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Sophie notre fille chérie

Chapitre 1

Inceste
Sophie Cette histoire est la suite de « L’île déserte » catégorie « Erotique ». Nous sommes en deux mille dix-sept, nous vivons ensemble depuis vingt-deux ans, nous ne nous sommes pas séparées depuis l’accident. Nous nous aimons, mais nous n’avons pas laissé tomber les hommes, on se paye un extra de temps en temps, au moins deux fois par mois. Mais nous voulions avoir un enfant, nous en avons parlé entre nous et Maéva a décidé de nous prêter son mari Éric, un magnifique gascon d’un mètre quatre vingt huit avec un assez gros sexe et qui savait s’en servir. Nous avons décidé d’arrêter dès que l’une d’entre nous deux tombait enceinte, et c’est moi qui ai gagné. Je suis la maman de Sophie, le prénom de celle qui nous a sauvé la vie à toutes les deux et qui est sa marraine. Elle a vingt ans aujourd’hui, ça se fête. Elle est magnifique, c’est moi à son âge, même visage, même corps, même seins, même fesses et même longues jambes. Elle est en troisième année à la fac en sciences de l’univers, environnement et écologie, elle veut sauver la planète. Elle considère Farah comme sa maman au même titre que moi, elle nous appelle par notre prénom quand nous sommes en groupe, ou « maman » quand l’une de nous deux est seule avec elle, et « les mamans » quand nous sommes ensemble toutes les trois.  Avec Maéva et Sophie, nous sommes les quatre seules du groupe de naufragées à travailler dans une compagnie aérienne. Margaux et Barbara ont changé d’orientation et nous ont quitté juste après l’accident, elles sont retournées en France. Maëva est maintenant directrice des relations humaines, depuis son divorce, elle vit avec Sophie qui est responsable de cabine. Farah et moi-même, après avoir volé quinze ans dans une compagnie aérienne, sommes devenues instructrices depuis cinq ans. Nous voyageons deux fois par mois sur les avions de ligne pour contrôler le service dans l’avion. J’aime bien aller à San Francisco de temps en temps. Nous allons aussi quelques fois à Paris pour voir la famille restée là bas et surtout, y faire du shopping.  Nous sommes le huit septembre deux mille dix-sept, nous préparons l’anniversaire de Sophie, elle rentre de sa fac vers dix huit heures, nous avons décidé de lui faire une surprise en invitant trois de ses copines, sa marraine Sophie et Maëva. Elle n’est pas au courant, nous lui avons fait croire que nous fêterions ça samedi. Personne ne travaille demain, c’est une belle occasion. Nous sommes toutes les quatre à nous activer pour que tout soit prêt.  Sophie arrive à dix huit heures dix, nous avons tout caché, elle va prendre une douche, quand elle en sort, nous nous débrouillons pour l’empêcher d’aller dans la cuisine. Elle n’est pas étonnée de voir Sophie et Maëva, elles viennent souvent nous voir pour boire un thé, ou faire l’amour. Elles lui souhaitent un bon anniversaire, c’est le jour. Comme prévu, ses trois meilleures amies, Maimiti, Capucine et Ambre arrivent à dix-neuf heures, elles lui sautent dessus pour lui souhaiter un bon anniversaire, elle est très émue, c’est une surprise. Nous buvons le champagne sur la terrasse, il fait encore vingt neuf degrés, il y a une petite brise, c’est assez agréable. Le repas que j’ai préparé est délicieux, foie gras fait maison venu spécialement cru de France, homard à l’américaine, fromage et gâteau, tout le monde s’est régalé. Une fois les cadeaux ouverts, elles décident d’aller en boîte. Nous restons toutes les quatre à nous regarder, Farah se lève, elle fait lever Sophie, la regarde dans les yeux et commence à déboutonner sa robe. Je me lève pour faire la même chose à Maëva, elles ont un soutif et un string. J’enlève le soutif sans oublier de lui embrasser ses seins, je fais glisser son string le long de ses jambes en lui embrassant le pubis, ce que fait aussi Farah à Sophie. Une fois toutes les deux nues, nous nous retournons pour qu’elles déboutonnent nos robes boutonnées derrière. Une fois les robes à terre, nous sommes nues, pas de soutif ou de string.  Je prend Maëva dans mes bras pour l’embrasser, je l’amène doucement vers la chambre, Farah entraîne Sophie avec elle. Nous sommes toutes les quatre dans ce grand lit, je me jette sur l’entre cuisse de Maëva, Farah sur celle de Sophie, elles se donnent à nous, elles nous connaissent bien, elles viennent de temps en temps à l’appartement et nous faisons souvent l’amour toutes les quatre. Je me délecte de la cyprine de Maëva, nous arrivons à les faire jouir ensemble, il faut dire que depuis plus de vingt ans que nous pratiquons, on commence à bien être rodées. Quand elles ont retrouvées leurs esprits, elles se jettent sur nous pour nous amener au nirvana. Nous sommes toutes les quatre des spécialistes de l’amour saphique, nous savons amener la partenaire là où nous le voulons. Elles repartent vers minuit, elles doivent rentrer car demain, elles vont faire une régate avec des amis, elles doivent un peu dormir et elles savent que ce serait impossible dans notre lit. Nous nous installons sur le divan côte à côte, serrées l’une contre l’autre, nous ne pouvons nous passer de ce contact depuis plus de vingt ans. Nous nous servons un petit armagnac, c’est notre petite faiblesse, au moins une fois par mois. Nous sommes installées depuis à peine deux minutes que Sophie rentre de sa boîte, elle semble déçue. –L’ambiance était merdique, un groupe de petits cons foutait le bordel, comme la direction laissait faire, on est rentrées chez nous. Et vous, ça va à poil dans le salon à siroter un verre d’armagnac ?–Les filles viennent de partir, nous nous remontons de nos ébats.–Je présume que ça a été assez chaud.–Très, comme d’habitude mais un peu court, tu veux un verre ?–Volontiers, ça va me détendre, j’étais folle de rage.–Même chose ?–Oui. Je me lève pour aller chercher un verre et lui servir un armagnac. Elle s’assoie en face de nous, la chaleur n’est pas tombée et la climatisation est en panne, le réparateur ne vient que mardi. Nous avons laissé la baie vitrée ouverte pour donner un peu d’air, mais, malgré cela, je vois que Sophie souffre un peu de la chaleur. –Vas te mettre à l’aise, tu crève de chaud.
–Tu as raison, je vais me mettre à l’aise et prendre une douche.  Elle se lève, enlève son corsage, son soutif, fais glisser sa jupe à terre et enlève son string. Elle est nue devant nous, c’est la première fois que nous la voyons nue depuis qu’elle a dix ans. Elle ne se déshabillait plus à partir de l’adolescence, même quand nous allions sur la plage naturiste. Elle nous regarde en écartant les bras. –Comme ça, tout le monde est pareil. –Chérie, tu n’est pas obligée.–Ça me fait plaisir, je vous vois tous les jours nues, je n’osais pas vous imiter, ce soir c’est le jour, pour mes vingt ans. Elle va dans la salle de bain, nous entendons l’eau couler. Elle revient trois minutes plus tard, elle s’assoit devant nous sans serrer ses jambes, nous voyons son sexe un peu brillant. Elle fait comme nous, nous avons les jambes légèrement ouvertes, nous sommes entre nous. Je la regarde un peu mieux, je peux maintenant voir ce que je devinais, elle est vraiment très belle. Elle est très jolie, a une superbe poitrine bien haute et bien ronde, un beau bonnet B, un ventre plat, un pubis lisse et un sexe aux lèvres assez discrètes. Je remarque tout de même que son clitoris pointe le bout de son nez sous le capuchon et que ses lèvres brillent de plus en plus. Elle boit une gorgée d’armagnac, elle nous regarde, je vois que ses yeux sont focalisés sur nos jambes ouvertes. J’ouvre un peu plus les miennes, je dois dire que je ne reste pas indifférente devant le sexe ouvert de ma fille.  –Bon les mamans, il faut arrêter de se voiler la face, à voir vos yeux, je sais que je ne vous laisse pas indifférente bien que je sois votre fille. Je dois dire que vos sexes ouverts et bien brillant devant moi ne me laisse pas indifférente, je sens que je commence à mouiller grave, bien que vous soyez mes mamans. Nous nous regardons avec Farah, nous sommes complètement scotchées par cette réflexion, je la regarde. –Chérie, tu es notre fille.–Et bien, ça s’appelle un inceste, même pour toi Farah, pour moi, tu es ma maman au même titre que Béatrice, mais je vous avoue que je n’ai rien contre. Je viens de me découvrir un attrait pour les femmes, je vous vois tous les jours nues, je vois tous les jours vos superbes culs bouger devant moi. Vous êtes libres, vous vous caressez tout le temps, je dois dire que j’en arrive même à vous jalouser, j’aimerai tant avoir quelqu’un à aimer comme vous vous aimez.–Mais ma chérie tu n’as jamais rencontré quelqu’un qui te plaise ?–Oui, bien sûr, depuis longtemps, mais sans le savoir.–Et bien dis lui.–C’est ce que je viens de faire. Mon cœur s’arrête, le ciel me tombe sur la tête, je regarde Farah, elle est complètement désarçonnée, je regarde Sophie, elle semble attendre quelque chose de notre part. Je me lève, je prends la main de Farah pour la faire se lever. Nous contournons la table basse, Sophie se lève, je vois des larmes couler sur ses joues. Nous l’enlaçons en la serrant contre nous, je pose ma tête sur son épaule, Farah m’imite, je sens son corps contre le mien, je la caresse, nous restons un long moment immobiles, à nous caresser tendrement. J’ai envie d’aller au-delà, mais quelque chose me retient, c’est ma fille, je ne peux pas poser mes lèvres sur les siennes tout de même, même si j’en ai une énorme envie. Quand je lève la tête, je vois la bouche de Farah sur celle de Sophie, elles échangent un long baiser. Quand leurs têtes se séparent, Sophie la tourne vers moi pour poser sa bouche sur la mienne. Sa langue entre dans ma bouche avec autorité, sans crier gare, je suis submergée par l’émotion, je ne peux retenir mes larmes qui coulent sur mes joues. Farah nous caresse, les mains de ma fille glissent sur mon corps, sa langue danse avec la mienne, je caresse ses fesses et son dos, je ne sais plus où j’en suis. Farah nous prend par la main et nous emmène dans la chambre, elle nous allonge côte à côte, elle me fait basculer sur Sophie qui m’ouvre ses bras pour les refermer sur moi. Je sens ses seins écrasés par mes seins, son ventre sous mon ventre, son pubis contre mon pubis, je pose ma tête sur son épaule, je ne sais plus quoi faire. Je sens les mains de ma fille glisser sur mon dos et venir caresser tendrement mes fesses. Mon sexe commence à me faire comprendre qu’il a envie d’aller plus loin et que je dois faire quelque chose. Je glisse sur le corps de Sophie, je pose un baiser sur tout ce que mes lèvres rencontrent, il est doux, jeune, bien ferme. Arrivée sur son pubis, je sens ses jambes s’ouvrir. Je relève un peu la tête, Farah échange un baiser avec elle en lui caressant les seins. Je pose ma langue sur ses lèvres intimes, elle donne un léger coup de rein, je la lape, je m’abreuve de sa cyprine, elle est délicieuse, je m’en goinfre. Je la prend par les hanches pour la coller contre ma bouche, mes lèvres s’enfonce dans son vagin, mon nez lui titille le clitoris. Elle commence à onduler du bassin, j’aspire sa cyprine, ses fesses montent un peu, je peux lui ouvrir encore plus les jambes, j’atterri sur son périnée. Elle donne un grand coup de rein, elle aime que je la lèche là, je vais jusqu’à son anus, elle se tortille de plus en plus. Je sens ses jambes se crisper, elle attend la délivrance. Ma bouche remonte sur son sexe pour venir aspirer son clitoris en le titillant avec ma langue. Elle explose dans un fantastique orgasme, elle hurle son plaisir, Farah lui mordille les mamelons, elle est tendue comme un arc, elle donne des coups de tête à droite et à gauche, la bouche ouverte comme pour reprendre sa respiration. Lentement son corps se détend, ses fesses retrouve le drap, je remonte le long de son corps pour voir le merveilleux visage de ma fille qui me sourit. –Merci mes mamans chéries, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie, vous êtes des diablesses de l’amour saphique.–Et maintenant, c’est au tour de ta seconde maman de te faire grimper aux rideaux. Je me laisse glisser sur le côté, Farah s’allonge sur elle, elle reste un petit moment sans bouger, à s’imprégner du corps de sa fille. Lentement, elle descend le long de son corps en l’embrassant comme moi. Nous voulons connaître le goût de notre fille. Quand elle arrive entre ses jambes, je pose ma bouche sur ses lèvres. Notre baiser est tendre et plein d’amour, elle passe une main derrière ma tête, juste pour me sentir un peu mieux, elle n’appuie pas. Je sens que son corps se tend lentement, je sais ce dont est capable Farah, je sais qu’elle va encore plus jouir qu’avec moi, Farah est la déesse de l’amour saphique. Je caresse les seins et le ventre de ma fille tout en l’embrassant. Nos bouches sont soudées depuis plusieurs minutes, mais aucune de nous deux n’a envie que ça s’arrête. Pourtant, quand Farah décide de la faire jouir, elle m’abandonne pour crier au monde entier le plaisir qu’elle éprouve jusqu’à s’évanouir. Je sais que ce n’est que quelques secondes mais je la regarde inquiète, Farah remonte le long de son corps. Elle ouvre ses yeux, elle nous regarde avec un merveilleux sourire. –C’était encore plus fort, comment aller chercher ailleurs ce que j’ai ici, je vous aime mes mamans, je vous aime.–Chérie, tu as ta vie à vivre, et je ne pense pas que ce soit avec nous, tu dois prendre ton envol, mais nous ne sommes pas pressées, tu as le temps.–Je sais, mais où trouver quelqu’un qui me fasse l’amour comme vous, j’aime les hommes et maintenant les femmes, mais je n’ai pas encore rencontré d’homme capable de me faire jouir très fort, ils sont tous un peu pressés. –Et oui, ils n’ont pas notre patience.–Ou votre sadisme.–Comme tu le vois, mais, mets toi sur le ventre, nous voulons nous occuper un peu de tes fesses.
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