le bout de ses doigts dessus, s’amusant avec ses poils intimes. C’est infernal, j’ai tellement envie qu’elle aille plus loin, et moi mon jean se fait de plus en plus serré, de plus en plus gênant. Ma main se pose déjà entre mes jambes, sur ma queue alors que je la regarde se caresser. Enfin, elle se décide à vouloir se caresser pour de vrai. Je vois déjà un de ses doigts se diriger vers son clitoris. Appuyée à son arbre, sa tête se pose sur le côté, regarder au loin, dans le vide en effleurant son clitoris. Ce qu’elle est belle, quand elle se mordille la lèvre inférieure comme elle le fait, ses longs cheveux bruns au vent. De là où je suis, je pourrais presque voir ses doigts devenir humides.
Et quand je regarde avec mes jumelles, je les vois effectivement déjà empreints de son liquide charnel sur le bout de ses doigts. Elle introduit son index dans sa fente, et remonte sa main droite vers sa poitrine, j’en profite pour me laisser aller à ce divin spectacle. Je sais que, même si elle se fait plaisir pour elle, elle le fait aussi pour mon bonheur. J’ouvre mon jean, sors ma queue de mon boxer. Je suis déjà presque totalement dur. Quelques coups de main suffisent à me rendre totalement dur. Le rythme qu’elle impose à ses va-et-vient donne le rythme à mon propre poignet. C’est presque une torture de se toucher aussi lentement. Surtout qu’elle est à quelques mètres de moi, il me serait si facile d’aller la rejoindre, lui donner ce qu’elle veut, et avoir ce que je veux. Mais même si je cédais à cette tentation, il est bien trop tôt pour cela. Une main pressant son sein, l’autre faisant des va-et-vient relativement intenses, appuyés sur son arbre, c’est un spectacle délicieux.
De ma main libre, j’en profite même pour me saisir de mon smartphone, pour immortaliser ce moment. Quelques photos, et une vidéo de quelques secondes. Je repose mon téléphone pour admirer le spectacle de mes propres yeux, tout en me branlant d’une main droite ferme. Ses caresses à elle sont très sensuelles. Une main pince son téton, serre son sein. La tête dans le vide. C’est comme si elle savait que je ne suis pas loin d’elle, et qu’elle veut fuir inconsciemment mon regard. Je vois aux mouvements de ses lèvres qu’elle peut déjà gémir lentement. Sa respiration doit déjà être altérée. C’est souvent le cas lorsqu’elle prend du plaisir. J’ai très envie de l’appeler, juste pour entendre son souffle contre le micro du téléphone, mais je n’en ferai rien. Je veux qu’elle soit seule pour son moment de plaisir. Qu’elle ne se sente que regardée, et libre. Qu’elle en oublie presque ma présence, plus proche d’elle qu’elle ne l’imagine.

Ça y est, elle se met un deuxième doigt, et ça doit être prodigieux. De là où je suis, je la vois qui vacille. S’arrêtant et appuyant son fessier contre le tronc de son arbre, elle se laisse glisser jusqu’à s’asseoir. Elle ouvre ses jambes et les replie. Elle recommence à se caresser, se mettant deux doigts d’un coup dans la chatte, donnant de rapides va-et-vient. Si je me concentre bien, je peux presque entendre l’écho de ses gémissements. Elle y va énergiquement, rapidement. Je suis sûr que ses doigts glissent en elle, qu’elle est complètement trempée. Rapidement, je n’ai plus tant besoin de me concentrer, je l’entends assez perceptiblement. Ça ressemble à présent plus à des cris qu’à de simples gémissements. L’avantage de ce genre de coin reculé de tout, et de tous. Alors que je me branle inlassablement en la regardant encore et encore, je saisis mon téléphone. Je délaisse ma queue pour lui envoyer un message.
Message envoyé : « Relève-toi, mets-toi face à l’arbre, les bras en l’air, les mains en croix et attends.
Remarquant son téléphone, elle cesse de se caresser. Après avoir lu son SMS, je la vois se mettre dans la position que je lui ai demandée, le visage droit devant elle, ne voyant que le bois de l’arbre. Je descends du mien, retire toutes mes fringues. Je sors une capote de mon sac. Je récupère mon sac contenant toutes mes affaires. Je marche jusqu’à elle. Je suis juste derrière elle, je sens un long souffle de plaisir. « Ne parle pas, ne te retourne pas » je lui susurre. Elle penche sa tête en avant. Je prends l’une des cordes que j’avais prises. Je prends son poignet gauche et le noue. Je pose son poignet contre un côté d’une branche, et j’ai saisi son autre poignet, faisant de même, liant chaque main d’un côté, l’empêchant de bouger. Ses cheveux sur le côté, je dépose un baiser sur le côté de son cou dégagé. Elle en pousse un délicieux soupir.
— Cambre-toi à présent.
Je glisse au creux de son oreille après cet intime instant. Elle fait quelques petits pas en arrière pour se mettre en position, je me recule pour lui faire place. Une fois dans sa position, je lui inflige une première fessée sur la fesse gauche. Une seconde à droite. Elle étouffe un petit cri de douleur, ou de désir je ne sais dire. Je mets le plastique de la capote entre mes dents, le déchirant près de son oreille, laissant son imagination travailler. Qu’elle sache qu’elle va être « récompensée ». Je la sors de son emballage, et la mets. Je la saisis par les hanches, et j’approche ma queue de ses fesses, puis son entrejambe. Je la pénètre, elle est tout humide, ses lèvres ouvertes. Mon gland glisse facilement, et le reste de mon membre aussi. Je commence déjà mes va-et-vient. J’ai suffisamment attendu, j’ai très envie d’elle. Les mains liées, son corps entier ne résiste pas à mes assauts, il bouge de tout son long, et déjà elle gémit.
Je n’avais jamais attaché une femme de la sorte, et c’est très excitant. Je continue alors sans cesse, j’aime la voir bouger comme ça dans tous les sens, et elle n’a pas l’air de s’en plaindre, d’ailleurs. J’aime l’entendre pousser un cri à chaque coup de reins que je lui assène. Je recule afin, sors mon membre et lui fais signe de se retourner. Je prends une jambe en main, et naturellement, elle me donne sa deuxième. Je la porte par les cuisses et reviens en elle. Je profite de la situation pour qu’elle fasse elle-même les mouvements de bassin. Elle me regarde droit dans les yeux, et sa voix m’excite davantage encore. Presque par un réflexe automatique, je m’empresse de l’embrasser. N’hésitant pas à passer ma langue dans sa bouche, à la recherche de la sienne, dansant même avec, allant même mordre sa lèvre du bas. Après ce long baiser, je dirige mes lèvres sur le côté de son cou. J’adore lécher cet endroit-là. J’aime aussi le mordre.
Laisser l’empreinte de mon passage sur son corps, de multiples façons. Ça ajoute une excitation, puisqu’elle doit à chaque fois se cacher auprès de son copain. Je me retire, encore, et lui fais signe de ne pas bouger, et je m’agenouille. Je porte instantanément ma bouche à son entrejambe. Le nez collé à sa toison. Je dévore son antre, passant ma langue sur son clitoris, jusqu’à même sa fente. Je lèche quelques minutes, avant de la reposer à terre, lui demandant de se retourner à nouveau. « Cambre-toi. » Je lui ordonne. Je lui remets deux nouvelles fessées, et lui enfonce d’un seul geste mon index droit dans son plus petit orifice. Elle expire un léger cri de gêne, et je commence quelques va-et-vient, pour l’habituer. Elle se dilate facilement. Je m’arrête et remplace mon doigt par mon sexe. Je le prends en main, et le mets vers son petit trou, et l’introduis lentement, afin qu’elle puisse ressentir mon passage à chaque seconde qui passe.
Une fois en elle, je commence quelques va-et-vient. Elle gémit déjà. Je vais de plus en plus vite ? Je sens bien qu’elle a envie de parler, peut-être pour me dire de continuer. Ou d’y aller plus doucement. Mais rien. Rien d’autre ne sort de sa bouche mis à part ses sempiternels gémissements, teintés par moments de véritables cris. Il faut savoir que la sodomie est toujours intense avec elle. Si son trou se dilate facilement, ça reste un endroit très serré, et mon sexe s’en rend compte. Pour ne pas jouir trop rapidement, je me retire, encore. Je la retourne, face à moi. Je la regarde intensément dans les yeux, immobile. Je passe ma main sur sa bouche, je lui caresse le cou, puis vers sa poitrine. Un sein, que je malaxe, presse, empoigne, et pince le téton. Je descends. Le long de son abdomen, ses abdos sculptés, son ticket de métro, son clitoris...
Que je caresse, frénétiquement. Je sais qu’elle adore ça, mais qu’elle aime aussi qu’on la doigte en même temps. Je la caresse quelques instants avant de saisir à nouveau mon membre si dur pour le remettre dans sa chatte. Je saisis d’une main son fessier que je serre entre mes doigts, et de l’autre, je la prends par la nuque. Je débute de grands coups de bassin et déjà elle crie. Elle n’a jamais crié aussi fort. Je crois que l’endroit et le fait d’être liée y sont pour quelque chose. J’aime la baiser dans cette position, j’aime la savoir suspendue de la sorte. Après 5 peut-être 10 minutes de coups de reins intenses, je me retire. Ça se sent, pour elle c’est un enfer. Je passe mes mains au-dessus d’elle, où elle est attachée. Je prends le nœud qui la lie, et le défait. Elle met ses mains le long de son corps. Je m’allonge, l’invite à venir sur moi. Elle s’avance, et chaque pied se trouve de chaque côté de mes reins. D’un pied, elle touche mon sexe, le caresse.
Elle le repose au sol, et descend sur moi, accroupie. Elle s’empale sur ma queue et se l’enfonce, et gère le rythme. De bas en haut. Puis d’avant en arrière. Verticalement à nouveau. Elle ne cesse d’alterner. Elle prend mon sexe en main, le retire et se l’enfonce entre les fesses. C’est une grande fan de sodomie. Et elle ne se prive pas pour me le montrer. Si je n’étais pas tellement dans l’action, je me demanderais si elle est aussi pratiquante de l’anal avec son copain. Après une sodomie intense, pendant laquelle mes mains se sont posées successivement sur ses hanches comme sur ses délicieux seins quelque peu frais, elle finit par se retirer. Elle me prend par la main, je me relève. Elle se met genoux à terre, face moi. Elle éjecte ma capote, et prend ma queue en bouche, ses douces lèvres se refermant sur celui-ci. Je sens sa langue sur mon gland, alors qu’elle avale mon sexe de tout son long. Elle l’enfonce à tel point de faire une gorge profonde, qui dure quelques secondes.
Elle la fait réapparaître, et la ravale. La ressort, et recommence. Lorsqu’elle arrête de me sucer, elle pose sa main dessus. Elle me branle énergiquement sa langue en dehors de sa bouche. Quelques secondes, et un jet de sperme blanchit sa langue, et le contour de sa bouche. De sa main, elle essuie son visage, récupérant le liquide chaud, pour avaler les dernières gouttes. Elle me regarde, fièrement, mon foutre dans sa gorge en souriant, juste avant d’avaler. Elle se relève, m’embrasse, et recule vers l’arbre. Serrant sa gorge, je l’embrasse une dernière fois et la remercie au creux de l’oreille. Avant de me retourner pour aller récupérer mes affaires, je lui demande de rester là jusqu’à ce que je lui autorise à partir, et lui annonce qu’elle recevra quelques souvenirs dans les jours qui suivent. Je m’en vais, elle me dit « merci... » de sa voix docile.
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