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  • Concours Les voisins / voisines

Sonia, voisine bafouée

Chapitre 1

Hétéro
La vie de couple n’est pas toujours chose évidente. Lorsque l’on aménage ensemble, au début c’est l’excitation, on se crée un cocon. Un nid douillet dans lequel on finit, avec le temps, par s’enfermer. On s’ennuie, la vie devient banale. On stagne. Parfois on arrive à vivre avec, parfois on envoie tout péter.
Oh, ce n’est pas mon cas, je vis seul. Mais c’est une leçon que j’ai apprise de mes voisins de palier, un couple tout à fait charmant, la trentaine à peine. Quand ils ont aménagé dans l’appartement à côté du mien, il y a un peu plus d’un an, je les entendais souvent rigoler, et je les voyais souvent souriants, l’un au bras de l’autre. Lui travaille, pas elle. Mais comme je travaille depuis la maison, je l’entendais quand même mettre de la musique, la journée, et chanter en faisant ce qu’elle avait à faire. Bref, il y avait de la vie. Et le soir, je les entendais encore. Je les entendais faire l’amour, parfois plusieurs fois. Et puis une année est passée, et toute cette joie s’est estompée. Je les voyais de plus en plus rarement ensemble, je ne les entendais plus, ni rire, ni faire l’amour. Et lorsque je la croisais dans l’ascenseur ou le hall de l’immeuble, je pouvais déceler une certaine tristesse sur son visage. Ce qui, cependant, ne retirait rien à sa beauté.

D’origine maghrébine, Sonia avait la peau bronzée, les cheveux bruns, généralement lissés, des yeux d’un noir profond, souvent mis en valeur par un maquillage, noir également. J’avais du mal à ne pas la regarder quand je la voyais, son corps élancé, ses longues jambes fines, et son derrière, à damner un saint. Sonia était très attirante, et c’était d’autant plus triste de la voir ainsi délaissée. Pour autant, ce n’était pas mes affaires, je les laissais gérer leurs soucis, me contentant de les saluer tous les deux lorsque je les croisais.

Et puis un jour, en fin de matinée, j’ai croisé Sonia en bas de notre immeuble, accroupie par terre, occupée à ramasser ce qui venait de tomber de son sac de courses déchiré. Je lui ai dis bonjour en souriant et me suis baissé pour l’aider. Elle a souri, mais ses traits étaient tirés, les muscles de son visage tendus, et ses yeux vitreux. Visiblement, elle n’allait pas bien, et je ne savais pas comment l’aider autrement qu’en ramassant ses courgettes ou ses aubergines. Alors j’ai porté ses courses. Dans l’ascenseur, on ne s’est pas parlé, mais j’ai vu une larme couler le long de sa joue, qu’elle a rapidement essuyé du revers de la main. Je l’ai accompagnée en silence, jusqu’au pas de sa porte, où je lui ai tendu ses sacs de courses. Elle les a récupérés, et tandis que j’allais tourner les talons, elle m’a dit d’une voix un peu tremblante:

_ Vous... Vous ne voulez pas entrer ?

Il s’agissait là aussi bien d’une invitation courtoise que d’un appel à l’aide. Je ne me voyais pas refuser un appel à l’aide, alors j’ai accepté la proposition. C’est la première fois que je rentrais dans son appartement. En terme d’agencement, il était assez similaire au mien, mais la déco avait un côté plus oriental. Je l’ai suivie jusqu’à la cuisine, où je l’ai aidée à ranger ses courses, en silence. Puis sans me regarder, elle a dit :

_ Je suis désolé pour tout à l’heure, j’ai craqué. J’ai vu que ça vous avait mis mal à l’aise._ Non, non, ne vous en faites pas. C’est moi qui suis désolé de vous voir comme ça. Je préfèrerais vous voir pleine de vie, comme avant.

Elle m’a regardé, et a souri. Un sourire sincère, cette fois.

_ Vous voulez prendre un verre ? Je crois que j’aimerais bien un verre, a-t-elle dit.


Il n’était pas encore midi. Mais je n’ai pas eu le temps de répondre, Sonia ouvrait déjà un placard et en sortait une bouteille de Porto. Je l’ai suivie au salon, et me suis installé avec elle sur le canapé, unique endroit où s’assoir dans la pièce. Elle sirotait son verre, sans rien dire, le regard perdu dans le vague, me souriant par moment lorsqu’elle croisait mon regard. J’ai décidé d’entamer la conversation ?

_ Vous voulez qu’on parle ? Qu’est-ce qui se passe, Sonia ?_ Vous savez bien ce qui se passe, m’a-t-elle répondu avec un sourire. Je m’ennuie, voilà ce qui se passe. Je n’ai pas de travail, et un mari absent toute la journée. Au boulot, ou chez une maîtresse, je n’en sais rien._ Il serait bien idiot..._ Peut-être, mais en attendant, il n’est pas là. Moi je suis là, je l’attends, à ne rien faire de ma vie...

Sa voix s’est cassée, sa gorge s’est nouée, visiblement, c’était du sérieux. Elle a tenté de se cacher pour essuyer les larmes qui coulaient le long de ses joues, mais cette fois elle pleurait, pour de vrai. Je me suis rapproché d’elle et l’ai prise dans mes bras pour la réconforter.

_ Allez, allez, ça va aller, ne vous en faites pas.

En vrai, je n’en savais rien, et je me demandais plutôt ce que je faisais là. Bien sûr, cette soudaine proximité avec le corps de Sonia n’était pas pour me déplaire, mais je ne me sentais pas vraiment à ma place. Et si le mari rentrait, là, d’un coup ? Mine de rien, il avait une sacrée carrure, le mari.

_ Vous pouvez m’aider, m’a chuchoté Sonia en sanglotant._ Vous aider ? Mais comment je pourrais vous aider ? _ Faites moi l’amour !

Choqué par la déclaration, je n’ai pas su quoi répondre. Les choses prenaient soudain une tournure à laquelle je ne m’attendais absolument pas.

_ Faites moi l’amour ! a-t-elle répété, plus fort que la première fois. Je sais que vous me matez le cul quand vous pouvez, je sais que vous en avez envie ! J’en ai envie aussi ! J’en ai besoin, même !

Et comme pour me prouver qu’elle disait vrai, elle a saisi mon poignet et plaqué ma main entre ses cuisses, en serrant ces dernières très fort. Je sentais la chaleur et la moiteur de son corps malgré le jean qu’elle portait, et j’ai dû user de beaucoup d’auto-persuasion pour retirer ma main d’entre ses jambes.

_ Non... Non, attendez, je ne peux pas. Et si votre mari savait ?_ Même si mon mari en avait quelque chose à faire, il ne le découvrirait quand même pas !

Elle s’est reculée, juste le temps de déboutonner lentement son chemisier.

_ S’il vous plaît...

Je ne pouvais plus quitter les yeux de cette chemise qui s’ouvrait sur une poitrine ferme, encore enveloppée par un soutien-gorge en dentelle blanc, qui contrastait avec le teint halé de sa peau. Je savais, à ce moment-là, que si je ne partais pas dans la seconde de cet appartement, le point de non-retour serait dépassé, et que je ne pourrais plus me retenir. Je suis resté bien plus longtemps qu’une seconde face à Sonia, et la minute suivante, je lui sautais dessus pour embrasser ces deux seins qui m’étaient offerts. Moi qui en avait envie depuis un certain temps déjà, j’avais enfin l’occasion de goûter à sa peau. Et je n’avais pas l’intention de m’arrêter là. J’ai tiré sur son soutien-gorge pour en faire sortir l’un de ses seins, dont j’ai sucé et mordillé le téton brun et excité. Sonia, le souffle court, gémissait, les mains dans mes cheveux, me gardant au plus près d’elle. Mes mains sont allées se balader dans son dos et défaire ce soutien-gorge, qui était certes joli, mais en travers de mon chemin. Ses deux seins me sont apparus entièrement, et je les ai embrassés, léchés, sucés pendant un long moment. Pendant ce temps, Sonia a attrapé mon tee-shirt et entrepris de me déshabiller à mon tour. La minute d’après, nous étions tous les deux torses nus, et je goûtais à ses lèvres avec passion, faisant danser ma langue avec la sienne.

Sonia a continué mon effeuillage, déboutonnant mon pantalon avant de le baisser d’un coup sur mes chevilles, puis elle a glissé sa main dans mon boxer sans plus attendre pour malaxer mes fesses à pleines mains. Elle était dans un état d’excitation que j’avais rarement vu chez une femme, le fauve en elle était libéré. Alors après m’avoir embrassé comme une furie, elle m’a poussé contre le canapé et s’est jetée sur moi. Plutôt entre mes cuisses, si l’on veut être exact. Elle a tiré mon boxer sur mes cuisses et a saisi mon sexe, qui commençait à avoir une belle forme. Sans plus attendre, elle l’a léché, des bourses jusqu’à mon gland, et m’a pris en bouche. Elle a sucé mon membre en me regardant, droit dans les yeux. Je m’y perdais complètement, dans ses yeux noirs aussi bien que dans sa bouche. Elle m’a sucé avec voracité, me prenant au plus profond de sa bouche par moment, une main sur mes testicules, l’autre sur mon ventre, elle m’avalait, tandis que dans la pièce ne résonnaient que ses bruits de succions et quelques grognements de ma part. J’étais gêné de la regarder directement, contrairement à elle, qui avait l’air de savourer ce moment. Comme s’il n’y avait aucun problème, comme si la situation était tout à fait normale, comme s’il n’y avait aucun cas d’adultère. Mais au fait, y’a-t-il vraiment adultère lorsque l’on a des relations sexuelles avec une femme mariée, certes, mais bafouée ? Oh, et puis est-ce vraiment le temps de philosopher ?

J’ai glissé ma main dans les cheveux de Sonia et ai décidé de me laisser aller un peu, profiter de cette bouche qui m’avalait, et de cette langue qui titillait chaque centimètre de mon sexe, et de ces mains qui caressaient ma peau. Seulement je sentais le plaisir grimper en flèche, et je n’avais pas l’intention de trop me laisser aller non plus. J’étais sur le point de dire à Sonia d’arrêter et de me retirer, quand son téléphone portable posé sur la tablette à côté de canapé s’est mis à sonner. Elle m’a regardé en suçant mon gland, et s’est tout de même décidée à aller répondre.

Il s’agissait visiblement de son mari, à en croire la conversation. J’en ai profité pour l’admirer et l’ai trouvée très belle, à moitié nue, indécente, les lèvres encore luisante de salive. Je me suis avancé vers elle, tandis qu’elle parlait froidement de factures et des courses qu’elle avait faites, de ce qu’elle avait trouvé et pas trouvé au magasin. J’ai embrassé son ventre en la regardant. Elle m’a jeté un regard un peu surpris, mais a simplement posé sa main dans mes cheveux en continuant à parler. J’ai déboutonné son jean et l’ai tiré le long de ses jambes, puis j’ai embrassé le haut de ses cuisses, et le contour de son slip en dentelle blanc. Je n’ai pas réussi à me retenir plus longtemps, cependant. J’ai écarté le bout de tissu sur un côté pour pouvoir admirer ce qui se cachait en-dessous, ses lèvres épilées, et la petite touffe brune sur son mont de Venus. Là non plus, je n’ai pas pu résister. J’ai embrassé son sexe et l’ai léché et l’ai sucé, je savourais son goût, son jus, sucré-salé, mes mains sur ses cuisses et ma langue sur son clitoris. Je la sentais qui frissonnait, et pourtant elle continuait à parler à son mari comme si de rien n’était.

_ Oui... Oui mon chéri, à tout à l’heure, a-t-elle fini par dire avant de raccrocher et de poser son téléphone sur la tablette à nouveau.

Elle a alors poussé un long soupir en tenant ma tête plaquée entre ses cuisses et m’a dit :

_ Mon mari rentre d’ici une heure. On a le temps, et j’aimerais que vous me baisiez.

Malgré ma langue sur son clitoris et deux doigts à l’orée de son vagin, Sonia continuait de me vouvoyer. Je n’arrivais pas à l’expliquer, mais ce décalage la rendait plus vicieuse encore et désirable. Alors je suis rentré dans son jeu.

_ Avec plaisir, ai-je répondu. Je vais vous baiser sans relâche jusqu’à ce que votre mari revienne.

Je me suis relevé d’entre ses jambes en tenant mon sexe bandé entre mes doigts, et l’ai posé contre sa fente. Je l’ai regardée, elle avait ce sourire qui disait "Allez-y!", alors j’y suis allé, j’ai glissé mon gland en elle, puis le reste, lentement, mais entièrement. Sonia a écarté ses jambes et les a relevées pour me sentir passer en elle autant que possible. Puis elle a attrapé mes fesses et m’a dit d’y aller plus fort. Une vraie furie. Je me suis exécuté avec plaisir et ai j’y suis allé sauvagement, mes bourses claquant contre ses fesses, une main sur sa hanche, l’autre empoignant son sein. Tout son corps tremblait, et Sonia, agrippée aux coussins du canapé, poussait de petits cris aigus, ces cris que j’avais souvent entendu le soir, un an plus tôt. Cela m’encourageait, et je la baisais de toutes mes forces, remontant ses jambes contre mon torse pour la prendre encore plus profondément.

Puis elle m’a dit de me retirer, et s’est retournée, à quatre pattes sur le divan. Elle a écarté ses cuisses et m’a dit de revenir en elle. Je suis resté un instant sans rien faire à admirer ce que j’avais devant moi, son derrière parfait, son anus brun entre ces deux belles fesses, et juste en-dessous, sa fente luisante de désir. C’était beau, une femme délaissée par son mari.

_ S’il vous plaît... a dit la voix suppliante de Sonia.

J’ai attrapé l’une de ces fesses d’une main tandis que de l’autre, je guidais mon sexe à nouveau dans le sien. J’y rentrais à présent très facilement. Progressivement, j’ai accéléré le rythme, jusqu’à faire claquer mon corps contre le sien. Sous mes mains, son cul gigotait dans tous les sens, et je m’y agrippais comme si j’allais chavirer si je ne le faisais pas. Sonia criait maintenant, la tête enfoncée dans un coussin. J’ai senti sa main venir entre nos jambes, caresser rapidement mes testicules, puis s’agiter visiblement sur son clitoris. Sans pudeur, Sonia se masturbait pendant que je la prenais en levrette. A ce moment-là, je me suis dis qu’effectivement, son mari devait avoir une liaison, il n’y avait pas d’autre explication, on ne laisse pas une femme comme Sonia de côté, pleine de vie et de passion, à moins qu’on ait l’esprit ailleurs, entre d’autres cuisses par exemple. Sonia se branlait de plus en plus fort, ce qui la faisait crier un peu plus fort. Ce qui me donnait envie de la baiser plus fort. Et ce qui lui donnait envie de crier encore plus fort. Un cercle vicieux qui nous a rapidement menés aux portes d’un puissant orgasme. Sonia a été la première, son corps s’est tendu, tremblant, et elle est partie dans un long râle de plaisir. Je n’ai pas été long à la rejoindre, mais je me suis retiré au dernier moment, avant de finalement éjaculer sur ses fesses et ce slip de dentelle que nous n’avions même pas pris le temps d’enlever. Des traînées de sperme blanc coulaient sur ses fesses bronzées, jusqu’entre ses cuisses.

Nous sommes restés un moment immobiles, à reprendre notre souffle et nos esprits. C’était le moment fatidique, post-orgasme, où nous allions savoir si le remords serait plus fort que le plaisir. Sonia, cependant, a rapidement dissipé tout doute possible :

_ Merci. Merci beaucoup !

Puis elle a regardé son téléphone portable avant d’enchaîner.

_ Il me reste une petite vingtaine de minutes pour vous remercier.

Elle s’est relevée en me souriant et en m’invitant à la suivre dans la salle de bain. Elle a jeté sa culotte souillée dans le bac à linge sale, précisant qu’il n’y avait aucun risque puisque jamais son mari n’avait fait une machine de sa vie. Je l’ai suivie dans la douche, dans laquelle elle m’a remercié à sa façon, avec une longue et douce fellation qui s’est terminée par un nouvel orgasme, sur sa belle poitrine cette fois-ci. Je suis parti de chez Sonia très vite après la douche, son mari étant sur le point de revenir.

Je ne voudrais pas me jeter des fleurs, mais après cet épisode, je trouvais Sonia plus joyeuse, plus rayonnante qu’avant. Parfois dans la journée, je l’entendais à nouveau chantonner ou siffler. Pour l’entendre faire l’amour, par contre, il fallait que je m’en charge moi-même. J’avais dépassé assez rapidement le stade de la culpabilité, ayant intégré l’idée, facile, que ce n’était pas de l’infidélité si je venais en aide à une femme bafouée. 
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