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Sophie bourgeoise racoleuse zoophile

Chapitre 1

Zoophilie
Je m’appelle Sophie, j’ai 48 ans, mariée, un homme souvent en déplacement et maman de deux grands enfants qui ont quitté le nid familial. La situation professionnelle de mon mari fait que je n’ai jamais travaillé et que malgré tout nous vivons très bien. Je mesure 1.58 m pour 68 kilos, vous l’aurez compris relativement en chair. J’ai une grosse poitrine flasque qui ballotte à chacun de mes pas et qui fait tourner les têtes... et des fesses rondes et molles mais rebondies et je crois que cela plaît également aux hommes. J’ai toujours aimé être regardé par les hommes. Mais je me qualifierais de « bourgeoise », toujours bien habillée et maquillée, j’aime jouer à la nunuche pour que les hommes me matent sans qu’ils ne s’aperçoivent que c’est moi qui me montre.Je n’ai jamais trompé mon mari, qui malgré ses absences, est un amant formidable. En revanche j’ai toujours adoré jouer avec les femmes. Maintenant je me suis calmé, déjà parce que mon statut de maman avait mis ma libido au repos, et puis le manque d’occasion. Adolescente j’étais dans un internat pour jeunes filles et j’adorais pervertir mes camarades de chambrée. Nombreuses sont les nuits où j’ai abusé de l’une d’entre elles... mais ça, ce sont d’autres histoires.Depuis deux ans mon petit dernier a pris son envol me laissant seule à la maison. Et petit à petit ma libido a repris une place importante. Seule, fidèle, sans camarade de jeu, je ne saurais pas l’expliquer mais je suis devenue zoophile. En effet mon chasseur de mari possède un braque allemand qui profite de mes câlins. C’est un chien de taille moyenne, très mince, et formidablement musclé, son poil ras ajoute à la puissance qu’il dégage. C’est un amant infatigable, robuste, formidablement membré (j’ai mesuré 26 centimètres avec la boule à la base de son sexe pour cinq centimètres de diamètre) et en plus il ne répète jamais rien... Et je crois qu’il a compris que s’il voulait profiter de moi il fallait qu’il reste à sa place en société...Depuis quelque temps mes envies de pervertir les femmes reviennent me hanter et me brûler le ventre mais il est important que je reste une femme respectable et cela est un vrai problème pour mon équilibre...Mais j’ai enfin trouvé, la solution et je suis fière de moi c’est imparable !Je marche beaucoup avec mon chien pour essayer de garder ou de retrouver la ligne, que je n’ai jamais eue d’ailleurs ! En tout cas garder la forme. Je mets un jogging en coton très ample et un sweat à capuche assortie en guise de sous-vêtement je ne porte qu’un soutien-gorge avec des bonnets ouverts, la fraîcheur de ma région tend ainsi mes tétons de manière ostentatoire sous le tissu... et jamais de culotte. Dans cette tenue je vois bien les hommes loucher sur ma poitrine qui danse au rythme de ma marche, et je sens bien mon sexe dodu et lisse s’humidifier à mesure des regards.Mon lieu de prédilection est un parc pas très loin de chez moi dans un quartier assez rupin, ce qui m’assure de ne pas faire de mauvaises rencontres.En journée je n’y croise que des femmes, seules, en groupe ou avec leurs enfants très jeunes et non scolarisés. Ma cible de prédilection c’est les femmes seules, peu m’importe l’âge ou le physique. Je repère ma cible puis je m’écarte du chemin sur lequel je suis pour m’isoler dans un buisson, à l’abri des regards. Et je branle mon chien, je fais en sorte que sa queue sorte entièrement avec la boule. Sa bite devient violette et une fois qu’elle a pris toutes ses proportions je reprends ma route comme si de rien n’était.Sauf que lui, le pauvre avec une pareille trique, il ne peut pas marcher correctement il a le dos rond ce qui rend son sexe encore plus visible. Je passe à proximité de ma prochaine victime qui ne peut pas faire autrement que poser son regard sur cette formidable queue.Les réactions que j’observe sont de trois natures différentes :
— La surprise, la femme tourne la tête et voit cette grosse queue pendre sous le ventre de mon chien. Il y a un petit mouvement de recul, parfois un lever de sourcil, puis la victime essaie de reprendre contenance et son activité.— L’indignation, la victime voit la bite tendue, puis me regard avec un air sévère bouche pincée. Comme si j’étais responsable de la libido de mon chien (bon c’est le cas OK). Je suis toisé comme une enfant qui aurait désobéi.— En fin la dernière l’amusement, un sourire radieux parfois même un éclat de rire... puis un regard qui cherche un sourire chez moi aussi.
Dans tous les cas j’entame toujours la conversation en disant qu’il vient d’essayer de monter une chienne dans un bosquet et que j’ai dû le rattacher pour éviter qu’il ne la prenne en chasse. Le premier sujet de conversation est toujours la bite de mon chien... et rapidement on sait à qui on a affaire. C’est le moment que je préfère.Je vois le regard se poser de nouveau sur le sexe, ou l’éviter soigneusement, ou parfois pour les plus sûres d’elles, elle cherche dans mon regard une préméditation et c’est là que j’excelle le plus dans le rôle de nunuche. Si je sens que le courant passe bien j’essaie de partager un moment plus privilégié. Ce qui m’importe c’est qu’elles photographient cette grosse queue, pour qu’elles y repensent, qu’elles en rêvent ou même qu’elles se caressent en imaginant ce qu’elles veulent. J’espère qu’elles aient mauvaises consciences de sentir la graine de perversion que j’ai semée en elles grandir et pousser.C’est rare que cela aille plus loin mais parfois je tombe sur proie facile !Un jour, je repère une jeune femme de 30 – 35 ans, bel et bien faite en jupe courte et talons, magnifique ! Un visage angélique le rêve pour la perverse que je suis !Je passe devant elle et aperçois les attaches de ses bas, une coquette. Je fais 20 m je plonge dans le fourré, je branle mon chien et demi-tour aussitôt : pas question de la rater.Je passe devant cette jolie poupée qui cette fois relève la tête de son téléphone ce qui n’avait pas été le cas la première fois. Je la salue, l’air très gênée. Elle me répond poliment et rebaisse son regard vers son écran mais elle voit pendant son mouvement de tête la grosse queue de mon chien qui a même encore quelques mouvements de bassin simulant un coït. Elle bloque un quart de seconde, puis me fixe sans changer de mine. Je sens mon jeu d’actrice frôler la perfection, mes yeux s’humidifient...
— Je suis désolé mademoiselle, mais il était sur le point de grimper une petite chienne j’ai juste eu le temps de l’arracher en tirant sur la laisse, veuillez m’excuser !
— Ce n’est rien madame ne vous inquiétez pas (elle a un sourire entre moquerie et compassion).
Je m’assoie à côté d’elle.
— Enfin tout de même, ce n’est pas présentable.— Vous n’y êtes pour rien et puis c’est la nature... Excusez-vous plutôt auprès de lui qui aurait sûrement préféré faire son affaire !- (Je glousse comme une bourrique) Oui enfin dans le milieu d’un parc... Je m’appelle Sophie.— Moi c’est Julie. Vous savez les chiens ne doivent sûrement pas se poser ce genre de question. (Je la vois régulièrement fixer cette tige pointue et je commence à sentir mon ventre chauffer)— Encore désolée, « tu n’es pas présentable Kaiser ! »— Ne le grondez pas, dans deux minutes il n’y paraîtra plus.— Deux Minutes ! Eh bien on voit que vous ne connaissez pas mon chien, chère Julie. Lorsqu’il monte une chienne, il peut rester coincé en elle pendant 20 minutes et il est encore en érection quand il sort...— Ah oui ! C’est madame qui doit être contente...
(Je feins d’être offusquée)
— Excusez-moi Sophie, c’est déplacé !— Ce n’est rien... vous êtes jeune. Je ne peux pas rester comme ça avec lui dans cet état-là, je vous propose un thé chez moi j’habite juste à côté.— C’est gentil mais j’ai un rendez-vous.— Eh bien votre prétendant a bien de la chance vous vous êtes faite très jolie...— Oui, enfin il a quand même ½ heure de retard !— Le goujat ! Excusez-moi je me mêle de ce qui ne me regarde pas...— Vous avez raison ! D’accord pour un thé.— Bien en route avant que tout le monde ne voie mon chien dans cet état-là ! (Je pointe du doigt son sexe qui n’a toujours rien perdu de ses dimensions)— Oui surtout que c’est gros par rapport à son corps !— Oh à votre âge vous devez savoir que cela ne veut rien dire...
Nous gloussons à l’unisson en nous levant et nous prenons la direction de chez moi. Au dernier regard que cette charmante Julie jette sur le gros membre de mon chien je sais déjà que je vais pouvoir jouer avec elle...Arrivées chez moi, je prends soin de la faire assoir dans un fauteuil dont l’assise est très basse, d’en face j’aurai une vue plongeante sur son entre cuisses...
— Mettez-vous à l’aise Julie, je vais faire chauffer de l’eau...
Elle retire sa veste et laisse apparaître un formidable décolleté. Je ne peux m’empêcher de penser à ce con qui lui a posé un lapin et qui me laisse en pâture cette créature de rêve...Je vais en cuisine et rapidement je reviens avec un plateau chargé de tasses, thés et infusions en tous genres et de l’eau chaude. J’ai volontairement oublié le sucre...Je fais le service debout face à elle, je vois distinctement qu’elle ne porte pas de culotte non plus. Ca y est je mouille et je décide de passer à l’action !Prétextant avoir oublié le sucre je retourne en cuisine avec mon chien qui m’emboîte le pas. Rapidement je baisse mon pantalon pour qu’il me lèche un peu la chatte, sa langue est un régal ! Je le branle pour faire ressortir son énorme bite et du doigt je lui ordonne de retourner au salon.
— Julie, je n’ai plus de sucre je vais au garage j’arrive j’en ai pour 30 secondes !— D’accord !
Je sors et je me mets à la fenêtre derrière elle. Julie ne peut pas me voir mais moi je vois bien ce qui se passe.Kaiser en bon chien s’en va mendier une caresse, je vois sa grosse queue pendre sous son ventre. Julie lui caresse la tête, puis le flan. Je la vois se pencher, elle regarde sûrement cette bite. Sa main s’en approche mais elle n’ose pas aller loin. Le chien lui glisse son museau entre ses cuisses, je connais mon chien il fait cela parce qu’elle mouille et il le sent. C’est le bon moment pour revenir.
— Voilà le sucre ! Laisse Julie tranquille toi !
Je regarde, en essayant de paraître surprise, le sexe du chien.
— Eh bien décidément, d’habitude il ne se met dans cet état qu’en présence d’une chienne en chaleur...
Julie rouge écarlate ne répond rien, je sens de la détresse dans ses yeux.
— C’est toi qui le mets dans cet état ? On se tutoie hein ? Au point où nous en sommes.
Elle ne répond toujours rien.Le chien tente de glisser à nouveau son museau entre ses cuisses. Elle se détourne en orientant ses cuisses différemment.
— Ah bah si tu ne mets pas de culotte forcément que cela le travaille ! Ils ont l’odorat bien plus développé que nos hommes. D’ailleurs si le tien avait eu plus de flair il aurait été à l’heure.
Elle est pivoine, se gêne est mon plaisir, une vulnérabilité que je vais m’empresser d’exploiter !
— Je suis désolée...— De quoi (je la coupe avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit d’autre) ? De ne pas porter de culotte ? Je n’en ai pas non plus ! De faire bander mon chien ? Prends-le comme un compliment ! De mouiller ? Je te comprends...— Je ne mouille pas !— Est-ce qu’il faut que je vienne vérifier ? Pour qu’il pose sa truffe comme ça entre tes cuisses tu dois être trempée... je le connais !
J’accompagne cette dernière remarque d’un clin d’œil et elle comprend alors qu’elle a été piégée...
— Ecarte un peu tes cuisses !— Non je ne veux pas...— Aller montre moi ton abricot ma belle.
Je me lève, passe la main sur l’intérieur de sa cuisse et l’écarte d’une légère pression. Il n’en faut pas plus pour que Kaiser se glisse entre direction de son sexe.
— Non s’il vous plaît...— N’aie pas peur, tu me remercieras !
Elle fait non de la tête, mais sans aucune action de ma part ses cuisses s’écartent. Et je vois dans ses yeux que la truffe fraîche du chien vient d’entrer en contact avec son intimité.
— Laisse-le faire il a l’habitude tu sais.
Cette remarque, comme un aveu, la libère du peu de dignité qu’il lui restait. Elle écarte son compas bien grand, pour me laisser découvrir une petite chatte trempée et béante.
— Hé bien tu es une belle salope, dis donc cela fait un moment que le trouble est dans ton ventre...
Je pose ma main sur son ventre et remonte vers ses seins, ils sont magnifiques : gros, fermes... Je sens poindre ses tétons au travers de l’étoffe. Le chien lui lèche la chatte à grands coups de langue, il cherche à y entrer pour ramasser la moindre goutte de mouille.Je remonte de ses seins vers son cou je relève son menton. Elle a les yeux fermés, abandonnée au plaisir nouveau qu’elle découvre. Je l’embrasse à pleine bouche. Elle ouvre ses lèvres sans me rendre mon baiser.
— C’est bon hein ?— Humm...— Quoi humm ? C’est bon non ?— Ah oui c’est bon !— Il peut te lécher comme ça des heures durant tu sais, il ne se fatiguera pas et n’exigera pas une pipe lui !
Je la laisse et m’écarte un peu, pour aller chercher une paire de bas de foot. De retour à côté d’elle je lui demande de se tourner pour qu’il puisse aussi lui lécher le petit trou.Elle se met à genoux devant le fauteuil les coudes en appui sur l’assise. Je la retrousse. Et le chien la lèche de plus belle. Si elle ne voit pas le coup venir, lui sait très bien ce que les bas de foot font là.Je lui enfile les bas sur les pattes avant, c’est pour lui le signal qu’il peut la monter. J’ai vu cette astuce sur un site spécialisé : cela permet d’éviter les griffures et les comportements inconvenants quand ce n’est pas désiré.Il bondit sur son dos.
— Non !— Allons Julie, ne fais pas ta mijaurée, tu l’as excité à mort et toi tu mouilles plus qu’une chienne.
Elle n’a aucun mouvement de recul ni d’esquive, je continue donc ce dépucelage canin. Le chien commence à donner quelques coups de reins maladroits dans le vide. Je saisis sa queue entre ses pattes et la guide à l’entrée de sa petite chatte de cochonne. Il la pénètre puissamment sur une belle longueur. Je ne sais que trop bien ce qu’elle ressent. Elle gémit d’ailleurs pour la première fois. Je l’invite à reculer plus ses fesses pour qu’elle soit à bonne hauteur.Il la pilonne très sauvagement.
— Oh oui ! Oh c’est bon...— Tu sens sa grosse queue ?— Oh oui — C’est bon hein ?— Oui, oui AIE !!
Je me baisse mais je sais ce qu’il vient de se passer : le chien a entré la boule c’est douloureux la première fois.Je lui caresse le visage et la rassure.
— Ne t’inquiète pas, il vient de te verrouiller : c’est pour être sûr de bien te féconder.— Quoi ??— Tu dois sentir les soubresauts de son sexe, et ton vagin se détendre sous la pression du sperme qu’il déverse en toi...— Oui vous pouvez le faire sortir ?— Non désolée il y en a pour 20 à 25 minutes mais ce n’est pas le plus désagréable détends-toi...
Je me lève et retire mon jogging et mon sweat. Et je m’assois à califourchon sur le fauteuil en face d’elle. Ainsi ma chatte grande ouverte est à hauteur de son visage.
— Lèche-moi ma belle. — Je ne suis pas lesbienne...— Tu n’étais pas zoophile non plus !
Je vois à son visage qui se crispe que le premier orgasme pointe le bout de son nez, c’est le moment que je choisis pour la saisir par les cheveux et écraser sa bouche sur mon sexe béant. D’abord elle étouffe ses gémissements sur mon intimité, puis doucement je sens les mouvements de sa bouche. Petit à petit elle m’offre un cunnilingus, son premier a priori !
— Ah oui vas-y bouffe moi la chatte comme tu aimes que l’on bouffe la tienne.
Je la sens s’appliquer de plus en plus puis me lèche d’une manière sauvage, et ondule le bassin pour sentir mieux la queue du chien qui ne bouge plus.
— C’est trop bon une langue de chienne !
Je sens son excitation monter à nouveau le fait de se faire traiter de chienne et de prendre en même temps cette grosse bite animale cela a enfin raison de sa morale et elle s’abandonne complètement.Je lui caresse les cheveux et je jouis bruyamment.
— Vas-y petite salope mange-moi l’intimité, bouffe ma grosse chatte ! Sale chienne !
Je jouis dans un bruit de clapotis sur sa bouche. Et je la vois jouir de nouveau à son tour. Je me penche en avant et caresse le chien toujours bien planté au fond d’elle. Je glisse ma main sur son dos et lui enfile un doigt dans le cul. A part son anneau qui se détend je ne constate aucune réaction... Je lui doigte le cul et je sens la boule au travers de la fine paroi. Elle baisse en volume puis sort dans un bruit de succion très fort. Je me lève et passe derrière elle, je lui caresse le cul, écarte ses lèvres pour laisser tomber le flot de foutre que le chien à laisser en elle une flaque se forme au sol sous son bassin. Le chien lui est couché et se toilette du bout de la langue.Elle se retourne regarde le chien, puis me regarde. Son visage est rougi par les orgasmes, sa bouche et son menton sont luisants de ma cyprine et ses yeux sont rouges entre larmes et fatigue. Elle regarde de nouveau le chien. Il lèche avec douceur sa grosse queue qui n’a rien perdu en volume.
— Tu veux le sucer ?— Non
Elle se lève, se réajuste.
— Je dois partir !— Attends, regarde-toi, je ne peux pas te laisser partir comme ça... Le visage plein de mouille la chatte béante qui coule de sperme canin... on va à la salle de bain.
Je la prends par la main, je la fais assoir sur le bidet et à l’aide d’un gant je nettoie sa petite chatte rougie par l’étreinte qu’elle vient de subir. J’espérais l’exciter pour en profiter encore mais elle me remercie, se lève et se rafraîchit le visage. Nous descendons les escaliers. Puis elle se dirige vers la porte d’entrée, de sortie en l’occurrence. Elle fuit mon regard.Elle se tourne pour me faire face, mais baisse les yeux pour ne pas me regarder.
— Merci pour le thé...— Tu n’y as pas touché, reste encore un peu...— Non merci c’est gentil— J’ai été ravie de te rencontrer !— Oui merci, je dois y aller...
Nous nous serrons la main, elle fait une gratouille sur la tête du chien puis passe le pas de la porte. Je suis sur le seuil je regarde sa silhouette gracile s’éloigner.
— Julie, Julie !
Elle se retourne.
— Bonne continuation.
Je peux voir même d’aussi loin la honte draper ses yeux.Je suis une perverse mais j’adore cela !L’idée de sa gêne à cause de la morale... Si cela se savait ? Je ne suis pas normale ? Plutôt mourir qu’en parler... Puis viendront les : quelle queue ! Quel pied ! Qu’est-ce que j’ai pu jouir ! Et enfin : Il faut que je recommence !! Je le sais je suis passée par là !J’aime pervertir ces âmes égarées, j’aimerais savoir ce qu’elles deviennent après. Ont-elles acheté un chien ou est-ce que c’est resté une parenthèse ?Je ne me lasse d’exhiber la grosse bite de mon chien à des femmes seules. Peu y ont goûté mais combien en ont eu envie ?Je ne reverrai sûrement jamais cette jolie Julie mais je suis fière de ce que j’ai semé dans sa libido !Je suis un peu comme une racoleuse zoophile...
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