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Sonia mon amour

Chapitre 4

Erotique
Il est l’heure d’aller manger. Le resto de la maison des élèves est ouvert à tous les étudiants en semaine, mais réservé aux résidents le samedi soir, dimanche midi et dimanche soir. Les repas sont plus recherchés, reviennent plus chers et donc réservés aux résidents. La personne qui contrôle l’accès est toutefois assez sympa pour laisser entrer les copines des résidents sans trop de problèmes. Après manger, nous retournons dans ma chambre. Sonia se tourne vers moi et me regarde avec un air de défi.-Déshabille-moi.Je n’en demande pas tant. Je déboutonne son chemisier, l’envoi balader sur la chaise, dégrafe son soutien-gorge, l’enlève en faisant venir mes mains sur ses seins pour les envelopper. Il rejoint le chemisier. Je fais une bise à chaque sein, défait le zip de la jupe pour la faire glisser à terre. Elle est là, devant moi, les bras ballants à me sourire dans un tout petit slip en dentelle blanche qui se détache merveilleusement sur sa peau sombre. Je m’agenouille et avance ma bouche vers la ceinture de son slip. Je l’attrape avec mes lèvres et tire vers le bas. Ce faisant, mes lèvres frôlent son pubis, chatouillées par ses poils épars et effleurent son clitoris qui pointe un peu. Mes narines sont excitées par son odeur. Elle est parcourue d’un frisson dans tout le corps. Je continu la descente de son slip jusqu’à le saisir d’une main à mi cuisses et l’en débarrasser.
Elle attrape ma tête de ses deux mains et me fait remonter. Elle déboutonne ma chemise, m’en débarrasse, défait la ceinture, le bouton de mon jean et fait descendre le zip. Ses mains tremblent en écartant les pans de mon pantalon. Elle me regarde droit dans les yeux, je vois une lueur de panique au fond des siens. Je pose mes mains sur les siennes et les enlève de ma ceinture. Elle me sourit, je l’attire vers moi pour l’embrasser. Je sens ses seins contre ma poitrine, j’ai une envie folle de cette fille, mais je veux qu’elle se donne d’elle-même, sans contraintes. Une fois séparés, je la fait assoir sur le lit.-Doucement ma chérie, doucement, ne te précipites pas, laisse toi aller à tes envies, mais n’essaye pas de les anticiper. Je te j’ai déjà dit, tout vient à point pour qui sait attendre.Je me débarrasse de tout, jean, slip, chaussettes et vient m’assoir à côté d’elle.-Chéri, je veux dormir avec toi, passer la nuit dans tes bras sous tes caresses, mais je ne peux pas aller plus loin.-Ecoutes, tu n’as pas à t’excuser tout le temps. Tu as vécu une chose atroce, révoltante. Quand tu seras mieux dans ton corps et surtout dans ta tête, tu le sauras et tu me le diras. Je ne veux plus entendre d’excuses à partir de maintenant. Vis ta vie et laisse tomber le reste.-Oui mon chéri, je vais essayer.-Non, tu ne vas pas essayer, tu vas le faire.-Ok, mais si on se mettait au lit, j’en envie de te sentir contre moi.Nous nous allongeons sur le lit côte à côte. Pas la peine de mettre un drap, il fait trop chaud. Elle se blotti dans mes bras, je la caresse doucement, mes mains parcourent son corps de haut en bas, rien ne leurs échappent de la tête aux cuisses. Je la sens se détendre doucement jusqu’à ce qu’elle s’endorme dans mes bras. Je suis très perplexe, cette fille a de toute évidence un gros problème avec son corps du fait de l’agression dont elle a été victime qui s’ajoute à une éducation stricte bourrée d’interdits. Le contact d’un corps d’homme lui inspire du dégoût. Pourtant, quand elle est dans mes bras, je peux parcourir son corps avec mes mains sans qu’elle n’ait de réactions de rejet, bien au contraire elle arrive à s’endormir sous mes caresses. Sa tête dit non quand son corps dit oui, mais c’est son corps qui gagne et c’est tant mieux. Je suis dans mes pensées en somnolant et je fini par m’endormir en la serrant dans mes bras.
Le dimanche matin, il est possible de prendre un petit déjeuner au restaurant de la maison des élèves. Nous y descendons. Sonia est rayonnante, reposée, heureuse et ça se voit. Quand elle traverse la salle, tous les mecs présents se retournent pour admirer sa silhouette et sa démarche ondulante. Les filles sont rares dans cette maison des élèves, surtout les filles comme elle. Je dois la ramener chez elle, elle doit téléphoner à ses parents d’une cabine à côté comme tous les dimanches, ensuite, elle doit aller à une réunion dans son association. Nous nous quittons devant chez elle. Je suis un peu démoralisé, mais je sais qu’il le faut, qu’elle doit évoluer à son rythme. Même si notre histoire l’aide, il lui faut encore une personne spécialisée pour lui faire reprendre totalement confiance en elle. Je passe l’après-midi à bosser comme un fou pour oublier son absence, mais je n’y arrive pas, elle ne quitte pas mes pensées. De plus, elle a une semaine spéciale et nous ne pourrons nous revoir que je jeudi après-midi suivant, demi-journée de repos des facs.
Le lundi sans Sonia fut pénible. Le mardi soir, vers vingt et une heures je travaille dans ma chambre quand on frappe à la porte. Je suis à poil vu la chaleur et j’entoure ma taille d’une serviette avant d’ouvrir. C’est Sonia. Elle se précipite dans la chambre, claque la porte, me pousse sur le lit et se retrouve nue en quelques secondes. Elle m’arrache la serviette et se plaque sur moi en posant ses lèvres sur les miennes. Après un long baiser elle se redresse un peu.-Chéri, je ne peux pas vivre sans toi, je divague complètement, deux jours sans sentir tes mains sur ma peau me rendent folle. Je veux qu’on se voie tous les jours, toutes les nuits, qu’on dorme ensemble.-Je ne demande que ça, tu le sais bien.Elle couvre mon torse et mon ventre de baisers, puis s’allonge à côté de moi.-Câlines moi mon amour, j’ai besoin de te sentir, d’avoir tes mains sur mon corps.Je la regarde plus attentivement, cette fille est faite pour l’amour, tout chez elle converge vers la satisfaction des sens. Elle a subi un traumatisme, mais son corps a des besoins que sa tête n’arrive pas, pour l’instant, à lui accorder. Pourtant, malgré elle, ses besoins la poussent à aller plus loin, et elle a l’intelligence de ne pas lutter contre ses pulsions. Ses progrès sont stupéfiants.Je me penche sur elle et commence à la caresser sur tout le corps, j’ai le pressentiment qu’aujourd’hui, elle va se laisser aller un peu plus loin que la dernière fois. Je la sens plus détendue que d’habitude, plus sereine. Mes mains descendent vers son nombril, continuent leurs progressions vers son sexe. Arrivées sur les poils de son pubis, je la sens avoir un mouvement du bassin. Mon index se pose sur son clitoris et fait de minuscules mouvements. Son bassin bouge un peu plus. Je pose mes lèvres sur ses seins, les titilles, les lèche, les embrasse. Ses mains se posent sur ma tête et poussent vers le bas. Mes lèvres descendent sur son ventre, titillent son nombril. Elle ondule du bassin de plus en plus.-Oui mon chéri, c’est tellement agréable.
Je continu à descendre de plus en plus lentement. Mes lèvres finissent par atterrir en haut de ses grandes lèvres. Je reste là à embrasser sa peau sans progresser. Une main se pose sur ma tête et pousse vers le bas. C’est l’autorisation que j’attendais. Je change de position pour me mettre entre ses jambes que j’écarte un peu. Je l’embrasse sur les genoux, monte doucement vers son entre jambe en embrassant ses cuisses tous les centimètres. Elle ondule de plus en plus du bassin. Je fini par arriver sur son sexe et, au moment où mes lèvres rencontrent ses grandes lèvres, elle ouvre entièrement ses jambe me laissant une voie royale vers son sexe.
Elle est inondée de cyprine, elle doit être au paroxysme de l’excitation. Je hume son odeur enivrante, je pose la langue sur ses lèvres et les lèche pour la goûter, la boire. Mes yeux s’embrument de bonheur, je suis au bord des larmes, elle commence à se donner à moi. J’adore son odeur, son goût, mais je sens qu’elle est au bord de la jouissance. Alors, je pose mes lèvres sur son clitoris, l’aspire, le mordille et le titille avec ma langue. Ça suffit pour la faire partir dans un orgasme terrible. Elle est secouée de violents spasmes, ses mains me plaquent sur son sexe, ses pieds se posent sur le lit, jambes repliées, elle se raidi en arc, ses fesses décollent du lit, elle soupire et fini par pousser un long et profond râle.-HHHHHUUUUUMMMMM.J’insiste le plus possible sur son clitoris pour prolonger au maximum son plaisir. Elle finit par se calmer, son corps se détend, elle se pose lentement sur le lit et me prend la tête entre ses deux mains. Je remonte vers elle, m’allonge à ses côtés, je passe mon bras derrière son cou et la fait un peu basculer sur moi. Elle est à côté de moi, un bras sur mon torse, une jambe repliée sur ma cuisse. Je couvre son front et son visage de baiser.-Chéri, que m’est-il arrivé, jamais je n’ai ressenti rien de tel.-Tu as déjà jouis pourtant ?-Jamais comme ça, avant mon agression, je me touchais un peu le sexe et je sentais bien que je pouvais en tirer du plaisir, mais mon éducation très stricte m’empêchait d’aller plus loin, c’était un péché. Je ressentais simplement un léger frisson au bas du ventre, jamais un tel déchainement de sensations dans mon corps, et vendredi dernier avec toi, c’était plus local, pas si intense.-Tu as eu ton premier orgasme ma chérie et je suis heureux d’en être l’initiateur. Tu en auras d’autres, beaucoup d’autres. Ton corps ne demande que ça, il te donnera d’immenses plaisirs j’espère.-Moi aussi, mais je veux en avoir autrement.-On verra ça plus tard, ce n’est pas la priorité.-Oui, mais je….-Tais-toi, je ne veux plus t’entendre.Je la fais taire en lui plaquant ma bouche sur la sienne pour un long baiser. Ses mains parcourent mon corps, elle ose descendre plus bas qu’avant, elle atteint mon pubis et enfonce ses doigts dans mes poils. Elle ne va pas plus loin, je la laisse faire à sa guise.-Je peux dormir là.-Bien sûr, tu sais très bien que je ne demande que ça.Nous nous installons pour la nuit et nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, Sonia est un peu paniquée, elle n’a pas de vêtements de rechange. Elle doit aller en catastrophe se changer chez elle. Je lui demande de prendre quelques affaires pour les laisser chez moi. Nous arrivons à l’IUT juste à l’heure. Christine et ses copines la voient sortir de ma voiture et me regardent avec insistance. Elle va vers elles, les embrasses et se tourne vers moi en discutant. Je les vois me sourire avant d’entrée dans l’amphi.
La journée se passe relativement bien, j’ai profité de Sonia alors que ce n’était pas prévu, j’en suis heureux, ce qui n’empêche qu’elle ne quitte pas mon esprit durant toute la journée. Nous ne pouvons pas déjeuner ensemble car elle a un cours à l’extérieur de l’IUT et doit déjeuner avec son groupe. Le soir, je dois sortir une heure avant elle, mais je reste à la bibliothèque pour l’attendre. Elle sort de son cours avec Christine et d’autres copines, elle est surprise de me voir et se précipite sur la voiture. Elle entre et se jette sur moi pour m’embrasser fougueusement. Christine et ses copines arrivent et s’arrêtent pour nous regarder. Christine me salue, les autres ont l’air d’être heureuses pour Sonia. Je ne sais si elles connaissent son histoire, mais ce sont de bonnes copines, sans l’ombre d’une quelconque jalousie.
Nous allons dans ma chambre, juste le temps de se changer et nous allons diner. Pendant le repas, je suis appelé au haut-parleur, on me demande au téléphone. C’est ma mère qui se plaint de ne pas me voir depuis plus d’un mois. Il est vrai que depuis que j’ai rencontré Sonia, j’ai trouvé tout un tas d’excuses pour ne pas rentrer le week-end, mais là ça commence à faire un peu long. Elle me passe mon père.-Alors, qu’est-ce que tu fous, tu n’es pas venu depuis quatre week-ends. Elle est jolie au moins ?Je suis pris au dépourvu, je ne sais quoi répondre.-Ecoutes, je suis passé par là avant toi. Si tu as une personne qui t’est cher, viens avec elle. Tu sais très bien que nous acceptons ce genre de situation, nous sommes au vingtième siècle, les mœurs ont évolué. Et ne me dis pas que c’est le travail, je te connais, tu as rencontré quelqu’un.-Oui, j’ai rencontré une fille, et je suis très amoureux d’elle.-Et Pascale dans tout ça ?-Tu sais très bien que nous ne nous sommes pas vus depuis septembre, en fait, nous avons rompu sans même se le dire, tacitement. Je n’ai plus reçu de lettre d’elle depuis trois mois. J’ai tourné la page, d’autant que je suis tombé sur une fille extraordinaire.-Et bien, tu peux l’amener samedi, tu sais que c’est l’anniversaire de ta cousine préférée. Elle t’en voudra à mort si tu ne viens pas.-On fête l’anniversaire de Michelle ?-Oui, dimanche chez Christian.-Ok, je serai là avec ou sans Sonia.-Sonia, ce n’est pas courant, très chouette comme prénom.-Je dois te dire qu’elle est de mère française et de père sénégalais.-Qu’est-ce que tu veux que ça me foute, c’est ta vie. Le principal c’est que tu sois bien avec elle. Je préviens ta mère pour qu’elle prépare ta chambre du haut. On compte sur toi, à samedi.-A samedi.
A suivre
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