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Sophie, Justine et Sylvie

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Bonjour, je m’appelle Sophie. A cette époque, je travaillais à mi-temps, un petit job d’été dans une brasserie la place de l’horloge à Avignon. J’avais vingt et un ans, plutôt jolie (à ce qu’on dit), cheveux longs châtains clairs, un mètre soixante-cinq, ni grosse ni maigre. Je m’habillais toujours sobrement pour éviter les regards vicieux et les réflexions plus lourdes les unes des autres. Un travail assez fatigant, mais malgré tout plutôt agréable où l’on croise des gens de tout horizon. Ce serait parfait s’il n’y avait pas Julien. Un jeune homme de mon âge jouant les machos et ne ratant pas une occasion de se moquer des filles avec des blagues à deux balles. Il en pinçait pour moi, c’était flagrant. Mais il pouvait toujours rêver. Il était soûlant arrogant... Le genre de mec que je déteste vraiment. Je ne manquais pourtant pas de réparti, mais plus lourd que lui je n’ai jamais vu, certainement bien plus de deux livres au kilo.
J’en parle à Justine, ma coloc et meilleure amie avec qui j’ai des rapports très intimes et bien que nous ne soyons pas lesbiennes, nous aimons laisser planer le doute en nous caressant, nous embrassant. Cela nous amuse beaucoup. Si je suis plutôt calme et réfléchie, elle qui ne fait pas dans la dentelle, c’est une fonceuse et me conseille de lui donner une leçon. Elle avait déjà sa petite idée. Nous allons bien nous amuser, me di-elle. Je n’imaginais pas aller jusque là, mais après tout pourquoi pas ?
— Tu sais que j’aime lire les récits érotiques ! — Oui, et alors ? — Et bien, je suis tombée sur un récit particulier d’un maso qui se prend pour une fille. Si cela t’intéresse, le titre est " rêve de fille réalisé" d’une certaine SYL30 sur xstory. — Ca ne risque pas, je n’ai pas du tout envie de lire des horreurs pareilles. — Et bien moi, je suis entrée en contact avec elle et faisait mine de m’intéresser à son histoire, je lui posais des questions et petit à petit une petite complicité s’est installée entre nous. Au point qu’un jour, je lui ai demandé si l’on pouvait se rencontrer pour discuter en tête à tête, par simple curiosité tu me connais ? Coup de chance, elle habite de l’autre côte du Rhône donc à dix minutes d’Avignon. Malgré sa méfiance, elle a accepté. Nous avons donc convenu d’un rendez-vous à la brasserie de l’horloge samedi matin à onze heures. Ne sachant pas moi non plus à qui j’avais affaire, je lui ai demandé si tu pouvais venir, il a dit oui. — Allez, dis-moi oui (avec un petit air de "chien battu") — Quel, rapport avec notre ami Julien ? — (En riant) Nous allons le féminiser. — Quoi ! Mais tu es folle ? — Mais non, tu vas voir, on va bien s’amuser. — Et que fait "ta copine" dans l’histoire ? — Rien, je te l’ai dit, pure curiosité.
En attendant ce jour, nous nous faisions des films en riant comme des folles. Devrons l’appeler Sylvie ou Monsieur, peut-être viendrait-il travesti. Nous n’étions pas en manque d’idées les plus délirantes les unes des autres.
Le jour venu, quand nous le vîmes pour la première fois, nous ne pouvions pas nous empêcher, l’imaginant vêtu en une femme de rire sans retenue. Je m’excusais mi-confuse mi moqueuse. Justine, elle restait naturelle. Ne vous excusez pas dit-il, je comprends. C’était un bel homme, la cinquantaine bien conservée, une allure sportive, soignée et rien ne laissait croire qu’il était cette soumise de Sylvie... C’était bel bien un homme, mais au fur et à mesure de notre conversation, je ressentais chez cet homme beaucoup de gentillesse, de douceur, de délicatesse, en un mot, de féminité. Nous nous sommes assises à sa table, Justine avec un aplomb,étonnant :
— Bon ! Nous voilà entre filles. (directe) Pourquoi as-tu accepté notre rencontre ?
Elle le tutoyait, d’emblée. Mais quel culot ! J’étais mal à l’aise... De chez mal à l’aise.

— Par curiosité, comme vous et aussi l’idée de me dévoiler, de sortir Sylvie de sa prison me fait le plus grand bien. J’avoue avoir beaucoup hésité vu votre jeune âge, mais j’étais, au fond de moi, persuadée que je n’allais rencontrer personne à ce rendez-vous. — Alors tu es agréablement surprise, je suppose ? — Oui, mais devant de jolies jeunes filles comme vous, j’ai envie de partir en courant. — (En riant bruyamment) Mais non, restes avec nous, tu vas voir, on ne sera pas méchante.
Puis en s’adressant à moi:
— Hein Sophie ! Nous ne sommes pas des méchantes nous ?
Puis sans attendre ma réponse, ce qui m’arrangeait, elle reprit:
— Mais si ça se trouve, tu préférais que l’on le soit ?
La réponse à cette question semblait le mettre dans l’embarras au point de baisser les yeux et regarder son nombril. Si cette situation était gênante, ce comportement de la part d’un homme de cet âge, l’âge de mon papa ! me dépassait, m’agaçait et malgré tout m’amusait. Justine, avec un sourire vicieux se leva, alla près de lui, et le toucha en disant :
— Voyons voir, la réponse doit se trouver là.
Il eut un mouvement de recul qui la fit rire:
— Mais regarde-moi ça ! Elle fait sa mijaurée celle-là. Allez allez, laisse-moi faire.
Tout péteux, il la laisse faire. Elle se mit à rire :
— Viens voir Sophie, toi qui as des scrupules puis en parlant moins fort: — Il bande !! Allez viens, mais touche... Allez ! — Ah non, arrête, tout le monde nous regarde. — T’es pas marrante. — Bon, petite cochonne (s’adressant à Sylvie) tu es venue ici par quel moyen ? — En bus. — Et bien, nous allons te ramener chez toi, j’aimerais te connaître un peu plus, OK ? — EUH, c’est-à-dire que... — Alors nous sommes d’accord ! Allez, Sophie, en route...
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