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Sophie notre fille chérie

Chapitre 4

Inceste
La vie à quatre –Les mamans, nous voudrions rester ensemble pour voir ce que ça donne entre nous, mais Capucine vit chez ses parents, impossible d’aller chez eux, ils refuseraient. Peut elle rester ici, nous dirions à ses parents que c’est plus pratique pour elle, ça lui éviterait les trajets aller-retour journaliers longs et fastidieux à Mahina.–Si ses parents sont d’accord nous n’y voyons pas d’inconvénient. Elles nous sautent au cou, elles retournent dans leur chambre pour s’habiller. Elles vont chercher les affaires de Capucine pour qu’elle s’installe confortablement, elles semblent très heureuses. Trois heures plus tard, elles sont de retour, il fait nuit, Capucine semble en colère. –Ça s’est bien passé ?–Pas vraiment, ils ont très mal pris la chose, ça s’est terminé par une mise à la porte de mes parents, je ne peux plus retourner chez eux, mais je n’en ai rien à foutre, qu’ils aille se faire pendre. –Du calme ma chérie, il faut un peu se mettre à leur place, ça doit les choquer un peu tout de même.–Les choquer, alors qu’eux ils s’envoient en l’air avec d’autres couples, ils sont échangistes, ils organisent des partouses avec deux ou trois couples à la maison en ma présence, c’est l’hôpital que se moque de la charité.–J’avoue que je ne comprend pas, mais tu es la bienvenue ici, installe toi avec Sophie, nous allons vous acheter un lit plus grand, vous serez plus à l’aise pour faire l’amour.  Elles vont dans leur chambre pour s’installer, je suis heureuse pour elles, c’est une étape dans leurs vies, j’espère qu’elle durera longtemps. Elles reviennent un quart d’heure plus tard, nous sommes toutes les deux sur la terrasse. –Je prendrais bien un petit ti’punch, il y a du citron vert ?–Oui ma chérie, pour nous, ce sera un whisky glace s’il te plait.–Ok, je prépare tout ça et je reviens vous les amener, Capucine va vous rejoindre, je n’ai pas besoin d’elle. Capucine s’allonge sur un transat, elle est magnifique, elle ne sert pas ses jambes, nous pouvons voir son sexe brillant, elles ont dû se câliner un peu dans la chambre. Heureusement qu’il n’y a aucun vis-à-vis, nous pouvons être à poil sur le balcon. Sophie arrive, elle pose les verres sur la table basse en se penchant devant Farah qui ne manque pas de lui caresser les fesses. Elle s’immobilise, Farah se saisie de ses hanches pour coller ses fesses sur sa bouche. Je vois sa langue se glisser entre elles et lui lécher l’anus, elle se tortille de plaisir. Ça ne dure qu’une petite minute, Sophie se retourne pour s’assoir de travers sur ses cuisses et l’embrasser goulûment. Une main de Farah glisse sur son ventre et ses seins ce que semble beaucoup apprécier notre fille. Elle se relève et viens s’assoir à côté de moi. –Merci Farah, c’était super, tu peux te tourner vers moi s’il te plait Béatrice ? Je pivote sur ma chaise, elle vient s’agenouiller devant moi et plonge sur mon sexe. Je sens sa langue le fouiller dans tous ses recoins, je ne tarde pas à partir dans un orgasme puissant qui tétanise mon corps en le secouant comme un prunier. Quand je reviens à moi, je sens la langue de ma fille sur mes seins, elle les lèche et les suce comme pour me téter, je suis prise d’un violent frisson. Je la serre un instant contre mon sein, mais il faut tout de même penser à préparer le repas. Je me lève, Farah me suit à la cuisine, je vois Capucine et Sophie s’enlacer et s’allonger sur un transat tête-bêche, elles se font l’amour.  
  Nous sommes en septembre deux mille vingt et un, ça fait quatre ans que Capucine est installée chez nous, elles ont toutes les deux terminé leurs études et travaillent dans l’environnement. Elles se sont mariées en même temps que nous, nous étions leurs témoins et elles les nôtres. Mais elles se sentent bien chez nous, elles ont voulu rester et nous, égoïstement, nous avons accepté, nous aimons bien avoir notre fille près de nous, surtout qu’elles partagent notre lit de temps en temps. Farah a officiellement adopté Sophie pour qu’elle puisse hériter d’elle.  Nous avons emménagé entre Tata’a et Puna’auia il y a trois ans, dans une grande villa avec vue sur la mer et grande piscine à débordement. Le père de Farah est décédé, elle a hérité de l’appartement et l’a très bien vendu pour acheter cette villa sans rien ajouter. Elle est juste à coté de la société où travaillent les filles, pas loin de l’aéroport où nous travaillons et proche d’un centre commercial. Travailler à côté de là où on habite est une bénédiction à Papeete, les embouteillages y sont monstrueux et permanents, nous avons gagné plus d’une heure et demie de sommeil par jour. Nous sommes le huit septembre, c’est l’anniversaire de Sophie, elle a voulu le fêter entre nous et n’avoir qu’un seul cadeau, Norbert et Manahau pour la prendre des deux côtés en même temps, elle en rêve depuis qu’on lui a raconté ce qu’on faisait souvent avec eux. Nous déjeunons tranquillement, nous avons rendez-vous à quinze heures avec les hommes. Après le repas, nous rangeons tout et allons piquer une tête dans la piscine. Dix minutes avant quinze heures, nous sortons de la piscine, nous séchons bien Sophie et lui mettons un bandeau sur les yeux, il ne faut pas qu’elle voit les hommes tout de suite. Nous la caressons, Capucine s’occupe de son sexe qu’elle fait couler pour bien la lubrifier. Farah lui enduit copieusement l’anus de graisse anale.  A quinze heures pile, on sonne, je vais ouvrir, Norbert et Manahau sont là torses nus, ils n’ont qu’un short qu’ils font valser immédiatement. Je les amène vers Sophie qui les attend debout à côté de la piscine. Ils viennent vers elle et commencent à la caresser doucement, leur mains glissent sur son corps. Je vois qu’ils adorent ça, ils ne doivent pas caresser un tel corps tous les jours. Inutile d’intervenir, leurs sexes se redressent lentement pour pointer vers le ciel. Sophie commence à respirer plus rapidement, Manahau se colle derrière elle, je guide sa bite entre ses fesses, Norbert se met devant elle, sa bite trouve toute seule le bon chemin. Ils se regardent et avance le bassin ensemble, je vois les deux sexes s’enfoncer dans les entrailles de ma fille, elle semble au comble du bonheur, son visage est illuminé. Ils restent quelques secondes complètement enfoncés en elle pour qu’elle ait le temps de bien apprécier cet instant. Ils commencent leurs aller-retours lentement, sur toute la longueur de leurs sexes, Sophie se donne, elle enlace Norbert, donne des coups de rein devant et derrière, elle veut les sentir complètement. Elle ne résiste pas longtemps, elle jouit en s’exprimant enlacée par Norbert et Manahau. Elle semble complètement stone, les hommes se dégagent et changent de place.  Sophie n’a pas le temps de réaliser qu’elle est embrochée des deux côté par Norbert derrière et Manahau devant. Ils recommencent leur va et vient comme tout à l’heure, ils l’enlacent pour la maintenir debout, elle semble sur le pont de s’écrouler de plaisir. Elle se laisse faire avec un merveilleux sourire, elle se concentre sur son corps qui lui donne un plaisir encore inconnu. De nouveau elle se tend, je vois son ventre se crisper, les hommes le sentent et accélère le rythme. Elle explose dans un extraordinaire orgasme, elle est secouée de violents spasmes d’autant que Norbert et Manahau jouissent aussi, elle doit sentir leur sperme la remplir. Elle s’écroule soudain, elle est dans les vaps. Manahau se dégage ainsi que Norbert, il la prend dans ses bras pour l’allonger sur un transat au moment où elle revient à elle. Je lui enlève son bandeau, elle me regarde, son regard n’est pas encore bien clair, elle est encore un peu dans les vaps. –Merci pour ce merveilleux cadeau les mamans chéries, venez m’embrasser, j’en ai besoin.  Je m’allonge sur elle pour échanger un long baiser, je sens ses mains sur mon corps, surtout sur mes fesses, j’en ressens un plaisir immense. Quand je me redresse, Farah s’allonge aussi sur elle pour l’embraser. Les mains de Sophie courent sur son corps, leur baiser dure longtemps. Quand elles se séparent, Sophie regarde Norbert et Manahau, c’est la première fois qu’elle les voit, ils la regardent, leurs sexes pendent entre leurs jambes. Capucine vient se blottir contre elle. –Tu as eu un beau cadeau ma chérie ?–Merveilleux, tu voudrais connaître toi aussi la double pénétration ?–Oui mon amour, j’aimerais bien moi aussi. Je regarde les hommes. –Je crois que ce n’est pas fini, je suppose que vous n’êtes pas contre un bis repetita.–Absolument pas chère amie, surtout pour une aussi belle fille.–Et bien messieurs, en piste. Capucine se lève, Norbert vient vers elle pour la caresser, Manahau en fait autant, elle semble adorer ça. Farah lui badigeonne le cul de graisse, il est inutile de la préparer, je vois que son sexe est complètement liquéfié, une bite y entrera sans difficulté. Manahau se positionne devant elle, sa bite trouve tout de suite le chemin du bonheur, Farah guide la bite de Norbert entre les fesses de Capucine. Ils s’enfoncent en elle ensemble, dans une parfaite synchronisation, elle ferme les yeux pour bien s’imprégner de cet instant magique. Ils commencent à bouger en elle, elle ne bouge absolument pas, elle doit se concentrer sur son sexe et son cul pour apprécier au maximum l’instant unique que lui font vivre ces deux hommes. Elle aussi jouit assez vite, quand ils la sentent plus calme, les hommes échangent leurs places pour la besogner encore plus ardemment. Cette fois, elle se donne, elle enlace Norbert et se sert contre lui en donnant de violents coups de rein. Je la vois se raidir, elle ferme de nouveaux les yeux, Manahau se déchaîne derrière elle, je vois son sexe sortir de ses fesses pour s’y enfoncer violemment tout de suite après. Elle explose dans un gigantesque orgasme, entretenu par les giclées de sperme qui l’inondent, ils sont obligés de la maintenir pour l’empêcher de s’écrouler à terre. Quand elle revient à elle, Sophie vient vers elle pour l’enlacer au moment où les hommes la libèrent. Elles échangent un très long baiser, les hommes enfilent leurs shorts. –Merci les amis, j’espère que vous avez passé un bon moment.–Bien sûr, mais le plus important c’est que les filles soient heureuses de ce qui s’est passé.–Bien sûr que nous sommes heureuses, c’était extraordinaire, mais nous pensons que ce sera la seule fois, nous avons aimé, mais rien ne remplacera notre amour. Merci messieurs, merci beaucoup. Elles viennent les embrasser sur les joues, ils sourient, mais ils savent qu’avec nous, ils ont encore une chance de recommencer. Ils nous quittent pour aller enfiler une chemisette et retourner à Papeete. Nous plongeons dans la piscine, les mains glissent sur les peaux, les seins, les fesses, les sexes, jusqu’à ce que Capucine prenne la main de Farah pour la sortir de l’eau et l’allonger sur un transat. Sophie prend ma main pour la même chose, nous nous retrouvons tête-bêche sur un transat. Elle met beaucoup d’amour à me faire jouir, je mets beaucoup d’amour à la faire jouir. J’entends Farah jouir quelques secondes avant Capucine, je les suis assez rapidement, seule Sophie résiste un peu plus, il faut que Capucine pose sa langue entre ses fesses et lui lèche l’anus pour qu’elle explose dans un terrible orgasme. Elle m’inonde de sa cyprine, mais j’éprouve un énorme plaisir à lui lécher et à la boire. Quand tout le monde est de nouveau lucide, Capucine vient sur moi et Sophie sur Farah pour nous faire une nouvelle fois l’amour. Quand le deuxième tour est fini, nous retournons dans la salle de bain pour une douche crapuleuse.  Le temps a passé, il faut songer au repas, mais personne n’a envie de faire quoi que ce soit, nous décidons d’aller au restaurant, après tout, c’est l’anniversaire de Sophie. Nous réussissons à réserver aux « Petits ventres » pour vingt heures. Nous passons une bonne soirée, ce n’est pas donné, mais la cuisine est excellente, rien à regretter. Nous rentrons vers minuit, chaque couple dans sa chambre, nous nous endormons vers deux heures du matin après nous être encore une fois aimées comme des folles. Les bruits venant de l’autre chambre nous ont confirmé qu’il se passait la même chose jusqu’à ce que nous nous endormions. Notre vie est douce, nous vivons dans un pays paradisiaque pour qui sait l’aimer. Je suis parfaitement heureuse, je sais que Farah l’est aussi ainsi que notre fille et son amour, que demander de plus.
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