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sonia

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Le lendemain matin, elle fit comme si rien ne s’était passé jusqu’à l’irruption remarquable de Nieil qui se chargea de ne rien lui faire oublier : “tu vas me faire le plaisir de te vêtir comme la petite vicieuse que tu es…” Great shot : elle piqua un far en me regardant d’un oeil interrogatif et gêné. Elle était mignonne avec son sweat et sa jupe en coton. Elle devint sensuellement vulgaire vêtue de ce short rose en vinyl que je n’avais jamais porté. Elle aimait être à son aise. C’était raté. Le short très court lui mordait les cuisses tandis que ses poils se pinçaient dans la fermeture éclair. Elle paraissait magnifiquement adolescente précoce la poitrine moulée par ce tee-shirt dévoilant le nombril et moulant la géographie de ces seins saillants dépourvus de soutien. Que pouvait-elle dire ? Rien. Elle s’était rendu coupable d’un pêcher inavouable qu’elle n’avouerait pas et en plus, en tirait un souvenir d’une rare intensité érotique, sexuelle, pornographique voire même sadique. Ce soir, ses poignets portent encore la trace des menottes resserrées à chaque orgasme et ses fesses sont rouges de l’irritation produite par la sudation qu’engendre cette matière si voyante à porter.Je dois bien dire qu’elle s’en sort plutôt bien. Nieil s’amuse autant avec elle qu’avec nous deux réunies. Je ne crois pas qu’il nous ait épuisées mais les réactions de Virginie sont si différentes qu’elles sont délicieuses. Même pour nous ! J’adore son air pudique qu’elle porte sur son visage alors que ses fesses sont moulées par le vinyl que tous remarquent. Je me gausse de la sentir rougir lorsque Nieil en pleine ballade en pirogue glisse sa main sous son tee-shirt pour pincer et étirer un téton tandis que nous ramons péniblement. Nous avons trouvé une crique désertée par les habitants de l’ile voisine et Nieil nous y a emmenées aujourd’hui. Son but : que Virginie et moi-même creusions le sable humide de la mer s’éloignant afin que Flore puisse y prendre place allongée. Ce qu’elle fit avant d’être recouverte par ce même sable qui sécherait sur elle. Nieil lui fit décrire à voix haute ce qu’elle ressentait. C’était froid, pesant, oppressant. Un chapeau de paille sur le visage, elle attendit deux bonnes heures notre retour des terres. Le sable avait séché en surface et nous avons pris place autour d’elle en disposant sur ce qui était son ventre sous une épaisse couche de grains le panier à provisions. Là, Nieil me montra une nouvelle facette de ses goûts. Il avait dressé différemment de Flore et le chemin de Virginie serait également autre. Mais il m’étonne sans cesse. Il me commanda de la déshabiller et la fit s’asseoir en tailleur face à lui, à côté de moi. La chaleur coupant l’appétit, nous avons pris l’habitude de déjeuner avec des fruits importés spécialement pour les besoins de l’hôtel. Je savais Virginie indisposée par cette nudité sans retenue que lui impose Nieil, elle me l’a déjà confié et a cherché à savoir ce que je faisais réellement au sein de notre couple. “Tu sauras” lui ai-je répondu pensant que Nieil lui ferait apercevoir la vérité. Il saisit une cerise, coupa la cerise avec ses incisives puis déposa la main entre les cuisses de l’adolescente, d’une poussée il introduisit le fruit la faisant grimacer de surprise. Il maintint sa main sur ses lèvres l’empêchant d’agir puis se rassit confortablement. “Continue…” Elle prit une cerise, cisailla la queue puis l’enfourna le long de ses parois vaginales… Je sentais pour elle le globe rouge glisser le long des muqueuses, remontant le vagin… “Fais lui couper la queue” et le manège commença. Des tours et des tours où le fruit se posait au bord de mes lèvres pour que mes dents tuent la queue en déposant un filet de salive autour de la sphère que la vierge glissait entre ses cuisses. Neil me tendit une grappe de raisin que j’eus pour mission de tenir au dessus du visage de ma nièce qui devait la manger le plus rapidement possible sans lever ses fesses du sol. La vision de son cou s’étirant et de sa poitrine valsant avec les efforts produits pour rattraper mon mouvement ascensionnel du bras était un régal visuel. Elle dévora deux grappes puis se força pour les suivantes. Mais Nieil voulait la gaver. “Bois ça…” Un grand verre de jus d’ananas déglutit en quelques secondes par une gorge assoiffée malgré les fruits. D’un geste, il me fit comprendre et j’expliquai à Virginie qu’elle devait poser ses mains et ses genoux sur le sol. À quatre pattes, seins ballotant au dessus du visage de Flore engourdie, Virginie reçut mes caresses dirigées. Je sentais sa chair sous mes doigts et les sphères sous mon épiderme lorsque celle-ci s’introduisait entre les petites lèvres de son sexe vierge. “Je te veux vierge petite dévergondée… Tu es toujours vierge n’est-ce-pas ?” Elle ne bronchait pas “Réponds. — Oui…” Nieil poursuivit : “— Je veux te préserver ainsi mais tu meurs d’envie de connaître quelle sensation produirait un sexe de mâle allant et venant en toi n’est-ce-pas ?” Elle hocha la tête… “Bien. Garde cette position, ce visage vers le sol te sied à merveille. Souris à ta tante… Sonia !” Son signal fut interprété immédiatement et dès lors, la vie de ma nièce bascula lorsque une fine banane verte força l’anus ridé mais humide pour glisser sa raideur le long de la paroi novice. Virginie releva la tête, la main puissante de Nieil la replaça en oblique, les gémissements s’évadant de sa bouche directement à l’attention de Flore qui attendait cet instant de longue date. Le fruit occupait de sa courbure ses fesses en laissant ressortir son extrémité empêchant ainsi l’orifice de se clore totalement. Virginie espérait autre chose, attendait la suite, docile levrette déjà fort habile dans l’art de remuer son corps. “Lève-toi et marche devant moi. Défile mannequin servile !” Et ses genoux quittèrent le sable dans lequel ils s’étaient enfoncés pour s’actionner en rythme quasi militaire. La présence surnaturelle de fruits la remplissant cassait le tempo de la mécanique tandis que j’admirais sa beauté juvénile. “Viens t’allonger dans mes bras…” L’invitation était tendre et adéquate. Nous restâmes un long moment, elle renfoncée sur son buste puissant et moi le visage entre ses cuisses à lécher, embrasser, titiller la chair parsemée de poils agaçants. Lorsque j’entendis ses paroles, j’ai imaginé son visage relevée le prévenir naïvement ce qu’il attendait. “J’ai envie de faire pipi…” Sa réponse la crispa “Fais… Ici.” Elle se retint puis voulut nous fausser compagnie mais Nieil l’en dissuada : “Tu as voulu jouer avec les grands à des jeux d’adultes… Assume l’enjeu, respecte les règles et remporte la mise. Ici et maintenant. — Devant vous ? — Nous fermerons les yeux.” En fait, c’est elle qui les ferma pour se libérer d’un jet doré ruisselant salement sur ses cuisses puisque faussé par la présence des cerises. Lorsqu’elle rebaptisa l’azur de son regard, nous la regardions tous en souriant, sourire de victoire destiné à la gratifier d’une sensation nouvelle : humiliation. Elle en apprendrait la suite de la définition plus tard. Je pris sa main et porta à ma bouche ses doigts. Elle m’aime et sa confiance est sans faille. Même en ces instants troubles où Nieil la sommait de recueillir en elle la moisson de cerises à l’eau de vie. Une par une, ses doigts ressortirent les sphères rouges qu’elle déposait ensuite entre les lèvres de Flore morte de faim et de soif. “Donne lui en une.” Je connus la saveur de son urine salée. “Prends en une…” Elle croqua ce mets raffiné qu’elle avait préparé. Fruit d’urine et de cyprine que la masturbatrice reconnait à la première appréciation gustative. Encore à genoux, je l’aidai à se masturber en sachant freiner ses ardeurs, laissant le temps au temps. Afin qu’après la jouissance, le désir soit encore présent et l’interdiction de recommencer dressée. Elle avait connu l’humiliation en un bref instant excitant mais pas la honte que nous éprouvons toutes le plaisir une fois envolé. Virginie accueille encore la banane qui entame sa patience. Dure épreuve lorsque l’on y est pas habituée mais Nieil est strict. Pas de soulagement avant le coucher du soleil et le ciel est à peine rouge. Flore est chargée de la faire patienter en lui lisant à voix haute la fin du récit de Sade. Nous partons dans deux jours et déjà je m’interroge sur la suite de mon aventure.Le retour à Paris est un calvaire. Retrouver le siège, nos habitudes… Voir s’éloigner Flore intégralement bronzée alors que mon maillot m’en a privée et devoir attendre la décision de Virginie est insupportable. “Elle doit choisir…” Noble attention lorsque je sais qu’il ne la laissera pas fuir ce qu’il pressent pour elle. Photographies et vidéo à l’appui… ”Je l’anoblis et te l’offre” Anoblir signifie briser dans le jargon de mon époux. Briser ou avilir, dépraver, révéler, rendre heureuse. Comme il l’a fait pour moi. Et comme je le vais le faire pour lui. Lui c’est un esclave que Madame fait attendre depuis des mois, des années même. Il fantasme sans pouvoir agir sachant que seule Madame peut le satisfaire. Et Nieil va m’en offrir le destin. Il dressera Virginie si elle l’accepte et je me ferai la main sur cette merde que l’on m’offre. “Tu es digne de moi, digne d’être mon épouse soumise mais tu dois être mon égale. Je suis convaincu que tu domineras ceux que tu choisiras de soumettre.” Mais Virginie doit d’abord accepter…Virginie a eu Nieil en ligne. Elle a souhaité le rencontrer hors de ma présence. J’ignore ce qu’ils se sont dit mais j’en connais le résultat. Ma nièce était attachée à une chaise de notre salle à manger lorsque je suis rentrée du siège. Debout, jambes bien tendues et dos courbé, chevilles liées serrées par une pièce de cuir, coudes pliés et avant-bras posés au sommet du dossier de la chaise, poignets immobilisés grâce à un lien similaire aux membres inférieurs, elle tenait entre ses mains grandes ouvertes un bougeoir illuminant dont la cire ne tarderait pas à couler sur la paume. Une lourde cloche ramenée d’un week end en suisse était suspendue à ses poignets et alertait Nieil lorsque sa vache rompait la position. “Virginie t’attendait pour te montrer à quel point elle s’était attachée à toi durant ces vacances…” Ses joues annonçaient la couleur : elle avait pleuré devant la dureté de l’épreuve imposée par mon époux. Je le pris à part et l’informa de ma désapprobation. “Serais-tu amoureuse de cette pucelle qui t’attend à poil à côté ? Allons… souviens toi qui est le maître.” Il avait raison. Je n’avais que faire de la rudesse de la tâche puisque le fruit mûr me reviendrait. Je l’ai raccompagnée chez sa mère avec une convocation de notre maître le lendemain soir à une adresse que je ne connais pas. Elle a voulu m’embrasser au pied de l’immeuble. J’ai failli et accepté. Nieil m’en punira lorsqu’il lira ses lignes. Pardon monsieur… Elle avait tant besoin de réconfort. Elle est comme moi au début. Elle ne sait pas ce qui l’attend ni où elle va.Nieil ne m’a pas dit où ils se sont rendus. J’ai téléphoné chez Virginie mais sa mère m’a dit qu’elle était partie dormir dès qu’elle fut rentrée. Cela ne lui ressemble pas et je suis inquiète.Je me suis rendue chez Madame qui n’a pas daigné combler mes doutes mais me présenter Julien. Julien est un homme de forte corpulence. Pardon, c’est un gros lard, un obèse disgracieux. Voici les termes qui le caractérisent. Il semble gentil, agréable mais terriblement docile. Toutefois, son inexpérience le gêne et lorsque j’ai souhaité le voir nu, je l’ai senti rougir. Dès qu’il a baissé son caleçon, je me suis sentie puissante et l’ai commandé de décalotter son sexe ridiculement petit au repos, perdu dans une masse de graisse mais fier et convenable après qu’il ait tripoté son gland sous mon regard insistant. “Je vais réfléchir si tu me mérites…” et je suis partie en le laissant se rhabiller en quatrième vitesse avant que Madame ne l’éjecte sur le palier.
Cet après-midi en revenant de déjeuner j’avais une enveloppe posée sur mon bureau. “À seize heures à la maison”. Je suis arrivée, Virginie m’attendait. Elle était la même. Nieil n’avait rien changé à sa tenue ou à son apparence. Pourtant, elle semblait affreusement distante. Sans un mot, elle m’aida à enlever ma veste puis déboutonna le côté de ma jupe. Je l’arrêtai consciente de ce que cachait ce morceau de tergal. “Je dois le faire. Il me l’a demandé.” Je lâchai sa main qui propulsa la jupe sur le sol. Elle passa devant moi et en me tenant par la main m’entraina jusqu’au sofa en cuir où elle prit place me laissant debout, sexe rasé devant elle. Son visage n’osait se diriger. Nieil l’avait-il prévenue ? Mes yeux plongèrent dans les siens et ils fuirent en chutant vers mon sexe. Elle écarta les pans du chemisier, je savais que mon devoir était de les tenir élevés au-dessus de sa découverte. Mes lèvres brillaient de leurs pierres jumelles et le ridicule cadenas jouait à la balançoire accroché aux deux anneaux en or. Elle s’assit au fond du canapé sans mot dire et appuya sur un bouton de la télécommande posée à côté. La chaine se déclencha et la voix de mon maitre emplit la pièce. “Sonia, j’ai toujours eu pour habitude de contraindre à la fidélité mes esclaves. Je t’ai dit vouloir préserver la virginité de ta nièce, sache que le nécessaire est fait depuis trois jours…” Mes genoux s’affalèrent sur le parquet, mes mains se retinrent à ceux de Virginie qui les saisit à paume serrée, la larme à l’oeil. Je glissai une main accompagnée entre ses cuisses et sentit un corps étranger en caressant ses lèvres. “Lève-toi ma chérie…” Sa jupe me pendait au nez, elle la releva comme je l’avais fait un instant auparavant et me glissa sous le nez son sexe garni de poils blonds. Je ne distinguai rien. “Il ne t’a rien fait…” dis-je soulagée. Elle guida ma main au creux de ses lèvres et je sentis de nouveau l’objet. Mes fesses se posèrent sur mes talons et j’examinai savamment le corps du délit. En écartant de deux doigts ses adorables lèvres, je vis une fine barrette en or transpercer de part en part les petites lèvres de son sexe. L’objet en or, cylindrique et doux, s’achève par deux extrémités arrondies de diamètre supérieur qui empêche de se débarrasser d’une parure qui empêche la fleur de se clore tout en interdisant l’accès. Un silence terrible s’empara de nous. Un sentiment de rage et de peine me torturait alors que l’impression d’être jalouse de la discrétion du bijoux l’emportait sur mon étonnement. Elle avait accepté d’emblée ce que j’avais longtemps refusé. J’éprouve de l’admiration pour Virginie. Courageuse ou inconsciente ? Je me suis sentie obligée de lui poser cette question afin de redonner à mon coeur une once d’entrain. “Tu es heureuse ?” Sa main caressa mon chignon et projeta ma bouche sur sa vulve… “Oui ma tante…” répondit-elle d’une voix tremblante. Maintenant, elle savait tout de moi et Nieil allait tout lui faire connaître à travers moi.Premier devoir de l’esclave : être propre et net. Dorénavant, Virginie doit chaque jour vérifier de la douceur de son pubis dont j’ai supervisé l’épilation intégrale. Contrairement à Flore et moi-même, Nieil n’a pas souhaité qu’elle conserve la moindre trace de pilosité ; ainsi, ma soeur l’a-t-elle débarrassée de tout corps disgracieux. Mais Nieil va plus loin avec elle qu’avec nous. Outre les aisselles, les jambes et le pubis, les cuisses et les bras sont également la cible de ce traitement ce qui n’ira pas sans poser de problème à ma nièce. Pour le moment, Virginie ne se maquillera pas mais elle doit veiller à ce que ses sourcils soient taillés de façon harmonieuse. Sa mère ne veut pas de fard avant seize ans. Soit, nous attendrons a déclaré Nieil en passant son index entre ses fesses avant de vérifier que rien ne subsistait. Second devoir : être sensuelle et que son maître soit fier de l’utiliser. Terminé les culottes de gamine. J’ai réassorti sa lingerie que Virginie laissera et lavera ici. Elle prendra ce qui est nécessaire jusqu’à sa prochaine visite et le gardera au fond de son sac à main. Rien de moins ordinaire afin de ne pas lui créer de problèmes mais seuls les string et les balconnets sont autorisés, lorsqu’ils le sont ! Les autres règles, Virginie les apprendra au fur et à mesure. Comme Julien que je contrains à se raser le pubis et les bourses afin qu’aucun poil ne dépasse de la culotte pour femme qu’il a l’honneur de porter sous son pantalon. Ce soir, à la sortie du bureau, il ira acheter des dim-up afin de savoir que fantasmer sur les femmes en bas peut s’avérer dangereux.En promenade grands magasins, Nieil m’a demandé qui, de mon point de vue, entre moi et Virginie possédait la plus grosse poitrine. J’ai répondu “moi” sans aucun doute et immédiatement Nieil a trouvé un jeu à notre portée. Au rayon lingerie de l’énorme magasin, il a sélectionné cinq soutiens gorge de taille décroissante. Nez à nez dans la même cabinet dont Nieil gardait le rideau entrouvert, je fus la première à essayer le grand afin de répondre à cette nouvelle question piège de Nieil : laquelle de vous deux peut avoir la plus petite poitrine ? Dès le troisième essayage, l’inconfort cédait sa place à la douleur maligne qui s’installe progressivement. Mais, bêtement, je continuai alors que Virginie abandonnait devant la sensibilité de ces seins. “80B… Parfait.” Nieil m’aida à l’enlever et ramena le tout en rayon. Lorsqu’il revint, nous étions rhabillées et nous regagnâmes la voiture. Dans le parking souterrain, Nieil me tendit le soutien-gorge. “Je l’ai acheté, mets-le.” Je l’ai regardé avec mon oeil pétillant “Tu plaisantes ?” “— Pas du tout. Mets-le. Pas ici, sors de la voiture et mets-toi entre le capot et le mur.” Et pour me presser plus encore alors que le chemisier était tombé, les phares m’éclairèrent de plein feux. Virginie rigolait de me voir me dépêcher mais aussi de constater qu’elle avait perdu mais que c’est moi dont les seins débordaient des bonnets classiques. “Parfait ma chérie… Tu vas le garder jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. Et lorsque tu m’auras suppliée à genoux, je t’autoriserai à l’enlever.” J’ai angoissé, j’ai souffert, j’ai tenu. Puis craqué. Et lorsque j’ai imploré mon maître, ce dernier à mis ma nièce dans la balance en lui faisant me caresser les seins à travers le tissu près à exploser alors que mes genoux devenaient aussi douloureux que ma poitrine martyrisée.Nieil a fait dispenser Virginie de piscine au lycée mais l’envoie en ma compagnie deux fois par semaine. Nous avons toutes deux le même maillot de deux tailles inférieures à celle requise ce qui attire sur nous le regard des hommes surexcités lorsqu’ils nous regardent nager en couple si proche l’une de l’autre.
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