Résumé : J’ai accueilli chez moi, Sophie, la nièce de ma défunte femme et Paul son petit ami. Ma vie a changée et je me suis de nouveau ouvert aux plaisirs. Sur la plage nous avons fait connaissance avec Lucie, une jolie blonde quadragénaire tout aussi adepte de jeux érotiques..
Je suis allongé sur le dos haletant à mon tour, chaviré par le pied que je viens de prendre. Jouir avec Sophie, procurer un orgasme avec ma langue à Lucie et enfin jouir avec Paul sur leurs visages de coquines… Je me sens vidé. Je tourne la tête et vois qu’il n’est pas mieux que moi, la bouche grande ouverte à happer l’air. Les deux femmes ont finies de déguster notre semence et de se nettoyer le visage à grands coups de langues fureteuses et vont d’un pas rapide se baigner en riant et en se tenant par la main. Je me demande ce qu’elles utilisent comme carburant et ne parvient qu’au bout de longs instants à les rejoindre dans les flots. L’eau me fait reprendre mes esprits et nous barbotons tous les quatre puisque Paul a aussi réussi à nous rejoindre. L’eau me fait un bien fou et je constate qu’il en est de même pour les autres... D’autres personnes sont maintenant arrivées et il n’est plus question de s’amuser de la même façon. Nous en restons donc à des jeux de ballon bien plus innocents et après avoir discutés, Lucie nous invite pour le lendemain qui se trouve être le début du week-end chez elle, nous promettant coucher de soleil sur l’océan et autres surprises.
Le lendemain, bien reposés et en pleine forme après une marche au bord de l’eau à se remplir d’énergie entre embruns et iode, nous sonnons chez elle. Elle demeure dans une belle maison de type longère que de hautes palissades séparent du chemin avec une partie arrière se terminant sur un promontoire donnant une vue sur l’océan. C’est du moins ce que nous avons vu en ligne quand nous avons repérés le parcours pour y arriver. Mais rien ne nous a préparés à l’intérieur très aéré et clair où elle nous reçoit. D’inspiration très boisé, c’est franchement joli et surtout des tableaux pleins de couleurs, de vigueur,d’énergie un peu partout mais toujours très judicieusement mis en valeur. Elle est vêtue d’un kimono court en soie de différentes teintes de rouge qui dénude ses cuisses et cela lui va très bien. Elle nous conduit dans une salle à manger pourvue d’une large baie vitrée donnant sur l’arrière de la propriété et, comme promis, de là nous voyons le ciel qui commence doucement à s’embraser. C’est beau et nous restons là un moment, fascinés par la vue avant de nous rappeler que nous avons apportés quelques petites choses. Un peu plus tard, devant quelques amuse-gueules et du champagne nous devisons sur le paysage, l’art abstrait et je confesse à Lucie que j’ai eu un choc en voyant ses toiles car j’en ai tout simplement acquis deux sans évidemment savoir que c’était elle l’artiste. Je lui précise que ces dernières années j’ai passé beaucoup de temps à me faire ma petite collection car n’ayant plus goût aux voyages et sorties, il me restait la contemplation et la lecture. L’ambiance est donc excellente et même si nous savons tous le genre de péripéties qu’il risque de se produire, pourquoi se presser. Entre deux anecdotes Sophie explique aussi nos liens familiaux à Lucie ce qui fait un peu briller les yeux de celle-ci.Le repas terminé, Lucie nous propose d’aller admirer le coucher de soleil et nous entraîne à l’extérieur. Elle nous voit un peu étonnés et nous emmène vers un bâtiment bas à l’écart mais quand nous y entrons nous découvrons la surprise ; il s’agit en fait d’une grande véranda dont le toit transparent coulissant est pour l’instant fermé mais qui abrite une petite piscine et un jacuzzi dans un grand tonneau de bois. Une grande fresque colorée occupe le mur de soutien arrière fermant la vue aux voisins. C’est somptueux et nous restons un peu sans voix.Lucie nous invite à nous découvrir pour aller nous doucher avant de profiter des bulles. Elle donne l’exemple en laissant tomber le court kimono sous lequel elle était nue. Nous suivons rapidement son exemple et après nous être rincés allons la rejoindre dans l’eau où nous nous immergeons jusqu’au cou. C’est chaud, les bulles nous massent et c’est surtout propice à créer encore plus un climat érotique. Encouragés à en profiter, nous poursuivons notre conversations faite de baisers et de frôlements sensuels. De petites confidences sexuelles sont faites et contribuent encore à faire monter l’excitation. Ainsi Lucie parle de la relation saphique entretenue en fac avec une amie et de cette période de sa vie, en écho Sophie avoue qu’elle avait toujours eu envie d’essayer et de se monter coquine pour moi. Pour le prouver encore elle demande à Lucie de remonter et de s’asseoir sur le rebord du jacuzzi. La jolie quadra blonde s’exécute volontiers, comprenant ce qui va arriver. Sophie se redresse, échange un baiser très doux avec moi puis plus sauvage avec Lucie avant de se pencher et d’aller plonger sa langue dans la fente nacrée. Paul et moi, chacun d’un côté des coquines les observons avec fascination. Ma jolie nièce passe d’abord sa langue de haut en bas comme si elle léchait un bâtonnet de glace puis ayant fait fondre le miel, suce les grandes et petites lèvres, elle m’apparaît comme vraiment douée. Ses mains sont venues se poser sur les fesses de notre blonde amie et elle s’attaque maintenant à la petite excroissance qu’elle fait sortir de sa gangue de chair à force de la taquiner du bout de la langue.Lucie se caresse les seins avec comment dire beaucoup d’enthousiasme. C’est vraiment sexy et nous profitons du spectacle de ses mains qui caressent, titillent des pointes durcies ; elle va même jusqu’à se prendre les tétons en bouche et les aspirer en nous regardant tour à tour avec des pétillements dans les yeux. Son «alors ça vous fait bien bander les garçons » qu’elle nous lance quand elle reprend son souffle est un appel au sexe. C’est aussi un signal pour Sophie qui relève la tête , vient embrasser Lucie et glisse quelques mots à son oreille.Celle-ci sourit et me demande de m’asseoir à mon tour sur le rebord pendant qu’elles vont s’immerger à nouveau dans l’eau chaude. Puis elle se tourne vers Paul et lui dit simplement :-Va lui faire une pipe Le ton est détendu à dessein, sa normalité créant par contraste encore plus de sensualitéPaul n’a aucun mouvement d’hésitation et, en accord avec les confidences sur ses envies vient me prendre en bouche. Je me laisse faire, mon regard fixé sur les expressions fascinées des deux femmes quand il m’embouche. Elles sont d’abord collées l’une à l’autre puis, à l’instar de Paul et moi plus tôt se rapprochent chacune d’un côté pour mieux observer la façon de faire du jeune homme. Il n’est pas aussi doué qu’elles mais compense par son envie de bien faire et est encouragé par les remarques des deux femmes parties dans un délivre érotique de conseils très crus. Pris entre sa fellation, leurs regards, leurs commentaires, je suis rapidement très tendu et le signale en gémissant. Avec un sourire Lucie dit :— Bien le coucher de soleil est fini, il est peut-être temps de visiter ma chambre ?— J’accède bien volontiers à sa requête, ne voulant pas déjà jouir. On se sèche et on suit Lucie qui nous guide vers sa chambre et son grand lit— Heureusement que j’aime avoir mes aises, on a plein de places pour jouer.Elle continue en disant que c’est au tour de Sophie et de Paul d’être câlinés et après avoir flattée un peu la petite verge de Paul la prend en bouche avec délectation. Pour ma part, je vais goûter au petit abricot de Sophie que je trouve évidemment trempé et je le déguste comme j’aime le faire. Rapidement les deux sont au bord de prendre leur pied et le signalent sans fards. Je m’allonge alors sur le dos et Sophie à une vitesse qui ferait passer un guépard pour une tortue sous tranxène vient s’empaler à califourchon sur moi. Elle me prend sans peine tant sa délicieuse chatte est inondée et au bout de quelques allers-retours fort plaisants, je la tire vers moi pour l’embrasser avant de lui murmurer à l’oreille de s edétendre car l’envie qu’elle m’a confiée plus tôt va être satisfaite...Elle est un peu anxieuse mais la feuille de rose que lui prodigue Paul et les caresses tendres de Lucie participent à la détendre. C’est Lucie qui saisit le sexe fin de notre ami qui est totalement tendu ; il frémit d’impatience pour accomplir cette pénétration qu’il n’a encore jamais eu le droit de réaliser. Lentement, Lucie qui s’est placée derrière lui, collée à lui et le tient aux hanches, dirige la pénétration anale. Je sens une pression nouvelle sur ma queue au fur et à mesure qu’il avance, je ne bouge pas attentif, laissant Lucie gérer pour notre plus grand plaisir. Sophie gémit de plaisir tant cette première double pénétration est doucement réalisée. — Hmm il m’écarte le cul, les deux en même temps, oh bon sang— Voilà ma chérie, il y est presque, lentement toi, voilààààNous restons tous figés un court instant puis sur un mot de ma jolie nièce j’entame un petit mouvement des hanches, par contrecoup cela frotte aussi le sexe de Paul qui gémit déjà. J em’en étonne un peu mais je croise le regard de Lucie et comprends à son attitude et surtout au «elle m’a mis un aaah« du jeune homme qu’elle lui a un mis un doigt dans les fesses. Elle aussi a retenu les envies de Paul et les applique à sa façon. On commence lentement à bouger en rythme, du moins à essayer mais on arrive avec l’aide de Lucie à relativement bien se compléter pour le plus bonheur de Sophie. Bientôt je la sens bouger d’elle-même s’empalant sur nos sexes et ses gémissements gagnent en puissance. Lucie se transforme d’hôtesse attentionnée en coquine déchaînée en lui demandant régulièrement si c’est bon si elle se sent bien son petit cul se faire défoncer, si sa petite chatte prend bien ma queue..Ses paroles vulgaires hors contexte rajoutent de l’excitation à notre quatuor et font encore monter la température. J’ai saisi les fesses de ma chérie et les écarte un peu. Je sens que Paul ne se contrôle plus et accélère a toute vitesse, sentant les seins durs de Lucie dans son dos, Lucie qui se masturbe presque au même rythme et qui n’est plus que petits feulements elle aussi.Paul est le premier à jouir et après quelques secondes Sophie explose aussi, sa jouissance qui la fait se resserrer sur ma queue déclenchant la mienne. Il ne faut pas longtemps à Lucie pour nous rejoindre dans le plaisir, ses doigts profondément enfoncés en elle, les yeux fous de la scène qui s’est déroulée. Nous nous désolidarisons lentement, avant de nous affaler pèle-mêle sur le grand lit. Enfin au milieu des respirations désordonnées, la voix de Lucie se fait entendre :-Dés qu’on aura repris des forces je veux moi aussi me faire prendre à deux...
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