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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Sophie, agence immobilière...

Chapitre 1

Hétéro
Je me présente : Eric, 21 ans, étudiant à Lyon. Comme pour tout les étudiants le problème majeur après l’inscription à la faculté c’est de trouver un logement, et bien qu’il y ait de nombreux étudiants depuis très longtemps dans cette ville, l’offre est très limitée. N’ayant pas assez de temps devant moi, et ne connaissant pas Lyon, j’avais décidé de passer par les services d’une agence, tant pis pour le tarif, de toute façon je n’avais pas le choix. J’avais donc rendez-vous avec ? Sophie ? ce matin devant le premier appartement que je devais visiter. Première bonne nouvelle de la journée, Sophie est une superbe petite brune d’environ 1m50, 45 kg a tout casser, la bonne quarantaine a vue de nez, et un sourire a faire craquer le plus méfiant des clients.
? Bonjour, vous êtes bien Eric ? ?
? oui oui...Sophie, c’est bien ça ? ?
? Tout a fait ! On rentre, on fera plus ample connaissance à l’intérieur ? ?
? volontiers ?
? Par contre, si ça ne te dérange pas on va prendre l’escalier, parce que je suis claustrophobe, et c’est juste deux étages... ?
? pas de problème ! ?
30 secondes de dialogue anodin et j’étais déjà sous le charme, d’autant plus que Sophie a eu la bonne idée de se déplacer en scooter, et l’idée de me coller à elle entre chaque visite me met en joie. Etant bien élevé je me résigne à monter les escaliers étroits avant elle, en imaginant le spectacle que j’aurai vu si j’avais osé passer derrière ! Arrivés sur le pallier je me rends compte que Sophie n’a pas arrêté de parler et que je n’ai absolument rien écouté...
? ... et le quartier est sympa, un peu loin de ta fac mais l’arrêt de bus est juste au bout de la rue ?
Après avoir fouillé dans un sac qui a l’air aussi lourd qu’elle elle trouve enfin le porte clef qu’elle cherchait, ouvre la porte et entre dans le couloir au moment ou la minuterie coupe l’éclairage du couloir. Nous voilà donc tous les deux plongés dans le noir, a la recherche du disjoncteur.
? On est obligé de couper l’électricité dans les appartements inoccupés, question de sécurité, mais j’avoue que c’est pas super pratique ?
A force de tâtonner dans le vide on fini évidemment par se rentrer dedans ! Alors que je bredouille des excuses elle éclate d’un rire cristallin, et je tombe de plus en plus sous son charme. Je m’imagine que c’est bien sa poitrine que j’ai effleuré de ma main, même si la différence de taille rends la chose peu probable. Finalement elle finit par trouver le disjoncteur et la lumière me sort de mon rêve.
? Voilà, ça sera plus facile comme ça. Alors, comme je le disais, c’est un F2 de 38 m? avec une cuisine intégrée... ?

elle me débite son discours comme un automate, presque sans respirer, vantant les mérites de l’appartement et du quartier comme un vendeur de casserole sur une foire.
? Ouaow, j’espère que les profs parleront moins vite, parce que là j’ai pas tout suivi ! ?
Elle marque un temps d’arrêt, j’ai peur de l’avoir vexée, puis elle repart dans son éclat de rire qui me fait fondre.
? C’est vrai que je parle vite, mais de toute façon cet appart n’est pas pour toi, c’est pas du tout dans tes tarifs... Je ne sais pas pourquoi mon collègue l’a mis dans la liste de visites d’aujourd’hui ?
Toujours en riant elle me prends le bras et m’entraîne vers la sortie. Je craque littéralement en subissant ce contact même anodin de son corps contre le mien et son parfum me fait tourner la tête.
? Le prochain appartement sera probablement mieux adapté à ta demande, c’est un peu plus loin, donc on va prendre mon scooter ?
Assis derrière elle je fais semblant de ne pas avoir l’habitude pour tenter de me coller le plus possible à elle pendant le court trajet.
? voilà, c’est là ! par contre on va être obligé de prendre l’ascenseur, parce que c’est d’anciennes chambres de bonnes qui ont été aménagées en studios, c’est joli mais c’est au huitième étage ! ?
Arrivés devant l’ascenseur en question elle lâche un soupir
? oh ! misère ! ?
Il faut dire que la vieille cabine doit faire 80 cm de large et tout au plus 1m20 de profond, et la porte grince atrocement. Sophie blêmie, pour la première fois de la matinée elle ne dit rien, et fixe cette cabine comme si c’était la porte de l’enfer.
? Si vous voulez on peut monter un après l’autre pour avoir un peu plus de place ?
Bien sûr je dis ça pour être poli, mais j’espère vraiment qu’elle refusera !
? Ah non alors ! Je monte pas la dedans toute seule ! On va monter tous les deux, je ferme les yeux et tu ne me parle pas ! ?
Elle rentre dans la cabine après avoir inspiré un grand coup, je la suit et la porte se referme sur moi, me poussant littéralement contre elle. J’ai l’impression que la l’ascenseur ne décollera jamais, puis, après une successions de bruits étranges une secousse brusque ébranle la cabine. Sophie pousse un cri et se colle encore plus a moi, elle m’agrippe et plonge son visage contre mon torse. En d’autres circonstance j’aurai éclaté de rire, mais là j’étais ravi de jouer les protecteurs. J’en profite même pour passer un bras autours de ses épaules pendant que la cabine monte par à-coups.
? ne vous en faites pas, c’est ... ?
? Ne me parle pas, ne me parle pas, NE ME PARLE PAS ?
Sa voix est de plus en plus aiguë, et je sens la panique monter en elle. Au passage j’espère qu’elle ne sent pas qu’autre chose est en train de monter en moi, promiscuité oblige.
Soudain, comme si ça avait été prémédité, la cabine stoppe et la lumière se coupe.
? oh non, oh non, oh non, QU’EST CE QUI SE PASSE ? ?
De plus en plus près de la panique elle s’agrippe à nouveau à moi, passant carrément ses bras autours de ma taille.
? c’est rien, ça ne va pas durer longtemps ?.
j’essaye de lui parler tout doucement, pour la calmer un peu. Comme je l’aurai fait à un enfant je passe ma main dans ses cheveux. Au bout de quelques secondes qui ont du paraître bien longues à Sophie, mais que j’ai au contraire trouvées trop courtes, la lumière reviens brusquement et la cabine fait un bond. Sophie hurle carrément en m’enfonçant ses ongles dans le dos (j’aurai préféré que ce soit dans d’autres circonstances bien sûr.) Enfin arrivés sur le palier je me rends compte que Sophie est très pâle, elle a tellement transpiré que son visage est comme imprimé sur mon T-shirt. Je n’ai pas droit à l’éloge du quartier comme pour l’appartement précédent, elle tremble tellement que je suis obligé de lui prendre les clefs pour ouvrir la porte. C’est un très joli studio, clair et bien équipé, mais là encore je n’ai pas droit au discours fleuve vantant ses mérites. En fait Sophie est adossée au mur, les jambes en coton, elle transpire de plus en plus.
? Je suis désolé, j’ai eu vraiment peur, c’est une phobie ... ?
Au moment où j’allais lui proposer un verre d’eau elle tourne de l’oeil et manque de tomber, je la rattrape de justesse. Je l’allonge sur la moquette et place son sac sous sa tête. Elle murmure
? Chaud,... j’ai chaud... ?
Je lui enlève la veste de son tailleur, et sort son chemisier de sa jupe. Il me viens alors un vieux souvenir de cours de secourisme : le pompier moustachu nous avais dit en rigolant grassement qu’il fallait ouvrir le chemisier et dégrafer le soutient gorge des dames pour leur permettre de respirer plus facilement. Effectivement je remarque sous le chemisier un wonder-bra qui me parait très serré. Je décide donc d’appliquer les consignes à la lettre (en tout cas j’aurai une bonne excuse en cas de question gênante !) Elle n’est pas complètement inconsciente, mais très faible et elle ne réagit pas quand j’ouvre son chemisier, ni quand je la débarrasse de son soutient gorge, libérant sa poitrine ferme et blanche. Je me demande d’ailleurs pourquoi elle se torture avec ce wonder-bra alors que ses seins sont magnifiques, elle aurait tout intérêt à les laisser libres. Continuant d’appliquer les consignes du parfait secouriste je décide de déboutonner sa jupe, toujours dans le soucis de faciliter la respiration. Ce faisant je découvre une sage culotte blanche, avec un large élastique, bien loin du string en dentelle je j’espérais secrètement voir. Je pose alors ma main sur son front, sur sa joue, puis sur son ventre plat pour contrôler sa respiration. Sa peau est chaude et trempée de sueur. C’est alors que mes gestes se sont éloignés du manuel de secourisme. De son ventre ma main passe sur son sein blanc, je le caresse lentement, en ouvrant un peu plus encore son chemisier. Je m’approche de son visage, peut-être pour vérifier si elle respire bien, puis je l’embrasse, d’abord délicatement, puis de plus en plus goulûment, dans une sorte de simulacre de bouche à bouche. Mes lèvres parcourent sont coup, ses seins, son ventre. Ses mains se posent alors sur ma tête, elle me caresse les cheveux. Perdant alors toute inhibition je lui enlève complètement sa jupe, et plonge ma bouche entre ses jambes. Je renifle à travers le tissus, je devine à travers la culotte si sage des rondeurs glabres qui le sont beaucoup moins. J’embrasse ces lèvres, toujours au travers du tissus. Sa respiration s’accélère un peu quand je titille son clitoris avec ma langue. Décidant soudain que l’élastique trop épais devait l’empêcher de respirer convenablement je retire le dernier obstacle a mon désir, et plonge ma langue entre ses lèvres charnues. Plus je fouille ses entrailles, plus sa respiration deviens puissante et rapide, puis elle se bloque quand je serre délicatement son mont de vénus entre mes dents. Au bout de quelques minutes de ce traitement son corps est secoué comme si j’avais utilisé un réanimateur. Elle retombe, sa respiration redeviens lente et profonde, il semble que ma technique de réanimation a été efficace.
Je remonte le long de son corps, elle me rends mon baiser en m’enlaçant tendrement. Après un très long baiser langoureux elle reprends ses esprits et bascule au dessus de moi. Son visage a repris des couleurs, ses yeux sont a présent bien ouverts. Elle se débarrasse complètement de son chemisier, se retrouvant totalement nue. Son regard a changé, comme si j’avais réveillé une autre personnalité, non plus la sage quadragénaire avec un tailleur stricte et des sous-vêtements sages, mais la femme torride au sexe rasé.
Elle m’arrache quasiment le T-shirt, elle m’embrasse le torse, mordille mes tétons tout en déboutonnant mon pantalon. Sa main plonge dans mon boxer pour agripper mon sexe déjà bien bandé qu’elle branle presque brutalement, puis elle le gobe voracement. Elle me suce si fort, avec des mouvements de tête quasiment enragés que je ne peux pas me retenir. Je jouis comme jamais, et Sophie avale tout mon sperme avec un plaisir non dissimulé. Mais elle ne lâche pas pour autant mon sexe. Son regard planté dans le mien elle me branle encore avec le même rythme, jusqu’à ce que je retrouve ma vigueur.
Les cheveux ébouriffés, une mèche collés sur son front par la sueur, elle avait l’air d’avoir perdu tout contrôle, comme si son corps avait prit le dessus, et il réclamait encore plus de plaisir. Quand elle a estimé que j’avais suffisamment repris de force elle s’est relevée, m’a enjambé et s’est arrêté au dessus de moi, elle me regardait de travers, en se léchant les lèvres, elle se caressait les seins, se pinçait les tétons. Elle s’est baissée tout doucement, en continuant de se caresser, jusqu’à s’empaler sur mon sexe dressé. C’est elle qui menait la danse, c’est elle qui me baisait, j’aurai été une poupée gonflable elle ça aurait fait la même chose pour elle ! Elle se masturbait sur mon sexe a un rythme effréné, elle me faisait mal, j’ai cru qu’elle allait m’arracher la queue. Je tentais de la ralentir en attrapant ses fesses, mais c’est à ce moment là qu’elle a hurlé, les yeux révulsés et tout le corps tétanisé. Puis elle s’est écoulée sur moi, et m’a encore embrassé tendrement.
Sa main a délicatement parcouru mon corps avant de s’entourer autours de mon sexe, mais ses gestes n’avaient plus rien de brutal. Elle m’a branlé doucement, tendrement, sans arrêter de m’embrasser. J’ai joui dans sa main avant de m’endormir en la serrant dans mes bras.

Une bonne demi-heure plus tard j’émerge de mon sommeil béat. Il me faut quelques instants pour me rappeler ou je suis et ce qu’il s’est passé. J’entend couler la douche dans la salle de bain. Je me lève en silence, m’approche de la porte et l’entrouvre sans bruit. Il n’y a pas de rideau de douche, je peux donc profiter du spectacle que m’offre Sophie. Sous l’effet de l’eau chaude son corps a repris des couleurs. J’admire ses fesses fermes que je n’avais pas bien vues jusque là. Quand elle se retourne pour sortir de la douche elle me regarde sans paraître gênée de sa nudité.
? Ca va mieux ? ?
? Beaucoup mieux, ton traitement m’a donné un sérieux coup de fouet ?
? Je n’ai aucun mérite, j’ai pris des cours de secourisme... ?
? dans ce cas je vais m’y inscrire dès demain ! ?
? en tout cas l’appartement m’a beaucoup plus, je pense que je vais le prendre ?
? Ne te précipite pas, j’en ai encore plusieurs à te faire essayer ?
Elle a dis cela avec un regard malicieux qui m’a fait comprendre que la journée s’annonçait longue et agréable.
Titre : Sophie, agence immobilière... et plus si affinité.
Type : Hétéro

Je me présente : Eric, 21 ans, étudiant à Lyon. Comme pour tout les étudiants le problème majeur après l’inscription à la faculté c’est de trouver un logement, et bien qu’il y ait de nombreux étudiants depuis très longtemps dans cette ville, l’offre est très limitée. N’ayant pas assez de temps devant moi, et ne connaissant pas Lyon, j’avais décidé de passer par les services d’une agence, tant pis pour le tarif, de toute façon je n’avais pas le choix. J’avais donc rendez-vous avec ? Sophie ? ce matin devant le premier appartement que je devais visiter. Première bonne nouvelle de la journée, Sophie est une superbe petite brune d’environ 1m50, 45 kg a tout casser, la bonne quarantaine a vue de nez, et un sourire a faire craquer le plus méfiant des clients.
? Bonjour, vous êtes bien Eric ? ?
? oui oui...Sophie, c’est bien ça ? ?
? Tout a fait ! On rentre, on fera plus ample connaissance à l’intérieur ? ?
? volontiers ?
? Par contre, si ça ne te dérange pas on va prendre l’escalier, parce que je suis claustrophobe, et c’est juste deux étages... ?
? pas de problème ! ?
30 secondes de dialogue anodin et j’étais déjà sous le charme, d’autant plus que Sophie a eu la bonne idée de se déplacer en scooter, et l’idée de me coller à elle entre chaque visite me met en joie. Etant bien élevé je me résigne à monter les escaliers étroits avant elle, en imaginant le spectacle que j’aurai vu si j’avais osé passer derrière ! Arrivés sur le pallier je me rends compte que Sophie n’a pas arrêté de parler et que je n’ai absolument rien écouté...
? ... et le quartier est sympa, un peu loin de ta fac mais l’arrêt de bus est juste au bout de la rue ?
Après avoir fouillé dans un sac qui a l’air aussi lourd qu’elle elle trouve enfin le porte clef qu’elle cherchait, ouvre la porte et entre dans le couloir au moment ou la minuterie coupe l’éclairage du couloir. Nous voilà donc tous les deux plongés dans le noir, a la recherche du disjoncteur.
? On est obligé de couper l’électricité dans les appartements inoccupés, question de sécurité, mais j’avoue que c’est pas super pratique ?
A force de tâtonner dans le vide on fini évidemment par se rentrer dedans ! Alors que je bredouille des excuses elle éclate d’un rire cristallin, et je tombe de plus en plus sous son charme. Je m’imagine que c’est bien sa poitrine que j’ai effleuré de ma main, même si la différence de taille rends la chose peu probable. Finalement elle finit par trouver le disjoncteur et la lumière me sort de mon rêve.
? Voilà, ça sera plus facile comme ça. Alors, comme je le disais, c’est un F2 de 38 m? avec une cuisine intégrée... ?
elle me débite son discours comme un automate, presque sans respirer, vantant les mérites de l’appartement et du quartier comme un vendeur de casserole sur une foire.
? Ouaow, j’espère que les profs parleront moins vite, parce que là j’ai pas tout suivi ! ?
Elle marque un temps d’arrêt, j’ai peur de l’avoir vexée, puis elle repart dans son éclat de rire qui me fait fondre.
? C’est vrai que je parle vite, mais de toute façon cet appart n’est pas pour toi, c’est pas du tout dans tes tarifs... Je ne sais pas pourquoi mon collègue l’a mis dans la liste de visites d’aujourd’hui ?
Toujours en riant elle me prends le bras et m’entraîne vers la sortie. Je craque littéralement en subissant ce contact même anodin de son corps contre le mien et son parfum me fait tourner la tête.
? Le prochain appartement sera probablement mieux adapté à ta demande, c’est un peu plus loin, donc on va prendre mon scooter ?
Assis derrière elle je fais semblant de ne pas avoir l’habitude pour tenter de me coller le plus possible à elle pendant le court trajet.
? voilà, c’est là ! par contre on va être obligé de prendre l’ascenseur, parce que c’est d’anciennes chambres de bonnes qui ont été aménagées en studios, c’est joli mais c’est au huitième étage ! ?
Arrivés devant l’ascenseur en question elle lâche un soupir
? oh ! misère ! ?
Il faut dire que la vieille cabine doit faire 80 cm de large et tout au plus 1m20 de profond, et la porte grince atrocement. Sophie blêmie, pour la première fois de la matinée elle ne dit rien, et fixe cette cabine comme si c’était la porte de l’enfer.
? Si vous voulez on peut monter un après l’autre pour avoir un peu plus de place ?
Bien sûr je dis ça pour être poli, mais j’espère vraiment qu’elle refusera !
? Ah non alors ! Je monte pas la dedans toute seule ! On va monter tous les deux, je ferme les yeux et tu ne me parle pas ! ?
Elle rentre dans la cabine après avoir inspiré un grand coup, je la suit et la porte se referme sur moi, me poussant littéralement contre elle. J’ai l’impression que la l’ascenseur ne décollera jamais, puis, après une successions de bruits étranges une secousse brusque ébranle la cabine. Sophie pousse un cri et se colle encore plus a moi, elle m’agrippe et plonge son visage contre mon torse. En d’autres circonstance j’aurai éclaté de rire, mais là j’étais ravi de jouer les protecteurs. J’en profite même pour passer un bras autours de ses épaules pendant que la cabine monte par à-coups.
? ne vous en faites pas, c’est ... ?
? Ne me parle pas, ne me parle pas, NE ME PARLE PAS ?
Sa voix est de plus en plus aiguë, et je sens la panique monter en elle. Au passage j’espère qu’elle ne sent pas qu’autre chose est en train de monter en moi, promiscuité oblige.
Soudain, comme si ça avait été prémédité, la cabine stoppe et la lumière se coupe.
? oh non, oh non, oh non, QU’EST CE QUI SE PASSE ? ?
De plus en plus près de la panique elle s’agrippe à nouveau à moi, passant carrément ses bras autours de ma taille.
? c’est rien, ça ne va pas durer longtemps ?.
j’essaye de lui parler tout doucement, pour la calmer un peu. Comme je l’aurai fait à un enfant je passe ma main dans ses cheveux. Au bout de quelques secondes qui ont du paraître bien longues à Sophie, mais que j’ai au contraire trouvées trop courtes, la lumière reviens brusquement et la cabine fait un bond. Sophie hurle carrément en m’enfonçant ses ongles dans le dos (j’aurai préféré que ce soit dans d’autres circonstances bien sûr.) Enfin arrivés sur le palier je me rends compte que Sophie est très pâle, elle a tellement transpiré que son visage est comme imprimé sur mon T-shirt. Je n’ai pas droit à l’éloge du quartier comme pour l’appartement précédent, elle tremble tellement que je suis obligé de lui prendre les clefs pour ouvrir la porte. C’est un très joli studio, clair et bien équipé, mais là encore je n’ai pas droit au discours fleuve vantant ses mérites. En fait Sophie est adossée au mur, les jambes en coton, elle transpire de plus en plus.
? Je suis désolé, j’ai eu vraiment peur, c’est une phobie ... ?
Au moment où j’allais lui proposer un verre d’eau elle tourne de l’oeil et manque de tomber, je la rattrape de justesse. Je l’allonge sur la moquette et place son sac sous sa tête. Elle murmure
? Chaud,... j’ai chaud... ?
Je lui enlève la veste de son tailleur, et sort son chemisier de sa jupe. Il me viens alors un vieux souvenir de cours de secourisme : le pompier moustachu nous avais dit en rigolant grassement qu’il fallait ouvrir le chemisier et dégrafer le soutient gorge des dames pour leur permettre de respirer plus facilement. Effectivement je remarque sous le chemisier un wonder-bra qui me parait très serré. Je décide donc d’appliquer les consignes à la lettre (en tout cas j’aurai une bonne excuse en cas de question gênante !) Elle n’est pas complètement inconsciente, mais très faible et elle ne réagit pas quand j’ouvre son chemisier, ni quand je la débarrasse de son soutient gorge, libérant sa poitrine ferme et blanche. Je me demande d’ailleurs pourquoi elle se torture avec ce wonder-bra alors que ses seins sont magnifiques, elle aurait tout intérêt à les laisser libres. Continuant d’appliquer les consignes du parfait secouriste je décide de déboutonner sa jupe, toujours dans le soucis de faciliter la respiration. Ce faisant je découvre une sage culotte blanche, avec un large élastique, bien loin du string en dentelle je j’espérais secrètement voir. Je pose alors ma main sur son front, sur sa joue, puis sur son ventre plat pour contrôler sa respiration. Sa peau est chaude et trempée de sueur. C’est alors que mes gestes se sont éloignés du manuel de secourisme. De son ventre ma main passe sur son sein blanc, je le caresse lentement, en ouvrant un peu plus encore son chemisier. Je m’approche de son visage, peut-être pour vérifier si elle respire bien, puis je l’embrasse, d’abord délicatement, puis de plus en plus goulûment, dans une sorte de simulacre de bouche à bouche. Mes lèvres parcourent sont coup, ses seins, son ventre. Ses mains se posent alors sur ma tête, elle me caresse les cheveux. Perdant alors toute inhibition je lui enlève complètement sa jupe, et plonge ma bouche entre ses jambes. Je renifle à travers le tissus, je devine à travers la culotte si sage des rondeurs glabres qui le sont beaucoup moins. J’embrasse ces lèvres, toujours au travers du tissus. Sa respiration s’accélère un peu quand je titille son clitoris avec ma langue. Décidant soudain que l’élastique trop épais devait l’empêcher de respirer convenablement je retire le dernier obstacle a mon désir, et plonge ma langue entre ses lèvres charnues. Plus je fouille ses entrailles, plus sa respiration deviens puissante et rapide, puis elle se bloque quand je serre délicatement son mont de vénus entre mes dents. Au bout de quelques minutes de ce traitement son corps est secoué comme si j’avais utilisé un réanimateur. Elle retombe, sa respiration redeviens lente et profonde, il semble que ma technique de réanimation a été efficace.
Je remonte le long de son corps, elle me rends mon baiser en m’enlaçant tendrement. Après un très long baiser langoureux elle reprends ses esprits et bascule au dessus de moi. Son visage a repris des couleurs, ses yeux sont a présent bien ouverts. Elle se débarrasse complètement de son chemisier, se retrouvant totalement nue. Son regard a changé, comme si j’avais réveillé une autre personnalité, non plus la sage quadragénaire avec un tailleur stricte et des sous-vêtements sages, mais la femme torride au sexe rasé.
Elle m’arrache quasiment le T-shirt, elle m’embrasse le torse, mordille mes tétons tout en déboutonnant mon pantalon. Sa main plonge dans mon boxer pour agripper mon sexe déjà bien bandé qu’elle branle presque brutalement, puis elle le gobe voracement. Elle me suce si fort, avec des mouvements de tête quasiment enragés que je ne peux pas me retenir. Je jouis comme jamais, et Sophie avale tout mon sperme avec un plaisir non dissimulé. Mais elle ne lâche pas pour autant mon sexe. Son regard planté dans le mien elle me branle encore avec le même rythme, jusqu’à ce que je retrouve ma vigueur.
Les cheveux ébouriffés, une mèche collés sur son front par la sueur, elle avait l’air d’avoir perdu tout contrôle, comme si son corps avait prit le dessus, et il réclamait encore plus de plaisir. Quand elle a estimé que j’avais suffisamment repris de force elle s’est relevée, m’a enjambé et s’est arrêté au dessus de moi, elle me regardait de travers, en se léchant les lèvres, elle se caressait les seins, se pinçait les tétons. Elle s’est baissée tout doucement, en continuant de se caresser, jusqu’à s’empaler sur mon sexe dressé. C’est elle qui menait la danse, c’est elle qui me baisait, j’aurai été une poupée gonflable elle ça aurait fait la même chose pour elle ! Elle se masturbait sur mon sexe a un rythme effréné, elle me faisait mal, j’ai cru qu’elle allait m’arracher la queue. Je tentais de la ralentir en attrapant ses fesses, mais c’est à ce moment là qu’elle a hurlé, les yeux révulsés et tout le corps tétanisé. Puis elle s’est écoulée sur moi, et m’a encore embrassé tendrement.
Sa main a délicatement parcouru mon corps avant de s’entourer autours de mon sexe, mais ses gestes n’avaient plus rien de brutal. Elle m’a branlé doucement, tendrement, sans arrêter de m’embrasser. J’ai joui dans sa main avant de m’endormir en la serrant dans mes bras.

Une bonne demi-heure plus tard j’émerge de mon sommeil béat. Il me faut quelques instants pour me rappeler ou je suis et ce qu’il s’est passé. J’entend couler la douche dans la salle de bain. Je me lève en silence, m’approche de la porte et l’entrouvre sans bruit. Il n’y a pas de rideau de douche, je peux donc profiter du spectacle que m’offre Sophie. Sous l’effet de l’eau chaude son corps a repris des couleurs. J’admire ses fesses fermes que je n’avais pas bien vues jusque là. Quand elle se retourne pour sortir de la douche elle me regarde sans paraître gênée de sa nudité.
? Ca va mieux ? ?
? Beaucoup mieux, ton traitement m’a donné un sérieux coup de fouet ?
? Je n’ai aucun mérite, j’ai pris des cours de secourisme... ?
? dans ce cas je vais m’y inscrire dès demain ! ?
? en tout cas l’appartement m’a beaucoup plus, je pense que je vais le prendre ?
? Ne te précipite pas, j’en ai encore plusieurs à te faire essayer ?
Elle a dis cela avec un regard malicieux qui m’a fait comprendre que la journée s’annonçait longue et agréable.
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