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Son dépucelage anal

Chapitre 2

Trash
L’état physique d’Emma me fait comprendre qu’il va falloir que je calme le jeu pour le moment. Autant elle peut parfois enchaîner des orgasmes comme une marathonienne, là je sens qu’il va falloir la jouer un peu plus fine que prévu. Elle est trempée de partout : elle mouille et sue, et je dois dire que je ne fais plus la différence. Ça m’est égal, ça m’excite énormément.Tout en contrôlant tant bien que mal le désir qui m’envahit, je lui lance affectueusement :
— On change un peu de rythme désormais, le temps que tu récupères... car sinon tu ne seras jamais prête pour ta sodomie, mon chou.— Tu es le seul maître à bord ce soir tu le sais bien.— Si ce n’était que ce soir...
Je profite de sa position passive pour me placer au-dessus d’elle et l’embrasser tendrement. Très tendrement. J’enfonce alors délicatement ma bite dans son orifice, ce dernier accueillant parfaitement l’objet de son plaisir. Elle souffle doucement, me laissant comprendre qu’elle apprécie cette douceur inespérée. Alors que je lui baisais la bouche violemment peu de temps auparavant, je lui fais désormais l’amour. J’impose un rythme lent, avec peu de variation. Mes mains passent dans ses cheveux, je l’embrasse toujours. Quand je ne le fais pas, je la regarde droit dans les yeux, regard qu’elle me rend. Nos corps sont connectés, nos âmes aussi. Elle me chuchote à l’oreille qu’elle m’aime et qu’elle ferait tout pour moi. Je ne dis rien, car un regard vaut mieux que mille mots.
Cela fait désormais une bonne demi-heure que nous faisons l’amour en missionnaire. Je sens qu’elle veut changer, moi aussi. Elle joue du bassin, et tout son corps dit qu’elle veut désormais retourner au charbon.Elle me chevauche alors, et en peu de temps, commence à se déchaîner sur ma bite. Je prends ses seins à pleines mains, je la touche partout. J’apprécie la vue de son corps et la voir se lâcher complètement. Elle prend beaucoup de plaisir, moi aussi d’ailleurs. Parfois trop. Je contracte alors régulièrement mon périnée afin de bloquer la montée de l’orgasme. Des années de branlettes intensives m’ont permis de connaître mon corps à la perfection. Le sperme reflue alors dans sa position d’origine. Cela fait mal à mes couilles trop pleines, mais je réserve ma jouissance à un autre orifice.
Afin de reprendre le contrôle de la situation, de ma main gauche, je la saisis fermement par le cou et la force à m’embrasser. Ce qu’elle fait sans rechigner. Toutefois, de ma main droite, je commence à caresser son cul. Je le saisis, le griffe et le fesse. Elle adore. Petit à petit, de caresse en caresse, je joue avec sa raie. De mes deux mains, j’écarte son cul, le referme ; ainsi de suite. Prolongeant le geste, je viens toucher le bas de sa chatte dégoulinante. Je sens ma bite y faire des va-et-vient. J’enduis mes doigts de mouille, et repars à l’attaque de son fessier.
— Vas-y, qu’est-ce tu attends pour m’en mettre un dans le cul ?
Ma réponse fut aussi rapide que l’éclair, et son désir fut ainsi comblé. Comme son anus. Même si elle me chevauche, c’est moi qui mène la danse de nouveau. En effet, mon majeur enfoncé profondément tel un crochet me permet de lui imposer le rythme. Ses pupilles sont dilatées, elle transpire à outrance.
— Mets-en plus ! Ça passe nickel, chou !— Un à la fois...
Mon index y passe, puis mon annulaire. Bien sûr, je vais me ravitailler de son lubrifiant naturel régulièrement. Pour ça je vais racler l’intérieur de ses cuisses ou la base de ma bite. Elle jubile. Il est désormais temps de passer aux choses sérieuses. Nous avons notre PACS à fêter, et c’est dans son cul que ça se passera.
Je la saisis par les hanches, la déboîte de notre position et la couche de nouveau en missionnaire.
— Donne-moi l’oreiller à côté de toi.
Elle s’exécute docilement. Je lui glisse alors sous le bas du dos. Après un coup de langue furtif sur sa chatte, je saisis le lubrifiant dans la table de chevet. Je badigeonne généreusement mon chibre ainsi que son trou de balle déjà dilaté. Profitant de sa souplesse, je la force avec mes deux mains à rabattre ses genoux au niveau de ses oreilles.
— Laisse-toi aller maintenant. Laisse la douleur t’envahir si elle vient. Laisse la place au plaisir aussi. Je t’ai déjà dépucelé la chatte, tu me fais confiance ?— Oui. On commence doucement, mais par la suite, lâche-toi, lâche tout.
Son dépucelage anal est aussi ma première sodomie. Bien sûr que je l’avais fantasmé, mais je vivais très bien ma sexualité sans cependant. J’enfonce mon gland dans son cul qui s’est déjà resserré. Ça rentre tout seul, cela me surprend. Je suis sans capote comme toujours, la sensation est divine. J’effectue de légers aller-retour avec le seul bout de ma bite. Elle grimace un peu, mais je ne m’arrête pas. Comme quand je l’ai déflorée : doucement, progressivement.
— Touche-toi. J’ai envie de te voir te donner du plaisir pendant que je t’encule.— Je commence déjà à avoir du plaisir, mais... c’est différent.— Fais juste ce que je te dis.
Elle me regarde dans les yeux et je perçois à quel point elle s’est abandonnée à moi. Elle se branle de plus en plus vite, tandis que je rentre désormais mon sexe en entier. De plus en plus rapidement aussi. Son anus me serre tellement fort, je retiens une éjaculation de justesse. Mes couilles pleines frappent comme un métronome sur son cul. Son visage change, il se crispe moins, elle gémit de plus en plus fort. Sa masturbation couplée au sexe anal lui procure un nouveau plaisir qu’elle apprivoise.
Sans crier gare, je me retire ma bite palpitante.
— Maintenant, tu vas te mettre à quatre pattes.— Fais-toi plaisir. J’adore tellement maintenant.
Je ne prends plus de pincettes, je l’encule sauvagement. Elle crie, ce qui est rare, et je sais que c’est du plaisir mélangé à la douleur. Elle sait qu’elle peut arrêter quand elle veut, mais ne le fait pas. Elle s’écrase la tête contre l’oreiller et d’une main se branle tandis que je lui fends le cul comme une bûche.
— Encore ! Encore ! Encore ! Vas-y plus vite, plus fort !— Je vais t’exploser le cul !!
Ses paroles me font vriller et je la prends par les cheveux. Cette soumission l’oblige à poser les deux mains sur le matelas. Désormais elle encaisse. Je me déchaîne comme jamais. Je ressemble à un chien, et elle ma chienne. Je repousse violemment sa tête et lui mets d’énormes fessées. Elle ne crie plus, elle gueule. A chaque passage de ma queue, son cul fait un bruit d’enfer. J’adore ça. Je ne cherche plus aucun contrôle sur mon plaisir, et je sens que je ne vais pas tarder à gicler. Pendant que je l’entends couiner, une intense jouissance me libère. Toute l’énergie accumulée dans mon corps s’expulse. Mon cerveau se déconnecte immédiatement. A ce moment, je crie moi aussi. J’ai besoin d’extérioriser cet orgasme cosmique. Je me décharge d’une quantité phénoménale de sperme au fond de son cul. Si j’avais joui dans sa bouche, elle se serait noyée.
Je sors de son orifice et m’assois derrière elle, contemplant le massacre. Elle ne bouge que par spasme, toujours le cul tendu vers moi. Le spectacle est saisissant. Son anus se contracte et se dilate sous mes yeux, faisant ressortir mon nectar. Ça coule partout. Elle reste là, comme ça.
— Ça va mon amour ?— Je... j’ai... j’ai joui. C’était hallucinant, je me sens aussi vide que tes couilles.— C’était exceptionnel. Merci de m’avoir offert ton cul ce soir, j’espère t’avoir fait honneur.— Tu pourras le reprendre quand tu voudras. Il est tien.— Je t’aime.— Je t’aime.
Nous nous allongeons alors face à face. On se regarde dans les yeux et on ne parle pas jusqu’à l’endormissement. Demain nous serons PACSés.

Après une nuit reposante, nous nous réveillons dans nos draps souillés par nos obscénités de la veille. Le sourire aux lèvres comme deux gamins, nous nous préparons. La journée se déroule parfaitement bien. Comme d’habitude, elle s’en faisait pour rien. Je parle avec son père et ne peux m’empêcher de repenser au trou de balle dilaté de sa fille la nuit précédente. C’est malsain, mais je me marre intérieurement. Je la vois parler au loin avec ses copines, et comprends rapidement qu’elle a raconté ses prouesses de la veille, car les trois brunes me regardent fixement. Elle fait bien, ça pourrait leur donner des idées.
Parfois durant la journée, à l’abri des regards, elle vient coller son cul contre mon sexe. Le message est reçu, nous remettrons le couvert ce soir.
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