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Somnambulisme

Chapitre 1

Inceste
Je venais de fêter mes 19 ans lorsque je suis parti en vacances dans les cévennes en plein mois d’aout avec mes parents et ma sœur. Lucie ne partait plus en vacances avec nous depuis quelques années maintenant, du haut de ses 22 ans elle avait pris l’habitude de partir avec ses petits copains ou amis mais cette fois-ci elle avait largué son dernier plan cul peu avant les vacances et avait finalement décidé de partir avec les parents et moi. D’ailleurs je me présente, je m’appelle Tom, je suis un geek en deuxième année de licence info et faute d’être doué pour me faire des amis et encore moins pour trouver une copine je pars encore en vacances avec mes parents.
La venue de Lucie au dernier moment avait un peu chamboulé les plans des parents puisque notre gîte n’avait que deux lit doubles, elle et moi allions devoir partager le nôtre pendant deux semaines.Ma sœur est une belle femme, grande avec des formes qui plaisent aux hommes vu le nombre de garçons qui se sont succédé à la maison depuis plusieurs années. Quant à moi elle a toujours été sympa avec moi petit et plutôt indifférente ces derniers mois cela était pour moi l’occasion de renouer des liens avec elle.
J’aurais pu vous détailler notre séjour amplement mais je tacherais cependant d’aller à l’essentiel car ces lors des nuits passer avec elle que l’histoire se corse.Chaque soir avant de me rejoindre au lit Lucie se rendait dans la salle de bain pour enfiler un short de pyjama et un t-shirt très ample. Pour ma part un caleçon faisait l’affaire. Le fait de dormir avec ma sœur ne me gênait pas, n’ayant pas l’habitude de prendre beaucoup de place dans le lit.
Les 3 premières nuits il ne se passa rien de particulier si ce n’est que le troisième matin je me réveillai avec Lucie à moitié avachie sur moi dans ce qui ressemblait à un câlin. Elle avait l’habitude de dormir avec ses amants aussi son inconscient m’avait-il sans doute pris pour l’un d’eux durant la nuit.
La cinquième nuit fut particulièrement chaude, et le réveil fut brutal puisqu’à 8h du mat je fus réveillé par ma sœur qui me poussa hors du lit se cachant avec la couverture en me traitant de pervers. Une fois relevé de ma chute et ne comprenant pas ce qui ne se passait ni pourquoi l’on m’insultait, Lucie m’ordonna de lui rendre ses vêtements, je baissais machinalement les yeux pour constater qu’à mes pieds se trouvaient le short et le t-shirt de ma sœur. En lui rendant je tentai de me justifier comme je pouvais, expliquant ne pas comprendre ce qui s’était passé et que je n’y étais pour rien. Elle n’écouta pas et m’obligea à sortir.
Un peu plus tard dans la journée, Lucie revint vers moi toute penaude en s’excusant. Petite elle était somnambule et cela ne lui était pas arrivé depuis plusieurs années. Avec la chaleur elle s’était vraisemblablement intégralement déshabillée sans s’en rendre compte et à son réveil, totalement nue, elle avait cru que c’est moi qui l’avais ainsi dévêtu.
Bien que mécontent d’avoir été sorti du lit un peu plus tôt pour rien je ne lui en tins pas rigueur.La nuit suivante, pris d’une envie d’aller pisser je constatai à mon retour des toilettes que ma sœur avait recommencé puisque avec la lumière de la lune passant à travers le volet mal fermé je pouvais entrevoir les seins de ma sœur allongée sur le côté. Ainsi une fois de nouveau dans le lit je pouvais deviner les mamelons de Lucie à une vingtaine de centimètres de moi. Je passai quelques instants à les scruter. Sentant venir une érection inappropriée, je me retournai et me rendormi.
Je passai la journée entière du lendemain à repenser à cette vision de ses seins. Bien qu’il s’agît de ma sœur et que je ne la désirais pas elle, c’était une belle paire de seins et moi un puceau, je voulais en voir plus. Aussi le soir venu avant de dormir je pris soin de ne pas fermer les volets, afin de mieux voir cette fois-ci, si tenter qu’elle réitère son strip tease nocturne.
J’attendis patiemment, plus d’une heure que ma sœur dormait déjà et toujours pas de déshabillage. Extenué, le sommeil me gagna à mon tour, mais fut réveillé dans la nuit par les mouvements de Lucie sur le matelas. La lumière d’une lune quasiment pleine baignait la pièce de lumière si bien que j’étais aux premières loges pour voir Lucie galéré à retirer son short tout en dormant. Une fois nue, elle se calma et resta allongée sur le dos totalement nu avec seulement une jambe cachée par le drap.
Tel un explorateur je scrutais le moindre détail de cette nouvelle découverte. Le corps de ma sœur était sublime, j’admirais le grain que sa peau semblait avoir. D’où j’étais-je ne pouvais voir son vagin et n’osais bouger de peur qu’elle se réveille mais je pouvais tout de même constater qu’elle était intégralement épilée sur le dessus. Je n’étais pu allonger à côté de ma sœur mais simplement d’un corps de fantasmes. Je finis par réaliser qu’à force d’observation mon sexe avait complétement durci sous mon caleçon que je ne tardai pas à ôter pour entamer une calme et régulière masturbation. Alors que je m’astiquais, je n’osais regarder son visage mais vérifiais tout de même de temps en temps qu’elle dormait bien. Se réveiller nue à côté de son frère qui se masturbe en la regardant lui aurait surement déplu.
J’accélérais le mouvement que je dus stopper net, lorsqu’elle se mit à remuer, elle se retourna et toujours dans son sommeil vint se blottir contre mon épaule en me chevauchant d’une jambe, si bien qu’en l’espace d’un instant j’étais coincé nu sous ma sœur tout aussi nue avec mon sexe dur comme jamais coincé sous sa jambe à quelques centimètres de son vagin. Je n’osais bouger, je sentais la douceur de ses seins contre mon torse et ne savais pas comment réagir face à cette situation improbable.
Si elle se réveillait j’étais fini et je ne pouvais attendre indéfiniment coincer ainsi dur comme jamais, je soulevai tout doucement sa jambe pour la repousser mais Lucie gémit légèrement et je la lâchai immédiatement ce qui eut pour conséquence de dégager mon sexe qui se rapprocha alors un peu plus près du sien. Si près que du bout du gland, tendu comme jamais je sentais les lèvres du vagin de ma sœur. J’étais complètement perdu, la situation n’avait pu rien de réel, j’avais le corps inerte de ma sœur nu sur le mien et si je bandais comme un diable je sentis quelque chose d’humide, ma sœur mouillait. Je ne connaissais rien aux femmes mais je savais qu’il m’arrivait de bander dans mon sommeil, peut être les filles mouillait-elle aussi dans leurs rêves.
S’imaginait-elle actuellement en compagnie d’un amant, je n’eus pas le temps de me poser la question plus longtemps puisque Lucie remua légèrement et je sentis mon gland passer l’entrée de ses lèvres, mon sang ne fit qu’un tour, je bondis hors de là et fila à la salle de bain sans me retourner.
J’étais allé trop loin même sans le vouloir. Si fantasmer sur le corps de sa sœur était quelque chose, la pénétrer en était un autre, je dû me résoudre à évacuer mon excitation dans du papier toilette et retourna penaud dans le lit ou le corps de Lucie était de nouveau caché sous les draps.
Toute la journée du lendemain, je ressassais ce qui s’était passé la veille en me jurant de ne plus prendre le risque que cette situation se produise de nouveau. Mes belles paroles ne durèrent pas bien longtemps puisque le soir même, tard dans la nuit, la lumière de la pièce baignant la pièce je sentis dans mon dos Lucie se déshabiller de nouveau ce qui me réveilla. Je me retournais alors pour admirer le spectacle, mais à peine eu-je bougé que Lucie s’immobilisa et à ma grande surprise prononça en chuchotant mon prénom. Ne sachant comment réagir je fis mine d’être simplement en train de me retourner dans mon sommeil, j’étais maintenant allongé sur le dos à côté de ma sœur nue encore une fois mais bien réveillée cette fois-ci. Je ne tardai pas à comprendre ce qu’il se passa tout d’abord grâce aux bruits puis aux légers gémissements que Lucie laissait échapper, elle se masturbait à mes côtés.
La situation était très existante aussi je m’aventurais à jeter un coup d’œil de temps en temps dans sa direction pour l’observer en pleine action, je ne parvins pas cependant à contenir mon érection qui se faisait de plus en grande si bien que cela se voyait désormais à travers le drap. Lucie dût le remarquer puisqu’elle diminua l’allure et vérifia une fois de plus si je dormais en m’appelant par mon prénom. Je ne bronchai pas d’un poil peur que le spectacle s’arrête si tôt, je sentis alors sa main effleurer plusieurs fois mon sexe qui vacillait à chaque frôlement, je ne savais pas à quoi elle jouait mais cela m’excitait énormément. Toujours toute nue je la sentis me chevaucher si bien qu’avec son minou elle aplatissait ma verge dans mon caleçon et entama alors un lent va-et-vient.
Ma grande sœur se masturbait littéralement sur ma verge et j’étais incapable de réagir, aussi je tâchais d’oublier l’illogisme de la situation et de me laisser aller à mes sensations tout en gardant les yeux fermés.
Lucie gémissait et mouillait de plus je sentais mon caleçon s’humidifier sous son vagin et le long de ma queue. Je ne sais si c’est pour éviter de le mouiller davantage ou pour pousser plus loin sa perversion mais elle ôta finalement mon caleçon délicatement pour reprendre de plus belle sa masturbation sur mon sexe désormais à nu. Je peinais à continuer ma comédie tant le plaisir était grand, des sourires en coin m’échappait et je ne pouvais savoir si elle les remarquait. Lucie poussait maintenant de petits cris, je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir.
D’un mouvement brusque elle se pencha vers moi et me chuchota à l’oreille « tu aurais dû continuer hier » avant de se relever en enfonçant d’un coup l’entièreté de mon pénis dans son vagin ce qui lui déclencha un puissant orgasme. Elle cria, trembla et s’effondra sur mon torse, ma bite toujours en elle.
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