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sonia

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Surprise, Flore est passée samedi soir pour s’excuser de son comportement “infantile”. Je l’ai sentie émue, bouleversée comme si sa vie lui échappait. Elle a déjà eu des périodes difficiles avec son boulot, son mec. Je n’ai pas voulu la questionner devant Nieil qui a proposé de dîner à l’extérieur. Dîner chic pour lequel la tenue de Flore me fit pitié aussi lui ai-je offert de me piquer une robe parmi celles que je ne mets plus. Dans cette robe noire elle semblait boudinée moi qui n’oserais la mettre de peur de paraître ridiculement maigre. Elle n’a pratiquement rien mangé durant le diner nous avouant qu’elle s’était mise au régime d’elle-même. J’ai mal pris que Nieil commente qu’il m’avait fait perdre le superflus sans sacrifier l’essentiel mais je sais qu’il adore me mettre à l’épreuve ainsi. Flore ne l’a pas même relevé ou bien l’a-t-elle gardé pour elle. À chaque fois que je suis en présence de mon propriétaire et de ma soeur je me demande si elle se souvient qu’il l’a enculée sous mes yeux lâches.Nieil exige que je prenne une décision où bien il m’envoie au bureau vêtue d’un body en cuir cadenassé et corsetée sous une robe de flanelle blanche et translucide. L’image est saisissante mais je sais qu’il en est capable. Durant ce dîner du week-end dernier, ne m’a-t-il pas glissé à l’oreille d’enlever mon soutien-gorge aux toilettes et de revenir m’attabler face à ma soeur qui en constaterait l’absence récente à travers ce chemisier à l’opacité douteuse ? Je suis partie sans veste ni sac comme il le souhaitait et revenue le soutien-gorge sur les cuisses… Durant tout le reste de la soirée j’ai serré les jambes lorsque j’étais assise par la force de l’élastique et redouté qu’il ne chute lorsque nous marchions. J’ai répondu peut-être à Nieil en lui demandant un peu de temps supplémentaire. Il a soupiré.Je suis sous le choc. Madame est venue au siège hier après-midi vers 15 heures et m’a sommée de la suivre. Nous sommes allées directement à son appartement répondant à mes interrogations par de vagues “tu n’as rien à savoir”. J’ai cru au jeu. Un nouveau jeu. Je me suis déshabillée puis lavée devant elle. Elle m’a ensuite inspectée comme Nieil le fait parfois afin de vérifier l’imperfectibilité de ma propreté. J’ai été conduite dans son donjon et ai senti le doute m’envahir. Nieil aime le métal nu, Madame le préfère orné de cuir. La minerve qu’elle m’a infligée l’était. En regardant droit devant moi, je l’ai vue s’approcher une barre de fer entre les mains. Cette barre, je l’ai sentie glisser dans ma nuque, se loger dans un orifice adapté à l’usage particulier qu’elle me destinait. Aux poignets me furent fixés des bracelets en cuir endurcis par le métal identique aux anneaux qu’ils supportent. Lorsque ces anneaux glissèrent le long de la barre désormais fixe, j’ai ressentie l’étrange sensation d’être livrée à ses caprices, mes bras immobilisés et élevés de façon à ne plus être efficaces mais amusant par leur coulissement le long du cylindre métallique aux extrémités duquel Madame vissa des butoirs empêchant que les anneaux ne sortent. Ses mains flattèrent mes seins puis mon sexe et enfin ma bouche. Elle m’embrassa puis disparut dans mon dos. Quelque chose en latex viola mes lèvres et avant que Madame ne resserre la lanière je me suis vue avec ce baillon boule autour du visage, déformant mes joues, aliénant ma fonction de parole et ma possibilité de reculer. Ma bouche devait avoir une allure pulpeuse des plus excitantes. Elle me fit avancer jusqu’à une plateforme de forme arrondie qu’elle m’avait dissimulée. En montant dessus, je failli perdre l’équilibre en raison des roulettes sur lesquelles l’objet reposaient. Mes pieds y furent verrouillés à l’aide d’un système comparable à ceux des skis et de manière à ce que mes cuisses soient suffisamment écartées pour nombre de tortures que je redoutais. J’avais déjà parlé de la collection de spéculum de Madame mais elle ne s’en approcha pas. Je fus laissée dans cette position humiliante durant une durée que je ne parviens pas à déterminer mais lorsque Madame réapparut dans la pièce je m’étais accroupie cuisses sur mollets afin de reposer mes jambes. Elle n’aima et me cingla d’un coup de cravache sur le sein droit pour m’apprendre. “Tu aurais pu tomber et te faire très mal imbécile” Nieil la suivit dans son apparition très théâtrale. Elle était vêtue de cuir et Nieil était en smoking. La soumise cagoulée apparut à sa suite tenue en laisse et revêtue comme à l’accoutumée de la tête aux pieds. On lui avait enlevé ses oeillères mais ce sont mes yeux que l’ont condamna au moyen d’un bandeau de latex. J’entendis rire Madame et Nieil lui répondre. La soumise elle ne disait rien pensant à l’humiliation qu’elle avait subie la dernière fois. Aujourd’hui, c’est moi qui la remplaçait et vice-versa. “Baise la avec tes doigts…” Je sentis ses ongles se frotter à ma chatte doucement comme pour s’excuser puis pénétrer mon sexe doucement. Un clac et un cri retentirent simultanément. Ses doigts s’accélérèrent. Cette séance n’était plus un jeu mais un châtiment. Ce clac était celui du fouet de Madame et ce qu’on m’infligeait non un plaisir mais un supplice. “Lèche la” commanda Nieil. “Tourne la…” Je me sentis déplacée dans l’espace. “Son cul maintenant. Nettoie le. Avec ta langue.” Sa salive abondante me couvrait de honte. J’étais paralysée par la vigueur de ce traitement et n’en retirait aucun plaisir. “Assez” cria Nieil. Le plateau pivota, les roulettes grincèrent. La soumise gémit. Je fis de même puisque la poire d’angoisse étouffait mes cris. Une pince venait d’être fixée à chaque téton et leur morsure me fit courber l’échine. “Redresse-toi…” Je m’exécutai de peur de recevoir la longue lanière. “Allez promène la…” un claquement de nouveau mais dans l’air… La peau produit un bruit différent. Je fus arrachée sur mon plateau vers l’avant, arrachée non par la vitesse mais la douleur. On me tirait par les pinces cherchant à se libérer de mes seins. Madame et Nieil riaient plus pour m’affoler qu’autre chose. La soumise gémissait, criait même. “Que c’est plaisant… la promenade. Allez en rond mes chéries… Elle debout par les seins, l’autre à quatre pattes par les lèvres. Jouissif…” Pas pour moi ni pour elle. Une pince se décrocha, on me la remit immédiatement. Une lâcha prise sur la chatte de la soumise et je la reçus de plein fouet sur le ventre, le lien qui nous unissait était rigide mais élastique. Une corde à linge peut-être. Mais solide… durant cette courte mais mordante promenade elle ne faillit pas à notre souffrance. “Bien, bien… détachons-les…” Nieil me caressa, je reconnus sa chevalière lorsqu’il m’enleva les pinces avec ménagement. Sa langue entoura mes tétons meurtris. La soumise me libéra sous leurs directives précises stipulant d’enlever le bandeau en dernier… La soumise avait disparu tandis que Nieil vint m’embrasser. Il mit sa main sur ma bouche lorsque je voulus m’exprimer. “Pas la peine…” Je n’étais pas consultée ce soir. Nieil me préparait quelque chose. “Ferme les yeux.” Sous le contrôle de Nieil, la soumise vint se coller à moi, ses seins s’encastrèrent sur les miens, son nez contre le mien et ma bouche sur la sienne. Le noir total se fit autour de nous et lorsque je rouvris les yeux je ne vis plus rien, une cagoule suffisamment large pour deux têtes nous unissaient. Sous le latex la chaleur se faisait intenable et l’air rare. “Ne vous agitez pas… Nous allons resserrer les liens qui vous unissent… Vous serez comme soeurs … Soeurs de torture…” Une pression s’exerça et nos mâchoires se bloquaient. “Ouvrez la bouche allez… ou nous ne vous donnons pas d’air jusqu’à ce que…” Que les lèvres se décollent et nos bouches s’enclipsent. Sa langue frôlait la mienne que je retenais au mieux. Deux capsules furent ôtées de la cagoule et l’air pénétra doucement avec lui un filet de lumière… Ses yeux étaient clairs comme les miens et brillants comme ma peur. Elle tremblait et je m’excitais de ce contact forcé. Ma langue lécha la sienne et elle gémit. Son souffle pénétra en moi… “Comme c’est mignon…” Nous marchâmes en nous cognant aux murs que ni Madame ni Nieil ne nous indiquaient dans leurs paroles… Après quelques hésitations, nos mouvements se coordonnèrent mais l’air manquait et la gymnastique devint pénible. Je ne savais pas où ils voulaient en venir. On menotta mes poignets dans le dos et je compris au souffle de ma siamoise que la même chose lui était infligée. La bite de Nieil me surpris d’effroi tant la violence du coup fut soudain. Lorsqu’il se retira après un voyage, c’est ma voisine qui vint s’abattre contre mon buste. Madame avait chaussé son gode ceinture. Ils nous ont enculées un temps monstrueux, nous échangeant sans nous ménager. Par le manque d’air et le contact du latex chacune de nous salivions et la douleur des cervicales devenait trop intense lorsque nous avons perdu la promiscuité de cette cagoule. Nous étions couvertes de sueur et de salive tandis que nos membres tremblaient du supplice doublement infligé. La pièce était plongée dans l’obscurité et seule la clarté du ciel étoilé nous éclairait à travers le velux du dernier étage qu’occupe Madame. Madame me guida vers l’inconnu et me fit enjamber un morceau de métal puis deux… Je ne voulus plus avancer mais en me tordant le bras Madame me fit accepter l’intolérable : pénétrer dans une cage et m’y accroupir comme une chienne. Elle m’enleva mes menottes lorsque je fus calée. Nieil y fit pénétrer ma complice. La cage était trop petite pour demeurer assise ou allongée et trop étroite pour que chacune ait un coin à soi. Le panneau supérieur claqua au-dessus de nos oreilles et Nieil nous abandonna sans commentaire. Madame en fit un “bonne nuit les colombes ne vous envolez pas…” La porte du donjon claqua mais nous avons entendu des paroles et des rires. La soumise que Nieil avait totalement dénudée ne parlait pas et respirait timidement. Je lui parlais elle ne répondait pas. Elle fit semblant de dormir avant que le sommeil ne m’emporte à mon tour… Elle était confortable, autant qu’un oreiller ou un matelas et sa chaleur me berça. Lorsque je rouvris les yeux, le donjon baignait dans une faible lumière matinale et je pus enfin découvrir son corps, son visage. Elle était rousse, un peu forte, trop maquillée… C’était Flore et je n’en reviens pas. À son réveil, elle eut un mouvement de recul, quasiment de folie. Elle se mit à pleurer. J’avais envie de lui hurler après mais aussi de la consoler. Je suis restée silencieuse en fermant les yeux pour ne pas l’accabler. Depuis le début c’était elle… Je comprends pourquoi son comportement avait changé et pourquoi Nieil avait dit qu’il ne me comprenait pas lorsque j’avais peur que d’être percée change quelque chose et rende le processus irréversible. Après le mariage et le tatouage qui le sont tout autant, Nieil avait fait pire : ma soeur était non seulement au courant mais m’a baisée, embrassée et que sais je encore. Je n’arrive plus à me souvenir et ne veut me souvenir.Nieil m’a contrainte à me rendre au siège… Je ne me sens pas apte à quoi que ce soit. Mon esprit est empreint au doute. J’ignore comment réagit Flore puisque je n’ai aucune nouvelle depuis ce maudit matin où nous nous sommes rhabillées sans mot dire. Souffre-t-elle autant de ce paradoxe ? Il m’est insupportable de vivre avec l’excitant souvenir de ces moments partagés sous l’égide de Nieil lorsque Flore y est associée mais je n’imagine pas me priver de ce qui constitue ma vie. Qu’éprouve-t-elle pour Nieil ? Aime-t-elle autant que moi ce qu’il lui inflige et jusqu’où est-elle prête à se rendre ? De savoir que je sais ce qu’elle me cachait ne va-t-elle pas la dégouter de poursuivre une aventure pour laquelle je suis au regret de constater qu’elle est définitivement liée. Ni lui ni Madame ne m’ont poussée à faire un choix, ni même à m’influencer. Je suis libre et c’est bien la dernière fois.Pourquoi ? Comment ? Ces questions j’ai failli les poser à Flore, ma soeur que je reconnais à peine lorsqu’elle se tient de l’autre côté de la table, mais que peut-elle répondre ? Elle me retournera la question et chacune de nous en serait humiliée. Nieil nous a unies comme nulles autres et réunies ce soir lors d’un dîner que je qualifierai de dédramatisation. Il dit que nous n’avons pas à nous sentir coupable. “Cette étape était inévitable dans votre processus d’appréhension de votre rôle” nous assure-t-il. Nieil nous a révélées l’une après l’autre. Je suis sa préférée, il l’a dit devant elle. “Sonia est ma femme, mon épouse soumise et fidèle que j’aime. Je vous ai guidées mais vous avez choisi : toi, lorsque tu m’as laissée baiser ta soeur sous tes yeux inquiets, et toi, lorsque tu as transformé le souvenir de cette union bestiale en nécessité de poursuivre. Vous avez chacune découvert le tréfond de votre âme et j’en suis heureux mais si aujourd’hui, par peur, vous n’assumez plus vos désirs, je suis le plus malheureux des maitres.” Discours préparé mais honnête. Flore était consentante pour jouer mais ça l’a dépassé. Mais elle est revenue. Et moi, j’avais déjà tant acceptée que l’épreuve en devenait alléchante. “Si j’avais continué de m’occuper de vous à tour de rôle, ma femme se serait sentie trahie et sa soeur inférieure. Vous êtes égales et différentes. Mon épouse et l’objet par lequel je la soumets.” J’ai pris ma décision et l’ai communiquée à mon propriétaire lorsque Flore fut partie. Je désire être sa femme sans retenue, sans limite. J’accepte de porter ses armoiries entre mes cuisses.L’opération a eu lieue sous anesthésie et je n’ai rien senti jusqu’à la dispersion de l’effet apaisant. Une brûlure a couru sur mes lèvres durant quelques jours mais aujourd’hui je suis prête à recevoir le cadeau suprême que me réservait Nieil depuis notre rencontre. Je me suis encore regardée dans le miroir du salon avant de taper ce passage primordial : mon sexe lisse brille sous la parure de ces pierres qui ornent dorénavant mes grandes lèvres. Mes yeux émus et son regard lubrique brillent face à ses anneaux en or qui transpercent leurs petites soeurs et donnent une nouvelle dimension à ma vulve. Quiconque y accédera saura dorénavant que mon tatouage n’est une fantaisie mais l’expression de la réalité. Esclave E10-1. Ce soir, Nieil me présentera à Madame et à Flore parée de tous mes atouts.Flore a quitté sa combinaison intégrale pour un harnachement typique de Madame. Les choses ont été redéfinies par Nieil. Jusqu’à maintenant, Flore participaient lorsqu’elle en avait envie à ces jeux qui me font frémir de plaisir. Dorénavant, elle y sera convoquée lorsque son envie sera absente. Son éloignement géographique et sa psychologie interdisent un traitement similaire au mien : elle n’est pas une esclave mais une soumise occasionnelle qui appartient à Nieil mais dont Madame a la responsabilité. Mon maître m’a expliqué que son dressage était incomparable au mien, les étapes avaient été brulées et qu’elle devait réapprendre depuis le début ce que j’avais connu avec minutie. Son esprit reste rebelle mais son âme attachée à ce que je subis et ce que son corps exige. Son régime elle l’avait décidée d’elle-même. “Je ne contrôle pas sa vie comme je le fais pour toi” précisait Nieil ce matin. Elle est jalouse de ma situation et de mon allure. Son régime, c’est mon tour de taille de 48 centimètres qui me sublime : mes fesses rebondissent avec allure et mes seins dominent de leur arrogant maintien. Lorsque je perds l’avantage comptable du corset, mes hanches demeurent si marquée en rapport avec ma taille que le spectacle en est rassurant. Tous ces efforts pour ce résultat. Couverte d’une guêpière, d’un string et de gants de cuir jusqu’aux coudes, ma soeur revendique une assurance animale. Ses jambes gainées de soie et bottes hautes à talon aiguille me donnaient quasiment envie de me jeter à ses pieds. Car d’entre nos deux costumes, le mien avouait irrésistiblement mon degré de soumission : large collier de métal enserrant ma gorge, corset de taille étranglant mon abdomen, betty boops à plate-forme hautes de vingt-cinq centimètres et chapeau à large bord orné d’un volant à la blancheur assortie. Et au centre de cet ensemble blanc et chair, le pôle d’intérêt : deux pierres et deux anneaux qui tissent entre nous des liens inaltérables. Flore renfila la robe que Madame lui avait faite enlevée. Tout le monde s’habilla pour sortir sauf moi. En dernier ressort, Nieil m’offrit la chaleur d’une cape que j’enfilai par la tête. Flore me noua une écharpe en laine autour du cou tandis que Madame ficelait au moyen d’un lien de cuir mes poignets au creux de mes reins sur l’anneau soudé à la structure du corset. Marcher m’était pénible mais Nieil n’avança pas la voiture bien qu’il fut parti devant. Flore et Madame m’encadraient comme pour me protéger des rares regards ou des oreilles qui se retournaient afin d’aviser mes échasses. Je mourrais de chaud et froid à la fois. Mes jambes glacées trouvèrent l’intérieur cossu de la voiture d’un réconfort salutaire. Flore fut placée à mes côtés et nous partîmes pour une direction inconnue. En pleine capitale, on lui donna l’ordre de se pencher sur mes genoux et d’attendrir ma chatte de ses caresses. Les doigts de cuir jouèrent avec mes anneaux avant de me pénétrer doucement. J’aurais voulu voir son regard à cet instant. Puis sa langue vint s’apposer entre mes cuisses, entre mes lèvres. La pointe de sa chair titillait les anneaux et excitait mon clitoris pendant que mes jambes suivaient le mouvement de sa bouche. “Viens…” Elle approcha son visage du mien afin de recevoir l’étreinte de mon baiser libre et spontané. Niel nous précéda encore dans le chemin bitumé qui menait à ce qui ressemblait à une auberge. On nous y attendait et j’y fus décapée dès l’entrée. Quatre couples et deux hommes dont le nain de mon mariage se trouvaient attablés devant une cheminée gigantesque devant laquelle je fus assise sur un fauteuil en chêne massif. “La reine sur son trône. Festoyons” plaisanta Nieil. Je les ai regardés manger et discuter de sexe, de domination, de pouvoir, d’argent, de santé… de tout et de moi. Flore partit aider en cuisine et réapparut à la suite d’une femme plus très jeune soumise elle aussi. Son visage l’avouait et ce qu’elle endurait aussi. C’était une armure qui pesait sur son corps : poignets et chevilles sous bracelets d’acier enchainés l’un à l’autre, ceinture de chasteté mordant son ventre ramolli. “Bien… Mesdames, Messieurs, Esclaves, nous sommes réunis ce soir pour que notre reine choisisse le dernier roi qui la limera… à part moi bien entendu” Tous rirent et Nieil m’expliqua devant tous et toutes mon devoir. Désigner le dernier homme de mon choix qui visiterait ma chatte avant que mon propriétaire n’en cadenasse l’accès. Je choisis celui dont la femme était la plus belle. Son corps étonnamment jeune me plaisait. “Allons…” Deux hommes forts soulevèrent mon trône et m’emmenèrent jusqu’à la cave. Tous nous suivirent. Délicatement, les hommes sollicitèrent que je quitte le fauteuil et les suive. La lumière vint fut plus forte et au centre de la cave voutée se trouvaient deux carcans d’immobilisation l’un en face de l’autre. Le plus fort me fit courber l’échine et installer mon cou et mes poignets délivrés sur les demi-cercles taillés dans le chêne avant d’abattre sur moi la partie supérieure de l’objet que l’on cadenassa à son tour. Debout et cambrée, je ne voyais plus que la réplique exacte de mon doux supplice. Immobilisée, je ne sentais aucune douleur ni gêne. Le plaisir était total. “Bien… Gérard pour ma femme et tous les autres pour sa soeur. Qu’on l’installe…” Madame et l’épouse de mon amant désigné la conduire face à moi et l’installèrent. Je ne voyais pas ou peu ce qui se déroulerait derrière mais je n’allais rien louper des tourments de son visage. Pendant que le jeune homme me limait doucement, les autres mâles défilèrent en Flore avec une vigueur n’ayant d’égal que la brièveté de leur domination. Je n’avais jamais regardé jouir ma soeur de ce plan là. Je ne voyais pas son corps mais l’expression de ses traits. Même le nain l’a montée une fois une estrade placée derrière les jambes écartées de Flore. Il apparut après tous les autres males et la respiration bestiale de ma soeur après avoir laissé place aux soupirs avaient eux-mêmes cédé aux cris. Le frottement de ces sexes devenait douloureux comme pour moi mais en plus le foutre déversé des capotes garnissait son visage qui n’avait plus apparence humaine lorsque tout ceci s’arrêta. “Photo de famille” un flash apparut derrière Flore puis derrière moi. “On comparera leur trou…” Tous gloussèrent de cette plaisanterie graveleuse du nain dont j’avais vu les fesses pousser au fond de la gorge de ma soeur sa bite imposante malgré sa taille. Nieil avait refusé qu’autre bite fouille mon corps ce soir là et je lui en suis reconnaissante.Je suis allée chercher les photographies de ma dernière soirée de liberté puis en ait envoyé le second jeu à Flore qui doit se consacrer de manière plus assidue à son travail durant trois semaines. J’apprécie d’avoir totalement retrouvé ma liberté de mouvement sans perdre la contrainte liée à ma condition. J’adore sentir le minuscule cadenas se balancer entre mes jambes lorsque je marche à pas rapide et que ma jupe courte permettrait à un oeil vicieux de l’apercevoir lorsque je suis assise.Puisque je ne suis plus soumise à l’indiscrétion que provoquait ma ceinture de chasteté, Nieil m’a demandé de retourner m’entrainer en salle de musculation publique proscrivant en son absence d’utiliser les appareils destinés à remuscler les cuisses.Je n’avais pas vu ma nièce depuis notre mariage. Elle grandit, murit, et pour la première fois se confie à sa tante. Elle se sent seule, malaimée et ignore à qui se confier. Je pense lui avoir indiqué que j’existais.En arrivant à la salle de gym, je me suis aperçue que Nieil avait échangé mon collant opaque pour un autre transparent en indiquant sur la boite de ne pas renoncer à transpirer. J’ai senti pendant l’heure de travail que l’on cherchait à percer le mystère de l’ombre sur ma cuisse droite que l’on saisit par bribes de regard.J’ai appelé Flore Elle m’a avouée que nos jeux lui manquaient ce qui m’encouragent à lui raconter ce que Nieil réinvente chaque jour : ce matin, il a fixé un grelot à mes anneaux (un chacun) et j’ai sonné de mon discret tintement le moindre déplacement. Amusant mais terriblement déconcentrant. Elle m’a déclaré avoir du mal à revenir à la réalité aussi rapidement après nos séances et m’envie en quelque sorte cet état permanent qui me galvanise et m’encourage à me dépasser.Virginie m’a téléphonée pour obtenir l’adresse d’un médecin compréhensif qui lui octroierait la pilule sans que sa mère l’apprenne. Surprise, je lui ai demandé de m’accorder le temps de la réflexion. Je ne souhaite pas que mon ex-belle soeur m’accuse d’encourager sa fille à baigner dans le sexe. J’ai consulté Nieil qui m’a demandé de l’envoyer chez mon gynécologue — désormais habituel — en prétextant qu’un avis de spécialiste était le bienvenue. Je dois prendre rendez-vous pour elle et lui proposer de l’accompagner.
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