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sonia

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Flore m’a appelée pour me rassurer. Le trajet fut un “long périple qui m’a rendue malade” mais à part quelques importuns visuels, elle n’eut aucune difficulté à rejoindre son domicile si ce n’est la chaine qui l’obligeait à souffrir au bout de quelques pas trop rapides. Elle n’a pas quitté son manteau du voyage et est morte de chaleur enfoncée dans son siège de TGV. Ingénieuse, elle a acheté un journal qui lui a permis de se cacher lorsqu’elle le souhaitait mais elle avoue s’être amusée malgré la dureté de l’épreuve. Je parie qu’elle s’est masturbée en arrivant chez elle mais que dès la jouissance évanouie, l’idée de devoir attendre et chercher la clef l’a ramenée avec difficulté à la réalité. Et ce n’est pas d’avoir du passer la journée ainsi harnachée qui l’a mise de bonne humeur.Nieil m’a envoyée chercher Virginie à la sortie du collège s’inquiétant de son silence. J’ai failli la manquer mais elle reconnut ma voiture à temps et laissa ses amies poursuivre leur chemin. “Quel accoutrement ma pauvre chérie” lui dis-je sans retenue, elle m’a répondu que la mode n’était pas aux choses classes… L’année scolaire se termine et Virginie est admissible en seconde. J’étais porteuse d’un message, Nieil l’invite à se joindre à nous pour les vacances dans les iles : croisière, eau bleue, palmiers, sable blanc. Les yeux de ma nièce sont remplis d’espoir et ceux de Nieil de projets… Elle se charge d’en parler à sa mère et a fini par m’avouer qu’elle fréquentait toujours celui dont elle est amoureuse sans pour autant avoir fait la moindre chose avec. Virginie adore porter des jeans troués mais elle craque aussi pour de beaux effets. Elle est tombée en admiration devant la dernière robe offerte par mon époux qui aime sentir sous ses doigts l’inimitable contact de la laine vierge. En pur contact avec ma peau nue durant son absence de France qui excédera la semaine. Flore viendra dormir à la maison ce week-end.Nos liens sont différents même en l’absence de notre maitre. C’est la première fois que nous faisons l’amour sans qu’il soit présent et je me sens bien. Quoi qu’un peu coupable et insatisfaite… Le cadenas qui interdit l’accès de ma chatte à un sexe l’interdit aussi à un gode que Flore léchait après que je m’en sois servi en elle.“Je ne comprends pas Sonia. Je te possède, tu es mon esclave, celle que j’ai choisi d’épouser, de contraindre à la fidélité et tu me trompes avec ta propre soeur ? Je suis le seul à pouvoir décider quel sera le trou que tu lècheras et la langue qui te fera jouir” Je l’ai écouté discourir tandis que je ne savais plus où me mettre. Habituellement, il m’aurait déjà mise au coin avec le manche de la cravache dans le cul avant que je n’y goute mais hier c’était différent. Je l’avais humilié et il n’entendait pas l’être impunément. Nieil était furieux mais calme et sans violence. Je craignais qu’il ne s’emporte mais il m’avertit froidement que je devais expier ma faute et que la punition serait en rapport avec le pêcher. Il sortit et ne revint pas de l’après-midi, me laissant au programme télé du samedi et revint un grand sac en plastique à la main. Sans un mot il se rendit dans mon ancienne chambre de servante où tout ce qui m’était destiné est stocké et en ressortit muni d’un second sac presque aussi volumineux. “Viens avec moi” Nous primes la voiture et l’avons abandonnée dans un parc de stationnement proche de Barbès. Nous faisions tâche dans ce décor fortement typé et je me sentis déplacée lorsque Nieil m’ordonna de payer la chambre au réceptionniste de ce bouge infâme où les bcbg ne mettaient pas les pieds. La porte close, je sus qu’il fallait me déshabiller. Je m’apprêtais à recevoir une correction habituelle mais Nieil me surprit aussi agréablement que terriblement. Il me regarda longuement de son oeil bleu, alerte et décidé. J’avais chaud malgré ma nudité au milieu de cette pièce inondée d’un soleil atténué par d’épais double-rideaux. Mon maître caressa mon chignon puis mon visage avant de m’embrasser et de sortir d’un sac un premier bracelet d’acier puis un second qu’il referma autour de mes poignets. Nieil en posa un autre sur chacune de mes chevilles puis ceint mon cou d’un collier identique à celui dont Flore avait pu se débarrasser deux jours après sa pose. “Tu vas aimer puis détester” me susurra Nieil à trois reprises… Il décadenassa ma chatte qu’il remplit une minute après par un gode dont le frère jumeau dilatait déjà mon anus. Il réutilisa le cadenas pour refermer sur ma taille la ceinture de chasteté oubliée depuis plusieurs mois. Je commençais à aimer ce poids supplémentaire lorsqu’il étira mon sein gauche pour y fixer une sorte de bracelet également refermé à clef. Le cylindre métallique emboitait le sein dès sa naissance et l’accompagnait sur plusieurs centimètres après lesquelles le globe apparaissait monstrueusement gonflé et abattu. “Ça me fait mal…” dis-je doucement mais Nieil posa le second objet de compression sur le droit, entrainant le mamelon vers un nouveau délice turgescent. Aux prises du collier, Nieil accrocha deux chaines qui se joignaient à l’emplacement destiné à les recevoir dont disposait à leur sommet chaque bracelet mammaire. “Joli soutien-gorge, confortable ?” ironisa Nieil en relâcha les globes désormais soutenus et dressés par le biais de chainons métalliques. La finesse et la longueur des globes ainsi contraints m’effrayaient autant qu’elle m’excitait. Je dois bien avouer que sentir s’ajouter le poids de chaines entre mes chevilles ne me déplut pas non plus. Ce sont mes poignets qui furent ensuite liés à l’anneau central de la ceinture puis Nieil plaça sur mon visage un harnais de tête qui augmenta ma tension artérielle. Ma bouche se combla d’un baillon gonflé afin de rendre toute manifestation verbale impossible puis mes mâchoires furent resserrées par les lanières réglables du harnais que Nieil cadenassa en quatre points au collier. J’étais épuisée par le poids et la contrainte de ce métal m’entravant à un point jusqu’alors inédit. Nieil extrait du deuxième sac une longue robe qu’il m’enfila par la tête. Son ampleur et sa longueur m’alerta puis lorsque son tissu se referma sur mon visage puis ma tête, je compris que mon maître m’avait fardée d’une tenue musulmane ne laissant entrevoir aucune de mes parures. Que voulait-il ? Qu’exigerait-il ? Il me laissa réfléchir debout devant le lit sur lequel il s’était allongé et sur lequel il me fit le rejoindre afin de caresser son sexe de mes mains dissimulées sous l’étoffe tout en provoquant un cliniquement métallique qui m’aurait amusé si je n’avais autant ressenti l’effet de la contrainte sur mon corps. “Debout” il me fit arrêter avant la jouissance et se rhabilla impeccablement. Il ouvrit la porte, mit mes affaires dans le sac et abandonna l’autre dans la chambre que nous quittâmes. J’étais morte de peur et de honte. Chacun de mes pas s’accompagnait d’un bruit de fantôme entrainant un boulet, mes pieds nus caressaient le sol et la chaine de chevilles heurtait chaque marche de l’escalier. Une fois dans la rue, le bruit se confondit avec le brouhaha ambiant mais les bouffées de chaleur se firent plus fortes. Le soleil tapait et je mourrais sous cette toge. Une simple épingle à nourrice tenait le voile qui dissimulait au public le harnais qui reposait autour de ma tête et Nieil me mit en garde. Mes pieds trainaient sur le sol brûlant et repoussant de la capitale lorsque Nieil me poignarda “Je te laisse, je rentre en voiture, toi à pied.” J’eus souhaité le rappeler vers moi ou rattraper son pas rapide mais je ne le pouvais… Je me sentis désappointée puis face à la réalité. Je devais traverser ainsi plusieurs arrondissements afin de parvenir à la liberté. Aujourd’hui, je suis exténuée, effrayée, soulagée et encore excitée… Le risque, la douleur, la soif, la jouissance, tant d’états indescriptibles ressentis et rassemblés en pleine rue. Et l’impossibilité de quitter la partie sans me rendre au bout. Lorsque je fus rentrée, Nieil délivra mon corps en tardant à libérer mes seins. Je dus me mettre à quatre pattes et me laisser enculer comme une chienne afin qu’il daigne les libérer de l’emprise métallique. “Fin de la punition et qu’elle te serve de leçon.” Je m’écroulai sur le tchador tombé à terre durant ses assauts d’une rare violence.Nieil a choisi de punir Flore et afin que la punition soit efficace je serai son bras… et j’administrerai à ma soeur 50 coups de cravache pour m’avoir fait jouir de sa langue désormais experte. Vendredi soir, au retour d’Orly, détour par un coin tranquille en bordure d’autoroute où les cris de Flore se perdront en vain et sa salive s’abimera sur le tronc d’un arbre autour duquel elle sera enchaînée.
Flore me reproche de l’avoir corrigée trop durement mais que pouvais-je faire ? Nieil veillait derrière moi muni de sa plus cuisante cravache prête à traverser le cuir de ma jupe d’un coup fougueux si j’avais cherché à ménager ma soeur.La mère de Virginie a accepté la sortie de territoire de sa fille et j’ai réservé dès aujourd’hui un billet supplémentaire pour ma nièce. Nieil souhaite que j’achète un maillot de bain une pièce dont le bas soit comme un short… très simple à trouver !Cette année Nieil a choisi un hôtel très chic afin d’habituer Virginie à ce luxe qu’elle devrait revendiquer pour devenir une femme de caractère. J’ai également pour mission de tenir ce carnet de bord une fois dans les iles au moyen d’un portable emprunté au siège.Nos chambres sont somptueuses et le dépaysement est total. Nieil a piégé l’intimité de Virginie ; en invoquant un problème de réservation, ma petite nièce va vivre en communauté avec Flore que Nieil a briefée hors de ma présence sur ce qu’il attend d’elle. Nieil souhaite la pervertir sans la confronter au sadomasochisme qui animent ma soeur et moi-même. C’est pour ce faire que la valise contenant les effets de Virginie n’a pas été enregistrée mais laissée dans une consigne à l’aéroport. Catastrophée, elle paniquait mais Nieil l’a rassurée en me confiant la tâche de l’équiper “progressivement”. Premièrement, de quoi prendre le soleil. Virginie trouve mon maillot de bain “super rétro” et m’a dit aimer en avoir un de la sorte, pourtant, aucune illustration obscène n’est tatouée sur l’intérieur de sa cuisse. J’ai néanmoins convaincu la jeune fille d’opter pour ce qui semblait plaire à mon époux : une pièce claire à la transparence étudiée sous l’effet du liquide chaud que nous avons immédiatement étrenné. Nieil m’a expliqué un jour qu’un corps parfait était magnifié par un maillot une pièce tandis qu’un corps perfectible appréciait la solution en deux parties. Flore porte un deux pièces qui met en valeur ses rondeurs tandis que Virginie et moi-même faisons remarquer notre sveltesse… J’ai fait l’étonnée lorsque Virginie est ressortie de l’eau sous les regards voyeurs des mâles perçant enfin l’opacité déclinante de son maillot : Nieil a aimé la voir se précipiter sur une serviette afin de cacher les auréoles rosées et la touffe taillée qui se devinaient à travers. Puis elle s’est laissée sécher au soleil sous nos regards amusés.Je suis allée regarder Virginie dormir aux côtés de ma soeur. Flore avait comme convenu pris comme raison de sa relative nudité la chaleur étouffante de l’île. Je sais qu’elle préservait son sexe d’un adorable string blanc en dentelle et que le contact de sa chair est chaud et sensuel. Ma nièce pourra-t-elle y résister ? Une chose est certaine : privée de ses affaires et limitée dans les possibilités d’emprunt, notre pucelle n’a pas insisté pour dormir vêtue d’une simple culotte inconfortable puisque trop petite. Niel connait ce qui provoque l’envie et sentir son corps comprimé et en particulier sa fente collée par un tissu humide devient rapidement intolérable lorsque l’on y pense… trop.Nieil a laissé à l’attention d’yeux curieux la plus sulfureuse oeuvre de Sade parmi les livres qu’emporte toujours Flore. Il m’a parlé d’un stratagème sans daigner m’en dire plus… Au déjeuner, mon époux a mélangé un puissant relaxant au cocktail de Virginie durant son absence. Je suis opposée à ce genre de pratiques mais Nieil ne m’écoute pas… il veut que notre nièce dépasse les bornes que son âge devrait lui dicter. Je l’ai obeservée durant notre excursion en pirogue : elle fondait au soleil oubliant quelques parcelles de pudeur dont elle faisait preuve habituellement. Elle ne se préoccupait plus de son maillot ni même de ses paroles. Le sourire qui régissait son visage trahissait son état artificiel. Nieil s’est résolu à ne pas recommencer. Il ne souhaite pas d’une droguée mais d’une jeune fille moins réservée. Je dois rendre l’oie un peu moins blanche.J’ai entraîné Virginie au massage typique que l’on propose en ville. Simplement vêtues d’une serviette, très courte pour ma jeune nièce, nous étions sur un pied d’égalité pour parler séduction. Pendant que les masseuses s’affairaient sur nos tables respectivement voisines, j’ai interrogé ma nièce sur ce qu’elle attendait… et j’eus droit au discours que je tenais à son âge. La vague, la fidélité, la passion, l’amour. Je l’ai vue se raidir lorsque la quadragénaire l’a privée de l’éponge pour entamer la stimulation musculaire des cuisses. Elle a basculé son visage en direction du mien et s’est mise à sourire et à parler… Son corps suivait les puissantes mains qui le plaçaient progressivement en position impudique tandis qu’elle évoquait l’envie de se laisser séduire sous les tropiques. Ma masseuse s’arrêta net en retirant ma serviette puis reprit sa tâche sans se soucier des caractéristiques qui font de moi la soumise de Nieil. Les rictus délicats qu’afficha rapidement son visage sont rassurants : Virginie m’a apporté la preuve que la caresse d’une main experte ne la laissait pas indifférente. Après cette séance, je l’ai convaincue sans mal à déambuler à l’aise sous ses vêtements. La chaleur m’a aidé dans ma tâche et elle a fini par retirer sa culotte et libérer sa poitrine avant de ressortir du vestiaire. Virginie me trouble énormément et plus encore lorsque je vois se dessiner sous la robe en lin que je lui ai prêtée son corps : seins pointus et généreux, fesses rebondies et ventre plat… Délices de cuisses fermes et fines, épaules arrondies et charnelles, il me presse de goûter ses sécrétions les plus intimes.Nous nous sommes livrés durant le repas à une conversation érotisée où notre complicité intrafamiliale a sauté aux yeux de ma nièce. Nos plaisirs, nos fantasmes, nos aventures sans dévoiler nos plus réelles et récentes, Virginie s’est sentie à l’écart ne pouvant rien partager… Elle est d’ailleurs partie se coucher anormalement tôt et Nieil l’a relevé. J’ai voulu la rejoindre mais il me l’a interdit. “Laisse, le fruit murit…” Vrai, lorsque nous sommes rentrés en silence dans notre chambre, Flore s’est jointe à nous pour espionner les bruissements qui s’élevaient de la pièce attenante. Nous l’avions troublée et elle apaisait son mal de ses doigts sous-entraînés. Nieil a attiré Flore près de lui et a commencé une fouille corporelle des plus adroites : brutale et tendre, pudique et pornographique. Elle respirait aussi discrètement que Virginie tandis que Nieil l’excitait en promenant son sexe au rebord du sien. Lorsqu’elle fut prête, il me commanda de cesser mes baisers le long de ses lèvres charnues et poussa de l’autre côté de la porte ma soeur… Nous entendîmes Virginie sursauter et Flore reprendre avec aplomb son calme, faisant mine de ne rien pas avoir compris que les draps remontés en urgence dissimulaient une chatte en manque de finition. “Je suis fatiguée aussi…” Nieil vit ma soeur se déshabiller à travers le trou de la serrure et se faufiler dans le lit simplement vêtue de sa culotte humide… de ma salive notamment.Au matin, le spectacle m’enchanta : ma soeur enlaçait ma nièce privée de la protection du drap tombé à terre dévoilant son sexe entretenu. Elle s’était endormie attendant que Flore plonge la première et n’avait pas pu reprendre possession du slip que j’ai caressé de mes doigts tout en la regardant. Je me suis assise à côté d’elle et l’ai réveillé d’un tendre baiser sur la joue. Son sourire me plait et elle le garda jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive en étirant ses os de l’absence du drap. Elle sembla paniquer mais je posai ma main sur sa hanche l’encourageant à demeurer immobile. Pourtant, mon air sévère la tourmentait… Je l’abandonnai en effleurant du doigt sa silhouette, lui faisant deviner mon infini compréhension.
Tempête cet après-midi… Virginie partie s’occuper d’une sieste nous a menti et s’est mise en difficulté. Elle a fouillé dans les affaires de Flore et trouvé le volume scandaleux du marquis. Je sais désormais qu’elle était le stratagème employé par mon maitre pour confronter ma nièce aux faits accablants : alors qu’elle dévorait l’ouvrage en portant à sa bouche ses doigts luisants, elle ne remarqua pas l’accumulation au bout des index et autres majeurs d’une poudre jaune qui se fixe sur l’épiderme. Lorsqu’elle s’en aperçut, il fut trop tard. La fine pellicule déposée sur chaque bord de page s’était fixée sur ses doigts au point d’en devenir indissimulable. Elle a frotté, frotté avec du savon mais rien n’y a fait. Et lorsque Nieil l’a surprise en pleine tentative, il l’a convoquée devant les représentantes complices de sa famille. “Comme ça tu fouilles parmi les effets de ta tante…” Elle hochait la tête comme devant un tribunal. “Tu lis des livres interdits, en profite pour pêcher en solitaire et ne l’assume pas… Que devons-nous penser ?” Elle ne savait pas… Lui si. “On peut tout faire Virginie, tout. Avec quiconque. Mais on ne doit pas en avoir honte. Mais envie. Tu comprends ?” Ses yeux brillaient de larmes. Elle se sentait bête les doigts jaunis et la culotte sale. “Elle doit être punie. Qu’en pensez-vous ?” Nous acquiesçâmes au grand damne de notre nièce qui entama une courte période de supplication. “Tu ne supplieras pas sans raison…” sanctionna Nieil en choisissant la manière. Il dicta sa volonté à mon oreille puis à celle de ma soeur. Nous approchâmes de Virginie et commençâmes à la chatouiller. Chastement mais efficacement. Elle sourit puis éclata de rire. Elle suppliait en riant mais nous ne cessions, nos gestes devenant plus difficiles pour elle. Elle tenta de fuir en rigolant puis lorsque nous la reprîmes, elle gémissait d’arrêter. Ce que nous fîmes. Avant de reprendre une demi-minute plus tard. Elle s’était remise sur ses pieds et tentait de résister. Sa respiration devenait chaotique et haletante. Soudain, elle se figea. Après avoir pensé que Nieil venait nous seconder, elle comprit que ses poignets attachés dans le dos ne bougeaient plus. Nous cessâmes les chatouilles et commençâmes les caresses. J’en avais autant envie que Flore qui avait profité de la nuit pour reconnaitre le terrain à l’insu de la principale intéressée. Un silence religieux existait. Elle ne savait que dire et nous n’avions pas envie de l’écouter. Nieil maintenait ses coudes tandis que nos bouches approchaient du soutien-gorge. J’ai tété son sein droit à travers le bonnet alors que Flore mordillait le gauche. Son ventre ondulait et il lui semblait perdre la tête. “Il ne faut pas… Ce n’est pas bien” proférait-elle. ‘Tout est bien lorsque c’est bon” rassura Nieil. Mais en sentant vingt doigts frotter ses lèvres à travers le slip, Virginie ne pouvait continuer de répéter la morale. Son silence était un appel à la poursuite du forfait. Nieil l’approcha du lit, nous la devancions à genoux, sans lâcher notre proie. J’avais imité Flore et extrait le sein de son bonnet afin de goûter à la chair du mamelon de manière entière. C’était doux, chaud, souple sous la dent. Je me suis allongée sur le lit, tête vers le bord et ait dit à Virginie de me chevaucher. Nieil l’aida à s’asseoir à la verticale de mon visage, jambes de part en part de mon buste et poignets unis malgré sa troisième demande de liberté provisoire. Son poids plume se posa sur moi tandis que Flore s’asseyait sur la moquette au bord du sommier. Je sentis sa main caresser mes cheveux et vit celle de Nieil guider une lame de rasoir sur les hanches de notre nièce. Elle retint son souffle puis constata avec soulagement que seul le slip avait connu la morsure afin de libérer son sexe et le rendre à notre portée. Elle demeurait dressée sur ses genoux. Flore entama de passer sa main entre les poils blonds avant de se concentrer sur la finesse des lèvres. Virginie eut le réflexe de poser ses fesses sur mon visage afin que je puisse enfouir mon nez entre ses cuisses et ma langue entre ses fesses. Flore l’aida à s’allonger de tout son long, dos sur mes jambes, sexe à portée de bouche. Je ne cessais de la fouiller de ma langue agile tandis que Nieil commandait à Flore de se placer à quatre pattes au dessus de nous afin de pouvoir “fourrer deux langues dans sa chatte”. Le plaisir fut total et Virginie oublia tout ce qu’on avait pu lui inculquer. Je parie qu’elle a rougi lorsque Flore hurla entre deux prémisses d’orgasmes “Ça y est, elle me lèche !’.Nieil s’est montré ravi de cette soirée et l’a prolongée jusqu’à tard dans la nuit nous conviant chacune à recevoir ses caresses tandis que les deux autres s’habillaient et se déshabillaient au rythme de tenues déjantées. La fatigue l’emportant, nous nous sommes reposées. Nieil partit baiser Flore dans notre chambre et je restai avec Virginie. Elle essaya de continuer nos jeux de caresses mais n’ayant pas la leçon de mon maitre, je la conviai à dormir la tête posé sur mon sein. Je me suis endormie alors que sa bouche adolescente tétait le mamelon du sein gauche.
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