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Sophie notre fille chérie

Chapitre 2

Inceste
L’amour Elle se met sur le ventre, je pose mes lèvres sur sa fesse gauche, Farah sur la droite. Nous couvrons son corps de baiser, au bout d’un petit moment, nous voyons son corps bouger, je redescend sur ses fesses, les écarte pour lui lécher l’anus. Elle monte ses fesses assez haut, Farah se glisse sous son pubis et commence à lui titiller le clitoris. Je vois qu’elle ouvre un peu ses cuisses, je vois les yeux de Farah entre elles, je lui sourit, elle cligne des yeux, elle se concentre sur le sexe de sa fille, moi sur son anus. Nous l’entendons gémir de plaisir, elle se tend doucement jusqu’à exploser une nouvelle fois en se tortillant sous nos langues. Quand elle revient à elle, elle se met sur le dos, elle ouvre ses bras, nous nous lovons contre elle, elle rabat ses bras sur nous en nous serrant contre elle. –Je vous aime tant mes mamans chéries, je vous aime tant. Je redresse un peu la tête, je vois des larmes couler sur ses joues, elle a fermé ses yeux, je la sens heureuse d’être entre nous deux. Nous nous endormons dans ses bras. Je me réveille toujours dans les bras de Sophie, Farah n’est plus là, je ne l’entend pas dans l’appartement, Sophie ouvre les yeux, me regarde en souriant et pose ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons tendrement. –Bonjour maman chérie.–Bonjour mon amour.–Je suis un peu contrariée.–Pourquoi ma chérie ?–Parce que vous m’avez bouffé la chatte et que nous nous sommes endormies avant que je puisse bouffer les vôtres.–Pas de problème mon amour, nous avons la journée pour réparer ce petit contre temps.–J’y compte bien, d’ailleurs, je vais prendre un acompte. –Je suis à toi.Elle se jette entre mes jambes, me les écarte et pose ses lèvres sur mon vagin. Je ne mets pas longtemps à ruisseler de cyprine vite englouti par la langue de Sophie. Je suis bouleversée de savoir ma fille entre mes cuisses à me donner du plaisir, je ne résiste pas longtemps avant de jouir sous sa langue. Elle remonte le long de mon corps pour m’embrasser, elle a le goût de mon sexe, j’adore. Elle m’enlace en posant sa tête sur mon épaule. –C’est merveilleux maman, tu es la première femme à qui je donne du plaisir comme ça.–Tu n’as jamais fait l’amour avec une fille ?–Non, jamais, qu’avec des hommes.–Tu viens de combler une lacune.–Je suis si bien là avec vous mes mamans chéries, je vous aime.–Tu sais que nous aussi nous t’aimons, tu es notre fille. 
Nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir, Farah rentre de faire des courses, nous nous levons. Sophie me prend par la taille et se dirige vers le salon. Farah pose du pain et des croissants sur la table du salon. Sophie se précipite sur elle pour l’enlacer et l’embrasser. Farah semble surprise mais répond à son baiser. Mais Sophie ne s’arrête pas là, elle fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête et lui enlève sa jupe. Elle est nue et se colle à Sophie, elle la serre très fort contre elle, leurs mains glissent sur les corps en insistant un peu sur le bas du dos et les fesses. Il faut dire que celles de Farah sont sublimes de fermeté, de rondeur et de douceur, Sophie a l’air d’adorer laisser ses mains se promener sur elles, comme moi.  –Ma chérie, il faudrait peut être penser à petit déjeuner, j’ai acheté ce qu’il faut, à table. Sophie va vers la table, elle regarde le sac des croissants. –Six croissants, vous n’en mangez qu’un chacune.–Essaye, et tu verras ce qu’on mangera. Je vais dans la cuisine faire les cafés, quand je reviens dans le salon, je trouve Farah assise sur une chaise et Sophie sous la table entre ses cuisse qui lui bouffe le minou. Elle jouit au moment où je pose les tasses sur la table, Sophie sort de sous la table et s’assoie en face d’elle. Je vois que Farah est encore un peu stone. Nous déjeunons dans la bonne humeur, depuis cette nuit, l’ambiance a légèrement changé dans l’appartement, elle est plus sensuelle, mais ça ne me dérange pas. Une fois le petit déjeuner finit, nous allons dans la salle de bain, c’est la première fois que je vais prendre une douche avec ma fille adulte. Je n’ai pas encore assimilé ce qui s’est passé cette nuit, nous avons fait jouir notre fille, chacune notre tour. Je n’aurais jamais imaginé que se soit possible, je pensais que notre fille était sacrée, mais j’ai eu la preuve du contraire. Je suis une folle du cul, comme Farah, et nous ne pouvons résister à une chatte ruisselante et odorante, même si c’est celle de notre fille.  Nous entrons toutes les trois dans la douche à l’italienne, nous nous savonnons mutuellement, ce n’est que rires et câlins. Mais au bout d’un moment, Sophie s’accroupie devant Farah pour s’occuper de mon sexe, quand elle a joui, c’est moi qui m’occupe du sien, et Farah du mien. Nous jouissons chacune deux fois ce petit jeu a duré pas loin de trois quart d’heure. Cette séance de broute minou ne la satisfait pas complètement, elle veut passer du temps avec nous dans le lit et nous faire jouir comme nous l’avons faite jouir cette nuit. Mais, il faut d’abord aller faire des courses, nous décidons d’aller ensemble au marché municipal. Nous enfilons une jupe et un corsage, comme d’habitude je ne mets rien sur mon cul et comme je ne travaille pas, pas de soutif. Farah fait comme moi, à poil sous ses fringues légères. Sophie a mis elle aussi une jupe plissée courte et un corsage, il est évident qu’elle n’a pas de soutif. Quand elle passe devant moi, je lui fait voler sa jupe pour constater qu’elle n’a rien dessous. –Pas de string ?–Pas le week-end.–Tu en avais un hier ?–Oui, mais j’allais en boîte, j’allais beaucoup bouger, je n’aime pas m’exhiber dans une boîte, je suis plus à l’aise cul nu dans la rue.–Ok, allons-y. Nous arrivons sur le marché, il y a beaucoup de monde, mais nous connaissons nos adresses, nous y venons toutes les semaines depuis plus de vingt ans. En général, nous y venons le dimanche, il y a plus d’ambiance avec le marché extérieur mais c’est égal, l’ambiance sera plus calme, nous serons moins bousculées. Farah se penche très souvent sur les étales découvrant le bas de ses fesses, voire complètement quand elle insiste. Je vois que Sophie l’imite, d’abord timidement puis avec beaucoup plus d’assurance. Je ne suis pas en reste, nous sommes sur le point de finir les courses quand Sophie tombe sur Capucine, sa magnifique amie d’enfance. Elle se jette dans ses bras, elles s’embrassent chastement, on voit qu’elle n’ont jamais eu de relation intimes. Capucine vient vers nous, elle nous embrasse. –Bonjour les mamans.–Bonjour Capucine.–Bonjour Capucine, tu viens souvent faire ton marché ici, c’est la première fois qu’on te voit.–Non, c’est en fait la seconde fois, je n’habite pas à Papeete, je suis là parce que j’ai passé la nuit chez Ambre. Je fais des courses avant de rentrer chez moi à Mahina. Je sens Sophie un peu fébrile, elle semble tendue, je la prend un peu à l’écart. –Qui a-t-il chérie, tu es fébrile ?–Juste que Capucine me plait beaucoup, cette nuit m’a ouvert les yeux, j’ai envie d’aller plus loin avec elle maintenant que je connais l’amour entre femme.–Mais tu la connais depuis toujours, elle est comme ta sœur.–Oui, c’était ma sœur, mais maintenant c’est une fille qui me plait beaucoup.–Tu veux qu’on l’invite à déjeuner ?–Et nous, j’ai aussi envie de vous deux, mais Capucine m’attire, regarde ce merveilleux corps, j’aimerais tant le voir nu et le caresser.–Ok, laisse moi faire. Nous retournons vers Farah et Capucine qui discutent en regardant des fruits. Farah me prend à part. –Tu sais que toutes les copines de Sophie savent comment on vit, et bien Capucine voudrait faire comprendre à Sophie qu’elle lui plait, qu’elle est bi tendance Sappho, elle préfère les femmes.–Ce n’est pas vrai, Sophie vient de me dire que Capucine lui plait et qu’elle aimerait bien voir ce que ça pourrait donner avec elle.–Bon, on l’invite, tant pis pour notre petite partie de jambes en l’air, c’est pour notre fille, il faut l’aider.–Ok. Nous rejoignons les filles qui discutent ferme sur la soirée d’hier, je les interrompt. –Capucine, que dirais tu de venir déjeuner avec nous ce midi, il reste du foie gras. Elle regarde Farah qui lui sourit, Sophie me regarde, elle semble soulagée. –Volontiers, j’avais rendez-vous avec George, mais je vais décommander.  Tout le monde rigole, nous retournons aux voitures, Capucine va prendre la sienne, elle sait où nous habitons. Sophie l’attend devant l’immeuble pendant que nous garons la voiture dans le garage. Nous prenons l’ascenseur qui fait escale au rez-de-chaussée pour les prendre. Sophie et Capucine s’installent dans le salon pendant que nous rangeons les courses, nous ne voulons pas qu’elles nous aident, elles ont autre chose à faire. Quand nous arrivons dans le salon, elles discutent assise chacune sur un pouf, Farah me regarde et me sourit.  –Bon les filles, vous savez ce qu’est un corps de femme, il fait une chaleur à crever, la clim est en panne, je vais me mettre à l’aise, à tout de suite. Elle va dans la chambre, je la rejoins, nous enlevons nos fringues et retournons au salon en se tenant par la taille. Capucine n’est pas du tout surprise, elle nous a déjà vu nues quand elle venait voir Sophie. Sophie se lève et se dirige vers sa chambre, elle déboutonne et enlève son corsage bien avant d’entrer dans sa chambre les seins à l’air, Capucine la regarde très intéressée. –Vas la rejoindre, et fais comme elle.–Vous croyez ?–Bien sûr, vas-y, elle t’attend. Elle se lève et se précipite vers la chambre de Sophie. Nous commençons à préparer le repas, nous pensons que les filles vont rester un petit moment dans la chambre de Sophie. Il n’en est rien, elles reviennent nous rejoindre pour nous aider. Capucine est magnifique nue, elle a de très beaux seins bien hauts et bien ronds, un ventre d’athlète, des fesses d’enfer et des jambes à la Karembeu. Son pubis lisse bien rebondi cache à peine un mignon clitoris qui pointe un peu le bout de son nez, elle est tout de même un peu excitée. Son sexe est assez fin, lèvres discrètes entre des cuisses assez serrées.  –Nous n’avons pas besoin de vous les filles, on va plus se gêner qu’autre chose à quatre dans la cuisine. Allez discuter dans le salon. Elle vont s’installer sur le divan, elle nous voient travailler. Nous leur tournons le dos et en profitons pour les exciter, je caresse les fesses de Farah qui me fait la même chose. Elle passe de temps en temps un doigt entre elles pour me titiller l’anus, ou une main vient me caresser les seins ou me titiller le clitoris. Elle s’agenouille entre le plan de travail et moi pour plaquer mon sexe contre sa bouche, elle a les jambes grandes ouvertes devant elles, elle se caresse en même temps. Je jouis en m’exprimant discrètement mais suffisamment fort pour qu’elles m’entendent, Farah tombe sur le sol pour se finir et jouir en s’exprimant. Elle se redresse pour m’enlacer et me caresser les seins. Cela dure au total une bonne heure, jusqu’à ce que nous entendions un gémissement venir du salon.
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