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Sophie ma nièce perverse

Chapitre 2

Sophie devient très dominante

Orgie / Partouze
Résumé ; J’ai accueilli ma nièce et son petit ami chez moi.Après quelques découvertes, Sophie s’est découverte dominatrice envers Paul. Moi ? J’en profite...   

Je regarde Sophie qui vient de demander à son petit ami de venir me sucer afin de bien me « préparer» pour la prendre. Ses yeux brillent de vice et elle a enfilé ce costume de dominatrice avec enthousiasme. — Et à genoux allezPaul s’exécute sans rechigner lui aussi est en érection tant c’est la concrétisation de ses fantasmes.  Il se place devant moi, la bouche ouverte, le regard presque implorant. Je fais un signe à Sophie qui se rapproche, saisit ma queue bandée et la met dans la bouche de son petit ami soumis avant de se coller contre moi, une main dans mon dos, l’autre sur la tête de Paul. Elle le regarde fascinée, refermer ses lèvres autour de mon gland et faire coulisser sa bouche d’avant en arrière. Oh c’est encore malhabile, ce n’est pas et de loin une gorge profonde mais le vice de la situation nous excite un maximum. Ma nièce picore mon cou de baisers avant que l’on échange un baiser plutôt sauvage, la situation est si particulière, que je n’arrive plus vraiment à raisonner, on est dans la frénésie et on se donne de grands coups de langue quelques longues secondes durant avant de baisser le regard vers Paul qui, les yeux fermés savoure ma queue. Il s’efforce de la prendre le plus loin possible en bouche avant de la ressortir et de la lécher comme une glace.Sophie la reprend en main et fais glisser le gland humide de salive et de sécrétions sur son visage qui arbore une expression de pur bonheur. On ne peut douter de son envie à le voir ainsi. Ma main droite caresse les superbes fesses de Sophie et elle lâche de petits soupirs entre deux consignes très crues à mon suceur.— Allez pompe bien, lèche la bite qui va me défoncer, voilàààVoir une aussi jolie fille avec un air un peu angélique sortir de telles phrases m’excite énormément— Suce lui les couilles aussi, allezIl s’exécute immédiatement et donne de bons coups de langue dessus m’arrachant à moi aussi des soupirs de contentement. Je glisse ma main sous les fesses de sa maîtresse et vient caresser sa chatte si humide que de la mouille humidifie l’intérieur des cuisses. Je remonte mes doigts qu’on suce tous les deux, les yeux dans les yeux. Quand elle me sent sursauter, elle enjoint à Paul de cesser.— Bon stop maintenant, allez accompagne nous dans la chambre, à quatre pattes évidemment qu’est ce que tu attends !Il nous suit pendant qu’enlacés et en nous roulant de vraies galoches nous titubons vers leur chambre où il y a le plus grand lit sur lequel on se jette. Il suit et s’assied à côté du lit prêt à faire tout ce que nous lui demanderons. On échange des baisers, des caresses partout, impatients de toucher le corps de l’autre, de le sentir, de le goûter. Nous venons à peine de commencer que nous sentons que nous sommes déjà sur la vague tant nous sommes excités entre ambiance, caresse, transformation, lien entre nous. Elle se met à quatre pattes, prête à être prise en levrette. Je me recule et remplit mes yeux de son petit postérieur absolument somptueux. Elle me lance un« baise moi » d’une voix rauque et chargée de tension mais je ne résiste pas à mon envie de la déguster et passe ma langue sur son abricot trempé, elle gémit de plaisir et je la joue sauvage, bouffant sa chatte et son jus. Elle est délicieuse et je sais déjà que ce goût sera pour toujours l’une de mes madeleines de Proust. Je me place bien derrière elle et d’une seule poussée je m’introduis en elle. Elle feule comme une vraie tigresse pendant que son intimité s’écarte devant moi et je me sens de nouveau homme après ses années de désert. Je reste planté en elle, savourant la sensation de sa chaleur humide serrée autour de moi et la laissant s’habituer à mon «calibre».En arrière plan j’entends Paul psalmodier comme une litanie «  que vous êtes beaux, que vous êtes beaux..  » ce qui rajoute encore au climat sensuel qui règne dans la pièce. Cela inspire aussi Sophie qui me demande de bien la prendre. Je m’exécute avec joie, tant je suis tendu et la prends avec force, entrant et sortant presque totalement de sa petite chatte brûlante avant d’y retourner encore et encore. Je retrouve ses sensations divines de chaleur et de plaisir et mon coeur cogne fort dans ma poitrine. Il s’emballe encore plus quand Sophie lance à Paul.— Viens me bouffer la chatte mon petit cocu et n’oublie pas de lécher ses couillesNotre soumis ne se le fait pas dire deux fois et se tortille pour passer sous Sophie qui c’est un peu relevée. Rapidement je sens qu’il la déguste et de temps en temps je sens sa langue sur la base de mon gland.— Oh c’est bon, je lui coule dans la bouche , c’est booonSon discours devient ensuite plus décousu car je me penche un peu et parvient à lui saisir les seins par dessous, à peine saisis elle crie— Pelote moi les seins, lâche toi, tire les pointes vas-yJe lui pince les tétons avec force et elle en redemande en gémissant pendant que je donne de furieux coups de reins et l’empale, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Mais je ne peux tenir la position longtemps alors je demande à Paul de prendre le relais avec ses mains et vais saisir les fesses de Sophie entre mes mains pour la pénétrer encore plus fort. Nous ne sommes plus que gémissements entrecoupés de « plus fort, c’est bon, oh putain c’est bon ". Pris d’une envie irrépressible, je caresse ses fesses et sa réaction m’encourage à aller plus loin ; aussi je passe la tranche de ma main dans son sillon fessier. — Oh c’est bon mon salaud, oh continueElle est déchaînée et j’entends les grognements de Paul qui a du mal à suivre le rythme tant elle coule dans sa bouche, les bruits obscènes sont pourtant une douce musique à nos oreilles de pervers et je poursuis mes caresses, effleurant son petit trou avec mes doigts, la musique de ses petits cris et de ses «  encore, encore » rajoute à notre excitation et après avoir lubrifié mon majeur je l’enfonce doucement dans son petit cul. Je pousse et soudain, il est avalé et elle gémit— Paul Paul, tonton m’a mis un doigt dans le cul, dans le cuuul, dans le cuuuul…..Je n’en peux plus et je me sens compressé, les vibrations de son corps me serrent la queue tendue comme une barre de fer, aussi je crie— Jouis ma salope,jouis !— Oui, ouiiiiiiiiiSon orgasme est dévastateur et déclenche immédiatement le mien. Je me vide en elle par saccades, j’ai l’impression que ça n’en finit pas, toute mes tensions explosent et je prends un pied monstrueux fiché en elle, collé à elle, le corps agité de spasmes. Elle finit par rouler, presque tomber sur le côté, expulsant ma queue brillante de nos jus mélangés, je m’affale dans le même mouvement non sans lui serrer la main dans un geste d’amour intime. Je tourne ensuite le regard vers Paul, couché sur le dos, Son ventre est couvert de sperme car il a jouis lui aussi et visiblement plus fort que ce dont il a l’habitude a en juger son air presque hagard. Ceci dit c’est peut-être aussi du à la cyprine dont son visage est presque recouvert sans parler des quelques perles de sperme qu’il a reçu quand ma queue est sortie de la petite chatte de Sophie. Sophie qui me surprend encore quand après l’avoir regardé, elle lui dit d’une voix suave:  — Tu va bien nettoyer ma chatte et bien lui lécher la queue qu’elle soit propre pour la suite— Oh oui Maîtresse Sophie
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