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Sonia mon amour

Chapitre 9

Erotique
La journée se termine très bien, tout le monde est content et nous devons les quitter vers dix-sept heures pour ne pas arriver trop tard à St Etienne, nous n’avons qu’un peu plus d’une heure de route. Ma mère embrasse Sonia avec une chaleur et une tendresse toute particulière. Elle vient vers moi pour m’embrasser.-Elle est fantastique, fais tout pour la garder mon chéri.-Ne t’en fait pas maman, c’est bien mon intention.Nous partons tranquillement, nous ne sommes pas particulièrement pressés. -Dis donc, j’ai remarqué que tu n’as pas bu de vin, il était pourtant super.-Ni vin, ni apéro, je devais conduire, c’est une règle que je me suis donné depuis l’accident de Guy, qui est mort parce qu’un con, mort lui aussi, était saoul. Je ne bois plus d’alcool avant de conduire. En plus, je ne suis pas spécialement fana. Mais ne t’en fait pas, avec l’accord de Christian, j’ai récupéré une bonne bouteille de vin pour nous.-Ha d’accord tu n’as pas perdu ton temps. -On la boira avec Christine.-Ok, ça lui fera plaisir. -Alors, cette journée dans la famille.-Tu sais, tes parents sont fantastiques, j’ai été accueillie d’une merveilleuse manière je ne pense pas que tu sois accueilli de la même manière chez moi.-Tu les as conquis, particulièrement mon père, lui tu peux le mener par le bout du nez, il t’adore. On verra plus tard pour les tiens.-Oui, j’ai vu, pour ton père, mais c’est une personne très droite et honnête, il me regarde comme sa fille. Je ne peux pas en dire autant de Louis.-Qu’est-ce qu’il t’a fait ?-Rien, rien, mais son regard était gênant, il me déshabillait, j’avais l’impression qu’il allait me sauter dessus, bbbrrrr, pourtant il a mis une super ambiance toute l’après-midi.-Oui, il est comme ça, il met l’ambiance, c’est un show man, mais ses mains trainent partout, surtout sur les fesses et les seins des femmes, même la copine d’Alain y est passée jusqu’à ce qu’il l’apprenne et mette les choses au point avec lui. Je pense que si Christian ne l’avait pas pris d’emblée quand il est arrivé c’est ce qui se serait passé, il aurait exploré tes fesses mine de rien, surtout qu’entre nous, elles sont très attirantes.-Tu ne vas pas t’y mettre, comme ce vieux pervers.-Non, mais tu sais que j’aime te caresser, particulièrement tes fesses.-Ca, j’avais remarqué, mais je dois dire qu’elles adorent te laisser faire, elles aiment tes mains.Nous plaisantons tout au long du voyage. Arrivés à destination, nous avons le temps de tout ranger avant d’aller diner au resto de la maison des élèves. Sonia a emménagé dans ma chambre, ce n’est pas très permis, mais tout le monde ferme plus ou moins les yeux, à condition de ne pas dépasser les bornes.
Le lundi soir, je suis appelé au téléphone, c’est mon père qui me dit que c’est d’accord pour un travail dans un bureau, qui plus est, avec la secrétaire de direction de son ami. De plus c’est extrêmement bien payé, cette société payant les remplaçants d’été le même salaire que les titulaires du poste débutants, c’est-à-dire trois fois plus qu’un travail d’étudiant saisonnier normal. Sonia est folle de joie.-Super chéri, nous allons rester ensemble en juillet.-En juillet, en août, l’année prochaine et toutes les années qui suivent.Elle se jette dans mes bras. Nous somme dans le hall de la maison des élèves, et cette attitude ne passe pas inaperçue, d’autant qu’elle ne laisse pas indifférents tous ces jeunes machos en rut. Dans les jours qui suivent, ma mère contactera ses parents et les convaincra de laisser Sonia venir chez elle pour le mois de juillet moyennant un loyer très modéré qu’ils ont absolument voulu payer eux même, ça fera de l’argent de poche pour Sonia. Nous montons dans ma chambre, et nous nous allongeons sur le lit. Sonia est contre moi.
-Tu sais chéri, je t’ai trouvé extraordinairement beau le jour où tu t’es masturbé devant moi pour te libérer. Ton expression exprimait le bonheur.-Pourquoi me dis tu ça ?-Juste pour te dire que se masturber peut être beau.-Tu m’as bien dit que tu ne t’étais jamais masturbée ?-Non, jamais jusqu’au bout, et j’aimerais bien le faire devant toi.-Vraiment ?-Oui, pour toi.-Et tu comptes le faire quand ?-Tout de suite.-Tout de suite ?-Oui, tout de suite, j’ai envie de me donner à toi en spectacle, de te donner ma jouissance, mon plaisir.-Tu es sûre.-Oui.-Ok, vas-y, je te regarde.-Oui, mais je ne sais pas très bien comment faire.-Tu vois les zones de ton sexe que je titille avec ma langue ?-Oui.-Et bien, tu les titilles avec ton doigt, c’est tout simple.-Oui, mais une langue c’est humide.-Tu n’auras qu’à tremper ton doigt dans ton vagin de temps en temps.-Embrasse-moi.Je me tourne vers elle et l’embrasse. Je me redresse et sors du lit. Je prends la chaise et m’assoie devant elle. Elle est allongée sur le dos. Elle pose ses mains sur son ventre, les fait parcourir son corps du mont de vénus aux seins qu’elle palpe, compresse, caresse. Elle écarte légèrement ses jambes et pose sa main droite sur son sexe, l’autre restant à caresser ses seins. Elle commence par caresser son pubis avec le bout des doigts. Petit à petit, ses doigts descendent sur les lèvres. Son majeur se pose sur son clitoris et le titille. Son bassin commence à bouger, elle ferme les yeux, ses narines palpitent, elle est concentrée au maximum sur ce qu’elle fait. Son majeur glisse entre ses lèvres et revient sur le clitoris brillant de sa cyprine ce qui le fait encore mieux glisser. -HHHUUUMMM.Sa main droite s’active de plus en plus vite sur son clitoris, ses doigts vont de la vulve au clitoris en s’enfonçant de temps en temps dans le sexe pour se lubrifier. Sa main gauche caresse ses seins, elle prend alternativement ses mamelons entre le pouce et l’index et les pince. Je vois ses jambes se raidir, son ventre se contracter, sa respiration s’accélérer, son majeur devient fou sur son clitoris, elle serre de plus en plus ses mamelons, elle se cambre, les fesses sont à quinze centimètres au-dessus du lit, elle ouvre les yeux, me regarde, elle jouit. -Oui mon chéri, regarde-moi, c’est pour toi, je t’aime.Son regard est étrange, dans le vide, cela contraste avec son visage resplendissant de bonheur. Elle se masturbe encore un petit moment et fini par se calmer et redescendre sur le lit. Une fois calme, elle me tend ses bras. Je viens pour l’embrasser, mais elle me tire sur elle. Elle a vu que je bandais. Elle me positionne et appuie sur mes fesses. Mon sexe entre dans cette caverne ruisselante.-Fais-moi l’amour, j’ai envie de toi en moi.Nous faisons l’amour lentement, comme elle aime et comme j’aime. Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus tellement j’étais excité, je me vide dans cette gaine étroite. -Oui mon chéri, je sens ton liquide en moi, continu.Elle me serre très fort dans ses bras. Je fini par me laisser aller sur le côté, mais je sens qu’il lui manque quelque chose, elle n’a pas jouit. Je me positionne au-dessus de son sexe pour poser mes lèvres sur son clitoris.-Oui.Je déchaine ma langue sur son clitoris et elle jouit en moins de deux minutes.-C’est fou, tu commences à me connaitre mieux que moi-même.-Oui, chérie, c’est surtout que l’aime te faire jouir, te rendre heureuse et j’ai eu le temps d’étudier un peu tes réactions. Je commence à savoir ce qui te fait monter au ciel.-Je m’en suis rendu compte.-Et si on dormait maintenant.Nous finissons par nous endormir enlacés dans les bras l’un de l’autre.
Le reste du mois se passe merveilleusement bien, nous nous entendons de mieux en mieux, faisons l’amour tous les jours, souvent plusieurs fois, nos corps s’harmonisent de plus en plus, c’est le bonheur parfait, ce qui ne nous empêche pas de travailler. Nous réussissons nos examens les doigts dans le nez, elle avec mention bien. Malheureusement, elle doit aller chez ses parents qui ne l’on pas vu depuis trois mois. Ce séjour doit durer trois jours et je suis dans tous mes états, trois jours sans elle je ne sais pas comment je vais faire. Il est impensable que j’aille avec elle, ses parents ne connaissant pas mon existence. Ce seront trois jours d’enfer pour moi, comme pour elle.Pendant son séjour, elle réussit à m’appeler deux fois d’une cabine. Elle arrive en train un mardi soir à la gare. Je suis là pour l’accueillir, on tombe dans les bras l’un de l’autre et nous nous embrassons fougueusement. J’entends une réflexion désagréable derrière moi sur un blanc avec une noire. Je me retourne et insulte l’homme de toutes les insultes que je connais, je suis hors de moi, j’ai envie de lui exploser la tête. La situation s’envenime, un chef de gare veut intervenir, mais l’homme le pousse et il tombe lourdement quand un autre homme, plus grand que moi d’au moins une tête, l’attrape, le plaque contre un mur, le maîtrise et le traine hors de la gare en le traitant de tous les noms. Sonia est en larmes, elle se blotti dans mes bras. J’essaye de la consoler de mon mieux quand une femme d’un certain âge vient vers elle pour la réconforter, elle pose une main sur son épaule et lui tend un mouchoir.-Ne vous en faites pas jolie mademoiselle, malheureusement il y a des cons partout. Vivez votre vie avec votre ami, aimez-vous, ne tenez pas compte de ce qui vous entoure, seul votre amour compte. Je suis sûre que vous serez heureuse mademoiselle. Elle s’éloigne en lui souriant après lui avoir déposé un baiser sur la joie, à deux mètres d’elle, elle se retourne.-Vous pouvez garder le mouchoir, il est à vous, je vous l’offre.-Tu vois chérie, il n’y a pas que des cons sur terre.-Cela faisait plus de trois mois que je n’avais pas entendu ce genre de réflexion, je commençais à les avoir oubliées.-Aller, viens on rentre à la maison.
Nous arrivons en même temps que mes parents. Ma mère remarque que Sonia a pleuré, elle me demande pourquoi. Je lui explique et ça la met un peu en colère. Au diner, Georges s’étonne que je ne l’ai pas rencontrée plus tôt, étant tous les deux dans le même IUT, même si nous étions dans des sections voisines. Sonia décide de raconter pourquoi elle a quitté Bordeaux pour venir à St Etienne entre deux années. Un lourd silence règne dans la salle à manger, tout le monde se regarde. Georges sort une vanne sur les flics comme il en a l’habitude et détend d’un seul coup l’atmosphère. Ce gamin est un pince-sans-rire génial, il le restera en vieillissant. Le repas se termine bien et nous allons dans le salon. Ma mère attrape la main de Sonia et lui demande de la suivre. Nous restons à discuter dans le salon avec une musique d’ambiance un peu rock, mon père adore Elvis Presley, comme moi, j’ai tous ces disques, même des inconnus en France. Sonia apparait dans une magnifique jupe blanche mi-cuisses, fendue sur le côté gauche, assortie d’un corsage en soie blanche porté sur une poitrine nue que découvre en partie un boutonnage bas. On distingue ses seins sous le tissu.-Regarde chéri, c’est un cadeau de ta maman.-En quel honneur.-Cadeau de bienvenue c’est tout, pour marquer ce jour, et je ne vais pas te demander la permission d’offrir un cadeau à Sonia tout de même.-Ok, ok, tu offres ce que tu veux à qui tu veux, quand tu veux, mais dis donc maman, tu ne les trouves pas un peu trop sexy cette jupe courte fendue et ce corsage plus que léger.-Dis donc toi, tu ne serais pas un peu jaloux. Des jambes comme celles-là il faut les montrer, je te garantis que si j’avais les mêmes, je les montrerais plutôt deux fois qu’une, quant au corsage il ne fait que faire ressortir la beauté des magnifiques seins de Sonia.
A suivre
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