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Sophie ma nièce perverse

Chapitre 4

Elle m'offre un cadeau

Hétéro
Résumé : J’ai accueilli Sophie et son petit ami chez moi. Ma longue période de veuvage a pris fin et nos vies ont pris un tour nouveau. 
Sophie est allongée, détendue, les yeux brillants, souriante après l’orgasme que je viens de lui donner avec ma langue. Les mots sont superflus, elle s’approche et vient m’embrasser, partageant avec moi le goût de son miel et du champagne. Sa langue dérive rapidement sur ma bouche et mes joues, récoltant le fruit de ce duo de plaisir avant que l’on ne s’enlace de nouveau.— J’avais envie de ton sexe en moi et en même temps de savourer jusqu’au bout ton cunni, ça a été un peu dur de résister mais ça en valait le coup. C’était si intense et puis j’en avais perdu la sensation ; les mecs d’aujourd’hui ils n’aiment pas trop faire cela ou alors juste une minute en espérant un truc après ; ce n’est pas la recherche du plaisir de l’autre.— J’ai adoré cela ma Sophie.Elle caresse lentement mon corps, et nous changeons encore sur nos envies,nos chemins de vie et je comprends mieux qu’elle soit si mature par rapport à bien des filles dans le début de la vingtaine.-Hmm mon petit tonton est de nouveau excité— Tu aimes m’appeler ainsi on dirait ?— J’adore le pouvoir des mots, et même s’il n’y a pas de vrai lien de sang entre nous, ça m’excite, tout comme toi j’aime les mots crus pendant nos ébats— Hmm ma petite salope chérie— Hmm je touche ta grosse queueNous rions un instant mais on doit reconnaître que nous aimons cela. Pour la suite, c’est elle qui me repousse en arrière et me dit qu’elle va jouer à la cow-girl en se plaçant accroupie sur moi.— Oh je vais adorer.— Je vois ça t’as déjà un gros bâton bien tendu.— Et je parie que ta chatte est déjà bien trempée.— Je ne suis pas sûre, bouffe la moi encore mon salaud de tontonEn disant cela, elle avance son bassin vers moi et je la lèche à nouveau, enfin je lape plutôt car elle m’observe avec un regard qui suinte le vice et poursuit dans la surenchère verbale. -Allez passe bien ta langue partout, j’adore— Touche toi pour vérifierElle se recule, se caresse devant moi, m’offrant un geste si intime et déclare :— Je suis trempée, tu va pouvoir me remplir avec ta grosse queue.Elle se place alors juste au dessus de mon bâton de chair et, s’écartant elle-même les lèvres, se laisse doucement descendre sur ma queue. C’est un pur délice de sentir son intimité m’accueillir ainsi, centimètre par centimètre. J’ai moi aussi envie de bouger mon bassin à sa rencontre mais, si elle a su résister lors de mes jeux de langue, je dois y arriver aussi. Elle s’empale totalement et nous savourons tous deux ce moment de plénitude. Elle commence doucement à bouger d’avant en arrière et ce petit mouvement de balancier est terriblement excitant. Surtout qu’elle a décidée de m’en mettre plein les yeux en jouant avec ses seins. La voir les serrer, tirer les tétons, tout en me regardant est vraiment bandant. Je caresse ses cuisses en remontant de temps en temps sur ses hanches et le début de l’arrondi de ses fesses. Je ne me lasse pas de la regarder, de la découvrir tant elle est belle, je mesure la chance que j’ai d’avoir une telle femme dans mes bras et un ange nostalgique passe qui me rappelle que mon épouse lui ressemblait beaucoup, mais le petit démon sur mon épaule me dit aussi qu’elle avait un sacré tempérament et me dirait d’en profiter.
Et pour en profiter, j’en profite ! Tous mes sens sont sollicités. Entre la vue de son corps de petite bombe sexy, ses gémissements si agréables à mon ouïe, l’odeur de son corps, le goût de son miel, la sensation de sa chaleur et la douceur de sa peau je me régale. J’ai l’impression que mon sexe est aspiré dans sa chatte humide et je commence moi aussi à gémir. Ses mouvements deviennent plus désordonnés et elle s’agite comme une diablesse sur ma queue. Je reprends à mon compte ses commandements et nos regards fixés l’un à l’autre je lui dit de jouir en donnant un grand coup de rein. Tant est fort le lien qu’après à peine quelques secondes de folle chevauchée, elle part dans un orgasme dévastateur dans lequel je la rejoins immédiatement, emporté par la même vague de plaisir. 

Je reste fiché en elle et me redresse pour la serrer contre moi, partageant nos battements de cœur, l’odeur musquée de l’amour et le sentiment de ne faire qu’un. Nous restons ainsi un long moment avant de lentement nous désolidariser et de simplement reposer ensembles alanguis. Une douche bienfaisante et une petite collation plus tard, nous sommes revenus dans la chambre, Paul est allé dormir et nous sommes presque au milieu de la nuit. Nous discutons encore un peu puis Sophie collée contre moi me murmure à l’oreille qu’elle a un cadeau pour moi — Un cadeau ?— Oui, ces dernières années, j’ai eu une certaine envie mais je ne l’ai jamais assouvie car quelque part j’avais une certitude en moi que je pourrais finalement être avec toi .J’ai une très vague idée à laquelle je n’ose encore croire et lui fais un signe d’encouragement pour parler. Elle devient un peu rouge, bafouille même légèrement alors même que nous avons déjà fait quelques turpitudes tous les deux-Voilà, j’ai gardé une certaine virginité pour toi, je voudrais que tu sois euh le premier, voilà le premier à me sodomiser.— Oh ma Sophie tu m’offres là quelque chose de particulier,d’exceptionnel.Je l’embrasse tendrement, touché par son aveu, sa confiance. Elle m’avoue encore s’être déjà un peu taquinée seule ou avec un sex-toy mais « jamais entièrement et jamais avec un homme hein« -Comme je t’adore. Viens là que je m’occupe de toi.Elle s’allonge et je passe un long moment à la masser pour la détendre, aucun de nous n’est fatigué même si nous avons passé minuit. J’utilise ( à dessein) une huile douce qui peut aussi servir à plein d’autres choses. Sous mes doigts je la sens se détendre, se dénouer de toutes les tensions de la semaine. Progressivement, mes massages se font plus sensuels et se concentrent sur le haut de ses cuisses et ses petites fesses. En même temps elle reparle de ses expériences, du plaisir qu’elle a pris à être nue à la plage, a dominer Paul, à le faire me sucer…
Avec tout cela, ses jambes s’écartent d’elles-même quand je passe sur la peau douce de l’intérieur de ses cuisses, sa petite chatte commence à sentir bon le miel et je la caresse un peu histoire de la faire ronronner. Offerte elle est vraiment sexy et je souris à la vie qui m’offre tout cela. Je passe mes doigts dans la raie de ses fesses et elle semble vraiment apprécier. Je la rehausse avec un coussin ( il aura bien servie celui-là !) et admire son splendide petit fessier. Elle est confiante et dans ce climat je ne peux que poursuivre. J’embrasse ses fesses et puis je passe ma langue sur ses rondeurs, et lui murmure — Ouvre toi ma chérie.— Je t’aime Me dit elle en s’exécutant, m’offrant la vue de sa chatte humide et surtout de ce petit œillet brun et fripé. D’une langue d’abord très légère je passe dans son sillon fessier, la faisant sursauter. Ma langue se fait un peu plus insistante et elle ronronne plus fort, encouragé, je passe ma langue sur son petit anneau qui commence à palpiter la faisant gémir plus fort. Je lui lèche alors son petit trou, le taquinant de ma langue encore et encore. Elle tend ses fesses vers moi et je lape plus fort jusqu’à ce que enfin, elle me dise— Hmm c’est si bon, je crois que je suis prête mon tonton chéri Je recule mais c’est pour remplacer ma langue par mes doigts bien huilés qui jouent ; d’abord à la surface ce qui la fait frissonner avant de lui enfoncer légèrement un doigt — Hmm ton doigt dans mon petit culJe souris car quand elle commence à se lâcher verbalement c’est le signe indéniable de son excitation. Tout en titillant de l’autre main sa petite chatte, j’enfonce plus profondément mon doigt avant de le faire aller et venir en elle.— C’est bon ma chérie ?— Oh oui, tu peux, tu peux ..Je rajoute un second doigt qui, aidé par l’huile et l’excitation est absorbé un peu plus facilement. Rapidement je peux jouer en elle et je les retire, y rajoute un peu d’huile avant de placer mon gland sur le petit anneau fripé bien mieux détendu. Elle frissonne quand elle sent mon sexe contre son anneau vierge mais lâche d’une voix chargée d’envie— Vas-y prends moi, sodomise moiJe pousse doucement mais sans reculer et je sens son anneau s’écarter puis finalement accepter mon gland. — Hmmpppff , continue mais doucement heinJe pousse encore mais elle m’encourage et comme je lui laisse bien le temps de s’écarter, avant de pousser encore je progresse et progresse encore...— Hmmm, tu est à fond en moi, je sens ton ventre, c’est bizarre, j’ai un peu mal mais ça se calme— C’est peut-être aussi parce que tu te branles en même temps petite cochonne— Je suis heureuse, je m’offre à toi, entièrement… Bouge un peuJe fais quelques légers mouvements, les stoppant dés qu’elle gémit différemment. Enfin, il n’y a plus de sons discordants et je bouge plus fort, puis plus fort et plus vite.— Oh cela devient vraiment bon, je crois que j’aime bien ça— Tu aimes bien quoi .— Me faire prendre, me faire , me faire sodomiser. Aaah— Tu est devenue quoi alors.. Alors dis-le— Ta petite sodomisée..-Tut tut— Ta...Ta petite enculée, oh je me fais enculer par un homme et c’est booon, oh je me fais encuuuler-Voilà !Cette fois elle a passé un cap, elle s’est mise en arrière d’elle même, me permettant de la prendre fort, plus profondément. Ma queue est vraiment serrée et c’est délicieux. J’ai posé mes mains de part et d’autres de ses fesses, les écartant pour mieux la prendre. — Plus, plus fort ..— Tu veux que je t’encule plus fort c’est ça  ?-Oui, ouiiii, je veux que tu me prennes le cul, oh bordel, prends moi le cul , ja.. jamais j’aurais cru que.. Oh bordel c’est booooooonJe la prends fort sans y aller comme un malade n’oubliant pas que c’est sa première fois, Elle apprécie et ses propos deviennent complètement décousus. De la sueur coule dans mes yeux, je me sens de plus en plus crispé,tant les sensations sont géniales, cela faisait si longtemps et c’est si chaud autour de ma queue. Sophie gémit, secoue la tête, serre les draps avec ses main et enfin, part dans un cri de jouissance presque bestial qui me rend heureux d avoir une maison un peu isolée. Ensuite je n’ai plus de pensées cohérentes car je jouis dans ses fesses, tel un pantin désarticulé , me vidant de mon essence, et je crois que moi aussi j’ai poussé un cri du même style...
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