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Sophie et Laurence

Chapitre 8

Chloé attend Sophie.. . mais. . .

Lesbienne
Après un réveil plein de bisous, une douche câline, nous voilà pimpées comme des supercars du salon de l’auto, nous nous dirigeons vers nos voitures respectives.
Sophie perchée sur des talons de dix centimètres a opté pour une robe violette ras du cou ouverte derrière, devant entre les seins et très échancrés sur les cotés pour enfin tomber sur un string de dentelle noire et finir en flottant sur le haut des cuisses dénudées, puis une large ceinture de cuir et de métal souligne la taille fine.
Une longue jupe noire plissée ouverte devant et derrière très taille basse, laissant dépasser sur mes hanches la dentelle beige de mon string, un petit bustier lui aussi beige clair moulant mes seins libres au-dessus de mon ventre nu, un foulard bleu couvrant mes épaules et des petits nu-pieds bleu pâle assortis au bandeau qui retient mes cheveux achèvent ma tenue.
— A plus tard mon amour, amuse-toi bien.— Toi aussi ma chérie, embrasse ma rousse.— T’inquiète, elle ne va pas regretter, embrasse ma black.
Le grand miroir de l’entrée de l’immeuble de Chloé me renvoie une image plus que satisfaisante de ma petite personne, j’arrive devant sa porte et je sonne en cachant l’œilleton, la porte s’ouvre :
— Tin li,n surprise miss ! !— Oh, bien joué coquine, je pensais vraiment ouvrir à Sophie et toi te retrouver à la soirée, elle est où ta
femme ?
— Déçue ? Tu veux que je me sauve ? Elle est chez Poppy.— Tais-toi idiote et embrasse-moi plutôt que de dire des bêtises.
Chloé, perchée sur des semelles compensées de dix centimètres avait sur elle une petite robe grise très courte assez transparente, qui, à contre-jour, me laissait voir son string bordeaux et ses seins libres qu’elle plaque contre les miens tout en me bouffant la bouche en guise d’accueil, elle m’entraîne à l’intérieur, la porte claque derrière nous.
Je lui rends son baiser et nos langues se découvrent dans un profond et sensuel tourbillon, sa bouche pulpeuse est un vrai délice, ferme et moelleuse à la fois, nous aspirons et suçons les lèvres l’une de l’autre, laissant mes mains partir à la découverte des obus qui lui servent de seins, durs comme de la pierre et tendus tout droit, Chloé passe les siennes entre les pans de ma jupe et m’empoigne fermement les fesses qu’elle masse, malaxe, pétrit et écarte puis après ce chaud moment de bienvenue, elle se décolle de moi et m’entraîne à l’intérieur.
— Purée, quand tu dis bonjour, toi, c’est presque des préliminaires !hihi.

Nous sommes dans un couloir desservant sur le coté droit, les toilettes, la S de B et la chambre puis nous entrons sur la gauche dans une petite cuisine ouverte sur une salle à manger, elle-même ouverte sur un salon en longueur avec une porte au fond qui donne sur le couloir que nous avons pris pour entrer.
— Viens j’ai du champagne dans la glace, trinquons, c’est une super bonne surprise Laurence, je suis très heureuse de débuter avec toi par un moment à deux !— Idem chérie.
Une fois au salon, Chloé se trouve entre la table basse et un profond canapé de cuir blanc,
Je lui prends les mains et l’attire vers moi, je fais passer sa robe par-dessus la tête, ses deux obus nus prêts au combat me font face, je la pousse sur le canapé, le contraste de cette beauté black sur le cuir blanc est magnifique.
— Tu nous saouleras ce soir, pour l’instant, je suis plus intéressée par ce qu’il y a à manger.
Je me laisse tomber à genoux et commence à déguster cette poitrine magnifiquement offerte à mes baisers gourmands, une main lui caresse le visage et se laisse sucer les doigts tandis que l’autre frotte sur le string déjà bien humide de mon hôtesse passablement excitée, le fin tissu me laisse découvrir du bout des doigts les contours de ce sexe aux lèvres gonflées et au bourgeon tendu par ce début de plaisir sur le pallier, mais également par l’envie de se donner.
— Je suis vraiment contente d’avoir eu l’idée d’inverser nos places avec Sophie !— Ah, c’est ton idée ! Vraiment aucune pour rattraper l’autre, vous vous êtes bien trouvés hein les coquines ! Hi hi hi.— Oh, mais j’y crois pas ! ! C’est elle qui nous drague et c’est nous les coquines ! Hi hi hi.
Toujours à genoux, je descends doucement, son string sur ses cuisses, ses chevilles, lui retire et pose mon regard sur son minou tout lisse.La couleur si foncée de sa peau fait ressortir encore plus le rose de son magnifique abricot humide et ouvert, je le contemple d’un regard gourmand, mais d’un léger coup de reins, elle me repousse, se redresse et me relève.
— Attends chérie, tu triches un peu en gardant tes fringues hi hi hi et en plus, tu vas les ruiner pour ce soir si tu les froisses, allez, à poil petite cochonne.
Tandis que nous rions, complices, elle retire mon haut et siffle admirative devant mes seins nus déjà gonflés et tendus d’excitation, tout en me léchant les pointes, elle défait ma jupe puis abandonne mes seins pour descendre mon string et en moins de deux, je me retrouve à poil devant ma belle hôtesse qui m’entraîne dans la chambre, me jette sur le lit et viens s’allonger en sens inverse de ma position.
Pliées en deux nous, commençons à nous manger la bouche tout en se caressant les seins, je sens les miens pointer sous ses doigts bien aidés de sa bouche, tandis que la mienne mordille, suce, lèche et aspire les pointes de ses obus tout durs, après quelques instants dans cette position, ses bras entourent mes reins afin de m’allonger sur le dos et se laisse tomber sur mon corps, la tête entre mes cuisses, tandis que je vois un instant son abricot rose et mouillé avant qu’il ne m’envahisse la bouche.
Le minou de Chloé délicieusement poivré et trempé de son onctueuse et parfumée cyprine m’inonde la gorge et le visage, mon Dieu que le goût et les parfums intimes de ma belle sont enivrants, musqués, sucrés et poivrés à la fois.
Je me régale de mâchouiller ses lèvres gonflées de sang du plaisir qui monte en elle, de tourner ma langue sur son bouton d’amour, de laisser ma bouche se remplir de sa mouille avant d’avaler, tout en remontant passer une langue furtive sur le petit puits de ses fesses que j’écarte à pleines mains.
Sa langue et ses doigts qui passent parfois entre mes globes provoquent un tremblement de tout mon corps et sont comme happés par mon fion ramolli du traitement infligé par la main de mon amoureuse, en effet, les plis de mon petit trou sont distendus et les chairs molles encore légèrement tuméfiées du bonheur inouï que j’ai vécu ce matin.
— Hé cochonne, comme tu es ouverte derrière !— Sophie m’a fisté pour la première fois ce matin.— Tu as joui comme une folle, je suis sûre !— T’imagines même pas.
Après ces mots mouillés, je replonge dans l’entrecuisse de ma coquine de la bouche et des deux mains, je l’entends soupirer juste avant qu’elle ne m’inflige elle aussi de délicieuses tortures, je sens couler le miel de mon minou qui m’envoie du plaisir dans tout le corps, je grimpe doucement vers le septième ciel et les signes que m’envoient Chloé me font comprendre qu’elle est déjà presque tout en haut.
Quelques instants passent encore durant lesquels ma langue tendue visite tour à tour et de plus en plus profondément les deux orifices roses, noirs et mouillés de ma proie qui tortille son corps dans tous les sens, se frottant délicieusement contre le mien, puis au bout d’un moment, la jolie femme black qui me couvre décolle pour jouir encore et encore, elle ne retombe pas et je continue de la caresser de mes mains et ma langue, elle me coule sur le visage et dans la bouche, sa délicieuse liqueur dont je me régale.
Sa bouche, qui avait quitté mon chaton pour mieux crier sa jouissance revient goulûment se coller sur mon bonbon et recommence à s’occuper de moi.
Tandis que je me frotte le visage sur son puits d’amour qui coule encore dans ma bouche, Chloé me pistonne le vagin avec au moins trois doigts qui vont de plus en plus vite et profond en moi tout en faisant rouler mon bouton d’amour entre pouce et index de son autre main.
Je ne résiste pas très longtemps à ce délicieux traitement et mon corps qui s’agite se tend soudain comme un arc emporté par la force d’un orgasme chaud et profond qui n’en finit pas de m’envoyer des milliers de décharges électriques partout.
Je retombe doucement physiquement et mentalement des sommets du plaisir où Chloé m’a si bien guidée, elle est à présent allongée à mes côtés, me caressant doucement tout le minou et les cheveux.
— Tu as aimé joli marin ?— Oh c’est un truc de vieux mec ça hihihi, alors heureuse hihihi.— Ouiiii j’ai aimé, je comprends mieux maintenant l’enthousiasme avec lequel Sophie m’a raconté son vol avec toi hihi.— Vivement que ta femme nous rejoigne pour un envol à trois vers le septième ciel alors !— Tu veux toujours commander toi hein... pourquoi pas voguer dans l’écume des sens et sur le sommet des vagues du plaisir, là,
c’est moi qui tiens la barre mon petit moussaillon.
Après avoir plaisanté encore quelques minutes, Chloé me prend la main et m’entraîne au salon où nous gouttons enfin à ce délicieux champagne.
Doucement après quelques coupes, nous voilà face à face à chahuter doucement, nous pinçant les seins, nous touchant le minou, et nous volant également de petits bisous.
Ce petit jeu ne mit pas longtemps à recharger les batteries de nos désirs et tout naturellement, on se retrouve allongées, cuisses légèrement écartées pour commencer la très sensuelle position des ciseaux.
Je frémis quand ma chatounette gluante se colle à son coquillage mouillé, nous commençons à onduler ensemble dans un mouvement délicieusement coordonné, nos deux sexes qui se frottent émettent un bruit de succion.
Nous regardons toutes les deux nos bonbons se frotter de plus en plus fort, brillants de la cyprine qui coule en abondance, le plaisir remonte en nous, je prends entre mes bras, serre contre mon ventre et mes seins la jambe de Chloé qui m’imite dans la foulée.
Après quelques instants encore de ce tendre ballet, je ne retiens plus les petits cris qui s’échappent de ma gorge et se mêlent à ceux de Chloé, signes déclencheurs du plaisir mutuel qui nous envahit et nous envoie ensemble au septième ciel dans un tourbillon d’orgasmes que l’on se partage.
Après avoir crié toutes les deux notre plaisir sans retenue aucune, nous partons dans un fou-rire commun qui se finit dans les bras l’une de l’autre pour finir nos ébats par de tendres baisers.
— Humm je suis très heureuse de notre après-midi Chloé, c’était vraiment délicieux !— J’ai adoré aussi Mademoiselle, il me tarde de sombrer dans la luxure avec ta femme et toi ma chérie.
C’est en riant que nous prenons possession de la salle de bain un petit moment afin de nous remettre fraîches et de nous rhabiller.
Perchée sur des escarpins blancs, Chloé a mis une robe blanche elle aussi, assez courte, ras du cou, mais très échancrée sur les cotés sous laquelle ses seins bougent librement, un string blanc en voile fin et dentelle qui ne fait que dissimuler légèrement le trésor qu’il abrite, complète sa tenue.
C’est bras dessus bras dessous que nous dévalons les escaliers rejoindre ma voiture et aller à cette soirée retrouver Sophie et Poppy.
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