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Son Âme au Diable

Chapitre 6

Erotique
Son Âme au Diable (6)

Ce matin, Angélique part un peu plus tôt de la maison. Il faut absolument qu’elle dépose Louise chez sa mamie avant sept heures trente. Aujourd’hui, c’est mercredi, alors c’est la retraitée qui joue la baby-sitter toute la journée. Et elle a plaisir à se faire accompagner de sa petite-fille sur le marché. La petite adore ça également. Déjà parce qu’elle passe sa journée chez sa mamie. Ensuite parce que la boulangère, qu’elle connaît bien, lui offre parfois une chouquette. Louise est donc impatiente, et devance sa maman dans la voiture. Elle grimpe sur le rehausseur et essaie de son mieux de cliquer la ceinture de sécurité.
Angélique court derrière. Elle n’est déjà pas forcément du matin, alors faire encore plus vite que d’habitude, c’est dur ! Nicolas, qui a déjà déserté les lieux, a laissé tout en plan sur la table de la cuisine. Angélique débarrasse donc en vitesse tout ce qui peut se cacher dans l’évier, bourre les placards à l’arrache, et va vite retrouver Louise dans la voiture. La petite piaille pour accélérer la manœuvre, ce qui a le don de speeder sa mère. Et cette maudite ceinture est tout entortillée, ce qui n’arrange rien. Quand, en plus de tout, son portable se met à carillonner un message, Angélique perd ses moyens. Le paquet étant désormais ficelé, elle saute derrière le volant et laboure les graviers en sortant de la cour.
Serait-ce un message de ce mystérieux Hedone ? Louise lui pose tout un tas de questions au sujet du petit teckel de sa mamie, et Angélique doit donc disserter sur les saucisses à pattes, tout en négociant son virage sans trop freiner. Le défi du jour ? Cela la rend fébrile. Elle s’attend à quelque chose de plus... délicat que le précédent. Oui, il est mignon à souhait bien sûr, mais non, il n’y aura pas de chien tout de suite à la maison. Celui de sa mamie est déjà suffisant, non ? Elle peut très bien s’arrêter là, aussi, et ne pas accepter des défis qui pourraient bien finir par être compromettants. Elle ne veut pas, par exemple, finir en photo-reportage sur un site de cul avec son visage à découvert.
Louise s’est déjà détachée quand sa mamie ouvre la portière. Angélique, elle, n’a pas vu passer les vingt petites minutes du trajet, bien trop pensive. Un café ? Quelle idée, non, elle n’a pas le temps. Elle doit repartir tout de suite parce qu’elle a une pile de dossiers à préparer pour son boss, dès ce matin. Eh oui, même en octobre, il y a des coups de bourre. Angélique prend tout de même le temps de faire un câlin à Louise, lui recommande inutilement d’être bien sage, et vérifie qu’elle n’a pas oublié son petit sac sur le siège arrière. Louise et sa mamie referment à deux la portière de la conductrice, qui envoie déjà plein de bisous avec sa main.
Angélique repart l’esprit serein concernant sa fille, mais un brin préoccupé la concernant elle-même. Il faut absolument qu’elle lise le message, mais pas là. Pas devant la maison. Elle continue donc un peu plus loin, et s’arrête deux minutes après sur un accotement bien large. Le genre de coin où les routiers posent leur semi-remorque pour la nuit, et où les couples illégitimes viennent discrètement copuler. Elle-même se dit qu’elle est là aussi pour du sexe, et cela la fait frissonner. Elle sent que son pouls s’est déjà accéléré. Il cogne au niveau de sa carotide. C’est idiot, pourquoi réagit-elle comme ça ? Ses doigts n’ont jamais été aussi gros et patauds pour taper au bon endroit sur l’écran...
Hedone>Seraphine_07H22Tu as su me prouver, Seraphine, que tu es une femme pleine de ressources et d’inventivité. Tu as également un don artistique pour la photo. Aujourd’hui, je te propose un défi à la hauteur de tes charmes, qui va te faire découvrir le côté délicieux de la transgression. Tu vas passer ta journée sans petite culotte. Mais attention, pas question de tricher. C’est aussi pour toi que tu le fais. Et tu devras me prouver tout au long de la journée que tu as bien les fesses à l’air...
Angélique déglutit. Elle sent justement que son string commence à s’humidifier. Elle ne va quand même pas accepter ça ? Elle ne peut pas... En même temps, elle est consciente que reculer, c’est un aveu. C’est montrer qu’elle n’est pas la fille libérée qu’elle s’imaginait être. Et c’est montrer à son mystérieux interlocuteur qu’elle n’est qu’une oie blanche, innocente et pudique. Une nonne. En revanche, si elle accepte ce défi, elle n’a pas le droit non plus d’attendre le milieu de la journée pour commencer. C’est maintenant, ou... oui, c’est maintenant.
— T’es complètement dingue, ma petite Angélique ! Qu’est-ce que tu fais ?!
Mais elle le fait quand même. Elle tourne la tête attentivement de tous les côtés, et s’assure qu’il n’y a personne à l’horizon. En sortie du village, comme ici, c’est tranquille. C’est une chance aussi, ce matin elle a passé une robe légère, qu’elle a choisie dans les tons crème. C’est un tissu hyper-souple, sans doute synthétique, qui ne froisse absolument pas. La coupe lui plaît bien parce qu’elle met en valeur la fluidité de sa ligne, et s’ajuste bien à son corps. Elle a retenu du site de vente en ligne qu’on appelle ça une robe fuseau.
L’avantage, surtout, c’est qu’elle peut facilement la relever. Elle appuie donc ses épaules sur le dossier du siège, soulève les fesses et relève la robe en haut des cuisses. Bon, c’est déjà ça, elle n’a pas beaucoup de mal. A la base, c’est déjà une robe courte. Il n’y a donc pas à galérer pour passer sa main par-dessous et atteindre sa culotte. Enfin, plutôt son string, car aujourd’hui, elle a fait en sorte que l’on ne puisse pas trop deviner sa lingerie sous la robe, tellement celle-ci est moulante. Elle a choisi un string en lycra blanc. Il est tout petit, et se retire très facilement.
Elle le fait glisser le long de ses cuisses, puis jusqu’en bas des chevilles. Elle pourrait se déchausser, mais elle va faire au plus simple. Elle soulève attentivement chacun de ses escarpins pour ne pas marcher dessus. Une fois libérée, elle s’apprête à rouler le petit bout de tissu en boule pour le fourrer dans son sac à main. Mais au dernier moment, elle le porte tout de même à son nez. Elle n’est allée faire pipi qu’une seule fois depuis qu’elle l’a enfilé, et ça va. L’écrin de son intimité ne sent pas la petite fille négligée. Par contre, elle y décèle presque le parfum de ses envies...

Angélique saisit son portable, écarte légèrement les cuisses, et prend un cliché peu lumineux de l’intérieur de sa robe. Elle le poste aussitôt et, en réponse au défi, rédige fièrement un message rempli lui aussi de défi.
Seraphine>Hedone_07H43Tu vois, j’en suis tout à fait capable. Et je te le prouve. Cela ne me fait pas peur...
En réalité, si, un petit peu quand même. Angélique est une fille plutôt pudique, et n’a pas l’habitude de sortir sans culotte. Alors c’est vrai, du temps où elle était encore célibataire, il lui est arrivé d’accompagner parfois sa meilleure amie, Elise, sur la plage naturiste du Lourtuais. Mais c’est bien là les seules occasions de s’être montrée nue. Et c’était dans le cadre bien limité d’une plage. Et ce n’est pas arrivé souvent. Et puis, c’était surtout pour le fun. Elles aimaient bien toutes les deux aguicher les mecs avec des poses suggestives, juste pour les faire bander et les mettre mal à l’aise sur la plage.
Aujourd’hui, c’est un peu autre chose. Elle n’est pas censée se trimballer à moitié à poil dans la ville. C’est là transgresser la bonne morale. Alors qu’elle a encore les yeux rivés sur l’écran, les pneus d’une fourgonnette viennent crisser sur le parking non loin d’elle. C’est un artisan qui semble plutôt énervé, tenant d’une main son volant et de l’autre son téléphone. Il s’arrête non loin de la petite voiture. L’homme gesticule et vocifère dans son portable. Il jette un œil en direction d’Angélique.
Cela soudain la pétrifie. Seigneur, il va voir qu’elle n’a pas de culotte ! Angélique est paniquée, mais n’ose bouger. Son cœur s’emballe et commence à monter dans les tours. Quelle folie de s’être ainsi privée elle-même du dernier rempart de protection devant son intimité ! Que va-t-il penser d’elle ?
— Mais rien de mal, ma pauvre Angélique, il ne peut pas te voir ! Il ne peut rien savoir.
La pression redescend d’un coup, suivie d’une bouffée de satisfaction. Évidemment, personne ne peut le savoir. Il n’y a bien qu’elle a tremblé. Cette situation est très embarrassante, mais elle ne risque rien pour autant. Cela du coup prend un côté très excitant. Elle se sait nue devant tout le monde, mais personne ne s’en aperçoit. C’est grisant. Pourquoi ne l’a-t-elle pas essayé plus tôt ?
Angélique se rend donc à l’agence, légère et court-vêtue. Un petit sourire coquin se lit sur ses lèvres. Huit heures douze, sous l’obscurité de son bureau, hop ! Un petit cliché qu’elle poste. Onze heures quarante-cinq, derrière les étagères de la salle d’archive, hop ! Un autre cliché. Treize heures vingt. Fabien n’est pas encore arrivé, et Angélique sait qu’il n’arrivera pas avant quatorze heures bien passées. Hop ! Un cliché on ne peut plus coquin, assise sur la photocopieuse. Quinze heures deux, derrière le panneau de la vitrine, hop ! Encore un cliché intime. Tout au long de la journée, Angélique a l’occasion de croiser Fabien, de le frôler, de le contourner. Elle est presque nue devant lui. Elle sent toute son intimité aux abois dès qu’elle approche son collègue. Mais lui ne se doute de rien ! Elle trouve l’expérience excitante à ses côtés. Ah, s’il savait !
A chaque nouveau cliché qu’elle s’apprête à faire, Angélique est toute frétillante. Elle sent bien que cela commence à la faire mouiller à la seule idée de faire quelque chose d’interdit et de coquin. Ce sont aussi des sensations nouvelles à l’assaut de son intimité. Une porte laissée ouverte, et elle ressent les courants d’air frais sur sa fine toison pubienne. La proximité du radiateur, ça la fait fondre d’envie. Quand elle se trémousse sur son fauteuil, le tissu lui caresse davantage les fesses. Puis soudain le regard de Fabien qu’elle surprend sur son petit cul, tout se mélange en elle : le souffle d’une caresse, la chaleur d’un contact, la sensation d’être mouillée. Il faut vite qu’elle change de pièce !
Fabien finit son café en même temps qu’il regarde les infos sportives de la matinée. Du sport, il va y en avoir aujourd’hui, il se doute. Il faut dire qu’il a eu une sacrée bonne idée en proposant à Seraphine un défi aussi coquin. Ça l’excite déjà. Il espère bien que là encore elle ne reculera pas, et dans ce cas... Angie va venir à l’agence ce matin les fesses à l’air, et surtout sa petite chatte à l’air. Waouh ! C’est trop sexe !
Le fantasme de la fille sans culotte, c’est un truc qui marche à chaque fois pour le faire bander. Cela dit, il reconnaît que dans les préliminaires, ce qui est le plus excitant, c’est de baisser la petite culotte d’une fille. Et puis de la sentir aussi avant. Il adore quand une fille n’est pas trop propre. Enfin, pas sale non plus, mais juste assez pour que ses odeurs intimes soient chargées de phéromones et d’interdit. Quand une petite culotte a épongé un peu l’intimité d’une journée, qu’est-ce qu’elle est excitante ! Et il adore la faire glisser tout doucement le long des cuisses, s’attarder volontairement pour la humer. Elle dévoile alors à ce moment le secret d’une pilosité discrète, ou même pas de pilosité du tout pour les plus coquines.
Fabien a retenu cette citation de Sacha Guitry « Le meilleur moment dans l’amour, c’est quand on monte l’escalier ». Lui se dit que le meilleur moment, c’est quand on descend la petite culotte. Alors pourquoi Fabien est-il aussi retourné qu’Angie puisse ne pas porter du tout de petite culotte ? Peut-être parce qu’à défaut de pouvoir lui offrir son corps au terme d’un jeu de supplice érotique, elle lui offre directement son âme. Il lui faut effectivement bien accepter une forme de soumission sexuelle pour ne pas porter de petite lingerie. Et c’est ça qui fait vibrer Fabien la concernant : qu’elle lui offre son âme comme s’il était un démon tentateur. Qu’elle passe outre les convenances et la bonne morale pour être celle qu’il désire sexuellement. Qu’elle se donne entièrement à lui.
Alors quand il reçoit la première photo à sept heures quarante-trois, Fabien jubile. Il se trémousse sur sa chaise de bar et zoome l’intérieur de la robe. Dommage, la photo est sombre, il aurait voulu pouvoir distinguer ses lèvres entrouvertes. Mais qu’est-ce qu’elle est bandante cette petite Angie ! Ah, il aimerait la trousser comme ça, juste en relevant sa robe, et la culbuter contre un mur !
Il jette sa tasse dans l’évier, s’essuie la bouche d’un revers de main, et se précipite à la salle de bain. Aujourd’hui, il va vite se préparer pour arriver tôt à l’agence. Mais vite, ce n’est pas même suffisant. Car avant qu’il n’ait démarré sa belle Audi, il reçoit une deuxième photo. Il zoome là encore, et en voit déjà un peu plus. Cette petite coquine est presque rasée, elle n’a quasiment pas de poils entre les cuisses. Ah, ce qu’elle doit être bonne ! En prêtant un peu attention, Fabien reconnaît le pan de mur qu’on aperçoit en fond de plan. Angie doit être juste derrière son bureau, puisque le calendrier apparaît dans un coin. Elle a écarté les cuisses pour lui, et s’est prise en photo !
Quand il arrive à l’agence, Fabien a grand-peine à se calmer. Il va cependant retrouver sa collègue comme si de rien n’était. Comme s’il ne savait pas que sa petite chatte lui est grande ouverte sous la robe. Et Angélique est radieuse. Vraiment, cette fille a tout pour lui plaire.
Il lui faut quand même bosser un peu, et ce matin c’est compliqué de rester concentré. Un coup de fil, trois dossiers à compléter, il doit contacter la communauté de communes pour un renseignement concernant une villa. Fabien se force plusieurs fois à rester mobilisé et efficace. Il a laissé la porte de son bureau entrouverte. Pas trop pour qu’on la remarque, mais suffisamment pour entendre ce qui se passe à l’accueil.
A midi moins vingt, il aperçoit Angie qui passe subrepticement devant son bureau et rentre dans le local des archives. Moins de cinq minutes après, il reçoit une nouvelle photo d’elle.
— Toi, ma belle, t’as vraiment chaud aux fesses, et j’ai bien envie de t’arroser le cul !
Fabien déjeune pour une fois chez lui. Il profite de son temps pour reluquer à nouveau les photos qu’Angie lui a envoyées. Il peut dire que cette fille, elle en a. Et la journée n’est pas finie. Pour preuve, à treize heures vingt...
— Oooh, cette délicieuse petite coquine s’est assise sur la photocopieuse ! C’est ça, Angie, tu peux même grimper et t’accroupir sur la machine, je prends pour moi les deux cents prochaines copies !
Il n’imaginait pas Angie avoir autant d’audace. Et ce constat comble ses désirs ! et après-midi, ses clients sont un peu chiants. C’est ce qu’il lui semble. En tout cas, lui est un peu moins patient. Comme s’il attendait toujours autre chose. Quinze heures deux, nouveau cliché. Angie semble bien décidée à le rendre dingue ! A chaque fois qu’il la croise dans la journée, il ne peut s’empêcher de penser à son petit cul. Elle a vraiment le don pour lui offrir les flammes de l’enfer. Dire qu’elle se balade devant lui sans culotte ! A plusieurs reprises, il lui semble même qu’elle prend volontairement des poses suggestives, juste pour l’exciter un peu plus. Et ça marche.
Comme à seize heures, quand elle vient parler à Fabien d’un post-it qu’elle a laissé en vue sur son bureau, pour rappeler Madame Basset. Il la voit contourner son bureau et la sent lui frôler les épaules. Puis elle s’étonne que le bout de papier vert pomme ne soit plus là, et se penche juste devant lui pour le ramasser à côté de son bureau. Il voit bien qu’aucune marque de lingerie ne vient trahir sa robe hyper-moulante. Mais le post-it était-il réellement là sous ses yeux avant qu’elle n’arrive ?
A six heures moins dix, la porte de Fabien sursaute. Il l’avait laissée entrouverte pour rester averti de tout ce qui pouvait se passer. Un courant d’air l’a balayée lorsque Angie est passée dans le couloir, en direction des toilettes. Il se lève le plus silencieusement possible, et s’approche de l’embrasure. Effectivement, le verrou des toilettes, pas très loin de son bureau, vient d’être actionné. Prépare-t-elle une nouvelle pose coquine ? Fabien avance à pas de loup dans le couloir, et retient son souffle. Il est au moins à deux mètres, mais perçoit les sons étouffés. Les quelques premières gouttes qui tombent bruyamment, puis un flux plus discret, le dérouloir du papier, et le silence. Soudain, la pénombre des sanitaires rayonne d’un flash inattendu. Et peu après la chasse d’eau déferle tandis que le claquement de l’abattant indique la fin des opérations.
Fabien se sauve sans faire plus de bruit que dans l’autre sens. Elle a brandi une dernière preuve jusque dans les toilettes ! Il reçoit presque aussitôt dans son bureau un nouveau cliché. A la différence des précédents, le flash s’est activé automatiquement, et cette fois-ci la vue est imprenable !
Angélique se dit qu’avant de quitter le bureau, il lui est aisé de faire un nouveau cliché. « Il » ne pourra pas l’accuser de tricherie, vu le nombre de preuves qu’elle aura rassemblées toute la journée. Ça tombe bien, avant de quitter le bureau, elle a justement envie de faire pipi. Et elle n’a encore pas pris la pose dans les toilettes... Mais en fait, elle ne saurait dire laquelle des deux envies la titille le plus.
Elle traverse le couloir, son portable à la main, et passe devant le bureau de Fabien. La porte est très légèrement entrouverte, et Angélique ne peut s’empêcher de penser en elle-même que ce petit jeu à l’insu de son collègue sera bientôt fini. A moins qu’elle ne décide demain encore de venir sans culotte...
Elle s’enferme dans le petit local, relève sa robe et s’assoit sur la cuvette. Elle se soulage dans un doux moment de bonheur et attrape une avalanche de feuilles avant même d’avoir fini. A l’idée de bientôt prendre un cliché, Angélique se sent déjà toute chose. Sitôt essuyée, elle arme son portable et frémit. Cette fois-ci, elle veut se montrer plus ouverte encore. Elle trouve ça follement excitant ! Elle écarte largement les cuisses, et appuie. Elle ne s’attendait pas à ce que le flash se déclenche, et il a illuminé la pièce minuscule... Pourvu que cela passe inaperçu ! Oui, logiquement si Fabien n’est pas sorti de son bureau – et elle ne l’a pas entendu – il ne l’aura jamais vu. Elle ne prend pas même le temps de visualiser le cliché et se dépêche de le poster pour sortir.
Quand elle quitte l’agence dix minutes plus tard, Angélique est fin énervée. Dans un moment de folie, elle avait presque envie de relever sa robe devant Fabien quand elle l’a saluée. Mais heureusement, elle a réussi à se maîtriser. Cette expérience en tout cas l’a excitée au plus haut point durant toute la journée. Ce soir, elle a envie de sexe.
Et c’est Nicolas qui va prendre.
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