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Sonia mon amour

Chapitre 14

Erotique
Le lendemain, après le petit déjeuner et les courses pour quelques jours, nous décidons d’aller à la plage. Sonia et Marion mettent leurs maillots. Nous attendons dans le salon quand Julie sort avec exactement le même minuscule maillot blanc, acheté dans un grand magasin de Paris. Les filles éclatent de rire, Paul se penche vers moi.-Je crois qu’il va falloir sortir l’artillerie lourde si on veut être tranquilles sur la plage.J’en profite pour regarder Julie d’un peu plus près. Elle est grande, fine à la limite du maigre. Très jolie, cheveux blonds lisses tombant sur les épaules, petite poitrine ronde, ventre plat et bien musclé, pubis proéminent comme j’aime, petites fesses légèrement en poire et jambe fines et bien galbées, pas aussi belles que celles de Sonia, mais vraiment pas mal. C’est ce qu’on appelle une très belle femme. Et même Marion, malgré son jeune âge, porte très bien ce maillot, d’autant qu’elle commence à avoir de beaux seins ronds et des fesses rondes et hautes. A onze ans, elle attire l’œil.Sur la plage, les trois filles ont fait l’effet d’une bombe, les garçons ne les quittaient pas des yeux, surtout quand elles sortaient de l’eau. Les filles n’avaient pas l’air d’apprécier autant que leurs copains. Mais dans l’ensemble, ça c’est quand même bien passé. Après la plage et le déjeuner, Paul et Julie décident d’aller faire une ballade dans la pinède à côté, ils emmènent Marion avec eux. Nous en profitons pour faire une sieste qui évolue vite en partie de jambes en l’air pour finir endormis dans les bras l’un de l’autre. Vers seize heures, un bruit de clef dans la porte me réveille. Nous enfilons nos maillots et allons à la plage.
Les jours suivants, c’est plage, bouffe, sieste plus ou moins crapuleuse, plage, apéro, bouffe, amour, dodo. Nous nous reposons. Sonia et Julie sont de plus en plus proches, elles ont les mêmes goûts, la même sensibilité vis-à-vis des choses de la vie, la même manière d’appréhender les choses. Marion est adorable, toujours de bonne humeur, jamais entre nos pattes, elle respecte la vie des autres. Il faut quand même qu’on s’occupe un peu d’elle, mais c’est tout à fait normal, surtout qu’elle n’est pas du tout exigeante. Elle semble très contente d’être là, elle a fait une touche avec Paul qui s’est pris d’affection pour elle et s’en occupe avec beaucoup de gentillesse, ce qu’elle lui rend bien. Un soir, une fois au lit, Sonia se tourne vers moi.-Chérie, tu veux bien te masturber pour moi ?-Que t’arrive-t-il ?-Je voudrais ta voir jouir par toi-même une fois de plus.-Ok, mais après, c’est toi qui te masturbe devant moi.-Ok. Met toi sur le dos et écarte les jambes.Je fais ce qu’elle me demande, elle vient se mettre entre mes jambes à plat ventre, la tête sur ses mains et fixe mon sexe ramolli. Je commence à me masturber, fait redresser ma bite lentement, je veux faire durer le plaisir je me masturbe doucement par d’amples gestes lents, j’adore ça. Petit à petit mon excitation augmente d’autant plus que j’ai un spectateur très attentif qui n’en perd pas une miette. Je fini par avoir des contractions dans le ventre, mes jambes s’électrisent, mon ventre se crispe, mon cerveau explose et je me raidi en arc de cercle pour jouir sur mon ventre par de grands jets de sperme. Je fini par redescendre sur le lit, elle avance sa tête, passe par-dessus mon ventre et sa langue vient se poser sur une tache de sperme. Elle me lèche le ventre.-C’est spécial, un peu salé mais j’aime beaucoup, je comprends qu’on aime en boire.Elle me lèche tout le ventre, une fois propre, elle vient poser ses lèvres sur ma bouche. Je sens le goût de mon sperme, ça ne me dérange pas et je l’embrasse passionnément. Elle se dresse sur ses bras, bascule sur le côté.-A toi de regarder chéri.Elle écarte les jambes, je viens me mettre entre elles, la tête sur mes mains comme elle tout à l’heure. Sa main droite vient titiller son sexe, tandis que sa main gauche reste sur ses seins. Elle se caresse les seins, pince les mamelons érigés. Sa main droite glisse le long de sa vulve, ses doigts s’enduisent de cyprine pour mieux glisser. Sa main fait des ronds sur son clitoris, son majeur le titille et entre dans son vagin. Il en ressort pour se jeter entre ses petites lèvres et finir sur le clitoris. Elle se le pince, le malaxe, le tire, l’écrase, son corps commence à onduler, son ventre bouge plus vite, sa respiration s’accélère, ses membres inférieurs se tendent, elle ne va pas tarder à jouir. Je pose ma bouche sur sa vulve, je veux la boire, boire son jus qui va se répandre. Elle continue, son sexe monte de plus en plus quand elle se fixe, tendue comme un arc.-Bois moi mon chéri, c’est pour toi, bois mon jus.Je sens sa cyprine couler dans ma bouche, je suis aux anges, ma langue pénètre entre ses lèvres ruisselantes, elle s’enfonce dans sa vulve pour extraire le maximum de ce nectar d’amour. D’un seul coup, son sexe tombe en m’entrainant. J’ai la tête coincée entre ses cuisses, elle ne veut pas me libérer.-Encore chéri, lèche moi, je sens que je vais partir de nouveau.Je me déchaine sur son sexe, l’aspire, le suce, le mord, elle coule littéralement de cyprine, j’ai du mal à avaler en la titillant du bout de ma langue, mais très vite elle se raidi pour un nouvel orgasme. Nous finissons par retomber sur terre, elle me fait monter sur elle.-Ne me dit pas que tu n’en a pas envie.-Tu sais très bien que j’ai toujours envie de toi.— Prouve-le.Comme la séance précédente m’a fait bander comme un âne, je n’ai aucun mal à lui prouver mon désir. Je la pénètre d’un seul coup, la transperçant de part en part d’une seule traite.
-Oh mon chéri, quelle énergie.Je la pistonne le plus rapidement possible, jamais je ne lui avais fait une chose pareille.-Oh oui, comme ça, oui, je vais venir, je viens, je viens, avec moi mon chéri, viens.Je ne résiste pas plus et me vide en elle. Nous jouissons en même temps, nous sommes de plus en plus synchros. Après quelques minutes de récupération, nous nous enlaçons pour nous endormir heureux dans les bras l’un de l’autre.
A la fin de la semaine, Sonia et Julie veulent visiter Barcelone. Nous passons donc une journée à visiter cette très belle ville. D’abord la Rambla et ses grands espaces, puis le palau Güell, le quartier de la cathédrale et du marché de la Boquería. Petite pause pour déjeuner dans un resto sympa du côté de la Rambla. Ensuite traversée de la plaça de Catalunya pour consacrer l’après-midi à la Pedrera et la Sagrada Família. Nous finissons par diner dans un restaurant de la Rambla. Journée pleine et épuisante.
Le soir, au retour, nous sommes très fatigués par cette journée, nous allons tous nous coucher. Sonia se déshabille et se jette sur le lit. Je la suis de près. Elle me met sur le dos et commence des caresses très appuyées. Ses mains parcourent mon corps.-Tu ne bouge pas.-Ok, je suis un monolithe immobile.-Je préfèrerais un obélisque érigé.Nous rions, mais elle continu ses caresses. Je fini par bander comme un cerf. Elle m’embrasse le cou, le torse, le ventre, le nombril, et arrive sur le pubis. Ses lèvres effleurent mes poils. Tout à coup, je sens quelque chose effleurer mon gland, se sont ses lèvres. Sa langue le lèche une première fois, comme pour goûter. Elle revient pour en faire le tour. Deux lèvres se posent dessus, l’englobent et descendent sur le méat. Sa bouche descend le long de ma verge pour l’engloutir en entier. Sa langue me titille le gland, me l’aspire, me le mordille pendant dix bonnes minutes, je suis au paroxysme de l’excitation. Je fais tout pour me retenir, je veux profiter de ce moment le plus longtemps possible. Mais je ne peux résister et je sens que je vais exploser dans sa bouche.-Chérie, je vais jouir, je ne peux plus résister, je jouis, je jouis.Elle reste sur ma queue et j’explose dans sa bouche. Elle n’a aucun mouvement de recul, elle reste sur ma verge à aspirer mon sperme et au bout d’un petit moment, je sens sa langue me titiller le gland. Il faut que mon sexe se ramollisse complètement pour qu’elle le libère. Elle pose sa tête sur mon ventre.-Que c’est bon, un peu salé peut-être, mais si bon, pourquoi ais je attendu si longtemps.-Tu n’étais tout bonnement pas prête, tu sais toutes les filles ne font pas ça. Pourquoi aujourd’hui ?-Je ne sais pas, mais c’est en discutant avec Julie que je me suis rendue compte que j’avais raté quelque chose avec toi, et après avoir goûté ton sperme, je me suis dit que je pouvais le faire.-Je vois que vous avez des discutions très spéciales avec Julie.-Oui, on se dit tout, c’est vraiment une fille super, je l’aime beaucoup, nous allons devenir très amies c’est sûr, surtout qu’eux aussi veulent aller à Toulouse.Je la fait mettre sur le dos.-C’est très bien tout ça, mais à moi maintenant.-Chéri, tu n’es pas obligé.-Tu ne veux pas de moi, tu ne veux pas de ma langue ?-Devines.Je lui écarte ses jambes et me jette sur son sexe. Je lui mordille le clitoris, le suce, l’aspire, je pince ses lèvres avec mes lèvres, enfonce ma langue dans sa vulve, boit son nectar qui coule à flot. J’aime son jus, je m’en délecte, je pose mes lèvres sur son sexe de manière à l’enfermer complètement et j’aspire son jus. C’est un vrai délice. Elle se tortille, ondule du bassin, se raidi, se détend, gémi, soupire jusqu’à éclater dans un orgasme puissant, le corps tendu comme un arc. -AAAAARRRRRGGGGG.Elle devient de moins en moins discrète, mais je n’en ai cure, Paul et Julie sont installés dans l’autre partie de l’appartement, et Marion dans la chambre la plus éloignée. J’insiste sur son clitoris, ce qui la fait repartir de plus belle.-OOOOOHHHHH.Elle finit par se calmer. Son corps se détend, sa respiration devient plus lente et régulière.-Tu vas me tuer de plaisir.-C’est la plus belle des morts, mais il n’en est pas question, je veux te garder le plus longtemps possible.-Moi aussi.-J’en suis d’autant plus heureux. Maintenant il faut dormir, je suis crevé, et toi aussi.Nous nous enlaçons pour dormir dans les bras l’un de l’autre. Nous avons besoin de sentir le corps de l’autre contre le nôtre.
A la fin de la seconde semaine, Marc et Virginie arrivent en fin de journée. Ils s’installent dans une chambre et viennent nous rejoindre sur le balcon après une bonne douche.-Quel appartement, il est génial, et ce balcon, incroyable.-Mes parents l’ont acheté il y a trois ans sur plan, ils ont acheté deux appartements qu’ils ont fait réunir par les salons, c’est pour ça qu’il y a cet immense salon traversant. Nous n’en disposons que depuis l’année dernière.Ils nous racontent leur périple à travers l’Espagne, ils regrettent d’avoir voulu tout voir et d’avoir dû passer vite à chaque endroit, mais ils comptent se reposer une semaine ici. La soirée se passe très bien, et nous allons nous coucher assez tôt.
A suivre
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