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Son Restaurant

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Anaïs ne se doutait de rien. Elle savait que cette soirée serait particulière, sans pour autant mettre le doigt sur la tournure des événements. Elle n’avait reçu qu’un mail au bureau pendant ses heures de travail. C’était Holy.
Elle l’avait rencontrée sur un site de rencontre banal, quand elle traînait encore à la recherche d’un compagnon de voyage. Les rendez-vous étaient tous plus ennuyeux les uns que les autres. Jusqu’à Holy. Lui n’avait pas les mêmes mots que les autres, les mêmes attitudes. Il parlait peu, mais répondait tout de suite, était plutôt curieux et à l’écoute. Anaïs avait très vite su lui faire confiance et leurs échanges n’avaient pas tardé à prendre une tournure... particulière. Nous aurons largement le temps d’en reparler dans une autre histoire.
Elle pouvait mouiller rien qu’en pensant à lui, après tout ce qu’il lui avait fait par message, toutes les promesses qui devaient parcourir son corps. Elle serra les jambes devant son bureau. En lettres capitales, il avait simplement inscrit :
RENDEZ-VOUS CE SOIR RUE DE LA BALEINE 20H
MET UNE ROBE
RIEN EN DESSOUS
PREPARE TOI

Elle referma directement le mail tout en rougissant. A priori personne ne l’avait vu. Elle avait chaud, un tremblement la trahissait un peu. Ce soir elle aurait ce qu’elle désirait.

19H. Sous la douche, Anaïs prenait soin de laver chaque partie de son corps, s’attardant sur son intimité, ses seins charnus, son sexe épilé et ses fesses rebondies. Elle voulait se faire du bien, l’eau chaude qui coulait sur ses courbes la stimulait, son gode à ventouse était à portée de main. Elle caressa doucement le sexe en silicone. Elle imaginait déjà la queue palpitante de son amant, la caressant de haut en bas avec ses doigts, avant de l’enfourner entièrement dans sa bouche. Elle se lécha les lèvres tout en écartant délicatement ses jambes pour faire passer un doigt. Non. Elle n’avait pas le temps. Elle voulait être parfaite pour lui, être désirable, lui faire l’effet qu’elle avait réussi à donner avec des mots.
Sa petite robe rouge, trop courte pour être discrète, mais trop longue pour être indécente lui moulait les formes à la perfection. Comme ordonnée, elle ne portait rien en dessous, ce qui lui faisait régulièrement tirer le bas de sa robe. Elle prit le temps de contempler sa chute de rein, Anaïs pouvait en être fière. Avec une paire d’escarpins et un trench, elle serait irréductible. Le temps de faire une queue-de-cheval rapide avec ses magnifiques cheveux bouclés et elle partait rejoindre l’homme de ses nuits.

20H pile, Anaïs l’attendait à l’endroit prévu, une cigarette à la bouche. Il faisait bon au mois de juin dehors, et elle sentit une légère brise chaude venir caresser son sexe par-dessous la robe. C’était agréable, elle sentait même l’humidité de son antre qui lui procurait de la fraicheur.
Un jeune homme se dirigea vers elle tranquillement. Elle l’aperçut de loin, son cœur commençait à s’accélérer au rythme des pas. Taille normale, plutôt mince. Elégant dans une tenue décontractée. Ses cheveux courts roux dégageaient un effet de flamme avec les lueurs du soleil couchant. Elle arriva même à discerner de beaux yeux verts derrière ses lunettes à grosse monture. C’était Holy. Elle restait fixée là, sans bouger, les jambes tremblantes. Holy, qui lui avait fait ressentir tellement de désirs, se trouvait en face d’elle. Il s’avança respectueusement et lui embrassa le coin des lèvres. Doucement, une main frôla la sienne. En se retirant, il prit simplement le temps de lui dire au creux de l’oreille « Je suis très heureux de te rencontrer ». Anaïs frémit. Elle termina rapidement sa cigarette pour pénétrer dans le restaurant.

Un serveur les accueillit directement en prenant leur manteau. La lumière tamisée, les tables bien écartées et le style art déco donnaient à ce lieu une allure plus qu’intimiste, presque sensuelle. Leur table était située vers le fond, entourée par deux autres tables occupées. La majorité des clients étaient des trentenaires/quarantenaires, en couple ou entre amis. Lorsqu’ils traversèrent les rangs, Anaïs sentait le regard des hommes sur elle. Elle avait réussi son pari. Elle était désirée. Holy marchait à côté d’elle, le bras sur sa taille. Il ne la regardait pas, mais souriait doucement, consciente de l’effet qu’elle produisait. Lorsqu’ils prirent place, Anaïs sentit la main de Holy descendre le temps d’une seconde sur ses fesses. Il garda un air innocent et s’asseya en face. Il la regarda droit dans les yeux. Elle rougit. Il lui plaisait beaucoup. Il sourit, elle rit doucement en baissant les yeux, comme honteuse d’avoir l’air d’une adolescente de 16 ans face à son crush.
La soirée se déroula tranquillement, ils parlèrent de sujets banals, succédant les verres de vin et les plats. Il la faisait rire, elle le faisait sourire. Leurs yeux ne se lâchaient pas. L’ambiance se réchauffa lorsque Holy lui demanda doucement si elle était prête pour ce soir.
« - Qu’est-ce que tu as prévu ?
— Tu sais que je ne peux pas t’en parler, ce serait gâcher...— Tu ne peux pas me donner un indice au moins ?
Il répondit d’une voix ferme, mais douce
— Tu ne devrais rien essuyer. »
Rien essuyer... Ses mots semblaient résonner chez Anaïs. Elle sentait des papillons en bas du ventre, sans remarquer qu’il laissa tomber sa fourchette par terre. Holy s’accroupit pour la récupérer. Anaïs regardait le serveur revenir vers eux avec une bouteille de vin lorsqu’elle sursauta. Une main lui caressait la cheville. Vague de chaleur. La main remontait doucement sur son mollet, sa cuisse. Elle rougissait d’excitation mêlée à la honte. Pourvu que personne ne les voit. Le serveur n’était plus très loin. La main remontait encore, parcourait l’intérieur de ses cuisses... Puis la pénétra. Anaïs retint de justesse un soupir. Il l’avait doigtée, une seconde, sans rien dire.
Le serveur arriva au moment où Holy se remit à table.
« - Tout va bien, Monsieur ?
— J’ai juste fait tomber un couvert, pourriez-vous m’en apporter un autre ? — Bien sûr. Madame un peu d’eau ?
Anaïs était rouge et respirait rapidement.
— Tout va bien merci. J’ai un peu chaud.
Le serveur s’éloigna d’eux. Elle le regardait intensément, les cuisses serrées par ce geste. Holy lui rendit son regard tout en se léchant le doigt.
— Je vois que tu as respecté mes consignes. »
Anaïs se retira pour aller aux commodités. Elle s’assit en relevant sa robe. Trempée. Mêlée de honte et de plaisir coupable, elle s’essuya rapidement pour limiter les dégâts. Ses doigts glissaient sur son clitoris, l’excitant davantage. Elle tentait tant bien que mal de reprendre ses esprits. Si avec un doigt il lui avait fait tant d’effet, à quoi fallait-il s’attendre ensuite ?
En tirant la porte coulissante, un homme lui barrait la route. Il l’attrapa par le cou pour l’emmener dans un recoin plus sombre du restaurant. Holy mon Dieu... Il savait qu’elle aimait ça, ce côté violent qui lui donnait tant de plaisir à elle. Ils se regardaient dans les yeux. Elle tendit la main pour essayer d’attraper son sexe. Il la rattrapa pour la plaquer au mur. Elle était figée.
— Quand tu sortiras de ce restaurant, tu seras ma chienne. Tu m’appelleras Monsieur et tu me diras vous, c’est bien clair ?— Oui.— Oui qui ? — Oui Monsieur. Pardonnez-moi.
Il l’embrassa. Elle sentit sur sa jambe couler le fruit de son excitation. Son sexe était totalement trempé suite à cette nouvelle promesse de sa part. Lorsqu’ils se remirent à table, les gens les regardaient avec plus d’insistance. S’ils se doutaient de quelque chose, Anaïs s’en foutait. Elle ne voulait qu’une chose à cet instant précis. Lui. Elle déchaussa délicatement un escarpin. Tranquillement, elle éleva la jambe pour atteindre son but. Holy releva la tête, surprise par ce comportement cavalier. Elle lui massait la queue devant toute l’assemblée, à peine dissimulée sous une nappe trop courte. Elle le sentait dur, à l’étroit dans ce pantalon serré. Il réagissait à chacune de ses caresses. Holy la regardait dans les yeux. Elle soutenait le regard, se mordait doucement la lèvre inférieure, pour l’exciter. Il resta calme, tout en lui demandant de rapidement terminer son dessert.

Le cœur d’Anaïs faillit exploser lorsqu’il paya l’addition. C’est elle maintenant qui allait payer le prix de sa provocation. Il lui remit délicatement sa veste, en vrai gentleman, avant de lui tenir la porte pour sortir. Dehors elle regardait aux alentours, la rue était encore un peu pleine, elle avait peur de ce qui l’attendait. Il lui prit la main. Ils marchaient tranquillement, comme deux amoureux. Holy avait le regard en avant comme pour chercher quelque chose.
— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? demanda-t-elle.— Marche devant.
Elle obéit et avança de quelques mètres devant lui. En furetant ses réactions, elle se mit à dandiner, balançant ses fesses plus grossièrement pour qu’il voit ses formes au travail. Il ne manquait pas une miette, regardant par instant les rues alentour. Elle continuait d’avancer lorsqu’un bras la saisit subitement pour l’emmener dans une rue annexe. A l’abri des regards, Holy la plaqua contre un mur, la main sur sa bouche.
— Je t’avais dit que tu serais ma petite chienne maintenant. Agenouille toi.
Tremblante d’excitation, Anaïs s’exécuta. Elle mit les genoux au sol sans le quitter des yeux. Il tendit sa main vers elle pour lui caresser le menton. Elle attrapa son pouce pour le sucer goulûment. Elle voulait montrer qu’elle était bien à ses ordres. Holy sourit en la laissant faire.
« - C’est bien, tu sais comment faire pour être une bonne soumise toi.
Elle hocha la tête sans quitter son pouce.
— Maintenant tu vas libérer ma queue, c’est elle qui va te donner des ordres. »
Anaïs s’exécuta et déboutonna rapidement son pantalon pour libérer sa convoitise. Son pénis était bandé, sa verge gorgée de sang. Elle n’attendit pas une seconde et commença à le lécher avidement. Elle faisait de grands va-et-vient, s’attardant en haut pour bien humidifier avec sa langue le bout de son gland. Au bout de quelques secondes, il posa une main sur le haut de sa tête pour lui faire avaler tout entier. Sentir sa bouche remplie par son membre en pleine rue lui donnait des frissons. Elle descendit doucement une main pour se caresser, toucher son clitoris déjà trop gonflé. Sa tête bourdonnait de plaisir. Elle avalait sans relâche le chibre qu’elle avait sous les yeux. Allant plus loin à chaque fois. Sa salive commençait à déborder par terre et couler sur sa robe, ses seins. Il lui donnait doucement le rythme en appuyant sur sa tête, la forçant parfois à rester plusieurs secondes sans respirer.
Lorsqu’il la vit se toucher avidement, Holy tira doucement la tête d’Anaïs en lui tirant les cheveux.
« - Retire ta main tout de suite, personne ne t’a autorisée à te toucher.
— Pardon Monsieur...— Tu crois que tu peux faire ce que tu veux ? Jouir quand tu en as envie ?

Il prit son sexe humide et lui enduit le visage de sa propre salive. Il s’essuyait sur elle comme un vulgaire paillasson. Elle le regardait droit dans les yeux, la langue sortie, accueillant son châtiment comme une vraie salope. Il s’approcha de son visage et lui cracha dans la bouche. Elle étouffa un râle de plaisir.
« - Maintenant, enlève ta robe.
— Pardon, Maître je...
Holy lui mit une gifle.
— Tu enlèves ta robe »
Anaïs hésita. Elle pouvait utiliser son safeword, mettre en arrêt cette posture délicate. En regardant rapidement autour, elle ne voyait personne, juste le son qui lui parvenait des fenêtres ouvertes des appartements à l’étage. Elle retira doucement sa robe et se retrouva nue au milieu d’une rue piétonne, seule face à la queue de son maître qui lui avait promis une soirée inoubliable. Elle mouillait atrocement sans pouvoir se satisfaire.
Il se baissa et lui prit la tête entre ses deux mains, la regarda longuement avant de l’embrasser. Ses lèvres mêlées à la bave et l’odeur de sa queue, le battement ininterrompu de son cœur et l’excitation la rendaient folle. Holy se releva doucement et lui cracha à nouveau sur le visage, puis se présenta devant sa bouche. Elle ouvrit sans retenue et reprit les va-et-vient avec deux fois plus d’énergie. Elle voulait le faire jouir. Doucement, Holy agrippait la tête d’Anaïs de ses mains et commença à accélérer le rythme. Elle le suçait énergiquement et allait de plus en plus loin. Elle aimait pratiquer la gorge profonde. Et il le savait. Toute nue, les mains sur les cuisses de son amant, Anaïs avalait sa verge avidement, profondément. De plus en plus loin, elle bavait abondamment sur son corps, toussait lorsqu’il atteignait sa glotte. Elle avait les larmes aux yeux. Tout son corps tremblait sous les assauts de cet homme dans sa bouche.
Il lui baisait la bouche, elle sentait sa jouissance venir. Il se retira soudainement en gardant la tête d’Anaïs droite dans une main, masturbant de l’autre. Elle ouvrit sa bouche en grand lorsqu’elle reçut plusieurs giclées de sperme chaud sur le visage, les seins et dans la gorge.
— Ne bouge pas ! N’avale rien. Regarde-moi dans les yeux.
Anaïs resta immobile, le temps qu’Holy puisse prendre une photo de son visage recouvert de fluides. Elle tirait même la langue pour montrer sa soumission.
Il l’aida à se relever et lui tendit son trench. Elle regardait la robe rouge dans les bras de son amant qui ne bougeait pas. Elle allait rentrer avec une couche en moins et du maquillage en plus.
Lorsqu’ils reprirent la route, elle perçut un bruit quelques mètres plus loin dans l’obscurité. En arrivant à son niveau, elle découvrit un jeune homme se rhabiller rapidement qui fixait son regard en souriant. Il avait été en première loge pour la performance qu’elle avait réalisée. Il lui fit un signe de tête respectueux pendant qu’elle continuait son chemin. Cette idée d’être observée l’avait de nouveau excitée. Elle s’était offerte, non seulement à un homme, mais également à la vue de tous. Qui sait qui avait pu l’observer à genoux encore ?
En reprenant la rue principale, Holy fit de nouveau marcher Anaïs devant. Il voulait que tout le monde la voie, se questionne, l’observe et ressente un picotement en bas du ventre face à la déesse du sexe. Celle qui faisait jouir les hommes. Après quelques mètres seulement il lui reprit doucement la main tout en lui caressant le dos. Couverte du sperme et de sa salive qui lui coulait sur le visage, elle le fixait avec envie. Il lui ouvrit la portière passagère de la voiture comme à une princesse. Lorsqu’elle prit place confortablement sur le siège, il se pencha vers elle et s’arrêta à quelques centimètres de son visage. — J’espère que tu as aimé le restaurant, car nous ne sommes qu’à la moitié de la soirée seulement.
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