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Sophie notre fille chérie

Chapitre 3

Inceste
Capucine Nous nous retournons pour voir Capucine allongée sur Sophie bouche à bouche. Les mains de Sophie se promènent sur son corps. Nous nous regardons en souriant, c’est gagné, elles vont pouvoir se découvrir et savoir quels sont leurs sentiments réciproques. Nous nous remettons au travail, nous entendons des gémissements, et surtout le bruit caractéristique d’une bouche sur un sexe. Nous nous retournons pour voir la tête de Capucine entre les cuisses de Sophie qui nous regarde avec un sourire qui en dit long. Je vois qu’elle prend un énorme plaisir à se donner à elle, nous les laissons et reprenons la préparation du repas. Quelques minutes plus tard, Sophie jouit en s’exprimant fortement, la baie vitrée est ouverte, le quartier est au courant, mais il a l’habitude avec nous. Nous allons dans le salon, le repas est pratiquement prêt, il ne reste que l’assemblage. Capucine se redresse, elle aide Sophie à s’assoir et la prend dans ses bras, elle la couvre de baisers. –Tu ne peux pas savoir ce que j’ai vécu depuis cinq ans, quand j’ai réalisé que je t’aimais, tu étais là et je ne pouvais pas te toucher, te caresser, t’aimer.–Mais tu ne m’as jamais fais comprendre ce que tu attendais de moi.–Tu ne fréquentais que des mecs, même si je te l’avais dit, tu ne l’aurais pas compris.–C’est vrai que jusqu’à hier, les femmes m’étaient indifférentes. Je ne regardais que les hommes.–Que s’est il passé hier pour que tu me regardes comme une partenaire sexuelle ?–Juste que mes mères m’ont fait jouir comme jamais je n’ai joui de ma vie. Capucine nous regarde complètement sidérée, elle ne s’attendais pas à ça, elle est souvent venue ici et rien ne lui a laissé supposer une telle attitude, c’est normal, nous n’y pensions pas du tout, Sophie était notre fille, et que notre fille. –Ça ne te choque pas j’espère, je veux que tu reste avec moi, mais tu dois connaître la vérité.–Ne t’en fais pas chérie, c’est ma mère qui m’a fait connaître ma première expérience saphique. –Comment a-t-elle fait ?–Simplement parce que j’en avais envie, mais je ne savais pas comment lui faire comprendre, je savais qu’elle voyait des femmes et qu’elle faisait l’amour avec elles. J’avais envie de partager des moments d’amour avec elle, de caresser son superbe corps, je rêvais souvent que nous faisions l’amour ensemble. Alors, un soir au moment d’aller me coucher, je lui ai dit que je ne pouvais pas enlever mon pantalon car je m’étais fait mal à un bras. Elle est venue m’aider, elle a tiré sur mon pantalon pour me l’enlever. Seulement, je n’avais rien mis dessous et quand mon pantalon a été enlevé, j’ai écarté les jambes. Elle est tombée sur un sexe brillant comme l’étoile polaire et bien odorant, j’étais excitée comme une puce. Elle m’a regardé et compris ce que j’attendais d’elle. –Et alors ?–Elle m’a fait lever, m’a pris la main et m’a amené dans son lit où elle s’est jetée sur mon sexe. –Tu as jouis ?–Bien sûr, comme une folle, mais elle voulait aller plus loin, elle m’a entièrement déshabillée et s’est déshabillée. C’était la première fois que je la voyais entièrement nue, et elle aussi depuis mon adolescence, nous étions une famille très pudique, jamais nus devant les autres. Je peux te dire que je n’ai encore jamais vu Thomas, mon frère aîné, nu.–Et après ?–Nous avons fait l’amour presque toute la nuit, elle m’apprenais comment la faire jouir, elle me guidait, me conseillait, me faisait jouir pour me montrer ce qu’il fallait faire. J’ai mis la matinée suivante à m’en remettre. –Et maintenant ?–Je vais chez elle de temps en temps, nous passons une nuit d’amour, c’est extraordinaire l’amour d’une mère pour son enfant.
–C’est quand même un amour un peu spécial.–Oui, mais tellement bon, comme toi avec tes mères. –Et ton père il est au courant ?–Non, ils ont divorcé très peu de temps après, mais je ne crois pas que ça ai eu une quelconque influence sur leur décisions, c’était la guerre entre eux depuis très longtemps. Et toi ?–Et bien hier, quand je suis rentré, je suis tombée sur mes mamans nues en train de siroter un armagnac, comme elles le font de temps en temps. Comme il faisait chaud, Béatrice m’a dit de me mettre à l’aise, et pour les provoquer, je me suis déshabillée devant elles. –Toi, si prude ?–Oui, ça m’a pris comme ça, et quand elles m’ont demandé pourquoi, je leur ai dit que c’était parce qu’elles m’excitaient et que je voulais être nue comme elles. –Et ?–Farah nous a emmené dans la chambre, elles m’ont fait l’amour comme des reines, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie. –Normal, tu n’avais fait l’amour qu’avec des hommes.–Oui, je réalise que l’amour saphique est plus complet, nous savons mieux ce qui plait aux femmes. –Bon les filles, il est temps de manger, vous vous raconterai la suite dans votre chambre après avoir mangé.–Ok. Nous mangeons joyeusement, les filles se regardent, elles savent ce qui va se passer après le repas, mais elles semblent l’attendre sereinement, comme si elles avaient l’habitude de s’aimer. Une fois tout rangé, elles foncent dans la chambre de Sophie. Nous entendons des soupirs et des gémissements, elles s’aiment, mais nous, nous avons besoin d’une bite, je téléphone à Norbert, notre baiseur actuel. C’est un très beau garçon de trente ans, monté comme un âne, qui aime bien nous faire l’amour, il est toujours disponible. Or, aujourd’hui, il est avec un copain, nous lui disons que ce n’est pas grave, on en aura un chacune. Tout le monde est d’accord, nous les rejoignons chez lui.  Quand nous arrivons, il nous ouvre complètement nu et bandant comme un cerf.  –Ce sont elles Manahau. Dans le salon nous attend un splendide tahitien qui bande lui aussi avec un sexe au moins aussi gros que celui de Norbert, l’après-midi va être jouissif. Pas de fioriture, je laisse tomber ma robe dans l’entrée et me jette nue sur Manahau qui me prend dans ses bras, me soulève comme un fétu de paille et m’allonge sur un grand matelas posé par terre. J’écarte les jambes pour recevoir son gigantesque sexe que je sens entrer lentement dans le mien. Il me fait l’amour lentement, avec des aller-retour amples et profonds. Je me serre contre lui, sentir son torse puissant contre mes seins m’excite encore plus. Je ne tarde pas à jouir, j’entends Farah jouir elle aussi dans la chambre de Norbert. Je reviens à moi assez vite, je me lève, je peux mieux détailler Manahau, il est grand, très bien bâti et a un sourire à te renverser, il est très beau. Je m’assoie sur le divan, il vient s’assoir à côté de moi. –C’est la première fois que je fais l’amour avec une femme inconnue avant même de lui avoir dit bonjour. –J’avais trop envie, excuse moi, bonjour Manahau.–Bonjour Béatrice. Nous rigolons, il semble plus jeune que Norbert, tout juste vingt ans. –Tu aimes les vielles ?–De qui parles tu ?–De moi bien sûr, ne fais pas l’innocent.–Pour moi, tu n’est pas vielle, tu es magnifique et je dois dire que tu es la plus belle femme avec qui j’ai fait l’amour. –Merci, mais j’ai encore envie de toi, mais ailleurs.–Pas de problème, tu as ce qu’il faut ?–Oui, toujours. Je sors de mon sac un tube de graisse anale et me badigeonne le fion. Je m’agenouille devant lui pour lui gober la bite, en dix secondes, elle est raide comme un passe-lacet. Je m’allonge à plat ventre sur le matelas en pointant mes fesses vers le haut. Il se met sur moi les bras tendus, je sens sa bite glisser entre mes fesses, mais elles s’égarent un peu. Je la saisie et la guide vers ma rondelle. Son gland m’écarte les fesses pour atterrir sur mon fion. Il pousse pour ouvrir le paradis. Il a l’habitude, ça fait plus de vingt ans qu’une bite passe par là. Une fois bien enfoncé, il reste quelque secondes immobile. Il commence des va et vient lents et réguliers, il accélère son mouvement petit à petit jusqu’à arriver à un rythme fou qui me fait exploser dans un énorme orgasme. Je sens son sperme me remplir l’anus, j’en jouis encore plus. Une fois remise de mes émotions, nous nous levons pour nous assoir sur le divan. Norbert et Farah nous rejoignent, elle vient vers Manahau et le fait lever. –Allez les mecs, occupez vous de moi, j’ai envies de vous avoir en même temps dans mes réceptacles à bites. Manahau se lève, il ne bande pas, Norbert non plus. –Tu t’occupe de Norbert Béatrice chérie.–Avec joie. Je me penche sur sa bite, je la gobe, je la sens réagir immédiatement, en moins de trente secondes, elle est raide et pointe son énorme gland vers le ciel. Je vois que celle de Manahau est dans la même position. Farah allonge Norbert sur le matelas sur le dos, elle s’allonge sur lui et s’empale lentement sur son membre viril. Manahau s’allonge sur elle en se tenant sur les mains bras tendus, sa bite se glisse entre ses fesses, mais ce n’est pas évident, je m’en saisi pour la diriger entre elles et lui faire trouver le chemin du paradis. Je la vois s’enfoncer lentement entre elles jusqu’à ce que son pubis touche ses fesses. Il commence ses allers-retours lentement, sur toute la longueur de sa bite, je vois Farah sourire en me regardant. Ils lui font l’amour tendrement, en douceur, ça ne l’empêche pas de commencer à sentir venir l’orgasme. Farah se donne à fond, elle donne des coups de rein vers l’arrière pour que Manahau s’enfonce encore plus. Au bout de quelques minutes, elle s’exprime. –Oui mes chéris, oui, je vais jouir, encore, encore, oh oui, ça y est, je jouis, je jouis, je veux vous sentir jouir, oui, ah oui, votre jus, je le sens.  Je vois les hommes se tendre en même temps que Farah, ils jouissent aussi.  Quand tout le monde est de nouveau lucide, ils s’assoient sur le divan, je dois patienter un moment avant de pouvoir profiter de ces deux belles bites en même temps. Dix minutes plus tard, je suis allongée sur Manahau empalée sur son sexe avec celui de Norbert dans le fion aidé par la main de Farah. Je sens Norbert bouger, son sexe va et vient dans mon cul, sur toute sa longueur, se sens son gland dans mes entrailles aller et venir. Je monte et descend mes fesses pour accentuer le mouvement de Manahau, il ne peut pas trop bouger. Sentir leur sexe se frotter sur ma paroi vaginale m’excite, je sens l’orgasme monter assez vite, je sais que ça va être fort sans égaler ceux que me procure une femme. L’onde monte lentement dans mon corps pour se terminer par un énorme feu d’artifice et le faire exploser dans un orgasme puissant. Ils jouissent en même temps que moi, leur sperme me rempli mes orifices, je suis au nirvana. Une demi-heure plus tard, nous rentrons à la maison, c’était un moment agréable, mais sans amour, juste la baise comme dit Maéva, hygiénique. Aucun homme ne nous a fait vibrer au point de vouloir lui faire partager notre vie. Quand nous arrivons à la maison, c’est pour entendre Capucine hurler de plaisir, elle est aussi discrète que moi. Nous nous déshabillons et allons prendre un bain toutes les deux, ça aussi c’est un plaisir dont on ne peut pas se passer. Nous batifolons dans l’eau en nous caressant quand Capucine et Sophie entre dans la salle de bain. Elles prennent une douche assez crapuleuse, elles s’aiment devant nous, sans gêne, dans la joie. Quand nous sortons de la baignoire, Sophie m’attrape le bras et me colle à elle. Capucine fait la même chose à Farah, elles nous caressent, nous embrassent, nous titillent le clitoris jusqu’à ce que nous jouissions. J’ai à peine le temps de réaliser ce qui vient de se passer que je sens les mains de Capucine sur moi et sa bouche sur la mienne. Elle me caresse les fesses, les seins, sa bouche descend sur mon pubis pour s’emparer de mon sexe et me faire de nouveau jouir. Je suis un peu dans les vaps, les jambes flagada, je tiens à peine debout, elle m’enlace et me fait sortir de la douche. Elle m’essuie, s’essuie et m’amène dans le salon pour m’assoir sur le divan, Sophie fait la même chose à Farah, elle sont devant nous, elle nous regardent.
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