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Sonia en webcam

Chapitre 8

Erotique
Sonia Chapitre 8
Alors que son ami nous quitte après m’avoir divinement sodomisé, Sonia me demande :
— Ça s’est bien passé avec Julien ?— C’était plus que bien, j’ai adoré ! Tu regarderas notre vidéo, j’espère que tu ne seras pas choquée de voir tout ce que j’ai pu dire et faire.— Rien ne me choque, tu sais ! ... Mais je me demandais si vous alliez sortir un jour de mon cabanon. Ça fait plus de deux heures que vous étiez là-dedans, et moi, je dois travailler ce soir...— Deux heures avec lui, tant que ça ?— Eh oui ! Il n’a pas trop fait mal au cul ?— Non ça va, ça brûle un peu quand même, mon anus est complètement béant après son passage ! Mais putain, comme c’était bon !— Allez, va te laver, je te laisse te débrouiller pour dîner. Je te rejoindrai dans mon lit quand j’aurai fini. Au fait ! Demain matin, si tu dors encore, je tiens à te prévenir que je dois faire une course qui m’oblige à m’absenter un long moment. On se verra après ...
Alors que Sonia entre dans le cabanon pour s’adonner à son travail de modèle sur le site de webcam, je me sens seul tout à coup dans la maison de ma cousine. Après m’être rafraîchi, je grignote quelques petites choses avant de m’affaler sur le canapé pour consulter mon téléphone.
Fabienne m’a envoyé d’autres messages me suppliant de la pardonner avec à chaque fois, moult explications pour se dédouaner. Dans le dernier message qu’elle m’ait envoyé, il est juste écrit :
— À bientôt ! Je t’aime.
Ma parole ! Elle s’est persuadée que je compte la rejoindre prochainement et ramper à ses pieds ! Bien que je ne puisse m’empêcher de songer à elle, je vis chez ma cousine des expériences si intéressantes, que je n’ai pas l’intention de retourner chez moi pour me prendre la tête avec mon épouse.

Je pense à Sonia qui m’éduque si bien sexuellement, à Julien son copain qui m’a superbement niqué. Ce mec qui m’a fait découvrir ces sensations, si délicieuses, et pour lesquelles je n’éprouve aucune honte. Même si j’ai encore le cul en feu !
Je suis tenté de rejoindre Sonia au cabanon, mais il vaut mieux que je la laisse en paix, même si, je l’avoue, j’aimerais bien la mater quand elle est en show privé avec un gars.
L’air de la mer et mes séances de sexe d’aujourd’hui ont raison de ma résistance au sommeil. Je plonge dans le lit de ma cousine et m’endors instantanément.
Je n’ai aucune idée de l’heure quand Sonia se love contre moi. Je m’éveille doucement alors qu’elle effleure mon sexe du bout des doigts. Constatant que j’ai ouvert les yeux, elle me souffle à l’oreille "Encule-moi mon amour"
Dit comme ça, je suis plus que surpris et, penaud, lui réponds:
— Je... je n’ai jamais fait ça.— Aucune importance, je vais m’appliquer à te faire durcir la bite et après, tu verras que c’est très facile.— Ne m’en veux pas si j’échoue.— Ne te pose pas de questions ! Ça va te plaire, tu vas voir !
Sonia glisse sous la couette et quand sa bouche s’active autour de mon sexe, je suis saisi par la passion. J’ai envie d’elle ! Et elle s’en rend vite compte ! Nous nous mettons en cuillère. D’une main experte, elle guide mon sexe vers son petit trou et s’empale dans un long soupir.
Je vais lentement pour aller et venir dans son cul. Les sensations sont si différentes d’une pénétration vaginale que je souhaite en profiter le plus possible. C’est avec infiniment de tendresse que je la sodomise. Nous échangeons tant de baisers que j’en suis essoufflé. Quand elle se met à onduler du bassin, je suis transporté au royaume des sens. Je sais que mon explosion est proche et romps le charme en sortant précipitamment de son anus pour éjaculer entre ses fesses.Sonia, prise de frénésie, me supplie de lui lécher la raie, alors qu’elle active sa main entre les jambes en geignant.
Je lèche mon sperme à grands coups de langue, alors qu’elle se trémousse en activant les doigts sur sa vulve. Je n’ai pas le temps de la nettoyer complètement qu’elle se met à bramer sa jouissance.
C’est la première fois que je goûte du jus, le mien en l’occurrence ! Je ne trouve pas ça très bon, mais déglutis consciencieusement ce liquide chaud. Sonia lèche ses doigts pleins de sa mouille, puis récolte la semence restante de sa raie pour la déguster.
Ses premiers mots sont:
— Comme j’aime être avec toi, mon cousin. Je t’aime !— Je t’aime également Sonia !— Il faut que je me lève maintenant, j’ai à faire...— Quand reviens-tu ?— Vers midi ou plus, je te laisse, je dois y aller.
Encore vasouillard, je somnole un bon moment et n’entends pas Sonia quand elle quitte la maison.
C’est vers 9h que je me décide à me lever et, après mon petit-déjeuner, à m’apprêter pour aller faire des courses. J’ai remarqué que ses placards et son frigo étaient peu garnis.
Je reviens plus de deux heures plus tard avec le coffre de la voiture plein de victuailles.J’espère avoir acheté ce qui lui convenait.
Dans l’attente du retour de ma cousine, j’épluche quelques carottes et me complais à y voir une forme phallique. Que m’arrive-t-il de voir des bites partout ! En ai-je tellement besoin ?Cette grosse carotte que j’ai en main me tente, je la porte à la bouche et fais courir ma langue sur le bout. Je me surprends à mimer la fellation que j’ai faite au jeune Julien. Dois-je m’en sentir coupable ?Je me raisonne en me disant qu’il n’y a aucun mal d’avoir goûté à ce plaisir nouveau pour moi.En étant ici, je me sens en totale liberté et ne crains aucun jugement, surtout pas de la part de ma cousine Sonia, alors pourquoi culpabiliser ?
Je me trémousse au rythme de la musique de la radio, tout en suçant activement la carotte que je tiens à deux mains. Puis comme une érection me gagne, j’ouvre ma braguette, sors mon sexe et l’enserre pour me masturber. Je m’imagine en train de sucer Julien, alors qu’il aurait glissé sa main sur ma bite pour la branler.
J’en suis là quand j’entends Sonia me dire :
— On dirait que ça te manque !
Je me retourne et vois ma cousine toute souriante, ce qui me fait sursauter, c’est qu’elle est suivie de ... Fabienne !
Si je suis plus que surpris en voyant mon épouse ici, si loin de chez nous, il n’en est pas de même pour elle. Elle n’émet aucune remarque en me voyant sucer ce légume., au contraire, elle pose sa valise, son sac à main et s’approche de moi. Je rejette la carotte, baisse la radio et me sens honteux d’avoir été surpris.Fabienne, en souriant, m’enlace et me tend ses lèvres, que je bise instinctivement, comme s’il ne s’était rien passé de particulier.
Mon épouse n’en reste pas là et m’enfonce sa langue dans la bouche.Et moi, au lieu de la repousser en protestant... je réponds à son baiser. Sa main caresse ma bite tendue, puis défait mon pantalon. Sonia l’aide à me mettre à poil alors que je reste hébété de ce qu’il se passe.
Fabienne s’agenouille, ouvre la bouche et gobe mon sexe. Ma femme me suce et même plutôt bien ! Elle a fait de sacrés progrès en me cocufiant avec son chef ! Sonia s’est mise près de moi pour m’offrir sa poitrine à téter alors qu’elle caresse mes fesses. Je ne sais plus où je suis ni ce qui se passe, c’est bien un doigt de mon épouse qui cherche et trouve ma rondelle. Elle veut me doigter le cul, elle qui ne voulait pas en entendre parler auparavant.J’ai glissé la main sous la jupe de ma cousine et enfonce deux doigts dans sa chatte trempée.
Fabienne me pompe admirablement et ne se recule pas quand ma sève monte. Au contraire, elle veut tout recevoir dans la bouche. Elle cesse ensuite de me doigter, puis se relève fièrement en laissant perler du sperme entre ses lèvres pincées.
Fabienne se précipite alors vers Sonia pour l’embrasser et partager ma semence dans un baiser ultra érotique entre les deux femmes. Je les regarde, fasciné, se lécher le menton, la joue, les lèvres, pour ne rien perdre du jus qui a débordé lors de leur baiser.
Je suis complètement abasourdi quand ma cousine m’enlace et me demande :
— Tu te demandes ce que Fabienne fait ici, pas vrai ?— Et bien oui, je suis sacrément surpris.— Je t’explique :
Hier midi, quand tu l’a appelée, elle a entendu le bruit des vagues au téléphone, elle a tout de suite compris où tu étais parti... pour la fuir. Elle m’a téléphoné un long moment alors que tu étais encore dehors. Je lui ai proposé de venir nous rejoindre et, ce matin, je suis allée la chercher à l’aéroport ...
— Mais c’est à plus de cent kilomètres d’ici !— Ça m’a donné le temps de discuter avec elle sur la route du retour, et même plus que discuter, pas vrai Fabienne ?
Mon épouse sourit à la remarque et visiblement semble heureuse de se remémorer un délicieux souvenir, car elle miaule un gémissement langoureux.
Enfin, je réalise l’incongruité de la situation et demande à ma femme:
— Mais enfin, que fais-tu ici ? Pourquoi es-tu venue ?— Je voulais te revoir, mais également revoir Sonia.— Mais pourquoi ?— Car je vous aime tous les deux ! Oui, je l’aime autant que toi ! Elle le sait bien, car je lui ai souvent dit et écrit.— Tu... Tu es amoureuse de Sonia ?— Ta cousine est quelqu’un d’exceptionnel. Elle m’a fait sortir de ma coquille, elle m’a révélée à moi-même. Je lui ai déclaré ma flamme, mais elle m’a fait comprendre que ce n’était pas correct vis-à-vis de toi.
Je me tourne vers Sonia qui écoute gravement Fabienne. Ma cousine m’adresse un sourire timide alors que mon épouse reprend :" Comprenant l’attitude de Sonia, j’ai voulu retrouver les sensations que j’avais vécues avec elle. Lors d’un congrès ennuyeux, je me suis facilement laissée draguée par ma charmante collègue, Caroline. Je savais qu’elle préférait les femmes, ça se disait au bureau. Nous avons couché ensemble le soir même, puis les jours suivants. À notre retour du séminaire, les occasions pour faire l’amour étaient plus rares. Parfois, nous allions chez elle à la pause du midi ou après le boulot.Le problème avec Caro, c’est sa possessivité ! Elle me voulait pour elle toute seule et me poussait à te quitter. Ce que je ne souhaitais pas faire même si elle me comblait sexuellement !
Un soir, alors que nous pensions qu’il n’y avait plus personne au bureau, elle m’a sauté dessus pour m’embrasser sauvagement. Elle avait sa main sous ma jupe quand Pierre, notre responsable, nous a surpris. Il m’a immédiatement convoquée dans son bureau et m’a fait comprendre que si je voulais éviter que l’affaire s’ébruite, il fallait que je sois gentille avec lui. Il a ouvert sa braguette et m’a demandé de le sucer.Ce que j’ai fait, alors qu’il me pinçait les seins si admirablement que j’en devenais folle. J’étais déjà chauffée à blanc par les caresses de Caroline et quand il m’a prise sur le bureau, j’ai joui très fort. Caroline était derrière la porte et m’a entendue crier mon plaisir. Elle m’a fait une scène terrible ! Dès lors, elle est devenue extrêmement jalouse et agressive. Aussi j’ai préféré rompre avec elle, mais elle n’en est pas restée là.Elle a voulu faire tomber Pierre, son rival, et y est parvenue en le faisant virer de la société !
Moi, je n’ai pas l’intention de travailler sous son joug ! Car il est hors de question que je retourne avec elle ! Aussi, j’ai démissionné ! Et j’ai bien envie de rester ici quelque temps !Sonia m’a tout dit de son activité et ça me tente bien !"
— Eh bien, merci pour cette franchise ! dis-je en bégayant tant je suis abasourdie par tant de révélations.— Alors mon chéri ? Des parties à trois devant la webcam, ça ne te tenterait pas ?— Pourquoi pas ? Qu’en penses-tu Sonia ?— Très bonne idée !! Mais avant de faire ça devant des spectateurs, si nous allions nous entraîner...
FIN
ÉpilogueDans les semaines suivantes, nous avons acheté une grande maison au bord de la mer, dans une commune voisine. Nous y vivons à trois sans la moindre anicroche. Sonia a eu du mal à se séparer de sa petite maison, mais n’a pas perdu au change, a-t-elle fini par admettre.Parfois Julien vient nous rendre visite, ce qui nous fait bien plaisir ;)
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