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Sonia en webcam

Chapitre 6

Erotique
Sonia Chapitre 6
Le lendemain, j’émerge avec difficultés et mets un moment à réaliser où je me trouve. J’ai cru faire un rêve, mais non ! Je suis chez ma cousine, ou plutôt dans une annexe de sa maison, son cabanon comme elle dit.
Le soleil brille déjà très fort derrière les rideaux et je n’ai aucune notion de l’heure. Sonia n’est plus ici, elle doit être levée depuis un bon moment. Je me lève encore groggy et traverse la pièce en titubant un peu avant de réaliser que je n’ai pas mes habits. Ils sont restés dans le salon de la maison. Il va falloir que je sorte et parcours plusieurs dizaines de mètres à poil dehors, au risque d’être vu en cette matinée lumineuse.
Avant de rejoindre Sonia que j’entends faire du ménage à l’étage, je tente de consulter mes messages, mais mon téléphone est complètement déchargé. Heureusement, un chargeur compatible est disponible sur une table, car j’ai oublié de prendre le mien dans la précipitation du départ. Je branche mon appareil et gravis les marches de l’escalier pour rejoindre ma douce cousine.
Sonia passe l’aspirateur et ne m’a pas entendu arriver derrière elle. Elle porte une jupe courte et ses belles jambes attirent mon regard. Penchée telle qu’elle est, je constate vite qu’elle n’a pas mis de culotte. Quand elle se tourne vers moi, je remarque sa poitrine qui déborde de son débardeur. Elle n’a pas de soutien-gorge non plus...
Elle éteint son bruyant appareil et me demande :
— Bonjour mon cousin, tu as bien dormi ?— Oui, comme un loir.— J’ai envie de te montrer quelque chose avant que tu me broutes la chatte, ça te dit ?
Sans attendre ma réponse, elle quitte son haut et découvre sa poitrine. Ce qui me surprend le plus, c’est qu’elle enlève le manche de l’aspirateur. Elle agite l’embouchure du tuyau annelé devant mon nez et me dit :
— Regarde ce que j’aime bien me faire de temps en temps.
Elle met l’appareil en marche et applique l’extrémité du tuyau sur un téton. Elle a un sursaut quand son sein est soudainement aspiré par la dépression d’air. Elle grogne en serrant les dents et, après un temps, change de sein. Un cercle rouge agrandit l’aréole et le téton est tendu comme pas possible sur le mamelon qu’elle vient de libérer.

Quand elle souhaite mettre l’embout sur sa chatte au niveau de son clitoris, je lève la main pour l’interrompre et lui prends le tuyau que je pose au sol. Du pied, j’arrête l’aspirateur puis me mets à genoux entre ses jambes écartées.
Les effluves de sa vulve me montent aux narines et je me régale à l’avance de pouvoir la lécher. La position n’étant pas idéale, elle s’assied au bord du lit, s’y allonge et pose ses jambes sur mes épaules. Je lèche son clito avec application avant de déguster son vagin.
Elle me prend par la tête et m’oriente vers ce qu’elle préfère : son petit bouton charnu !
Je le lèche, mordille, aspire, reprends un peu ma respiration et un peu de cyprine avant de replonger sur sa petite bite dressée.Sonia aime bien ce que je lui fais, mais ne monte pas à l’orgasme. Pour ma part, je commence à fatiguer et c’est elle qui me fait arrêter ce cunnilingus.
J’ai conscience que je suis maladroit pour cette pratique et le lui dis. Elle me répond :
— Tu comprends pourquoi je préfère les femmes. Elles savent exactement ce qu’il faut faire.— Comme quoi par exemple ?— Prendre son temps lors des préliminaires, en caresses, en câlins, en tendresse. Mais je t’apprendrai ! Les mecs sont toujours pressés et... ils devraient aussi se raser avant de faire ça, tu piques avec ta barbe naissante ! — Pourtant, toi, tu sais utiliser parfaitement ta bouche pour sucer un homme.— Je le fais peut-être moins bien qu’un mec ! Tu t’es déjà fait sucer par un homme ?— Euh ... Non !— Et ... Tu t’es déjà fait enculer ?— Non mais ! Ça ne va pas dans ta tête ! T’es folle ou quoi ?— Tu vois comme tu es coincé et pourtant quand je te fourre mes doigts dans le cul, tu as vu comme ça t’excite ! Alors, imagine-toi une bonne bite à la place...— C’est vrai que j’aime tes doigts, mais ce n’est pas pareil, tu es une femme, pas un mec !— Tu n’aimerais pas que je t’encule... comme j’ai enculé ta femme ? Apparemment elle aime beaucoup ça maintenant, d’après ce que tu m’as dit hier.
Je ne réponds pas et replonge dans le blues de repenser à ma femme qui doit se faire si souvent sodomiser par son amant de chef.
Sonia me serre contre elle, me bise le front et déclare :
— Bon, on va redescendre, tu feras ta toilette et on se mangera quelque chose, il est trop tard maintenant pour prendre ton petit-déjeuner.— D’accord, on y va...
En bas, Sonia prépare le repas tandis que je consulte mon téléphone après ma toilette. J’explore d’abord les nombreux SMS de ma femme qui me demande mille fois de la pardonner de ses actes. Un de ses messages me tranquillise quant à la santé de sa mère qui a pu sortir de l’hôpital après quelques examens rassurants.
Les messages vocaux que j’écoute sont identiques ou presque. Elle me précise que c’est fini avec son amant et même qu’il s’est fait virer suite à la délation de Caroline. Cette dernière est montée en grade pour prendre le poste du chef éconduit.
Je profite pour en discuter avec ma cousine.
— Sonia, je suis troublé par les messages de Fabienne.— Elle te manque, pas vrai ?— Eh bien oui ... Je le reconnais.— C’est parce que tu l’aimes, n’en n’aie pas honte !— Assurément ! Mais je ne dois pas être à la hauteur avec elle pour qu’elle ait voulu aller voir ailleurs.— Arrête de te dévaloriser ! Tu baises très bien, mais tu es peut-être un peu trop pressé et parfois... inexpérimenté. Je vais te donner quelques leçons, mais avant cela : appelle Fabienne tout de suite ! Sinon ça va te pourrir l’esprit toute la journée.

Je souhaite être seul pour parler à mon épouse. Aussi, je préfère sortir de la maison et aller m’asseoir près de la piscine avant de l’appeler. Je suis troublé quand je compose son numéro, j’ai la gorge nouée d’appréhension.
— C’est moi ... tu voulais que je te rappelle et bien voilà !— Oh Michel, je te supplie de me pardonner. J’ai besoin de toi et de ton amour.— Tu as trouvé mieux que moi ailleurs, n’est-ce pas ? — Je n’ai jamais eu aucun sentiment pour Pierre. C’était purement sexuel entre nous. Il n’aurait jamais quitté sa femme pour moi. Et moi, je ne veux pas te perdre, tu comprends ?— C’est un peu tard pour y penser, tu ne crois pas ? Et puis, vu la façon dont tu m’as traité hier à l’hôtel hier matin, en m’humiliant en public, il y a peu de chance que je te pardonne.— J’ai été surprise que tu sois là, j’ai cru sur l’instant que tu m’espionnais ...
Fabienne sanglote et ses reniflements m’indiquent qu’elle pleure réellement à l’autre bout du fil. Je me sens honteux de lui faire de la peine, mais en même temps, je ne peux accepter aussi facilement ses remords tardifs.
— En tout cas, tu ne m’as même pas écouté, tu étais trop pressée d’aller le rejoindre pour te faire enculer, comme tu m’as dit ... Tu crois que c’est facile à pardonner ce genre de déclaration ?— Je t’en prie Michel, reviens ...— Pas pour le moment ! Je passe un bon moment pour oublier tout ça.— Tu es où ?— Loin ! Et, ça ne te regarde pas où je suis, va te faire sauter par « ton Pierre » si tu as besoin de quelqu’un.— Ne parle pas comme ça, mon amour ... Je m’en veux terriblement. Après ta visite à l’hôtel, j’ai pris connaissance de tes messages, mais lui voulait m’empêcher d’aller voir ma mère, afin de continuer "à me sauter", comme tu dis.
Je l’ai plaqué après une grosse dispute. J’ai alors pris conscience de mes erreurs. Il a réglé la chambre et j’ai pris un taxi jusqu’à la maison afin de récupérer ma voiture. Ensuite, je suis allée voir maman à l’hôpital. Ce n’était pas grave, elle allait rentrer chez elle dans la journée...
Après cela, je suis passée au bureau, suite à la demande de ma collègue Caroline, qui d’ailleurs, n’a pas manqué de me faire part de ton appel matinal. Elle m’a appris que Pierre s’était fait appeler par la direction et fait virer sur-le-champ. Caroline avait monté un lourd dossier contre lui. Elle a accumulé les preuves de ses malversations et a prouvé qu’il utilisait l’argent de l’entreprise à des fins personnelles.Heureusement, il n’y avait aucune charge contre moi, ce n’était pas durant les heures de travail que j’étais avec lui.
— Eh bien tant mieux pour toi ! Pour ma part, j’ai besoin de prendre du recul. Alors, fais-en autant et réfléchis bien à ce que tu as fait ! Salut !
Je lui raccroche au nez, encore plein de ressentiments envers elle. Pour me détendre, je passe un long moment à contempler l’océan et le spectacle des vagues s’écrasant sur la berge finit par me calmer.
Quand je rejoins ma cousine, Sonia repose son téléphone et remarque ma mine contrite. Elle me rejoint pour m’enlacer et me réconforter.
Sonia me tend ses lèvres et j’y dépose une bise affectueuse. Ce petit moment de tendresse me remonte le moral (et pas que ça !) d’une façon prodigieuse ! C’est tout guilleret que j’entame le repas. Nous mangeons pratiquement sans parler, uniquement en nous fixant dans les yeux. Ce déjeuner, uniquement fait de regards profonds, restera gravé dans ma mémoire pour longtemps.
En début d’après-midi, nous nous prélassons au soleil, complètement nus sur nos chaises longues. Sonia fait glisser sa jambe sur la mienne si langoureusement que je m’en sens troublé. Je lui dis :
— Coquine, regarde comme je bande, aie pitié de moi.— Tu veux aller dans le cabanon ? — Je crois que ça s’impose ! réponds-je.
Arrivés sur place, Sonia évoque les leçons que je dois retenir pour les préliminaires et s’allonge sur le dos. Elle m’indique différentes étapes pour lui faire un cunnilingus et toutes les caresses nécessaires à réaliser au préalable. Je retiens en particulier que je ne dois pas utiliser les dents quand je suce un clito !
Ma cousine sait aussi calmer mon impétuosité et c’est avec beaucoup d’application que ma bouche l’emmène au plaisir. Je suis fier de moi, outre de l’avoir guidée vers l’orgasme, c’est surtout d’avoir appris des choses nouvelles en matière sexuelle.
Sonia reprend son souffle et me fait allonger sur le ventre. Elle quitte le lit et je l’entends farfouiller dans un meuble.
Après quelques minutes, Sonia me fait relever le derrière, m’écarte les fesses et me prodigue une feuille de rose, c’est une première pour moi de me faire lécher l’anus, c’est si délicieux que je cesse de bouger pour apprécier pleinement la chose.
Malheureusement, ça ne dure pas longtemps et je sens rapidement un doigt oint de lubrifiant remplacer la langue agile. Elle me doigte le cul et j’adore ça !Un deuxième doigt lubrifié glisse pour rejoindre le premier, puis son poignet effectue de lentes rotations pour m’écarter les chairs. C’est si agréable que je ferme les yeux pour savourer cette caresse intime, qui s’accompagne maintenant d’un va-et-vient lent et profond.
— Tu aimes ça mon cousin ?— C’est délicieux ce que tu me fais !— C’est que tu es prêt maintenant !— Prêt à quoi ?— Laisse-toi faire, je suis sûr que tu vas aimer ça, certainement autant que ta femme !
Je n’ai pas le temps de m’interroger davantage que je sens alors un objet, un peu mou, pointer et presser ma rosette. Je me tourne vers elle, effrayé, et remarque surtout sur le grand écran derrière nous, le duo curieux que nous formons sur le lit, car c’est elle qui est derrière moi pour me prendre en levrette.
Si elle a mis ses caméras en route, c’est qu’elle veut filmer nos ébats, pourquoi pas ? Pour le moment, ce n’est pas ce qui me préoccupe, mais davantage ce qui cherche à entrer dans mon intimité, à savoir : la fausse bite fixée par des lanières sur son bas-ventre
— Mais, Soniette, que fais-tu avec ça ?— Détends-toi mon amour, ça va rentrer tout seul, tu vas voir...
Résigné, je la laisse me pénétrer et, passé une douleur locale, je sens sa bite s’enfoncer dans mon ventre. Je me tire sur les fesses pour faciliter la progression de l’objet, qui entre à fond maintenant. Ma cousine entame un long va-et-vient qui m’envahit à chaque ondulation de son bassin.Quand elle entame une série de petits mouvements rapides et profonds, je ferme les yeux et lâche un râle de plaisir, je sens sa bite vivre en moi à son propre rythme.
Tout en me cramponnant l’épaule d’une main, elle m’invite à me mettre à quatre pattes avant de reprendre son mouvement rythmé. Elle me souffle à l’oreille :
— Tu aimes ce que je te fais, mon amour ?— Oui continue, c’est bon, tu peux aller un peu plus vite, si tu veux.— Comme ça ?— Un plus fort ...
Sonia se redresse, me cramponne les hanches et y va franchement dans ses coups de reins. Elle s’arrête de me pistonner pour me donner trois grosses claques sur la fesse droite avant de reprendre des coups de sabre, puis de sortir brusquement son gode de mon anus, avant de le replonger à fond.
Je crie mon extase !!!Ce qu’elle me fait est à la fois agréable et douloureux, mais c’est si bon !Je suis désormais à sa merci et n’arrive plus à bouger, car elle s’est complètement couchée sur mon dos pour me labourer à toute vitesse.Toutes ces stimulations sont trop fortes pour moi et je me laisse emporter dans ce tourbillon frénétique, pour éclater mon plaisir en me déversant sur le drap..Ma partenaire est aussi haletante que moi, mais continue à me mordiller le cou en me murmurant des mots tendres à l’oreille.Ouah ! Quelle bonne expérience je viens de vivre !
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