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Sophie, Damien et l'auteur.

Chapitre 2

L'auteur égale son héros.

Erotique
Rencontre de Damien et Sophie avec l’auteur des histoires grivoises. 2
Obéissants, nous attrapons l’élastique de chaque coté et abaissons enfin avec lenteur son slip.Je sais déjà que Pascal est beaucoup mieux membré que moi mais il faut descendre son slip pratiquement à mi-cuisse pour libérer totalement son sexe. Putain !!! Bien que pas surpris par ma découverte, je suis scotché à la vue de cette queue aux proportions peu ordinaires même au repos, et je ne suis pas le seul ! Et là, c’est du 3 D !!!  Ma femme est conquise et l’exprime :-C’est vrai qu’il est monté comme un âne, sa bite au repos est impressionnante et sa paire de couilles bien pendante. Suite :Elle s’approche, prend en main et soupèse l’engin puis  l’agite doucement... oh !!!!Pas mal !!                -Maintenant caressez-vous devant moi d’une main, avec l’autre sur ma teub ! Ordonne Pascal.Je caresse la poitrine de Sophie, deux superbes globes que l’âge a un peu alourdis, surmontés de petites aréoles roses au centre desquels se dressent deux  petits tétons durcis. Sophie ferme les yeux quand je suce un de ses tétons, commençant à se détendre, s’offrant à mes caresses. Sa main sur ma verge qui prend vie, elle tressaille, je lui sourie, elle me rend mon sourire et écarte les cuisses, libérant l’accès à sa féminité. Pendant ce temps, nos mains s’entrechoquent sur le sexe offert de Pascal. Celle de Sophie enserre la hampe qui prend vie pendant que je palpe des bourses pleines à la base de son organe. Sophie me demande :-Touche ma chatte, elle est toute mouillée. Elle va avoir besoin d’un bon coup de queue. Et se tournant vers lui et le tutoyant - putain Pascal, t’es monté gros mon salaud ! Je peux jouer avec ?-Mais bien sur Sophie, elle est à toi pour toute la nuit. J’encourage ma moitié:— C’est bien ma chérie, ça va te changer de la mienne. Prend-la bien en main.Je ne sais pas si elle m’entend, Sophie a le souffle court, le regard  vitreux fixé sur le bel engin en pleine ascension. Le mandrin n’en finit plus de croître. Si mes mensurations rivalisaient  déjà à peine quand il était au repos, je fais petit garçon maintenant qu’il est en pleine érection ! Je n’en reviens pas ! Je suis jaloux et en même temps heureux de voir ma femme caresser cette bite exceptionnelle et j’en bande à mort. Mon sexe atteint une érection qui me rappelle mes vingt ans. Mon cœur s’affole.Les doigts de Sophie étreignent les deux engins. Sa main droite agrippe avec hésitation une telle matraque qu’elle semble perdue dessus pendant que sa main gauche compare en serrant entre son pouce et son index ma ridicule teub. Quelle humiliation ! Mais quel pied !!!-Je ne sais pas si c’est votre pilule où la situation, s’interroge Pascal, mais j’ai une sacrée trique !— C’est vrai que votre engin est vraiment gros et pourtant si dur ! Constate Sophie, je ne sais pas si… Je ne reviens pas qu’elle se lâche ainsi, mais je l’encourage:— Lâche ma ridicule bite et branle plutôt ce véritable pieu!Par ces quelques mots, je viens de libérer Sophie de ses derniers remords. Elle glisse sur son corps en le couvrant de baisers, arrive enfin à l’objet du désir, la queue en pleine érection, bien décalottée. Elle fait courir ses deux mains serrées avec vigueur sur toute la longueur de l’énorme engin, une main finissant sur des couilles généreuses et l’autre décapuchonnant et encapuchonnant un gland gorgé de sang  qu’elle excite de ses ongles. Pour être plus à l’aise, elle s’agenouille devant l’obélisque comme une croyante devant le Saint-Père.  Son visage est rayonnant comme Fatima devant la vierge, le regard mystique rivé sur cet épi divin magnifique, les lèvres charnues, prêtes à l’avaler, la bouche ouverte, attendant de prendre son gros chibre comme une hostie sur la langue et se déchaîne comme une fanatique religieuse hystérique sur l’incroyable goupillon.Pascal pousse son dard congestionné d’un ample mouvement du bassin entre les lèvres gourmandes de ma moitié !Alors que je crains que Sophie ne le repousse, elle plonge sur cet énorme sucre d’orge comme sur un dessert, s’efforçant d’en prendre le plus possible dans sa bouche, submergée par le plaisir qu’elle prend sur cette poutre formidable. Sa bouche distendue tente d’en avaler encore plus dans un bruit de succion et de gargouillis obscènes, bavant et crachant sur l’obélisque de Pascal. Elle pousse même le vice quand elle se retire de mordiller le gland hypertrophié avec précaution puis l’engloutit à nouveau dans sa bouche. C’est la première fois qu’elle suce un tel calibre et ma foi, elle s’en tire pas mal!— Ah ! C’est trop bon ! Ouiiii, continue ! L’encourage Pascal qui pose ses mains sur la nuque de Sophie pour qu’elle ne puisse se retirer et donne des coups de reins, poussant petit à petit l’énorme gland violacé de plus en plus loin dans la bouche béante de ma femme au risque de l’étouffer, réussissant à entrer cinq centimètres de plus de son obélisque. La gorge obstruée par le gland volumineux, le visage de Sophie vire au rouge et de peur, il libère sa nuque. Elle recrache la bête et tousse à en cracher ses poumons, reprenant difficilement son souffle. Je réalise le contraste pour Sophie entre une fellation de ma bite et celle de Pascal. Je suis troublé de voir le plaisir qu’elle prend avec lui. La prunelle de mes yeux est en train de tailler une pipe magistrale à un inconnu! Jalousie, envie, rejet, plaisir, je ne sais plus qu’en penser. Mais c’est moi l’initiateur de cette rencontre et je jubile de voir sa bouche sensuelle déformée par ce sexe de concours! Et je l’encourage même de la voix.— Va-y Sophie ! Bouffe son chibre! Mords sa teub !Pascal rigole mais objecte :— Eh ! Tout doux ! Je ne veux pas finir la journée infirme ! Damien, ta femmes est une sacrée pompeuse, et je suis sûr qu’elle peut accepter un ou deux centimètres de plus.Sophie me regarde en me suppliant du regard, mais pourtant, elle n’interrompt pas pour autant ses caresses.Pascal ne peut plus se retenir et la prévient qu’il va jouir mais je ne sais pas si elle comprend car elle continue à le sucer. Il lâche enfin les chevaux, ou plutôt la sauce et remplit sa bouche, mais Sophie se retire aussitôt et il continue à éjaculer en se tenant la bite.Bordel de bordel !!! Je n’ai vu ça que par écran interposé!!! Ses jets surpuissants se succèdent à un rythme effréné et  crépissent le visage, les cheveux de ma dulcinée et j’en suis même éclaboussé car je m’étais mis debout derrière Sophie.J’ai la preuve que je ne fais pas le poids par rapport à lui, mais je le savais déjà et c’est justement pour cette raison que j’ai voulu qu’on se rencontre. La lance de Pascal perd un peu de sa superbe et il demande à Sophie de lui faire retrouver toute sa vigueur. Il n’en revient même pas lui-même de la rapidité de la chose.-Putain, c’est efficace votre truc ! Je n’ai jamais rebandé si vite…et si ferme !« Merci Monsieur viagra »-Pascal, tu réagis beaucoup plus vite que Damien, tu rebandes déjà, et pas qu’un peu !!!… S’extasie Sophie.En effet, la teub de Pascal a pratiquement retrouvé toute sa splendeur et palpite de nouveau dans les mains de ma femme, laissant admirer la vigueur nouvelle de son rostre.  Sophie ne peut détacher son regard de la verge extraordinairement bandée de ce dernier. Le  sexe qu’elle a découvert  pour la première fois il y a quelques dizaine de minutes la tente irrésistiblement. La vue du gland rose et gonflé la décide à entreprendre la suite, pourtant ce n’est pas dans son caractère car elle ne prend jamais l’initiative d’habitude…enfin avec moi. Pascal veut mettre un préservatif mais je m’y oppose car mon énième fantasme, c’est de prendre la chatte de ma femme noyée de foutre. Il se couche sur le lit et Sophie, n’y tenant plus, s’offre à Pascal qui poursuit les préliminaires pour l’amener au plaisir. A suivre :
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