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Son foutre en apéro

Chapitre 2

Gay
Avec Alanzo, on est invités, à une soirée. Avant d’y aller, on se prépare, et pour une fois, on part à l’heure.
Une fois arrivés, on commence à boire, à parler, à fumer un peu, pour finir plutôt éméché pour ma part, et complètement pour Alanzo. Il est déchiré comme jamais, heureusement pour lui, on est assis sur le canapé, sinon il aurait du mal à rester debout dignement. Il m’attrape la main et me regarde. Il me lance un sourire pas très frais, mais toujours sublime, et vient s’assoir sur moi. On est devant tout le monde, mais on s’en fiche, on a bien trop bu pour se soucier du regard des gens. Alanzo m’attrape le visage et commence à m’embrasser dans le cou, puis sur la mâchoire, puis sur la bouche, jusqu’à venir plonger sa langue dans ma bouche. Je l’accueille, comme toujours, et lui maintient la nuque pour l’attirer plus proche de moi. J’ai une gaule de malade depuis un bon moment déjà, et mon homme est exactement dans le même état que moi. Il commence à frotter son sexe contre le mien. Je pose mes mains sur ses fesses, pour accentuer son geste, et notre respiration s’emballe. On est bien, on profite l’un de l’autre sans se soucier du monde. J’entends la copine d’un de mes potes nous dire:— Non, mais il y a des chambres pour ça !
On s’est mis à rire, et on s’est bien rendu compte qu’elle avait raison. On se lève du canapé à la recherche d’une chambre libre. Une fois trouvée, Alanzo me sort:— Aujourd’hui, j’ai envie que tu me la mettes.
Je suis comme un dingue, normalement, je n’ai que rarement ce rôle, pourtant je l’aime bien. Je me suis dépêché de défaire les boutons de mon jeans, avant qu’il n’explose, et j’ai recommencé à embrasser Alanzo. Je passe ma main dans son jogging pour le branler. Sa bite est dure, et ça m’excite. Lui aussi me masturbe. On s’enlace, et nos deux sexes se retrouvent l’un contre l’autre. Dans notre fougue, on finit par se retrouver sur le lit. On respire fort, et on se déshabille en urgence, comme si autrement, on allait exploser sur place.D’un coup, il me repousse pour se mettre en levrette. Il expose à ma vue son cul bombé. J’ai vraiment trop envie de lui. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui mettre une grosse claque dessus, avant d’aller y plonger ma tête dedans. Dès que j’ai commencé à lécher son trou, il s’est mis à gémir, et moi, ça me fait bander comme jamais. En même temps que je m’applique à lui faire du bien, je me masturbe, tout simplement, parce que j’en ai besoin. Par moments, je relève la tête pour le regarder. Il s’accroche à la tête de lit en contractant tous ses muscles, qu’est-ce qu’il est beau ! Il me demande:— Continue.
Alors, je continue, et petit à petit, je lui cale quelques doigts, et plus je lui en mets plus il gémit. Il est vraiment chaud ce soir. Je ne tiens plus, j’ai vraiment trop envie de la lui mettre. J’attrape ma queue, et viens la placer contre son cul. Je le laisse s’impatienter juste un peu, puis, peu à peu, je rentre sans forcer. J’en ai une grosse, je sais qu’il faut que je fasse attention, du coup je le pénètre de quelques centimètres, puis je fais une pause afin de laisser son cul s’habituer à ma bite. Une fois fait, je m’enfonce un peu plus, le tout, en lâchant des râles de plaisir. Alanzo de son côté gémit comme un fou, c’est presque abusé. Je finis par rentrer mon sexe entier en lui, et entame de lents va-et-vient. Il me gueule:— Baise-moi plus fort !
Il est taré aujourd’hui ! J’accélère la cadence, et commence à lui marteler le cul avec ma bite. Je lui attrape fermement les hanches et lui enfonce mon sexe bien profond. Une fois en place, je le défonce bien comme il faut, avec de petits mouvements rapides. Il crie comme un malade, à un tel point, que je me suis quand même demandé comment le faire taire. J’aurais pu lui mettre un coussin sur la tronche, mais j’ai eu peur de l’étouffer. On change de position, pour se retrouver en cuillère, je profite de pouvoir attendre sa bouche, pour lui plaquer une main devant, et avec l’autre, je me mets à le branler. Je l’entends toujours gueuler, et je me dis que merde, il faut que je me lâche, on s’en fout des gens présents dans la salle d’à côté. Je lui attrape les épaules, et le plaque contre moi, pour être plus proche encore, pour que nos deux corps ne fassent plus qu’un. Je fais une pause pour ne pas terminer trop vite, et j’en profite pour l’embrasser. Il se met à onduler, et je sens son trou se contracter sur ma queue, c’est à mon tour de gémir, c’est vraiment trop bon. En deux secondes, il se retrouve sur moi, et c’est lui qui me baise. C’est toujours le "passif", mais c’est lui qui prend tout en mains avec une activité débordante. Il m’attrape à la gorge, et me regarde prendre mon pied. Je ne tiens plus, et il le sait. Je lui demande dans un souffle:
— Ralentis un peu.— Non, débrouille-toi pour tenir jusqu’à ce que je jouisse.
Je commence tout de suite à le branler. Il gémit toujours très fort, et ce n’est pas pour m’aider. Moi aussi je me mets à gueuler. Je ferme les yeux, et j’essaie de ne pas céder à la vague de plaisir qui me submerge. Il se baise fort, et à chaque va-et-vient, rentre ma bite bien comme il faut dans son cul qu’il resserre. Je le préviens:— Je vais venir.Il se penche sur moi, et nos deux torses rentrent en contact, il ne m’en a pas fallu plus, pour envoyer plusieurs grosses giclées de sperme bien profondément en lui. Les contractions de ma bite l’ont fait venir à son tour, et il a joui avec une telle force, qu’il s’est débrouillé pour m’en envoyer quelques gouttes en plein visage. Je récupère le tout, et lui glisse mes doigts dans la bouche. Il avale son propre foutre, et se pose de tout son poids sur moi. Je sens que mon sperme est en train de sortir de son trou, et glisse le long de ma queue encore un peu dure.
On s’est un peu reposé, puis on s’est rhabillés avant d’aller rejoindre les autres. On allait franchir la porte quand Alanzo m’a sorti:— J’ai mal au cul quand même...Je n’ai pas pu m’empêcher de rire, et aussi tordu que ça puisse être, de bander à nouveau. Il regarde la bosse qui est en train de se former sur mon pantalon, et me dit en rigolant:— Tu es vraiment dégueulasse, je te dis que tu m’as pété le cul, et toi, ça te fout la gaule. — Ouais.— Tu vas voir, je vais t’en mettre plein le cul, tu ne vas plus marcher pendant trois jours.— J’attends de voir.
Il me pousse sur le lit, sort sa queue de son pantalon, et commence à se branler. Il sait que dès qu’il fait ça, je ne peux pas m’empêcher de le sucer. Je prends son sexe parfait en bouche, et m’applique à me la fourrer bien au fond de la gorge. Nous revoilà parties. Très vite il m’arrête, me retourne, me baisse le pantalon juste sous les fesses, me les écarte, et me crache sur le trou pour le lubrifier. Il insère un doigt, le retire aussitôt, et vient m’enfoncer son gland bien gonflé. Je mets ma main entre ses hanches et moi pour le ralentir, mais il la retire immédiatement, et me maintient fermement les poignets contre le matelas. Il enfonce toujours plus loin, alors que je ne suis pas prêt:Je finis par lui dire:— Bordel, mais ça fait mal ! — Ferme-la.
Il retire sa queue, crache dessus, ainsi que sur mon cul, et me pénètre à nouveau. La douleur s’est vite transformée en plaisir. Il me baise avec ardeur, et maintenant, c’est à mon tour de gémir comme pas possible. Il me demande:— Tu aimes ? Je suis tellement dans mon truc, que je ne lui réponds pas, je me contente de hocher la tête.Il me retourne, pour qu’on soit l’un en face de l’autre, et je ralentis sa cadence. Il ne laisse que son gland dans mes fesses, et se penche sur moi, pour sucer ma bite en même temps qu’il me baise. Je n’en peux plus. Je m’accroche à ses cheveux, et lui enfonce mon sexe dans la bouche. Je sens la pression de sa langue, et ça me fait complètement perdre pied. Je l’attire vers moi pour l’embrasser, j’ai envie de l’avoir proche de moi, et profondément en moi. Il me comprend, et rentre à nouveau sa bite en moi, jusqu’à ce que je puisse sentir ses testicules toucher mon cul. Maintenant, il ne fait plus que des légers mouvements très profonds. Mon sexe frotte contre son ventre, et on lâche tous les deux des râles de plaisir. Il m’encadre de ses bras, et vient m’embrasser. Je le prends dans mes bras, et je sens la montée arriver, je sens sa bite me remplir, je sens ses abdos sur mon gland, je me sens venir. La jouissance vient de mon cul, du coup, elle envahit tout mon corps, et fait couler mon sperme doucement de ma bite. Alanzo se retire, il sait que j’ai horreur qu’il continue à me baiser le cul quand j’ai fini, alors, comme souvent, il me demande d’ouvrir la bouche, et se branle jusqu’à me gicler dedans. Je le regarde s’astiquer et ma respiration s’emballe à nouveau. Je regarde son pénis, je le regarde lui, je regarde sa position de "dominant", et j’aime ça. Il ferme les yeux, et se met à gémir. Je sais qu’il va venir. Sa queue se contracte juste avant que je reçoive des giclées de sperme épais dans la bouche. Je lâche un dernier râle en les avalants, et comme toujours, Alanzo et venu m’embrasser.
On est retourné voir les autres, et comme je le craignais, on s’est fait chambrer à cause de nos gémissements. Mais bon, c’était bon enfant, et puis je dois avouer qu’Alanzo a vraiment gueulé comme un malade.
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