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Sonia en webcam

Chapitre 7

Erotique
Sonia Chapitre 7
Sonia me demande :
— Alors, Michette, pas trop mal au cul ?— Non ça va, ça brûle un peu quand même, tu y es allé fort. Qu’est-ce qui t’a pris de vouloir m’enculer avec ton truc ?— C’est bien mieux que mes doigts ! Et puis, tu as sacrément aimé ça ! Je suis sûre que tu aurais préféré une vraie bite !
Sur ces mots, Sonia sort de mon cul et quitte le lit soudainement.
Je me retourne, intrigué de son empressement et réalise qu’elle s’est levée pour arrêter ses caméras.
Elle me dit, tout de go :
— Je te passerai une copie... Au fait, j’ai demandé à Julien de passer dans la soirée.— Et ...???— Eh bien, il va te faire apprécier une chose, mieux que mon gode ! — Tu veux que je me fasse enculer par ton jeune amant ?— Maintenant que j’ai ouvert la voie, je suis certaine que tu vas aimer te prendre une bonne grosse bite dans le cul. Il ne viendra que pour toi, tu pourras faire ce que tu veux avec lui, je m’éclipserai pendant ce temps. — Je ne suis pas du tout sûr de vouloir coucher avec un mec !— Lâche prise, laisse-toi aller, tu es encore trop attaché à des valeurs morales qui t’empoisonnent. Et puis, personne n’en saura rien si tu veux t’amuser avec Julien, je suis même sûr que tu en redemanderas.— Ça me fout la trouille d’y penser !— Tu vas voir, c’est un gars qui s’adapte à ses partenaires. Je crois d’ailleurs que tu aimerais être dominé et un peu forcé même, à ce que j’ai pu remarquer tout à l’heure.
Je ne sais pas trop dans quels beaux draps elle cherche à me mettre. À y réfléchir, elle a probablement raison. Je dois laisser tomber mes préjugés et faire un saut dans l’inconnu pour sortir de cette gangue qui m’enserre l’esprit. Après tout, j’avais plutôt aimé échanger avec des transsexuelles en webcam. Je dois reconnaitre que la vue de leur bite m’avait troublé.
D’autres parts, Julien en une sacrée ! Si je dois faire une expérience homosexuelle, pourquoi pas la faire avec lui ?Ma cousine avait dû prévoir le coup pour l’inviter dès ce soir !
J’adresse un sourire à Sonia et hausse l’épaule, comme pour lui signifier mon assentiment. Ma belle cousine se penche alors pour m’embrasser.
À l’issue de notre baiser, j’ajoute :
— Penses-tu réellement que cela soit nécessaire à mon épanouissement ?— Bien sûr, c’est évident ! M’autorisas-tu à filmer vos ébats ? Je lancerais l’enregistrement et je te montrerais comment arrêter les caméras quand vous aurez fini.— Ça restera entre nous ? Tu n’en feras pas un mauvais usage ?— Évidemment !
...
Vers dix-huit heures, le jeune Julien arrive. C’est un garçon très sympathique et mon appréhension diminue au fil des minutes que nous passons tous les trois. L’ambiance est chaleureuse, lui et moi discutons de nos équipes de foot préférées.Il s’y connaît plus que moi sur le sujet.
Sonia nous dit :
— Dites les garçons, au lieu de parler sport, vous n’avez rien de mieux à faire ?— Si Michel est toujours d’accord, moi je suis prêt. Réplique Julien.— Je ... Je ne sais pas ... J’ai honte de faire ça avec un garçon. Dis-je.— Je suis sûre que ça va te plaire, allez-y, je vous prête mon cabanon. Je vais juste préparer l’enregistrement vidéo.
Constatant mon inquiétude, le jeune garçon demande à ma cousine si elle dispose d’une bombe de crème chantilly. Cette question me déroute, que veut-il faire avec ça ?
Après avoir récupéré la crème, il me fait entrer en premier dans le cabanon et quand je suis face au lit, la terreur me reprend. Julien jette sa bombe de chantilly sur le lit, se place derrière moi et pose ses mains sur mes épaules. Je suis complètement tétanisé quand il me bise le cou et la nuque.
Avec délicatesse, il ôte mon polo et des frissons me parcourent l’échine. Il reprend la bombe, se place face à moi et dépose une noisette de crème sur chacun de mes tétons, avant de la lécher avec lenteur.
Il quitte son tee-shirt et s’applique lui-même de la chantilly au même endroit. Je comprends évidemment où il veut en venir et me penche sur son torse glabre pour savourer ses tétons crémeux qui durcissent sous ma langue. Cet érotisme me trouble plus que je ne le pensais.
Rapidement, il remet une couche pour que je renouvelle ma succion et, tandis que j’opère, il défait mon pantalon qui tombe au sol.
Il pose à présent une traînée de crème le long de mes vertèbres avant de lécher consciencieusement mon dos. Ce faisant, il baisse mon slip et me voilà nu, avec la queue qui se dresse d’émotion. Il me tend la bombe et se tourne pour que je lui fasse la même chose.
Je m’agenouille pour lui enlever le bas de ses habits et suis troublé de prendre plaisir à ce jeu, et encore plus quand il se tourne pour me présenter sa queue à demi bandée. Elle est vraiment impressionnante, plus que ce que je voyais à l’écran lors de la séance privée qu’il avait eu avec ma cousine.
Il me fait me relever alors que je reste béat d’admiration devant son chibre.Il me reprend la bombe des mains et me fait ouvrir la bouche pour y déposer une bonne quantité de crème. Avant que je ne referme mes lèvres, sa langue m’a envahi. D’une main, il me tient la tête et m’embrasse à pleine bouche.
Jamais je n’aurais pu imaginer une telle chose. J’embrasse un mec ... Et j’aime ça !J’enroule mes bras autour de son torse et réponds à son baiser. Son membre dur est écrasé sur le mien et ça me fait un drôle d’effet.
Il me relâche pour badigeonner son gland et fait une longue traînée de chantilly sous la hampe de son prodigieux pénis. Je comprends évidemment ce qu’il attend et la situation m’excite tant, que je m’agenouille pour tout lécher en partant de ses testicules.
C’est la première fois que je joue avec une bite différente de la mienne et la sentir pulser à chaque coup de langue me trouble énormément.Il remet une pointe de crème sur son bout et, après un rapide coup de langue, j’ouvre grand la bouche pour le gober.
J’y prends un tel plaisir que j’en oublie tout, et surtout que je taille une pipe à un jeune homme devant deux caméras. Même si c’est une nouveauté pour moi, je crois que je me débrouille plutôt bien en léchant, pompant, avalant le maximum de sa colonne de chair au fond de la gorge.
Il me dit :
— Humm c’est bon ! Tu veux bien que l’on passe à autre chose maintenant ?— Oui ! Maintenant... je crois que oui.
Sonia, prévoyante, a laissé en évidence le tube de lubrifiant. Il s’en saisit et me fait mettre à quatre pattes pour me préparer avec son doigt, suite de quoi, il en met une bonne dose sur toute la surface de son membre gonflé. Il me demande d’écarter mes fesses et de me détendre au maximum.
Il pousse sur mon anus, mais je me contracte involontairement. Il me caresse le dos, puis le torse, taquine mes tétons et c’est alors moi qui vais à sa rencontre pour m’empaler. Malgré la douleur, je souhaite aller au bout des choses maintenant.
Je ressens une déchirure de mon anneau, puis une lente et progressive invasion de mon intimité. D’une main sur son pubis, je lui réclame implicitement de faire une pause dans la pénétration pour me permettre de reprendre mon souffle.
Il attend patiemment et me demande :
— Tu préfères quoi ? Que je sois gentil ou méchant ?— Va doucement pour commencer et après... sois sauvage !
Je m’étonne moi-même de cette réplique, mais quand Sonia m’a défloré le cul, j’ai beaucoup apprécié qu’elle y aille fort. Ai-je une tendance masochiste ou un grand besoin d’être dominé ? Quelle différence d’ailleurs ? C’est bien la même chose au final.
Je sens mes chairs se dilater, s’écarteler, se déchirer, alors qu’il progresse en moi. J’ai l’impression que son membre va me sortir par le nombril ou par la bouche, tant il entre profondément. Mais, en même temps, je trouve ça plus qu’agréable comme sensation pour ne pas dire... fantastique.
Arrivé en butée sur son pubis, il me demande :
— Ça va ?— Oui, oui ! Tu peux y aller !
J’ai du mal à parler, ma gorge est nouée par l’émotion. C’est dans un souffle que j’ai prononcé ces derniers mots.
Il me fait redresser le buste et tourner la tête pour obtenir de moi un baiser. Alors que nos langues se taquinent, il entame un va-et-vient très lent et j’en frissonne tant la sensation est forte.
Je ne peux plus continuer à l’embrasser, il me faut reprendre ma respiration. Il me glisse à l’oreille :
— Ça te plaît ?— Énormément ! Je regrette de ne pas avoir connu ça avant. — Sonia me l’avait dit que tu étais vierge.— Comme c’est bon ! Si tu veux, maintenant, tu peux être méchant ...— Comme ça ?
Il a pris mes testicules en main et les écrase à m’en faire horriblement mal, mais paradoxalement, ça a pour effet de doper mon érection. Ça m’excite terriblement de lui être soumis.
— Vas-y, fais de moi ce que tu veux ! Insulte-moi ! Défonce-moi le cul !— J’en ai bien l’intention, espèce de sale bâtard !
Il entre dans mon fantasme à vitesse grand V. Moi qui n’aime pas parler durant l’acte sexuel, je m’étonne de ce dialogue grossier
— Oh oui, donne-moi ce que je mérite, force-moi, viole-moi !— T’es une sacrée salope, tu sais ?— Oui je suis une salope qui veut se faire trouer par ta bite.— Je vois ça ! Je vais te défoncer ta sale chatte de pute. — Oh oui ! Je suis une grosse pute ...— Je vais t’engrosser sale poufiasse ! Mon jus va te sortir par les oreilles, tu vas voir ! — Oui, oui, bourre-moi mon chéri.— Ta gueule sale chienne !
Il a augmenté la cadence de ses coups de reins qui frappent, cognent, butent dans mes profondeurs. Je ne sais plus où je suis ni qui je suis, tant je suis transporté dans ce fantasme jusque-là inavoué.
Il me bascule vers l’avant et s’allonge sur moi pour me baiser avec brutalité, il m’immobilise les poignets alors que sa sauvagerie se déchaîne pour me labourer, pour me défoncer par des coups de boutoir très violents qui me font sauter dans tous les sens. Il continue à me traiter de tous les noms en me claquant les fesses ou en enfonçant ses ongles dans mes chairs. Il me tire les cheveux, me mord le cou, me griffe le dos. J’ai mal partout, mais j’adore cette violence.
— Oui ! Oui ! Encore ! Plus fort !— Tiens, prends ça dans ton fion de grosse pute !— Plus fort ! Ouiii !
Après je ne sais quel temps, très long en tout cas, il porte ses mains autour de mon cou, qu’il serre au point de m’étrangler alors qu’il se raidit pour se déverser dans mon intimité.
Il sort rapidement, me retourne sur le dos et me prend dans la position du missionnaire. Cette fois avec beaucoup de douceur alors que sa semence coule par mon petit trou à chaque coup de piston. Je l’enlace et souhaite qu’il m’embrasse. Je crois que nos lèvres ne se détachent à aucun moment durant cette deuxième saillie. Car le bougre a de la réserve et éjacule une deuxième fois après un bon moment de va-et-vient.
Quand il me présente son sexe à nettoyer, je n’hésite pas une seconde, même si des taches suspectes ornent la hampe de sa grosse queue.
Je le remercie pour sa prestation et lui demande :
— J’aimerais bien recommencer, demain par exemple, tu veux bien ?— Malheureusement, je dois retourner chez moi dès ce soir. Je vais passer dire au revoir à mon oncle et prendre la route dans la foulée. C’est vraiment parce que Sonia a beaucoup insisté pour que je m’occupe de toi, sinon je serais déjà reparti.— Ma cousine est vraiment perverse de demander une telle chose !— Comme toi apparemment ! En tout cas, tu es un bon coup ! Tu te débrouilles très bien pour un novice !— Me voilà bisexuel désormais ! dis-je en riant.
Nous nous rhabillons et je repense au dernier moment à arrêter les caméras. J’avais oublié que toute la scène était filmée. Ma cousine va se régaler à regarder mes exploits, mais je n’en ai cure. Si je suis ici, c’est pour apprendre un maximum de choses sur le sexe et enfin me libérer de ces années de carcan moral. Depuis moins de vingt-quatre heures, je suis bien servi à faire un tas de choses inimaginables jusqu’alors !
Julien nous quitte et, s’il fait la bise à Sonia, il préfère me serrer la main pour me dire au revoir. Il m’a dépucelé, embrassé, maltraité, mais il me traite en camarade pour me saluer. Amusant !
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